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magouille et compagnie - Page 2124

  • Le gouvernement cherche à diviser les opposants et il est en passe de réussir !

    Hollande est toujours actuellement le président le plus impopulaire de la Vème République. La grogne fiscale continue de gronder sournoisement et les défenseurs de la famille sont toujours dans la rue. La seule chose que craint actuellement le gouvernement, c’est qu’une vraie coagulation prenne forme entre ses divers opposants qui s’allieraient dans un seul et même but : obtenir la démission de Hollande. Pour cela, le gouvernement socialiste cherche à semer la division.

    Ce dimanche, Claude Bartolone, le président de l’Assemblée Nationale déclarait à propos de la Manif Pour Tous : « Cette manifestation-là, elle correspond à un débat qui existe dans la société depuis longtemps. C’est une préoccupation des catholiques dans notre pays. De ce fait, je ne considère pas que ce soit une manifestation de même nature que celle qui a regroupé un certain nombre de fachos la semaine dernière ! » On voit tout de suite la manœuvre qui consiste à faire la distinction entre la Manif Pour Tous et Jour de Colère, donnant ainsi raison à Ludovine de la Rochère qui est restée en marge du 26 janvier. D’ailleurs, malgré les menaces de Valls, il n’y a eu aucun incident ni débordement permettant ainsi à la Manif Pour Tous de dire : « voyez on est pacifique, ne nous mélangez pas avec les autres ». Comment expliquer cela ? Il y a deux possibilités. Soit, la manifestation de dimanche avait une très bonne organisation (ndlr : sur twitter, certains manifestants ont remercié le cordon de sécurité d’avoir empêché les policiers en civil de s’infiltrer), soit la police est restée sage comme on le lui a ordonné. Il y a eu une douzaine d’arrestations préventives et quelques contrôles d’identité mais aucune garde-à-vue. On est donc loin des 300 interpellations du 26 janvier. Désormais, il n’y a plus aucune chance de voir un rapprochement entre Jour de Colère et la Manif Pour Tous. Tout aurait été bien différent s’il y avait eû des centaines des gardes-à-vue. Cela aurait poussé certains manifestants à se radicaliser. Au lieu de ça, Jour de Colère est isolé et apparait désormais comme un mouvement contestataire radical.

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  • Communiqué : Le Grand Journal de Canal + : l’amalgame et le mensonge comme modes d’information.

    A-t-on voulu nous faire payer la décision de ne pas laisser entrer l’équipe du Grand Journal de Canal + à notre réunion publique du 18 janvier ? C’est mesquin, mais possible. Comment Karim Rissouli peut-il affirmer « avoir été là » puisque les journalistes n’ont pu entrer ? L’extrait du discours d’Elie Hatem que le « journaliste » a présenté, ce 3 février 2014, aux téléspectateurs, a donc tout simplement été emprunté aux réseaux sociaux.

    Non content de traiter notre ami, candidat du Rassemblement Bleu Marine dans le IVe arrondissement de Paris, de « royaliste sulfureux », sans étayer le moins du monde ce propos injurieux, Karim Rissouli nous livre un « scoop », en vue de piéger Florian Philippot, vice-président du Front National, présent sur le plateau, en présentant Elie Hatem comme appartenant à l’Action française, « un mouvement d’extrême droite, royaliste certes, mais aussi pétainiste, antisémite, qui se revendique encore aujourd’hui de l’idéologie de Charles Maurras ».

    Un amalgame aussi grossier déshonore ceux qui le pratiquent et laisse perplexe sur leur professionnalisme.

    Tout d’abord, en qualifiant l’Action française d’extrême droite, M. Karim Rissouli tente sans originalité de la discréditer en recourant à une qualification républicaine que l’AF a toujours récusée. Méthode classique de diabolisation.

    Ensuite, en réduisant la doctrine maurrassienne à un aspect jadis incontestable mais présenté de manière tronquée (comme l’est la citation de Maurras présentée aux téléspectateurs), le Grand Journal ment sur une école de pensée qu’aucun historien des idées, même hostile, n’a jamais réduit à un antisémitisme historiquement daté et qui fut loin d’être partagé par l’ensemble des cadres de l’Action française (ainsi Jacques Bainville, qui déclarait « devoir tout à Maurras fors la vie », ne fut jamais antisémite).

    Surtout, en déclarant que l’Action française est « antisémite », le Grand Journal diffame ouvertement notre mouvement. Le journaliste serait du reste bien en peine de trouver une seule trace d’antisémitisme dans les publications actuelles : Journaux, brochures, livres. Ce mouvement a, depuis longtemps en effet, appliqué à la tradition maurrassienne elle-même, sous l’influence notamment de Pierre Boutang, cette démarche critique que Maurras revendiquait pour toute tradition.

    Enfin, après avoir rappelé la présence de militants d’Action française au Jour de Colère le 26 janvier, le journaliste pratique l’insinuation calomnieuse en affirmant qu’il est « impossible de dire si ce sont ces militants-là qui ont proféré les slogans qu’on a entendus, comme “Juif, casse-toi, la France n’est pas à toi” ou “Juifs, hors de France”. Ils étaient bien là ». (On sait que quelques groupes en fin de cortège se sont distingués par des cris antisémites alors que l’AF était bien plus loin). Il n’hésite pas alors à conclure son propos par un mensonge explicite : « Et d’ailleurs selon leur propre communiqué de presse, quinze d’entre eux ont été interpellés pour des violences sur des policiers. » Que M. Rissouli nous montre le communiqué de presse où nous affirmons que certains de nos militants auraient été arrêtés, le 26 janvier dernier, « pour violences sur policiers » et qu’il nous explique alors pourquoi aucun n’est passé devant les tribunaux. Les juges seraient-ils d’Action française, eux aussi ?

    Toutes ces affirmations délibérément malveillantes ou mensongères déshonorent à la fois le « journaliste » qui les a proférées et la rédaction d’un Grand Journal dont le parti-pris a viré, hier au soir, à la diffamation.

    Nous tenons à remercier M. Florian Philippot d’avoir lui-même employé ce mot pour désavouer la démarche du « journaliste » . Chacun sait que M. Philippot est issu d’une autre tradition que la nôtre et que nous avons à plusieurs reprises critiqué publiquement certaines de ses prises de position : son attitude sur le plateau n’en illustre que mieux son honnêteté intellectuelle et son indépendance d’esprit.

    L’Action française se réserve le droit d’engager toutes poursuites judiciaires qu’elle jugera fondées contre M. Karim Rissouli et la rédaction du Grand Journal.

    Le Secrétariat général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Communique-Le-Grand-Journal-de

  • La gauche nauséabonde

    La dernière querelle sur la théorie du genre montre l’utilisation perverse des mots de la part des socialistes.
    Vincent Peillon a passé son temps de façon hypocrite à dire que la théorie du genre n’était pas enseignée à l’école mais était enseignée l’égalité.
    il a bien sûr ajouté (on ne peut pas y échapper) que c’étaient les valeurs de la république, pour la gauche, il ne reste plus qu’à s’agenouiller les mains jointes.
    Mais dans la nouvelle idéologie socialiste, égalité et théorie du genre sont plus que proches, l’égalité pouvant se comprendre - par exemple comme le fait que l’on dise aux petits garçons d s’assoir aux toilettes comme les petites filles (comme cela a été élaboré en Suède) !
    L’égalité n’est en fin de compte qu’un fourre-tout dans lequel peut tout mettre (y compris la théorie du genre). Vincent Peillon n’a pas rassuré grand monde.
    Toute cette affaire s’ajoute à toutes les propositions de Terra-Nova qui ne sont que l’ADN de la gauche française. Il ne s’agit plus de détruire la France, mais de remplacer son peuple, son histoire.
    C’est certes la conception d’intellectuels tordus, adeptes de la haine de soi, mais ce sont eux qui élaborent le programme socialiste en sous-main, qui doit s’appliquer de façon plus ou moins sournoise.
    Les électeurs socialistes qui votent PS croient encore que la gauche défend les pauvres comme au temps de Jaurès.
    Le feuilleton sentimental sur Hollande et sa dernière maîtresse a voulu être récupéré par la gauche qui nous présente maintenant Julie Gayet comme un sainte du cinéma, milieu pourtant où il n’y en existe pas beaucoup.
    Avoir été choisie comme favorite par le président nous est raconté comme la récompense d’une femme de gauche n’ayant fait que le bien autour d’elle. C’est sans doute la nouvelle conception de la méritocratie socialiste.
    En tout cas, Julie Gayet a décidé d’être la discrète maîtresse de « notre » président comme le fut Éva Braun.
    Patrice Gros-Suaudeau

  • Manif pour tous : le mauvais tour de Valls

    Pour avoir perdu toute mesure, M. Valls a dû manger sa casquette et a achevé de sombrer dans le ridicule.

    Il avait cru voir un bon coup à faire. C’était tentant. Il l’a tenté. Il l’a raté. Une semaine après que l’hétéroclite et inquiétant Jour de colère lui avait permis de ressusciter et d’exorciser le spectre du fascisme qui ne passera pas, Manuel Valls avait évoqué la menace d’un autre Dies Irae. Les incidents publiquement annoncés (et secrètement souhaités) par M. le ministre de l’Intérieur (et des Cultes) n’ont pas eu lieu. Le 2 février 2014 ne laissera pas dans l’histoire la même trace sanglante que le 6 février 1934.

    Si redoutable que soit la mobilisation des beaux quartiers, de la province profonde, de la France éternelle, si inquiétants que puissent être les messieurs en loden, les mamies plus familières de la messe que des barricades, les pères et les mères tranquilles, les mamans poussant leur poussette, les familles traditionnelles (un homme, une femme et leurs enfants), les drapeaux tricolores et les ribambelles de petites silhouettes bleues et roses, il était impossible, même à un reporter de France Inter, du Monde ou de Libération, de prétendre que cette foule pacifique qui défilait sous le ciel ensoleillé de l’Île-de-France mettait notre « fragile » République en danger.

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  • Le gender à l’école, ou l’imbécilisation nationale, tribune de Flavien Blanchon

    PARIS (NOVOpress) - Après ministres, ministricules et gros médias, le Système fait donner les universitaires. Ils se sont mis à cent, en Alsace, pour dénoncer dans le journal les « associations extrémistes » et leurs manœuvres « révoltantes » contre le « genre » à l’école. Leur zèle a plu en haut lieu et ils ont eu depuis les honneurs du Monde, oui du Monde soi-même.

    Le principal intérêt de cette tribune est sans nul doute lexicographique puisque, à côté de la « professeure » – monstruosité linguistique aujourd’hui banale –, elle marque l’apparition de la « maîtresse de conférences ». Uniquement, il est vrai, dans la version alsacienne : Le Monde a dû trouver qu’il y avait des limites au ridicule. Sur le fond, nos universitaires alsaciens ont deux arguments. Les études de genre, d’abord, sont payées par nos impôts. « L’ensemble de ces recherches reçoit le soutien académique et financier du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et du CNRS, et ces travaux sont également favorisés par l’Union Européenne ». Après ça, évidemment, qui osera mettre en doute leur légitimité, y compris en maternelle ? Et les études de genre ne sont pas seulement subventionnées comme tout le monde, elles sont même utiles, puisqu’elles « montrent que, selon les lieux et les époques, les rôles des hommes et des femmes ont varié et que l’amour a des formes multiples ». Immense découverte que personne ne soupçonnait et que les études de genre et leurs chercheurs stipendiés révèlent aujourd’hui aux enfants des écoles, pour leur émancipation intellectuelle !

    Est-ce que la littérature, pourtant, ne le montrait pas déjà et beaucoup mieux, sans dogmatisme et sans jargon ? Ne parlons pas des classiques grecs et latins, mais seulement de notre littérature française, telle qu’on l’enseignait, en des temps qui ne sont quand même pas antédiluviens, dans tous les lycées de France. L’École des femmes ou Les Femmes savantes, Le Père Goriot (avec la Maison Vauquer, « pension bourgeoise des deux sexes et autres », et Vautrin dont on dit en secret qu’« il n’aime pas les femmes »), Madame Bovary, La Princesse de Clèves tant honnie par l’ancien président de la République, la Recherche du temps perdu si méprisée par l’actuel ministre de l’enseignement supérieur, autant de livres qui font voir à la fois l’éternel du désir et de l’amour, et la variété de leurs expressions historiques et culturelles. Bien commenté, tel clin d’œil malicieux du bon La Fontaine (« Femmes, moine, vieillards, tout était descendu ») apprenait beaucoup sur la société au temps de Louis XIV, tout en illustrant ce qu’on appelait autrefois l’esprit gaulois.

    La dualité de l’homme et de la femme est une structure essentielle de la société et de l’imaginaire, qui a pris, selon les époques, des formes différentes. Les gender studies, telles qu’elles sévissent dans les départements universitaires américains depuis des décennies, tiennent l’exact opposé. Elles concluent de la diversité des expressions que la différence entre l’homme et la femme est une pure construction sociale, tout en clamant que les femmes et les « personnes LGBT » ont invariablement été dominées et persécutées depuis la nuit des temps.

    Edmund White, un des plus grands écrivains homosexuels contemporains, a superbement mis en scène ce discours dans son roman The Married Man [il existe une édition en Français, L'homme marié]. Le personnage principal, enseignant dans une université américaine, tente d’expliquer le rôle des femmes, dans la France du XVIIIe siècle, comme directrices du goût et commanditaires des artistes. Des étudiantes l’interrompent : « Est-ce que vous niez l’oppression masculine à cette époque ? À toutes les époques ! » Le malheureux professeur est convoqué par le « doyen au harcèlement sexuel et à la violation des questions de genre », et un collègue compatissant l’exhorte à écrire immédiatement une lettre d’excuses et de repentir : « Imagine que tu es en Chine pendant la Révolution culturelle et que tu viens d’être accusé de pseudo-objectivité bourgeoise. C’est une bataille que tu ne peux pas gagner. » Les tenants des gender studies détestent évidemment la littérature, qui dérange trop leurs slogans. Les étudiants – pardon, étudiant-e-s, comme il faut écrire aujourd’hui – ne lisent jamais un livre et « ne s’intéressent qu’à ce qu’ils appellent “la théorie” ». The Married Man toujours : « Bien sûr, toutes ces théories sont un tel n’importe quoi que même leurs professeurs ne pourraient pas dire ce qu’elles signifient. Quand c’est vraiment mortel, c’est quand ça touche au féminisme ou à la théorie queer ». Dans le roman, qui se passe à la fin des années 1980, le personnage arrive de France, où « il avait à peine entendu parler du politiquement correct » : il découvre avec consternation the dumbing-down of America, « l’imbécilisation de l’Amérique ». Voilà ce que l’on a importé en France, dans nos universités moralement et financièrement en faillite, grâce aux subsides des ministères et de l’Union européenne.

    Ce mélange de galimatias pompeux et de terreur inquisitoriale avait tout pour séduire la bureaucratie pédagogique de l’Éducation nationale. Les pédagogistes ont chassé la littérature de l’enseignement secondaire, au nom de l’égalité. Ils veulent à présent, toujours au nom de l’égalité, rééduquer les enfants du primaire à coups de Zizou a deux papas, J’ai perdu mon zizi et tout un lot d’ordures dont les auteurs relèvent de la psychiatrie, si ce n’est de la correctionnelle. Les enfants, sans doute, sont de plus en plus nombreux à ne pas savoir lire, mais on a pris soin d’illustrer tout cela en abondance, pour que le précieux message n’en soit pas perdu. On pourra ensuite, dans les cours de français du collège et du lycée, faire étudier des autobiographies de footballeurs et des chansons de rappeurs, dont on sait la conception infiniment subtile et élégante des rapports entre les sexes. Autre chose que des vieilleries poussiéreuses comme La Princesse de Clèves et À la Recherche du temps perdu. De l’université à la maternelle, l’imbécilisation du pays est décidément en de bonnes mains.

    Flavien Blanchon pour Novopress

    http://fr.novopress.info/155081/gender-lecole-limbecilisation-nationale-flavien-blanchon/#more-155081

  • École : Vincent Peillon avoue être un menteur !

    Dans une récente interview donnée à une télévision israélienne, Vincent Peillon, ministre de l’Éducation nationale, avoue faire de la désinformation.
    Interrogé sur les deux lycéens partis faire le djihad en Syrie, il répond : « J’en ai aussi deux qui ont fait une quenelle » (de l’art de comparer l’incomparable pour s’en sortir), avant d’avouer : « Sur douze millions d’élèves, j’en ai tous les jours, des faits divers. Heureusement, on essaie de le cacher aux médias. »
    Dès lors, comment le croire lorsqu’il affirme dans la même interview qu’une polémique a été déclenchée « à cause d’un petit enseignement de respect entre les filles et les garçons ».
    Le « petit enseignement » en question, c’est celui de l’ABCD de l’égalité.
    Programme tellement transparent que le ministère de l’Éducation nationale refuse de transmettre la liste des 600 écoles dans lesquelles il est expérimenté et exclut les parents de ses évaluations.
    Un « petit enseignement » mis en place alors que le ministre écrivait il y a à peine un an dans son livre-programme, Refondons l’ecole : « Les stéréotypes de genre doivent être remis en question dès l’école primaire. »
    Un « petit enseignement » qui intervient quelques mois après qu’il a appelé les recteurs à « relayer avec la plus grande énergie la campagne de communication relative à la Ligne Azur », association qui travaille avec le ministère.
    La Ligne Azur écrivait sur son site : « L’identité de genre, c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti. »
    Mais le site a changé depuis hier, on peut désormais y lire : « Très souvent, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti. »
    Et pendant qu’ils tentent de faire disparaître les traces de leur idéologie, laManif pour tous apprend que la présence d’huissiers pour contrôler les actions policières lors de la manifestation est contestée par la préfecture de police. Tous les signes d’un gouvernement auquel on a vraiment envie de faire confiance…
    C’est vrai, la « théorie du genre » n’est pas enseignée. La réalité est bien pire : ce sont ses conclusions qui sont directement expérimentées sur les enfants.
    Rappelons donc encore une fois la première expérimentation des conclusions des « études sur le genre » par le professeur John Money, qui avait assuré à des parents que leur fils pouvait être élevé comme une fille à la suite d’une circoncision ratée. L’expérience s’est conclue par le suicide de l’enfant concerné, et la mort par overdose de son frère jumeau.
    Le calvaire de l’enfant était évident pour son entourage, mais personne n’osait s’opposer au professeur qui présentait l’expérience comme un succès, « de peur des représailles »…
    Les parents, quant à eux, refusaient l’évidence, sommés par le professeur de ne pas écouter les « rumeurs » selon lesquelles un garçon ne pouvait pas devenir une fille… Avant de mourir, David Reimer, l’enfant traumatisé, avait accepté de parler avec un journaliste qui en a fait un livre terrifiant : As Nature Made Him: The Boy Who Was Raised as a Girl, permettant à d’autres enfants suivis par le professeur – jamais inquiété – de raconter leur calvaire.
    Les parents continueront donc à refuser de soumettre leurs enfants à ces expérimentations, et ils auront raison.

  • Ulrike Lunacek : "le but est de mettre la pression avant les élections"

    Le rapport Lunacek (qui sera soumis au vote demain au Parlement européen) est un pur produit du lobbying homosexualiste :

    • Ulrike Lunacek, l'auteur du rapport cherchant à imposer la feuille de route LGBT aux Etats européens le dit elle-même à la télévision belge : sur ce sujet, "le but est de mettre la pression avant les élections" à tous les élus européens - qui vont avoir peur de passer pour homophobes s'ils rejettent le texte.
    • Ulrike Lunacek est vice-présidente de l'Intergroupe du Parlement européen sur les droits LBGT (ça ne s'invente pas). Et son rapport reprend presque mot pour mot une étude publiée par le Parlement européen en 2012, rédigée avec ILGA Europe, le bureau LGBT à Bruxelles.

    Comment nos députés européens peuvent-ils faire barrage au rapport Lunacek ?

    • Possibilité n°1 : Le groupe EFD, dont Philippe de Villiers est le vice-président, a proposé une alternative, l'amendement 1. S'il est adopté, il fait tomber le rapport Lunacek. C'est la solution la plus radicale et le vote est nominatif.
    • Possibilité n°2 : si l'amendement 1 est rejeté, le Parlement examinera alors l'amendement 2, c'est-à-dire le rapport Lunacek lui-même. Il sera soumis au vote en bloc (pas de possibilité de le modifier ou de n'en voter qu'une partie) et là encore, le vote sera nominatif. Si les députés le rejettent, ils pourront revoir le texte article par article et ainsi le modifier.

    Eurodéputés, prouvez aux 200 000 citoyens qui vous ont appelés à rejeter ce rapport, que vous n'êtes pas sous la coupe du lobby LGBT. Nous examinerons attentivement votre vote !

    Louise Tudy

  • Ils étaient 500 à manifester à Bruxelles pour la défense de la famille en Europe

    Dans un communiqué de presse, les organisateurs de Tous Pour la Famille que nous avions interrogé, reviennent sur l’happening d’hier:

    « À Bruxelles, 500 personnes, de tous âges et de toutes nationalités se sont rassemblées au cours d’un « happening » festif et coloré entre 14 et 15 heures, Place du Luxembourg, devant le Parlement européen. Des familles du Luxembourg avaient rejoint le meeting bruxellois car leur propre rassemblement avait été interdit à la dernière minute par la Mairie de Luxembourg.

     photo Familles2Fev

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  • Si l'UMP ne veut pas être contraint à légaliser la PMA, il devra abroger la loi Taubira

    Comme l'écrit Yves Daoudal, si la PMA pour les personnes homosexuelles n'est pas légalisée dans la loi famille, elle le sera par recours juridique :

    "Dès que des homosexuelles « mariées » se plaindront auprès de la Cour européenne des droits de l’homme, elles obtiendront gain de cause. Car c’est la jurisprudence constante de la Cour, qui se base sur la législation des Etats et le principe d’égalité. A partir du moment où, dans un Etat, la procréation médicalement assistée est légale pour les couples mariés, la refuser à certains couples mariés est une évidente discrimination.

    Non seulement la France se fera condamner, mais le fait d’avoir empêcher des amendements en ce sens sera une circonstance aggravante. Quoi qu’il en soit le gouvernement et le Parlement seront obligés de légaliser la PMA.

    L’ironie de l’histoire est que, compte tenu des délais (si le gouvernement reste sur la ligne qu’il affiche), et de l’impopularité du gouvernement Hollande, ce sera sans doute un gouvernement UMP qui devra légaliser la PMA pour les homosexuelles…"

    Autrement dit : si l'UMP ne veut pas être contraint à légaliser la PMA pour les personnes homosexuelles, il devra abroger la loi Taubira. CQFD.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • « L’UMP d’après » : il faudrait tuer les partipants à la « Manif pour tous »

    Mohamed Toubache-Ter est un ancien candidat à la présidence des Jeunes populaires et membre du bureau départemental des Jeunes Populaires de Paris en charge du Pôle associatif. Voilà ce qu’il a déclaré (et maintenu) sur twitter après la grande manifestation d’hier, bon enfant, pour la défense de la famille :

    Tout commentaire serait superflu…

    http://www.contre-info.com/