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magouille et compagnie - Page 1923

  • Comment peut-on encore être Charlie ?

    Décidément, je ne serai jamais Charlie !

    Que le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo, perpétré à l’aube de l’année 2015 par des terroristes islamiques, ait pu susciter l’indignation quasi unanime des Français soucieux de défendre la liberté d’expression, rien que de très légitime dans le feu de l’action, si j’ose dire, bien que la manifestation officielle organisée par les plus hautes instances de l’État apparût alors quelque peu démagogique.

    La caricature constitue en effet, comme naguère le pamphlet – genre littéraire aujourd’hui étouffé par les multiples ligues de vertu qui pourchassent toutes formes de satires un peu « viriles » -, un mode d’expression qu’il faut résolument défendre avant qu’il ne disparaisse à son tour.

    Depuis ce sinistre épisode, non contente d’avoir expressément renoncé à représenter Allah ou son prophète, capitulant ainsi devant la menace des « barbus » auxquels, ce faisant, elle donne gain de cause, la nouvelle équipe du journal a, semble-t-il, décidé de ne plus s’attaquer qu’à ses cibles favorites et bien moins dangereuses : la famille Le Pen, l’Église catholique, quelques politiciens classés à droite et les intellectuels « réactionnaires » (comprendre : ceux qui refusent la pensée unique et obligatoire en vigueur).

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  • Envahisseurs en Italie : « Nous voulons des sous, le wi-fi et la bouffe n’est pas bonne ».


    Ces jeunes hommes – « migrants » et soi-disant « réfugiés » – se plaignent de devoir se déplacer à pied pour trouver un endroit avec wi-fi, que la nourriture est mauvaise et qu’il n’est pas admissible de dormir à 5 dans une pièce.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Les techniques pour faire baisser artificiellement le chômage

    Daniel Mémain, porte-parole national du syndicat Solidaire Sud Emploi, explique:

    C"[...] Celle qui est la plus utilisée en ce moment, c'est ce qu'on appelle la gestion sociale du chômageavec une «sortie» [du chômage] par les contrats aidés. Il y a par exemple une augmentation très importante des aides accordées aux entreprises qui embauchent des personnes en difficulté d'insertion et de l'autre côté on allège les critères permettant aux chômeurs d'avoir accès à ce dispositif. Résultat: les gens retrouvent du boulot, mais dans des conditions extrêmement précaires, souvent du temps partiel, etc. Bref, leur insertion durable sur le marché de l'emploi n'est pas au rendez-vous mais cela fait quand même baisser les chiffres ! L'autre moyen, que nous dénonçons et qui est utilisé par ce gouvernement, consiste à dissuader les demandeurs d'emploi de rester inscrits. Comment ? Notamment en les «mettant à distance». Les demandeurs d'emploi ont de plus en plus de difficulté à rencontrer des conseillers disponibles, certaines agences fermant désormais quatre demi-journées par semaine. On leur propose à la place un suivi virtuel. Vous rajoutez le fait que le gouvernement n'a de cesse d'accroître les contrôles, les gens n'ont plus envie de rester inscrits et se disent «à quoi bon ? Ces dispositifs sont peu visibles mais sont une véritable lame de fond. [...]

    Et sans être Nostradamus, on peut affirmer que si le Président vous dit «la courbe va s'inverser», elle va s'inverser ! En tout cas, le gouvernement met tout le paquet: la gestion statistique du chômage, la gestion sociale-faire sortir les gens par des petits contrats aidés, des prestations ou des formations bidons- et puis jouer sur le dégoût des demandeurs d'emploi. Toute cette panoplie devrait bientôt produire ses effets."

    Michel Janva

  • Washington réoriente sa propagande contre Assad

    Washington accuse le gouvernement de Damas d’être responsable de la montée en puissance de l’Etat islamique, quelques jours à peine après avoir bombardé des positions de Daesh en Syrie au départ de bases militaires turques.

    Le Département d’Etat américain, à travers le porte-parole adjoint du département d’Etat Mark Toner, a accusé le gouvernement de Bachar al-Assad d’être responsable de l’ascension de Daesh dans la région.

    Ce genre de déclaration n'est pas inédit de la part de l'administration Obama, mais ce qui a changé, c'est le contexte. En effet, depuis quelques jours, les forces aériennes de Washington sont désormais capables de bombarder les positions de tout groupe susceptible d'attaquer l'opposition syrienne «modérée», formée conjointement par des militaires turcs et américains, et ce en utilisant les bases militaires turques mises à disposition par Ankara.

    Washington n'a pas ouvertement désigné les forces d'al-Assad comme cibles directes, mais «si besoin est», des frappes pourront être dirigées contre elles. Concrètement, si les militaires américains estiment qu'une quelconque menace existe pour les troupes d'opposition «modérées» entraînées par leurs soins, ils n'hésiteront pas à recourir à la force, quel que soit l'agresseur.

    Une opération militaire sans base légale

    Il y a encore deux jours, le même porte-parole adjoint a déclaré à des journalistes qu’il ne savait pas sur quelle base juridique les Etats-Unis se basaient pour bombarder l’armée syrienne, si elle en vient à attaquer des rebelles entraînés par les militaires américains.

    Des frappes ont d'ores et déjà eu lieu en territoire syrien, et ce sans l’accord du Congrès américain, ni celui du Conseil de Sécurité de l’ONU.

    Après avoir porté les premières frappes par des drones dans le nord de la Syrie, les Etats-Unis prévoient également des raids pilotés depuis des bases aériennes turques.

    Phyllis Bennis, journaliste et militante du think-tank Institute for Policy Studies, estime que Washington n’a pas de base légale pour effectuer ces bombardements.

    L’experte cite la charte de l’ONU qui dicte la loi internationale et détermine si une guerre est légale ou illégale. Selon cette charte, il y a seulement deux cas où on peut mener une guerre : si elle est autorisée par le Conseil de Sécurité de l’ONU ou bien si le pays est directement attaqué et essaie de se protéger. Aucun de ces cas ne répond à la situation actuelle en Syrie. «L’utilisation de la force dans tout autre cas est illégale», a souligné la journaliste.

    Les Etats-Unis ont déclaré que le nord de la Syrie est «une zone de non droit», et, selon Phyllis Bennis, Washington utilise toujours la même excuse, qui leur permet de «faire tout ce qu’ils veulent», le droit de bombarder, d’envoyer des troupes terrestres. «C’est une pente dangereuse», dit-elle en guise de conclusion.

    La genèse de l'Etat islamique en Syrie

    Tandis qu’Abu Bakr al-Baghdadi et ses troupes profitaient de l’instabilité en Irak résultant de l’invasion des troupes américaines pour étendre leur pouvoir, Daesh s’est infiltré à travers la Syrie à la faveur de la guerre civile débutée au printemps 2011 par des contestations civiles contre le gouvernement de Bachar al-Assad.

    Les extrémistes ont bénéficié des aides logistiques et financières américaines, en combattant aux côtés de l’Armée syrienne libre (ASL) et ce, jusqu’en septembre 2013, au moment où ces djihadistes ont affiché leur ambition de former un califat dans le nord de la Syrie.

    Mais même après la séparation officielle de ce que l’Occident dénomme entre l’opposition «modérée» et l’Etat islamique, celui-ci a continué à profiter du support américain en prenant possession de matériels militaires laissés à l’abandon à la suite des combats. Ce qu’ils n’ont pas manqué de fièrement diffuser sur les réseaux sociaux.

    Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, la guerre en Syrie a fait en quatre ans plus de 240 000 morts, dont 12 000 enfants, selon un nouveau bilan, rapporté par l'AFP. (…)

    Si al-Assad est renversé, Daesh hissera son drapeau noir au-dessus de Damas

    Daniel McAdams, directeur exécutif de l'Institut Ron Paul Institute for Peace, interrogé par RT estime que si Bachar el-Assad est destitué, Daesh s’emparera de Damas. «Il n’est pas obligatoire d’être supporteur d’al-Assad pour reconnaître que si les frappes américaines sur les positions de l’armée syrienne et Damas se poursuivent, l’Etat islamique hissera bientôt son drapeau au-dessus de la capitale syrienne. Et personne ne dira, même ceux qui ne tolèrent pas le dirigeant syrien, que c’est ce qui pouvait arriver de mieux», a expliqué l’expert.

    L’activiste a souligné que Washington a scandé pendant de long mois que Daesh est la pire chose possible. «Si on ne lutte pas contre ses combattants, ils pénètreront sous nos lits et nous attaqueront», a-t-il rappelé, citant les mots du gouvernement.

    D’après McAdams, les Etats-Unis semblent réorienter en ce moment leur propagande contre al-Assad. «Et malheureusement, la propagande fait son chemin à travers l’histoire comme nous le voyons, semant le chaos et donnant le goût pour la guerre», a-t-il poursuivi.

    source : Al manar  lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuFlAyZZkVedWosvhf.shtml

  • Sarkozy en appelle à toutes les Madeleine du FN

    L’ancien Président est de ces grandes gueules hardies et décomplexées qui ne doutent de rien.

    Sarkozy attend Madeleine, il est prêt à ramener du lilas, aux deux millions de votes blancs du second tour de la présidentielle de 2012, aux électeurs cocus du FN qui, sensibles au chant des sirènes durant sa campagne électorale, avaient succombé, sûrs de confier leur vote aux intérêts du pays bien-aimé.

    À cette Madeleine, auditrice sur RTL qui lui annonçait, tellement déçue de son quinquennat, « avoir rejoint la cohorte » (concernant les électeurs du FN, les médias emploient le terme peu engageant de « cohorte ») des sympathisants FN, Sarkozy sans complexe et ravalant tout orgueil lance un appel. « À ces millions de Madeleine, je veux dire de ne pas suivre la politique du pire », exhorte l’ancien chef de l’État .

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  • Quoi que vous votiez, la gauche gouverne...

    VC'est un peu ce qui ressort de l'entretien donné par Nicolas Sarkozy dans Valeurs actuelles :

    « Voter Front national au premier tour, c'est faire gagner la gauche au second. C'est aboutir au même résultat que la situation actuelle. Au final, c'est donc le statu quo »

    Et nous avons tous vu en 2007 que voter "UMP" c'est avoir des ministres de gauche et un programme de gauche. D'où l'échec de Nicolas Sarkozy en 2012.

    Si Nicolas Sarkozy veut retrouver une crédibilité à droite, il n'a pas beaucoup de choix. En fait il n'en a qu'un : passer des alliances à droite. Mais il n'en est pas là :

    "J’ai indiqué, avant les départementales, qu’il n’y aurait aucun accord, départemental, régional, municipal, national avec le FN."

    Michel Janva

  • Philippot : «Sarkozy prend les électeurs du FN pour du bétail»

    Le vice-président du Front national estime que le président des Républicains n'arrivera pas à séduire à nouveau l'électorat frontiste.

    C'est un match qui dure depuis 2007. Avec un enjeu considérable: les suffrages d'une frange de l'électorat naviguant entre la droite et l'extrême droite au gré des élections. À l'avant-dernière présidentielle, Nicolas Sarkozy avait réussi à siphonner une partie des voix du Front national. Un rapt que l'ancien président aimerait bien réitérer, comme on peut le supposer après la lecture de l'interview qu'il a donné à Valeurs Actuelles.

    À son époque, Jean-Marie Le Pen affirmait que les électeurs séduits préfèreraient un jour «l'original à la copie». Malgré leur actuelle vive opposition dans la querelle qui divise le clan Le Pen, le vice-président du FN, Florian Philippot, ne dit aujourd'hui pas autre chose. Invité d'Europe 1, il a affirmé vendredi que le numéro de Nicolas Sarkozy était «la énième rediffusion d'un vieux feuilleton […] complètement démodé. On en connait la fin, c'est l'histoire d'une trahison.»

    Le responsable frontiste fait référence à un épisode marquant de la carrière du président des Républicains, qui, alors tout juste nommé ministre de l'Intérieur, avait promis de nettoyer une cité «au Karcher». Florian Philippot a ainsi demandé vendredi: «Il est où d'ailleurs le Karcher? Il est resté à la cave et il a une grosse couche de poussière dessus […] C'est toujours la même technique [avec Nicolas Sarkozy], il n'en connait pas d'autre, il prend les électeurs du Front national pour du bétail. Il suffirait de leur dire des mots, des stimuli sonores en quelque sorte, et ils viendraient voter pour Nicolas Sarkozy […] On peut le croire une fois, mais l'on ne peut pas se faire tromper 10, 15 ou 100 fois par la même personne.» Selon Philippot, Sarkozy serait «démonétisé».

    «S'expliquer pour les insultes»

    Le vice-président du FN a par ailleurs réaffirmé vendredi que la mise à l'écart de Jean-Marie Le Pen peut contribuer à attirer les anciens électeurs de Sarkozy. Florian Philippot et le président d'honneur du FN s'opposent vivement par médias interposés depuis le début de la crise interne au parti frontiste. Jean-Marie Le Pen est convoqué pour s'expliquer le 20 août sur tous les propos et actes qu'il a pu tenir ou faire depuis le mois d'avril, ainsi que «les insultes qu'il a pu tenir à mon encontre et contre Marine Le Pen», assure le vice-président du Front. Le cofondateur du parti risque sans doute une mesure disciplinaire qui pourrait aller jusqu'à l'exclusion.

    «Insolation générale au FN»

    L'intervention de Florian Philippot a fait réagir chez Les Républicains. La secrétaire général adjointe, Valérie Debord, a ainsi dénoncé la «vulgarité» du vice-président du FN, preuve selon elle de l'inquiétude sucitée au FN par le parti de droite.

    Le député de l'Oise Édouard Courtial, estime quant à lui que «c'est l'insolation générale au FN», accusant les membres de la direction de «divagation», notamment sur l'estimation que Sarkozy était «démonétisé». Selon lui, les «responsables semblent avoir pris un coup de chaud et font des déclarations de plus en plus incompréhensibles. C'est pour le moins amusant de voir Florian Philippot jouer les économistes quand son parti soutient l'extrême gauche en Grèce et qu'il prône le retour au franc!»

    Julien Licourt

    source : Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFlAVpEkurtAqDlkp.shtml

  • Régionales 2015 : petites magouilles entre amis

    La République sociétaliste est la République des copains, voire celle des coquins.

     

    « Moi président, la République sera exemplaire. » François Hollande aurait alors dû préciser que sa République serait exemplaire de tout ce que les Français ont en horreur. La République sociétaliste est la République des copains, voire celle des coquins. Il est impossible de revenir sur toutes les désignations scandaleuses d’amis du pouvoir à des postes clés, sur toutes les affaires ayant impliqué des membres du Parti socialiste, ou bien encore de rappeler la liste complète des décisions indignes et scandaleuses qui ont été prises depuis l’accession au pouvoir de François Hollande. Néanmoins, il est de notre devoir, à chaque fois que l’occasion se présente, de montrer aux Français à quel point les méthodes d’exercice du pouvoir exécutif par les sociétalistes n’ont rien à envier à celles de Nicolas Sarkozy.

    Autoritarisme, népotisme, mensonges, et magouilles sont quotidiennement au menu. Les soutiens du pouvoir se réduisent comme peau de chagrin, et Manuel Valls fait tout pour contenter les dernières troupes qui lui sont fidèles. Pour cela, rien de tel que de créer des titres honorifiques, à même de flatter les ego hypertrophiés des barons socialistes locaux. Ainsi, Damien Alary, président de la région Languedoc-Roussillon, a obtenu, de la part du Premier ministre la création d’un poste spécifique, celui de « président délégué de région ». Peut-être Manuel Valls s’est-il inspiré de François Hollande pour imaginer ce poste fictif, ce dernier n’étant rien de plus que le président délégué de Washington et Bruxelles pour la France. Le caractère comique de cette « loi Alary » s’arrête là. Pour le reste, elle donne la nausée.

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  • Factures impayées : l’Arabie Saoudite doit 3,7 millions d’euros aux Hôpitaux de Paris

     

    Après un tweet de l’urgentiste Patrick Pelloux, les Hôpitaux de Paris viennent de confirmer l’information selon laquelle l’Arabie saoudite, dont le roi a quitté la France dimanche, devait 3,7 millions d’euros à la France.

    Lundi matin, Patrick Pelloux avait ainsi lâché – sur son compte Twitter – qu’”avant de partir, le roi d’Arabie saoudite pourrait payer ses factures de 3,7 millions d’euros aux Hôpitaux de Paris“.

    Non content de privatiser des plages françaises, le roi d’Arabie Saoudite quitte notre pays sans payer ses factures.

    Comme le rappelle Patrick Pelloux :

    Le souci n’est pas celui de la privatisation d’une petite plage, estime toutefois Patrick Pelloux dans Le Parisien. Si Barack Obama était venu, on aurait privatisé la Méditerranée… Le vrai problème, c’est que de richissimes chefs d’Etat, des personnels d’ambassade viennent se faire soigner en France puis laissent leur ardoise derrière eux.

    http://fr.novopress.info/

  • Un accord électoral entre le PS et le PRG qui pourrait coûter jusqu'à 114 millions d'euros au contribuable

    D'après cet article du Figaro Vox, tout est parti de la toute nouvelle région Languedoc-Rousillon-Midi-Pyrénées,

    "le PS a dû céder au Parti radical une vice-présidence initialement promise à Damien Alary, lequel s'est donc trouvé écarté de la distribution des postes. Pour le consoler, le patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, tout le Gouvernement, jusqu'au Premier ministre, et le Chef de l'Etat n'ont pas hésité à créer un poste: «Président Délégué».

    Le nouveau Conseil régional serait donc conduit par un(e) président(e), plusieurs vice-président(e)s et un(e) président(e) délégué(e)… Damien Alary a fait connaître publiquement sa satisfaction. Elle est d'autant plus convaincante qu'il a tenu à préciser que le poste de «président délégué» devait être supérieur à celui de vice-président… Le «président délégué» n'est rien d'autre qu'un président supplémentaire. Le gouvernement et les majorités socialistes régionales viennent donc de décider la fusion de deux régions pour laisser la place à un seul Conseil régional… dirigé par deux présidents!"

    Mais pourquoi se limiter à une seule région ?

    "l'Etat et le Parti socialiste, qui eux ont bien fusionné, annoncent l'extension à toutes les régions ce poste de «président délégué», avec les obscurités et tous les coûts associés. On comprend donc que même les régions qui ne fusionnent pas se verront doter d'un nouveau poste de président!"

    L'auteur de l'article, Dominique Reynié, considère que la facture s'élèvera à 114 millions d'euros pour 6 ans, en partant du principe que le nouveau président délégué aura son propre cabinet. Dominique Reynié a lui-même reçu l'investiture des Républicains dans la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, alors que sa proximité avec le lobby LGBT n'est plus à démontrer.

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html