Le monsieur, qui pressent que ça pue, prépare déjà sa reconversion...
Comment expliquer ? C’est, mutatis mutandis, l’histoire d’un prof qui s’y prendrait comme un pied. Chahut généralisé, bac raté, élèves délaissés, cagnotte de la classe envolée. Les parents râlent, l’inspecteur blâme, le directeur de l’école songe à le virer. Le monsieur, qui pressent que ça pue, prépare déjà sa reconversion et songe… au rectorat.
Il ne s’en cache pas et avance ses pions toute honte bue. Il se verrait bien directeur académique, dans les hautes sphères, dans un univers feutrés de moquettes, de baies vitrées et de grands ficus, loin des chewing-gums collés sous les tables, du contact pénible des élèves, des copies à corriger et des conseils de classe, là où il pourrait faire profiter la plèbe des petits profs de toutes ses (mauvaises) expériences, et distribuer à son tour des satisfecit aux enseignants, ou des avertissements s’ils se révélaient aussi nuls que lui. Et il compte, bien sûr, sur le directeur d’école qui cherche à se débarrasser de lui pour faire sa promo auprès des hautes instances.
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magouille et compagnie - Page 2124
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Moscovici ne manque pas d’air !
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Fabrice Epelboin : "La liberté d'expression n'existe pas en France !"
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La gauche devient totalitaire !
Le hollandisme en détresse devient agressif. Plus l’Etat dévoile ses faiblesses, plus il sort ses gourdins.
La police de Manuel Valls a montré plusieurs fois sa brutalité, quand il s’est agi de réprimer par la violence les soutiens familiaux à la Manif pour Tous. L’enrôlement d’Anna, jeune russe candidate à la naturalisation, pour espionner ces contestataires, est digne des méthodes du KGB. La gauche affaiblie se poutinise.
Et la justice de Christiane Taubira est atteinte à son tour, quand des magistrats décident de placer sur écoutes, sur un vague prétexte, Nicolas Sarkozy et son avocat, Me Thierry Herzog, durant près d’un an. Ce scandale est autrement plus grave que le soupçon de violation du secret de l’instruction et de trafic d’influence qui a résulté de ces méthodes utilisées contre le grand banditisme.
Selon Le Point.fr, Gilbert Azibert, avocat général près la Cour de cassation, a tenté dimanche soir, à Bordeaux, de mettre fin à ses jours car il ne supportait pas de voir son nom sali au détour de ces procédures inquisitoriales.
Ce lundi, sur Europe 1, Me Pierre-Olivier Sur, bâtonnier de Paris, s’est insurgé contre ces violations du secret professionnel de l’avocat. “Quand les libertés publiques sont atteintes, c’est la démocratie qui s’écroule”, a-t-il estimé, soutenu par de nombreux confrères, droite et gauche confondues.
Cette radicalisation de la Police et de la Justice s’observe aussi dans les médias dévoués au pouvoir socialiste. La chasse à l’homme, ouverte contre Sarkozy et ses proches, est la partie la plus spectaculaire d’une traque lancée plus généralement contre tous ceux qui prétendent contester les bienfaits du progressisme à l’agonie. Les écrivains mis à l’index, les journalistes indésirables complètent les cibles de la gauche sectaire.
Dimanche, Anne Hidalgo (PS) a refusé de débattre avec Nathalie Kosciusko-Morizet (UMP). “Jusqu’où ira la violence d’Etat ?”, questionne L’Opinion de ce jour. De fait, l’addition des atteintes aux libertés fondamentales devient préoccupante. Gaspard Koenig, patron du think-tank Génération Libre, en cite quelques-unes ce matin : le droit de propriété avec la loi Duflot, la liberté d’entreprendre avec l’amendement VTC (voitures de tourisme avec chauffeur), la liberté de circulation avec les menaces de déchéance de nationalité pour les exilés fiscaux, les libertés individuelles avec la pénalisation de la prostitution, la liberté d’expression avec l’affaire Dieudonné, etc. Sans oublier la permanente pesanteur de la pensée lisse.
La gauche, qui s’alarme d’un “retour aux années trente”, ne voit rien de son propre attrait pour des pratiques totalitaires.
Ivan Rioufol
http://francelibre.tumblr.com/post/79304948062/la-gauche-devient-totalitaire#.UyAy0l4sRXY -
Dans les coulisses des Bobards d’Or
La cinquième cérémonie des Bobards d’Or s’est déroulée ce soir mardi à Paris. Cette cérémonie parodique récompense les meilleurs désinformateurs, journalistes et médias. Les nominés seront dévoilés ce mercredi sur le site des Bobards d’Or.
Dans les coulisses des #Bobards d’or
Entrez dans les coulisses des Bobards d’or est vivez en quelques instants les derniers préparatifs de cette cinquième cérémonie présidé par Jean-Yves Le Gallou Président de Polémia, et toute son équipe
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Petit manuel de la massification bon marché
Moins de moyens, moins de débouchés et toujours plus d’étudiants ! La massification de l’enseignement supérieur est un désastre commandité, avec force autosatisfaction, par des idéologues de ministère… et dont les étudiants sont comme toujours les premières victimes. Voici un constat qui n’est pas neuf n’étonnant guère que les aveugles et ceux pour qui l’histoire s’est arrêtée en 68. Mais si l’idéologie est coupable de l’effondrement de l’Université, après celui de l’École, il serait bien naïf de penser qu’elle est encore seule aux commandes. Face au désastre, c’est le cynisme qui, sous couvert de bien-pensance altruiste, mène des centaines de milliers d’étudiants à l’abattoir social.
En effet, devant ce naufrage, l’État n’a pas trouvé de meilleurs moyens que de se désengager, financièrement et symboliquement de l’Université. Après la LRU, portée par l’inénarrable Valérie Pécresse, la dernière loi sur l’Enseignement supérieur et la recherche conduite par Madame Fioraso semble n’être qu’une dérobade de plus face au problème. Sous prétexte d’autonomie (mot-valise signifiant en novlangue énarchique « liberté, modernité, désendettée »), l’État place les universités face à des choix insolubles, engendrés par la baisse sans précédent des dotations financières. Certes, le ministère annonce des créations de postes, mais se garde bien de dire qu’il ne s’agit en réalité que d’autorisations de création… que les établissements ne sont plus aujourd’hui en état de payer ! De plus, la non-prise en compte dans les dotations d’État de l’augmentation mécanique des salaires des personnels conduit les universités à un endettement croissant et automatique. « Cachez-moi ces chiffres que je ne saurais voir », se gaussent en cœur les Tartuffes du ministère ! Si Mesdames Pécresse et Fioraso pavoisent en rhétorique, l’université elle fait face à une bien triste arithmétique. Pour faire honneur à cette, merveilleusement moderne, idée d’autonomie, elle doit prendre des mesures dont on peut douter qu’elles soient compatibles avec les objectifs de massification de l’enseignement.
D’abord la réduction de la masse salariale. De nombreux postes, soi-disant créés par le ministère, ont ainsi étaient abandonnés faute de moyens. Le non-remplacement des professeurs et des personnels retraités a également été monnaie courante ces dernières années. Si le ministère avait promis 1000 postes en 2013, bien peu ont effectivement vu le jour. La plupart des universités ont préféré récupérer la masse salariale correspondante sans les pourvoir, de manière à éponger l’augmentation automatique des salaires ou le déficit d’autres lignes budgétaires.
Toutefois, comme il faut bien, malgré tout, faire cours, les universités font appel à de la main-d’œuvre précaire. Des enseignants ont ainsi été recrutés en CDD, ou même en CDI… Les postes d’ATER ne laissent plus aux doctorants le temps de préparer leurs thèses et beaucoup n’assurent qu’un salaire sur 10 mois. Ceci s’accompagne d’une intensification de pratiques à la marge du droit du travail (contournement de la loi Sauvadet, cumul des heures complémentaires, incitation à l’auto-entrepreneuriat…).
L’offre de formation a de son côté été réduite comme peau de chagrin, en supprimant des options, des enseignements, en surchargeant les TD. Cette politique « de modernisation » a fait l’objet d’un beau consensus au sein de l’UMPS, les deux grands partis ne se distinguant en l’espèce que par leur capacité à bâillonner l’UNEF…
Dans le même temps, il a été exigé de l’Université qu’elle pallie les carences de l’enseignement secondaire, et même primaire. Ainsi les universités ont été contraintes de mettre en place des cours d’orthographe et de syntaxe… La concurrence des grandes écoles et l’ouverture d’une offre d’enseignement en langues étrangères vont également les forcer à proposer des formations renforcées en anglais… Tout ça au détriment des enseignements fondamentaux !
La massification de l’enseignement ne peut alors être qu’un désastre pour les étudiants. Pour les plus faibles, elle n’est qu’un mirage que se chargeront de dissiper les redoublements ! Loin d’être une chance, « l’université pour tous » bon marché est un crime contre les étudiants commis avec plus de cynisme que de bonne conscience. Ce sont eux qui perdent temps, argent et estimes d’eux même dans un système dont l’absence de sélection ne dure que jusqu’aux examens partiels. La conjoncture nuit aussi aux bons étudiants qui voient la qualité des enseignements s’effriter, et la valeur de leur diplôme fondre comme neige au soleil. Face à ce constat, la droite et la gauche n’ont plus qu’une politique, celle du pire. Sans moyen supplémentaire ou remise en cause de la politique de massification, c’est vers le sacrifice social de centaines de milliers de jeunes que nous mène l’UMPS. S’il est un niveau qui baisse plus vite que celui des étudiants, c’est peut-être bien celui des ministres de l’Enseignement supérieur.
http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EFAuVFlAVyzeWuTOjq.shtml
Source : Collectif Marianne : Benoît Michelet :http://www.collectifmarianne.fr/petit-manuel-de-la-massification-bon-marche-3/
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Si la droite remporte Paris, les subventions aux LGBT ne diminueront pas
GayLib a organisé vendredi 7 mars un «apéro politique» en présence de Roselyne Bachelot, de Nathalie Kosciusko-Morizet et de la candidate à la mairie du IIIe Marie-Laure Harel.
Marie-Laure Harel a dénoncé «le manque cruel de courage de la gauche» qui n’a pas ouvert la PMA aux couples de femmes. Sic. La candidate UMP s’est également prononcée en faveur de la GPA.
«On n’a pas été très progressistes à droite sur le mariage. Je suis déçue par la position de l’UMP, mais le mariage n’est pas la seule raison pour laquelle on choisit un parti. Nous sommes en train de faire chez nous le travail que d’autres ont fait à gauche il y a 10 ans.»
Elle a précisé que si la droite remporte la municipalité, les subventions aux associations LGBT ne diminueront pas, mais seront réparties autrement.
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Maxime : la justice socialiste frappe à nouveau très fort
L’adage prétend que la justice est la même pour tout le monde, mais le réel semble souvent démontrer le contraire. Dernière preuve en date, Maxime G., apprenti frigoriste de 24 ans et opposant à la loi Taubira, a été condamné à 18 mois de prison dont 6 mois ferme et incompressibles. Ce pour avoir soi-disant agressé un policier (0 jour d’ITT) et un journaliste (6 jours d’ITT).
Interrogé par Solidarité pour Tous, qui soutient les militants opposés à la loi Taubira, Maxime G. détaille cette condamnation et surtout apporte des précisions utiles quant aux faits qui sont à l’origine de cette condamnation.
Lors de cette triste date du 23 avril 2013, jour du vote du projet de loi sur le mariage homo, j ai fait l’objet d’une arrestation pour des violences sur des agents dépositaires de l’autorité publique et d’une journaliste. On m’accuse injustement d’avoir porté à leur encontre des coups. Cela est faux, ils n’ont d’ailleurs aucun jour d’ITT.
Quant à cette journaliste, j’ai appris par la suite qu’elle était très connue dans le milieu de l’extrême gauche. Très soucieuse de prendre des clichés des manifestants anti-mariage, elle aurait effectivement essuyé des coups, mais ne venant pas de moi ! La preuve en a été apportée puisqu’elle ne m’a pas reconnu comme l’agresseur lors d’un tapissage deux heures après.
J’ai été condamné en première instance au quasi-double des réquisitions du procureur (chose rare). Procès politique ? Certainement car, le lendemain, mon avocat m’appelait pour me signifier que le parquet faisait appel de cette décision. Sans doute ont-ils jugé cette dernière peine trop légère !
Pour l’instant, j’ai réussi à faire face aux frais d’avocat, très lourds pour un apprenti comme moi dont le salaire n’est qu’à 80% du SMIC (soit environ 1000 euros par mois), grâce l’aide de Solidarité Pour tous.
En appel, malgré l’excellente défense de mon avocat, Maître Frédéric Doyez (un des ténors du barreau de Lyon que j’ai pu solliciter toujours grâce à l’aide de Solidarité pour Tous), les juges sont allés encore plus loin! Dix-huit mois de prison, dont six mois fermes sans aménagement de peine, plus environ 10.000 euros d’amende et de frais et trois ans d’interdiction de stade et de participation à toute manifestation.
http://fr.novopress.info/159109/maxime-justice-socialiste-frappe-nouveau-tres-fort/
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Des postiers refusent de distribuer des tracts. Du FN, pas de l’extrême gauche…
Ce sont les syndicats SUD et CGT qui annoncent la nouvelle. Des postiers du 7e arrondissement de Paris ont refusé lundi de distribuer un tract du Front national figurant dans un lot de publicités non mis sous pli. Le tract est celui de la candidate du Front national et du Rassemblement bleu Marine aux élections municipales dans l’arrondissement. Sur la quarantaine de facteurs qui travaillaient lundi sur l’arrondissement, « au moins une douzaine ont retiré le tract avant de partir faire leur tournée », a déclaré sans gêne Olivier Rosay (SUD).
Seul le 7e arrondissement est concerné par cet activisme politique anti-FN de certains postiers. Interrogée, La Poste met en avant le « principe de neutralité ». « La Poste et Médiapost (filiale du groupe) distribuent la propagande électorale des partis politiques lors de chaque élection. Dès l’instant où le parti qui s’exprime n’est pas interdit, La Poste doit les traiter avec équité », affirme le groupe.
Lors d’assemblées générales, SUD a lancé un appel « à l’objection de conscience et à la désobéissance » et la CGT a demandé aux postiers « de ne pas toucher aux plis en attendant d’avoir des réponses de la direction ». Selon les deux syndicats, la direction a envoyé à l’aube un huissier au centre de distribution, délocalisé dans le 15e arrondissement, pour contrôler la préparation des documents. -
10 avril : veillée de soutien aux chrétiens persécutés
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