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magouille et compagnie - Page 1928

  • Quand François Hollande oublie la bombe israélienne…

    "Si l’Iran accédait à l’arme nucléaire, l’Arabie Saoudite, Israël, d’autres pays voudraient également accéder à l’arme nucléaire », a déclaré le président de la République lors de son entretien télévisé du 14 juillet, ajoutant que « ce serait un risque pour la planète tout entière. " Fichtre  ! Le chef de l’Etat s’est un peu emmêlé les pinceaux dans son plaidoyer contre la prolifération nucléaire.

     

    Car Israël possède bel et bien l’arme atomique – et depuis près d’un demi-siècle. Les premières bombes y ont été assemblées au printemps 1967, juste avant la Guerre des Six Jours. Cet arsenal a, dans un premier temps, été développé en étroite coopération avec la France, l’ancien président Shimon Peres jouant un rôle important dans cette affaire. Selon les estimations du Bulletin of Atomic Scientists, un groupe indépendant américain, l’arsenal israélien serait aujourd’hui d’environ 80 têtes nucléaires, pas forcément toutes opérationnelles. L’Etat juif est le seul pays doté de l’arme atomique au Moyen-Orient.

    En droit international, Israël se trouve dans une situation assez paradoxale. Le Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) de 1968 opère en effet une discrimination légale entre les Etats « dotés » de l’arme nucléaire (Etats-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni et France) et les Etats « non dotés », qui s’engagent à ne pas acquérir l’arme atomique, en échange d’une aide des premiers au développement du nucléaire civil. L’Iran, signataire du TNP, fait partie de cette seconde catégorie. [....]

    La suite sur Secrets Défense

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Quand-Francois-Hollande-oublie-la

  • Pourquoi l'Occident ne met-il pas tout en œuvre pour faire reculer l'Etat Islamique ?

    Le député du parti chrétien-démocrate des Yvelines Jean-Frédéric Poisson a rencontré le président syrien Bachar Al-Assad. Interrogé sur Sud Radio, il déclare:

    XVM28d34e12-28b2-11e5-98e7-a0ee10f69b01"La Syrie est un lieu-clé des conflits actuels au Moyen-Orient. Si on veut faire reculer Daech, il faut se battre avec tous ceux qui sont prêts à affronter Daech. Je constate que Bachar Al-Assad est prêt et se bat tous les jours contre l'Etat Islamique en Syrie. Je ne vois pas pourquoi on ne rediscuterait pas avec lui.Discuter, ça ne veut pas dire lui donner des satisfecit ou des bons points, ça veut dire mettre dans son camp toutes les possibilités, tous les moyens pour lutter contre l'Etat Islamique."

    "Quand je compare avec ce que l'Occident a mis en œuvre il y a 15 ans pour dézinguer Saddam Hussein, je me dis que tout n'est pas fait aujourd'hui pour faire reculer et pour anéantir l'Etat Islamique. Je reviens d'une tournée au Moyen-Orient, le sentiment des Chrétiens qui sont là-bas et auxquels j'ai rendu visite est exactement celui-là. Pourquoi l'Occident ne met-il pas tout en œuvre pour faire reculer et supprimer l'Etat Islamique ?"

    "Il ne s'agit pas de soutenir un dictateur, de la même manière que quand le président Hollande reçoit le président chinois en France, en visite officielle, il ne soutient pas le régime chinois, il discute avec un interlocuteur. Lorsque l'on discute avec les Saoudiens qui coupent la main des gens qui volent, on ne soutient pas le régime saoudien, on discute avec un interlocuteur. Pour Bachar Al-Assad, c'est pareil. S'il est coupable d'exactions et si le régime de Damas a fait des choses horribles pendant la guerre, il y a des tribunaux pénaux internationaux qui le jugeront. Pour l'instant, on en est à tout mettre en œuvre pour discuter avec ceux qui sont prêts comme nous à se bagarrer contre l'Etat Islamique et, pour l'instant, je constate que tout n'est pas fait."

    Michel Janva

  • Le bras de fer des éleveurs français

    Une des informations marquantes du week-end est la colère des éleveurs français, qui exigent de Stéphane Le Foll qu'il fasse respecter les accords passés avec la grande distribution sur le prix de la viande et du lait, qui se font sentir de façon trop timide au goût des éleveurs en détresse. Ce matin, Caen était bloquée par les éleveurs en colère, poursuivant le bras de fer et exigeant une implication plus ferme du gouvernement.

    Marie Bethanie

  • Quand il veut défendre ses convictions, Bruno Le Maire choisit l'abstention

    Pour démontrer au JDD qu'il a davantage de convictions que Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire brandit un grand moment de bravoure : son refus en juin 2015, sous les huées des militants de Sens commun, de réécrire la loi Taubira :

    "La vraie violence surgit quand on menace votre intégrité physique. J’ai connu des moments durs, comme ministre de l’Agriculture, aux salons de l’élevage de Rennes et de Cournon-d’Auvergne. Mais, lors de ce meeting, j’ai ressenti de la fierté quand j’ai été hué pour mes convictions : oui, je crois au mariage homosexuel; oui, je crois que l’amour homosexuel vaut l’amour hétérosexuel. Il faut avoir conscience que nos combats dépassent notre personne. Je reste impitoyable avec ceux qui renoncent à leurs idées pour plaire à la foule et faire taire quelques sifflets. Je suis reconnaissant aux gens qui m’ont hué car cela m’a permis d’éprouver mes convictions et de vivre ces moments forts où l’on coïncide avec soi-même."

    Deux mois plus tôt dans l'hémicycle, Bruno Le Maire a donc défendu ses convictions... en s'abstenant lors du vote de la loi Taubira. Peut-être était-il encore ému de cet autre "moment fort où l'on coïncide avec soi-même", à savoir le meeting de Sens commun de novembre 2014, où il affirmait l'inverse :

    "Je n'ai qu'une parole et je tiens promesse. Le combat que je veux livrer (...), c'est le combat contre le droit à l'enfant et pour le respect des intérêts des enfants dans la famille française. Voilà pourquoi j'ai demandé et je propose une réécriture de la loi Taubira."

    Laissons lui la conclusion : "Je reste impitoyable avec ceux qui renoncent à leurs idées pour plaire à la foule". Ajoutons : avec ceux qui laissent s'exercer une violence bien pire que quelques huées ; celle qui dénature le mariage, cellule de base de la société ; celle qui impose un changement de civilisation en divisant l'humanité entre homosexuels et hétérosexuels alors que ce sont les différences et la complémentarité entre l'homme et la femme qui la rendent féconde ; celle qui enlève délibérément à des enfants leur père ou leur mère.

    Louise Tudy

  • Horst Mahler amputé du pied

    Ses conditions de détention pourraient être responsables de son état.

    Horst Mahler est un avocat allemand, ancien activiste gauchiste (cofondateur de la Fraction armée rouge), devenu plus tard nationaliste, après réflexion durant de longues années de détention.

    A 80 ans, il purge une lourde peine de prison (concrètement, il a été condamné à y finir ses jours). Mais c’est désormais pour de simples propos qu’il est incarcéré… En effet il conteste la version officielle de la « Shoah ».

    Le dissident allemand vient d’être amputé du pied et du bas de la jambe.
    Son état semble cependant stabilisé.

     

    Hospitalisé dans un état critique le 30 juin dernier à l’hôpital Asklepios de Brandenbourg, Horst Mahler souffrait d’une septicémie (infection grave et susceptible de s’étendre au reste de l’organisme).

    Dans une lettre ouverte destinée à attirer l’attention du public sur le sort de son père, son fils pointait un rapport direct entre son état de santé et son emprisonnement :

    « Il est atteint d’une grave septicémie qui est sans doute la conséquence de son diabète, de son manque de mouvement, de la nourriture inadéquate et aussi du mauvais traitement médical à la prison. »

    Si vous souhaitez soutenir Horst Mahler en lui envoyant un courrier :

    Horst Mahler
    c/o JVA Brandenburg
    Anton-Saefkow-Allee 22
    D-14772 Brandenburg/Havel
    Allemagne

    Source E&R

    http://www.contre-info.com/horst-mahler-ampute-du-pied#more-38794

  • Attentat islamiste: Hollande, Valls, Cazeneuve, les 3 Pinocchios du gouvernement vous mentent (Vidéo)

    Ils ont osé s’enorgueillir d’un attentat déjoué, hier, alors que l’un des traîtres est issu des rangs de l’Armée. Ils ont osé s’enorgueillir des succès de la police, alors que le cadavre décapité de notre compatriote de l’Isère n’est pas encore froid. Ils ont osé s’enorgueillir alors que 700 voitures de nos concitoyens les plus exposés (les sans-dents), sont parties en flammes rien que pour fêter le 14 juillet 2015. Plus de 27% de voitures brûlées en plus qu’en 2014! Ceci sans compter les véhicules incendiés lors de la nuit de la Saint-Sylvestre! 

    Ils osent se vanter, alors que les socialistes sont les plus grands pourvoyeurs d’immigrés depuis François Mitterrand en 1981 qui a naturalisé en masse les musulmans clandestins et autres. Sans cette politique immigrationniste musulmane depuis des décennies, la France ne serait pas en but aux complots et aux attentats des traîtres islamistes. .

    Une immigration musulmane, dont les membres possèdent la plupart du temps la double nationalité et dont les sentiments souvent haineux envers leur nouveau pays ont sans cesse été surchauffés à blanc par les traîtres qui, à la tête de l’Etat, les ont installé en France, dans les administrations, la police et l’armée et jusqu’au plus haut niveau de l’Etat.

    Lire la suite 

  • Attentat de Chattanooga : pour la presse française, c’est flou…

    Attentat sur des soldats américains : notre presse officielle ne parle plus de « déséquilibré », mais de jeune homme « typique », aux motivations floues. Quand le politiquement correct oscille entre l’aveuglement et la désinformation pure et simple.

    Pour le Monde : « le tireur présumé, un garçon sans histoire à l’énigmatique blog religieux »
    Pour France info le tueur est un « Musulman discret, jeune Américain type ».
    Pour le Parisien c’est « un tireur sans histoires au mobile encore inconnu profil type du jeune Américain».

    Voici donc le nouveau profil type d’un jeune américain en 2015…

    Outre qu’il s’agisse bien clairement d’un américain typique dans une famille typique sans aucun lien avec l’islam, ses motivations sont par contre obscures :

    Pour Libération, il s’agit de « quatre militaires abattus par un tireur aux motivations inconnues ».
    Idem bien entendu pour le Nouvel Obs qui voit là « Un acte dont les motivations restent pour l’heure assez floues ».
    Il est mentionné un blog du tueur, lisible ici, mais qui est donc « énigmatique » comme pour Le Monde.

    Énigmatique en effet que de répéter plusieurs fois qu’il faut que « l’Islam domine le monde », qu’« Allah vous récompensera immensément dans une prochaine vie », que cette vie sur terre n’a de sens que dans la soumission à l’islam et à ses maîtres partis faire le jihad » et qu’il ne faut pas « se laisser distraire de son but ultime» même par les lettrés ou sa propre famille.

    Même les médias US, pourtant totalement soumis au politiquement correct n’hésitent pas à parler de terrorisme alors que chez nous pas question de remettre en cause le vivre-Ensemble mondial :

    http://fr.novopress.info/190730/attentat-de-chattanooga-pour-la-presse-francaise-cest-flou/

  • Grèce : Quand Hollande vante la sortie de l'Euro malgré lui

  • Albertville : la gauche s'occupe un peu trop de religion


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    Le maire d'Alberville avait enfin trouvé un repreneur pour Le clos des Capucins, dans la Cité médiévale de Conflans, sur les hauteurs d'Albertville, qui tombait en ruines. Mais l'élue de l'opposition Noëlle Aznar-Molliex, par ailleurs élue régionale du groupe "Osons Alberville", s'oppose à cette cession.

    Lors du Conseil municipal du 6 juillet, le maire Martine Berthet avait prévu de soumettre au vote des élus la cession de ce site, propriété de la Ville, à l’association du Couvent Saint-François de Morgon, qui souhaite rénover le site pour y implanter une communauté. Cette communauté de capucins est liée à la Fraternité Saint-Pie X.

    Le groupe d’opposition de gauche « Osons Albertville » s'oppose à ce projet, non pas en raison de la laïcité (la ville cède la propriété à une communauté religieuse) mais parce que :

    "la communauté des religieux capucins du couvent de Morgon dite « d’observance traditionnaliste » se situe dans la mouvance des églises traditionnalistes et intégristes, celle de la Fraternité Saint Pie X, autrement dit non reconnue par l’Eglise de Rome, puisqu’en situation de schisme depuis le concile Vatican II. Ces communautés rejettent l’oecuménisme et toutes les initiatives pouvant favoriser le dialogue inter-religieux. Ce refus du dialogue est prolongé par le rejet caractérisé des autres religions… et par le combat contre les avancées essentielles que constituent la légalisation de l’avortement et l’institution du mariage pour tous."

    Heu... il n'y a pas que la Fraternité Saint Pie X qui s'oppose à l'avortement et à la dénaturation du mariage...

    La mairie avait préféré céder cette propriété pour un euro symbolique et les moines l'aurait rénovée eux-mêmes. Ce qui aurait évité à la municipalité de détruire le bâtiment ou de payer la rénovation sur l'argent des contribuables.

    De son côté, l'évêque Mgr Ballot se voulait apaisant et n'était pas hostile à cette implantation. Donc de quoi se mêle la gauche ?

    Capture d’écran 2015-07-18 à 11.33.02

    Michel Janva

  • Attentat déjoué : ce tout petit quelque chose d’illogique…

    Source : Numérama
    Si l’attentat déjoué, pour lequel quatre personnes ont été placées en garde à vue et trois mises en examen, était prévu pour la fin de l’année, voire le début de l’année 2016… pourquoi les policiers qui les avaient étroitement à l’œil ont-ils choisi cette semaine de les arrêter et de faire connaître leur arrestation, alors qu’ils pouvaient se donner le temps de consolider un dossier actuellement fragile ? Le faire en plein examen du projet de loi Renseignement par le Conseil constitutionnel est-il une pure coïncidence ?

    Comment savoir si l’annonce d’un projet d’attentat déjoué et la mise en examen de ses coauteurs présumés répond à une véritable stratégie policière et judiciaire cohérente, ou s’il s’agit plus cyniquement de l’orchestration médiatique d’un projet de pieds nickelés, à des fins purement politiques ?

    Étant donné qu’il se trouve réellement des hommes pour trancher la tête d’autres hommes en France, nous avions choisi de nous astreindre à un silence respectueux concernant le nouveau projet d’attentat déjoué par les services du renseignement français, qui pouvait correspondre à une réelle menace. Pas question de prêter le flanc à ceux qui accusent rapidement les opposants au projet de loi Renseignement de donner constamment dans l’interprétation paranoïaque des faits, même si le calendrier des arrestations médiatisées semblait particulièrement opportun, au moment où le Conseil constitutionnel rédige la décision qu’il rendra dans les prochains jours sur le projet de loi renforçant les pouvoirs des services de renseignement.

    Certes, pensions-nous, il y a parfois des coïncidences dans le calendrier.

    • Comme ce projet d’attentat au Musée du Louvre (par quelqu’un qui était en prison) révélé par le Parisien le 9 juillet 2014, le jour même où le Gouvernement présentait en conseil des ministres le projet de loi de lutte contre le terrorisme.
    • Comme cette arrestation médiatisée d’un recruteur de djihadistes le 11 septembre 2014, alors que l’Assemblée débutait l’examen du texte le 15 septembre.
    • Comme cette note secrète de la DGSE concernant des attentats déjoués, qui fuite le 3 novembre 2014 alors que le 4 novembre, le Sénat devait adopter définitivement une loi anti-terrorisme.
    • Comme cette conférence de presse organisée par Bernard Cazeneuve le 22 avril 2015 pour annoncer des projets d’attentats déjoués par les services de renseignement, quinze jours avant le vote du projet de loi Renseignement à l’Assemblée nationale.
    • Comme ces attentats déjoués à Villejuif, annoncés le 8 juin 2015, la veille du vote du projet de loi Renseignement au Sénat.

    Mais ce ne sont que des coïncidences.

    Et même si Bernard Cazeneuve avait expliqué sur RTL qu’il ne fallait pas parler des projets d’attentats déjoués par ce qu’il n’est pas nécessaire de parler de ce qui se fait et qui est de nature à protéger les Français

    il a depuis justifié un changement de politique de communication. « Lorsqu’il y a des faits graves, il est du rôle du gouvernement d’en informer les Français. On ne peut pas cacher la vérité aux Français, c’est ce que souhaite le gouvernement, c’est ce que souhaitent le président de la République et le Premier ministre et nous le faisons, ce travail d’information, en très étroite relation avec l’autorité judiciaire et notamment le parquet », a ainsi expliqué cette semaine le ministre de l’Intérieur. Dont acte.

    Ce n’est donc pas du tout pour faire pression sur un Conseil constitutionnel submergé d’argumentaires de censure de la loi sur le Renseignement que le gouvernement a permis que soient communiquées des informations sur le projet d’attentat déjoué, qui devait viser une base militaire de Fort Béar. Et que ce soit communiqué, notamment, le fait qu’ils utilisaient abondamment les réseaux sociaux et même des « forums chiffrés » pour communiquer ensemble avec des membres de l’État Islamique.

    Ce n’est encore qu’une coïncidence.

    Mais il y a tout de même un petit détail curieux qui nous a incités à sortir de la réserve que nous nous étions imposée. Une logique judiciaire et policière qui nous échappe. Si l’on en croit les déclarations du procureur de la République François Molins, l’attentat imaginé par de jeunes hommes de 16 à 23 ans qui étaient sous étroite surveillance aurait été prévu pour décembre 2015 ou janvier 2016. L’on croit comprendre que pour le moment aucun élément matériel de préparation de l’attentat n’a été mis au dossier. Il y a bien des paroles, beaucoup de paroles, des projets… mais rien de concret. Pas la moindre arme achetée, par exemple.
    Or pour être constituée pénalement, l’infraction de préparation d’un acte de terrorisme prévue par le Code pénal demande que soit notamment démontré « le fait de détenir, de rechercher, de se procurer ou de fabriquer des objets ou des substances de nature à créer un danger pour autrui ». Dès lors, pourquoi les services de renseignement qui avaient déjà ces individus sous étroite surveillance, et qui savaient visiblement qu’il n’y avait pas de menace immédiate puisque l’attentat était prévu dans six mois, ont-ils décidé de passer à l’action maintenant et de le faire savoir, plutôt que d’attendre le moment où les armes nécessaires à l’attentat seraient effectivement obtenues ou activement recherchées ?

    Vraiment, un petit quelque chose dont la logique nous échappe. Une idée ?

    http://fr.novopress.info/