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magouille et compagnie - Page 1929

  • L’épuration langagière a commencé

    Nadine Morano a commis deux énormes erreurs : la première est d’avoir appuyé là où ça fait mal, en disant tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. La deuxième est d’être de droite, race à laquelle on ne pardonne rien.

    Étrange époque que celle où les politiques parviennent à se faire remarquer moins par leurs compétences que leur habileté à récupérer des bisbilles médiatiques pour mettre leur carrière sur orbite. Ainsi, Luc Carvounas, obscur sénateur du Val-de-Marne, s’est engouffré dans la polémique Morano avec la grâce d’un éléphant du PS dans un couloir de l’Assemblée. Il propose d’enrichir le projet de loi « pour l’égalité et contre les discriminations » de plusieurs amendements visant à sanctionner plus sévèrement les élus coupables « d’injures, propos diffamatoires et incitation à la haine raciale, sexistes, homophobes ou en raison de la religion », qui pourraient écoper de trois ans de prison et 45.000 euros d’amende. En clair, Guy Bedos pourra continuer à traiter Nadine Morano de « connasse » mais Nadine Morano ne pourra plus parler de « race blanche » sous peine d’être embastillée.

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  • La Sécu en son anniversaire mensonger

    La présidence de la république a cru opportun de commémorer le 70e anniversaire des décrets de 1945 instituant ce que l'on nomme, en France, sécurité sociale.

    Mitterrand avait inventé de se rendre chaque année au congrès des mutuelles, sachant le poids "philosophique" de ces organisations ; Chirac l'a imité. Le même Chirac prétendit célébrer aussi, lorsqu'il fut à son tour élu chef de l'État, le 50e anniversaire des textes arbitrairement considérés comme fondateurs de la sécurité sociale.

    Il osa les présenter en septembre 1995, comme constitutifs de l'identité française.

    Afin de sauver le monopole, il décida de réformer la constitution en février 1996. Les nouvelles dispositions créaient un monstre juridique, qu'on appela d'abord loi d'équilibre, puis loi de financement de la sécurité sociale. Plus lourde que le budget de l'État elle pèse 476 milliards de dépenses prévues pour 2015 contre 373 milliards de dépenses de l'État.

    Vingt ans plus tard, Hollande imite lui aussi ses prédécesseurs.

    À son tour, le 6 octobre, il a présenté ce dispositif comme "pilier de la république". Il y voit, de toute évidence, une sorte de petit gage moral donné à l'aile gauche de son électorat futur en vue des élections de 2017, s'il parvient à se présenter. L'union de la gauche serait ainsi scellée par la conservation du prétendu "modèle social français".

    Tout cela appelle par conséquent quelques remarques de la part de votre chroniqueur.

    D'abord la ficelle paraît un peu grosse de fêter ce 70e anniversaire, comme on a fêté celui de la fin de la seconde guerre mondiale.

    Les décrets Parodi, contresignés par le général De Gaulle, ne constituent qu'un maillon dans une chaîne, entre les assurances sociales de 1928, la charte du travail de 1941 et la loi communiste de 1946, puis les ordonnances de 1967, et enfin le plan Juppé de 1995.

    La première affirmation à corriger est celle selon laquelle il s'agirait d'un "modèle".

    Chacun sait que l'embarcation prend l'eau de toutes parts. Chacun pourrait savoir aussi que la législation n'a cessé d'évoluer depuis la loi Ambroise Croizat, ministre PCF. Celle-ci tendait en 1946 à généraliser le système. Mais cette loi ne demeura en vigueur que quelques jours en juillet de la même année, échouant alors du fait de la grève des cadres.

    Cette idée de l'invariance d'un prétendu "modèle" n'a guère commencé à se construire que dans les années 1990 et sous l'influence du parti communiste.

    C'est à cette époque, avec pour effet de parvenir à une convergence avec les chiraquiens, qu'a été tiré des oubliettes le prétendu "programme du CNR".

    Sous cette appellation on s'est employé à confondre le travail du "Comité des experts" créé par Jean Moulin, avec ce qui n'était en réalité qu'un tract de quelques pages, tract intitulé "les Jours heureux", rédigé en 1944 par quatre dirigeants de l'appareil stalinien en France, Duclos, Frachon, Villon et Meunier.

    Ce document restait extrêmement évasif, bien évidemment, sur ce qu'il appelait simplement un "plan de sécurité sociale".

    On doit aussi se départir, par ailleurs, 70 ans plus tard, de toute fixation sur les chiffres tels qu'ils sont fournis, de façon très grossière, par les administrations (in)compétentes et que l'on voit répercutés par les gros moyens de désinformation. Même lorsqu'ils se proposent de donner une vue réaliste, c'est-à-dire pessimiste sinon alarmiste, de la situation, ces agrégats comptables n'ont guère de signification.

    L'important consistera à partir d'un constat : face aux diverses formes d'assurances, vieillesse, maladie, mais aussi accidents du travail, invalidité, maternité, etc., les Français incorporés de force dans des "régimes" c'est-à-dire des "contrats" non négociables, des règlements, unilatéralement imposés et monopolistes, ont cessé de croire à la pérennité du système en général.

    Les sondages les plus récents confirment en effet ce qu'on appelle "inquiétude". Ce sentiment est éprouvé par 80 % de nos concitoyens c'est-à-dire exactement le contraire de ce que suggère le mot "assurance".

    Autre indice de la faillite psychologique et même morale de l'assurance-maladie l'obligation récente faite aux entreprises de contracter au nom de leurs salariés une assurance complémentaire.

    Cette réforme patronnée par Marisol Touraine ne sera pas comptabilisée au titre des prélèvements obligatoires : mais cette création d'une nouvelle obligation reviendra au même qu'une augmentation, car elle  aggravera encore le coefficient multiplicateur du coût du travail, alors même qu'on prétend, par ailleurs, l'abaisser.

    JG Malliarakis

    À lire en relation avec cette chronique

    "La Sécurité sociale et comment s'en sortir" par G Lane à commander aux Éditions du Trident, sur la page catalogue ou par correspondace en adressant un chèque de 29 euros aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris.

    http://www.insolent.fr/

  • Liberté d’expression bâillonnée : avec les socialistes, c’est toujours plus

    Un sénateur socialiste, Luc Carvounas, veut doubler les peines des dépositaires de l’autorité publique reconnus coupables d’injures.

    Ils n’ont vraiment rien de mieux à faire… La situation de notre pays est catastrophique, nous sommes englués dans une crise économique sans précédent, empêtrés dans une crise migratoire d’envergure inégalée, menacés d’attentats de grande ampleur. Mais un sénateur socialiste, Luc Carvounas, veut doubler les peines des dépositaires de l’autorité publique reconnus coupables d’injures.

    L’objectif, on le comprend, est de permettre de poursuivre de manière plus efficace les opposants politiques qui, à l’instar de Nadine Morano, tiennent des propos non conformes à la pensée unique. Il déclare au Parisien :

    Je considère que dans le contexte général ambiant, illustré dernièrement par les propos de Nadine Morano, le politique a un devoir d’exemplarité. Si on peut démontrer qu’il y a circonstance aggravante, alors je demande un doublement de la peine. Cela soulève aussi la question – même si je ne l’évoque pas dans cette loi-là – de l’immunité parlementaire qui apparaît comme de l’impunité parlementaire. […] Il faut que le législateur se penche sur cette question car nos concitoyens, eux, ne comprennent pas.

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  • L’Allemagne en question

    La révélation, en septembre 2015, de l’installation par le groupe Volkswagen (Audi, Porsche, Skoda, VW, etc.) d’un logiciel permettant de manipuler les tests antipollution sur ses moteurs diesel aux États-Unis, confirmée par l’annonce par Volkswagen que le moteur incriminé équipe 11 millions de véhicules dans le monde et par la déclaration du ministre des Transports allemand Alexander Dobrindt admettant que la manipulation des tests antipollution avait également eu lieu en Europe, constitue un scandale sans précédent.

    Cette affaire concernant le premier constructeur automobile mondial porte atteinte à la fois à l’image de « sérieux » de l’industrie automobile allemande, et à la crédibilité d’une Allemagne qui feint de se présenter comme un champion de l’écologie et une puissance respectable.

     

    Crédibilité affectée

    Les conséquences de sa propre fraude sur le groupe allemand sont déjà importantes. Sa crédibilité et son capital confiance sont affectés. Dès l’annonce du scandale, le titre a perdu près du tiers de son cours à la Bourse de Francfort en trois jours, soit une perte de plus de 22 milliards d’euros. Le déficit de confiance est considérables auprès des actionnaires et, surtout, des clients qui ont découvert avec stupeur que la réputation de fiabilité et de compétence des firmes allemandes était largement surfaite. À terme, les sanctions que ne devraient pas manquer de prendre les États-Unis pourraient coûter près de 10 milliards d’euros sans compter les rappels des véhicules aux États-Unis mais aussi en Europe et dans certains pays asiatiques.

    En outre, le scandale a éclaté à un moment de crise économique généralisée. Ainsi, le ralentissement de l’économie de la Chine aura aussi des conséquences sur les résultats du groupe allemand pour qui la Chine est un marché essentiel. Plus largement, c’est le prétendu « modèle » allemand qui est mis à l’épreuve par une affaire qui révèle crûment les contradictions et l’hypocrisie d’un système que certains se sont trop empressés de célébrer à qui mieux mieux.

    L’impossible double jeu allemand

    Voici donc une Allemagne qui prétend se faire le champion de l’écologie quand il s’agit, par exemple, de saboter, avec ses supplétifs « verts », le nucléaire français, mais qui n’a aucun scrupule à entretenir des centrales à charbon - source d’énergie émettant le plus de gaz à effet de serre – et fraude sans vergogne sur les tests anti-pollution de ses automobiles. [....]

    Dr. Charles Saint Prot

    La suite sur Alayammagazine.com

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Allemagne-en-question

  • 1 milliard d'euros pour la Turquie

    Lu dans la Lettre de l'Expansion :

    1

    Michel Janva

  • JARGON SOCIALISTE et ARABE CORANIQUE : des LANGAGES FAITS POUR SOUMETTRE (l’Imprécateur)

    Bienvenue à la Sainte Inquisition, à Fouquier-Tinville, à Béria et aux procureurs de Moscou et Budapest, la France retrouve les procès en sorcellerie, le bûcher et la lapidation, l’écartèlement et le pal, pour un mot, une phrase mal comprise ou sortie de son contexte.

    Béria disait à ses victimes « Peu importe que tu sois innocent ou coupable, tout ce que je te demande, c’est d’avouer« . Nos modernes accusateurs vont plus loin : la victime n’a même plus à avouer, ni à expliquer quoi que ce soit, on lui intime tout de suite l’ordre de demander pardon et si elle s’y refuse, elle est condamnée à mort. Une mort suivant les cas professionnelle, sociale, politique et parfois sanglante. C’est de l’immondice à l’état pur, une image hideuse de ce qu’ils appellent les « valeurs » de la République. Valeurs qu’ils sont en général incapables de définir et qui, de plus, varient au gré des discours, justement parce qu’ils ne savent pas de quoi ils parlent.

    La dictature n’a pas besoin de savoir pour sévir, elle frappe sur un soupçon et peu importe qu’il soit justifié ou non. C’est là qu’est sa force, qui maximise la peur qu’elle inspire et le respect qu’elle recueille. C’est toujours après avoir frappé que les dictatures instruisent le procès, quand le condamné par avance a avoué et demandé pardon, ou mieux encore, se montre reconnaissant envers son bourreau.

    Qui va être exécuté est forcément coupable, explique-t-on au peuple, il doit le savoir et s’en réjouir puisque la mort du coupable montre et prouve qu’Allah ou le système socialiste sont l’incarnation des valeurs et de la « Justice » avec un grand J. Ne cherchez pas ailleurs l’explication de ces foules qui rient et prennent des photos avec leur portable pendant une lapidation ou une crucifixion islamiste, ou du « buzz » et du déchainement d’ignominie politique et médiatique que provoque la mise en accusation d’un Zemmour ou d’une Morano.

    Que Yann Moix, flambeau de l’inculture et de la vulgarité de l’émission de Ruquier, ignore le sens du mot « peuple » n’a rien de surprenant, je n’ai jamais rencontré un socialiste capable de me donner une définition correcte de « peuple », pas plus qu’ils ne connaissent le sens de « liberté » ou de « race ». Mais le plus étonnant est que Michel Onfray lui ait donné du mot « peuple » une définition qui sans être inexacte n’est que très partielle. (1)

    À la décharge de ces incultes, il faut dire qu’ils sortent du système universitaire français où l’on ignore aussi qu’il y a deux sortes de culture : celle qui additionne les connaissances, ouvre les esprits, ne juge pas mais analyse, éventuellement critique et peut donner au multiculturalisme tout son sens et sa beauté ; et celle qui additionne les carences, celle des systèmes totalitaires qui ampute le vocabulaire, interdit la réflexion, stigmatise la pensée, pourrit l’intelligence. Car ils sont intelligents quand ils rentrent dans le système éducatif français, mais quand ils sortent des machines à formater que sont devenues l’éducation nationale et les grandes écoles, même l’ENA, ce ne sont plus que des perroquets de la pensée unique à l’expression bien cadrée. « On entre à l’ENA avec 30000 mots, on en sort avec 30 » (Philippe de Villiers, sur RMC / Bourdin).

    Il a été constaté par les psychologues que les gens habitués à se battre pour survivre ou améliorer leur vie, comme Juifs, salariés du privé, policiers et militaires, professions libérales,… sont nettement plus réactifs et imaginatifs que les musulmans, les fonctionnaires, tous ceux qui peuvent écrire d’avance le tracé de leur vie et sont corsetés dans les routines trop nombreuses et sévères de la religion, de l’administration et du « politiquement correct » qu’il serait plus juste d’appeler le « politiquement étatique ». Le peuple les reconnaît à leur jargon, formaté lui aussi, celui des musulmans émaillé tous les trois mots d’incantations à Allah, celui des fonctionnaires ampoulé et balisé de mots et d’expressions qui le valident auprès de leurs supérieurs.

    La langue sacrée est un élément important de l’asservissement et de la soumission à l’idéologie. Avec l’islam, c’est l’arabe. En France, on parle de l’arabe comme on parle du français, on imagine une langue avec un vocabulaire et une grammaire communs à tous, hormis quelques accents et variantes provinciales. Rien de tel avec l’arabe dont la diglossie (deux langues dont l’une a un statut sociopolitique inférieur) est importante entre l’arabe des dialectes locaux et celui dit « littéral » ou classique, ou encore coranique, langue de « l’élite ».

    Tunisiens et Marocains ne parlent pas le même arabe, mais peuvent se comprendre en faisant un effort parce que la souche linguistique est la même. Par contre ils ne comprendront rien ou presque au dialecte arabe d’un syrien ou d’un yéménite, d’un turc ou d’un iranien. Pour faire simple, disons qu’ils ont le même problème que nous, en Europe, entre Français et Espagnols ou Roumains, qui parlons des langues ayant la même origine latine, ou les Anglais avec les Allemands qui ont un socle germanique commun. C’est pareil avec l’arabe.

    L’Eglise avait compris le problème et imposé le latin comme langue véhiculaire, afin que tous les « clercs », administrateurs, prêtres, lettrés, puissent se comprendre en ayant une langue commune. Mahomet n’a pas prêché et dicté le Coran en arabe, mais en hedjazi, le dialecte de sa tribu, les Quraich’ de l’Ouest de la péninsule arabique. Il parlait aussi un peu l’hébreu, langue de sa première épouse et de sa belle famille juive à Médine, quelques mots du « chami » (Syrie, Liban, Jordanie, Palestine) de l’époque appris dans les missions commerciales de son oncle, de sa femme ensuite, qu’il a accompagnées vers le Nord de l’Arabie, et du latin des moines chrétiens qu’il a fréquentés dans sa jeunesse.

    À sa mort cela a posé un problème. Omar a réuni tous les éléments écrits en hedjazi sur divers supports faute de papier (déjà inventé en Chine et en Europe mais pas encore parvenu en Arabie) et les a détruits, et recueilli autant que faire se pouvait tous les témoignages oraux de « la révélation » pour la réécrire dans une langue commune. Puis les premières autorités musulmanes se sont mises d’accord pour que cette langue soit l’arabbyia. Ce n’était à l’époque qu’une sorte de pidjin ou bichelamar (2), la langue véhiculaire des commerçants, des fonctionnaires et des soldats qui avaient besoin d’un vocabulaire basique commun pour se comprendre. De-là est né en quelques décennies l’arabe dit littéral, qui a peu évolué ensuite car devenu la langue du Coran, donc la parole d’Allah, il a fini par se figer. Il diffère mais reste proche de l’arabe « classique » parlé par les élites musulmanes, les médias, etc. maintenant enseigné dans presque la totalité des écoles du monde arabe.

    L’arabe du Coran est comme l’hébreu de la Torah, une langue un peu obscure dont la poésie sombre a des vertus hypnotiques, amplifiées par son apprentissage fait en secouant la cervelle et en frappant son front par terre, ce qui à la longue n’arrange pas les choses.

    Les socialistes parlent le français, mais ont leur spécificité linguistique qui leur permet, comme les francs-maçons, de se reconnaître instantanément entre frères ou camarades (mot aujourd’hui abandonné parce que trop connoté communiste). La grande masse du peuple français – un autre mot qu’il faut effacer lui aussi, connoté fasciste par la gauche depuis que le peuple est passé à droite, d’où l’interrogation socialiste de Yann Moix « le peuple ? C’est quoi ça ? » – ne comprend pas les discours des socialistes. Pas plus qu’elle ne comprend l’islam. Ignorant le sens que les socialistes ou les musulmans donnent aux mots, aux phrases qu’ils utilisent, aux valeurs qu’ils disent colporter, le peuple français est devenu imperméable à l’effet anesthésiant des langues utilisées qui, contrairement à ce qu’affirment leurs croyants n’ont rien d’universel, mais sont des outils d’asservissement et de soumission.

    Il y a bien d’autres signes que la langue à connaître quand on veut reconnaître les fidèles des idéologies totalitaires : les vêtements, la barbe, les lunettes, les gestes… Autant d’éléments qui peuvent s’additionner et font qu’aux yeux avertis ces religieux musulmans et socialistes portent un uniforme qui atteste de leurs croyances : djellaba + barbe = salafiste ; lunettes métalliques rondes + pull flasque et éventuellement écharpe rouge = trotskiste ; etc. Mais ceci est un autre sujet.

    1 : le peuple

    2 : Le « pidjin », ou « pisin » chez les Papous, est une langue véhiculaire dans tout le Sud-est asiatique et l’Ouest-Océanie, à base d’anglais plus des ajouts de langues locales, malais, chinois, allemand, hollandais, papou, etc.

    Le « bichlamar », « bislama » chez les Vanuatais est une langue véhiculaire du même type, à base d’anglais, mais avec des ajouts en français, langues du Vanuatu et du Sud des îles Salomon

    L’Imprécateur

    http://www.minurne.org/

  • Taubira démission !

    C’est une énorme bavure judiciaire qu’un policier paye aujourd’hui de sa vie et qui devrait valoir la démission du pire ministre de la Justice que la France ait jamais eu à subir. Taubira a trouvé comment lutter contre la contamination radicale en prison, elle met les islamistes les plus dangereux en permission…

    8455 P1

    Le policier grièvement blessé d’une balle dans la tête lundi lors d’un braquage à Saint-Ouen et qui se trouve dans un état désespéré, a été abattu par un dangereux délinquant islamiste qui avait bénéficié d’une permission. Les deux braqueurs ont été interpellés.
    L’un d’eux touché lors de la fusillade, est mort à l’hôpital. Il s’agirait de celui qui a tiré sur le policier. Agé de 24 ans, multirécidiviste, il était incarcéré depuis 2013 pour vols aggravés. Il faisait l’objet de deux fiches S (sûreté de l’Etat) de la part de la DGSI pour sa radicalisation fanatique en prison. Son complice âgé également de 24 ans, a été arrêté. Ultra-connu des services de police notamment pour des vols à main armée, il a été impliqué dans 24 affaires de droit commun.

    « Le garde des Sceaux Christiane Taubira a le devoir de s’expliquer au sujet de cette permission » ont déclaré plusieurs syndicats de police qui réclament des comptes. « L’angélisme pénal que nous dénonçons depuis des années n’est plus adapté face à l’islamo-délinquance », a condamné Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie-officiers. « Ce qui est aberrant, c’est qu’un individu avec ce profil ait pu bénéficier d’un aménagement de peine et d’une permission sans garantie. »

    Rappelons qu’il n’est pas le seul. Il y a quelques jours nous vous parlions de l’islamiste de la prison de Meaux signalisé comme radicalisé qui lui aussi a profité de sa permission pour se faire la belle après avoir annoncé à ses co-détenus que l’on entendrait bientôt parler de lui. Ils sont combien dans ce cas ?
    Le ministère de la Justice, lui, se contente de répéter qu’aucun élément ne permet d’établir un lien entre le braquage tragique de Saint-Ouen et le prosélytisme dont le tueur avait fait preuve en détention… Ils en sont encore là.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/193287/taubira-demission/

  • Après le mariage pour tous, l’impôt pour tous

    Il y a, décidément, de drôles de socialistes chez les socialistes. Prenez Emmanuel Macron, par exemple : il est socialiste, mais oui, et, en plus, ministre ; l’air de ne pas y toucher, il flingue les 35 heures et canarde le statut des fonctionnaires, les deux piliers de la sagesse de gauche. Macron, c’est Samson secouant les colonnes du temple. La droite se frotte les yeux pour y croire tandis que, à gauche, de grandes voix s’élèvent avec tact et autorité pour dire : « Macron ? Euh… comment vous dire ? euh… ras le bol ! »

    Depuis quelque temps, il n’est plus seul, Macron, à dire des trucs que le « polcor » réprouve – le « polcor », c’est le « politiquement correct » à la sauce apocope. Il y a Razzy Hammadi. 36 ans d’existence dont la moitié passée au service du PS. D’ordinaire, ça vous formate un bonhomme, un truc pareil. Eh bien, pas forcément ! Razzy semble passer à travers les gouttes.

    Il y a huit mois, le jeune homme dévoilait, tout empreint d’une saine indignation, que des candidats maires, pour rafler la mise municipale, avaient négocié des voix contre des mosquées ; il n’a pas été démenti, mais ne s’est pas fait que des amis, ce jour-là. Un peu plus tard, il a carrément agoni d’injures grossières deux voyous qui avaient cru bon d’insulter sa compagne et de bousculer le couple ; face à ce qu’il a alors dit, le « Casse-toi, pauv’ con » de Sarkozy semble tout droit sorti d’un conte de Perrault.

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  • Racket et répression des automobilistes : plus de radars, des « leurres », des lois idiotes et même des drones !

    Toujours sous le prétexte hypocrite de « sauver des vies », Manuel Valls a annoncéen fin de semaine dernière la « rénovation et l’augmentation du parc actuel de radars » d’environ 10%. D’ici trois ans, le nombre de radars sur le bord des routes françaises sera de 4.700, contre 4.200 actuellement.

    L’augmentation du nombre de radars sur le sol français sera accompagnée del’installation de 10.000 « leurres » au bord des routes : des panneaux annonçant des radars n’existant pas ! Guère étonnant de la part de politiciens républicains mentant en permanence.

    Une amende de 650 euros pour les entreprises qui ne « dénoncent » pas leurs chauffeurs ayant été « flashés ».

    Les deux roues sont eux aussi harcelés, avec notamment une mesure ridicule (mais sûrement juteuse pour certains), consistant à imposer le port de « gants homologués » aux cyclomotoristes et aux motards. Il est certain que cela va faire baisser la mortalité.

    Enfin, et c’est peut-être le plus inquiétant pour l’avenir, le Premier ministre a indiqué que les forces de l’ordre pourraient avoir recours aux drones pour procéder à des contrôles routiers pour une expérimentation dans un premier temps.

    Source T. de Chassey

    http://www.contre-info.com/

  • 630 000 clandestins dans l'Union européenne

    630 000 personnes sont entrées illégalement en Europe depuis le début de l'année, selon Fabrice Leggeri, le patron de l'agence européenne de surveillance des frontières Frontex.

    Frontex compte affréter 60 avions de retours de migrants illégaux en 2015...

    Michel Janva