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magouille et compagnie - Page 2141

  • La France a gaspillé 200 millions d’euros pour un second porte-avions dont il n’est même plus question…

     L’on pouvait émettre de sérieux doutes sur une possible coopération franco-britannique en matière de construction de porte-avions quand cette éventualité fut mise sur la table dans les années 2002-2003, puis confirmée en mars 2006 par la signature d’un mémorandum d’entente. Et cela pour une raison simple : les capacités de la Marine nationale et de la Royal Navy dans ce domaine sont radicalement différentes.
    Ainsi, la marine française, tout comme son homologue américaine, ce qui facilite d’ailleurs l’interopérabilité comme l’a démontré la mission Bois-Belleau, a l’habitude des porte-avions dits CATOBAR (Catapult Assisted Take-Off But Arrested Recovery), c’est à dire de bâtiments dotés de catapultes et de brins d’arrêts nécessaires à la mise en oeuvres des aéronefs.
    Pour la Royal Navy, c’est le système dit STOVL (Short Take-Off and Vertical Landing) qui est en vigueur. Certes, en 2010, il a été question pour la marine britannique d’adopter un dispositif CATOBAR pour ses deux porte-avions dont elle entend se doter. Mais finalement, elle a dû renoncer à cette idée, les transformations nécessaires étant trop coûteuses alors que le chantier du premier exemplaire avait déjà commencé.
    Reste que l’idée de construire 3 porte-avions en commun avait un sens économique dans la mesure où cela aurait permis de réduire les coûts pour les budgets militaires de Paris et de Londres. Pour la France, il s’agissait d’acquérir un second navire de ce type afin de pouvoir maintenir une permanence aéronavale, notamment lors des arrêts pour maintenance du Charles de Gaulle.
    Très longtemps avant la mise en chantier de ce dernier, la décision de doter la Marine nationale d’un second porte-avions à propulsion nucléaire avait été prise lors du conseil de Défense du 23 septembre 1980. On connaît la suite : les restrictions budgétaires ont d’abord impacté la construction de celui qui allait devenir le Charles de Gaulle.
    Puis, de reports et en annulations de crédits, l’on est arrivé à la situation actuelle, c’est à dire avec une marine ne disposant que d’un seul porte-avions. S’il était question, encore, d’en construire un second jusqu’en 2007, l’édition 2008 du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale (LBDSN) a renvoyé cette éventualité aux calendes grecques tandis que celle de 2013 n’en a même plus parlé.
    Seulement, les discussions franco-britanniques concernant la construction de porte-avions n’auront pas été sans conséquences, financièrement parlant, et cela alors même que Londres n’a pas montré une claire volonté de coopération. Et c’est ce que vient de déplorer la Cour des comptes dans son rapport annuel.
    “Le montant total des dépenses effectivement payées au titre du programme de second porte-avions français s’établit à 287,5 M€ (constants 2013), dont 73 % au titre des deux années de coopération franco-britannique”, affirment les magistrats de la Rue Cambon.
    “Au total, sur une période de deux années (2006 et 2007), la France a donc choisi, pour la construction de son deuxième porte-avions, de s’orienter vers l’achat d’études britanniques, alors même que l’analyse du contexte, ainsi que des positions exprimées publiquement et sans ambiguïté par le Royaume-Uni, laissaient clairement voir qu’elle ne pouvait ni s’appuyer sur un projet industriel conjoint, ni même, à défaut, voir ces études répondre techniquement à certains besoins français”, ajoutent-ils dans leur rapport annuel.
    Et d’ajouter : “Au cours de ces deux années, les dépenses assumées par la France se sont élevées à environ 214 M€ (euros constants), dont 112 M€ versés au Royaume-Uni à titre de ‘ticket d’entrée’, et 102 M€ de contrats industriels liés à la coopération dont les résultats sont aujourd’hui inutilisables”.
    Plus de 200 millions de pertes… Certains diront que ce n’est pas grand chose… Quand même. En 2008, soit en plein dans la période décrite par la Cour des comptes, le général Bruno Cuche, alors chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT), avait écrit au chef d’état-major des armées (CEMA), qui était à l’époque le général Georgelin, pour déplorer que la réalisation des programmes d’équipement des forces terrestres avait été minorée de 40% en 2006 par rapport au contrats de gestion initiaux, et que 46% des bésoins prévus pour 2007 n’avaient pas été couverts.
    Les principaux programmes touchés avaient été ceux ayant une “faible visibilité politique” mais pourtant indispensables à la “cohérence organique” de la l’armée de Terre. Sans nul doute que ces 200 millions d’euros (soit de quoi acheter une cinquantaine de VBCI) jetés par les fenêtres auraient trouvés une meilleure utilisation…

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • Un stalinisme décomplexé

    "Français de souche" : pourquoi Naïma Charaï attaque Alain Finkielkraut

    La présidente de l’agence nationale Acsé (cohésion sociale et égalité des chances), et conseillère régionale d’Aquitaine a saisi le CSA pour des propos tenus par le philosophe sur France 2

     

    Alain Finkielkraut en a été "abasourdi". Telle a été sa réaction dans le Figaro à l’annonce de la saisie du CSA vendredi dernier par Mehdi Ouraoui, ancien directeur de cabinet d’Harlem Désir, et surtout Naïma Charaï, présidente de l’agence nationale Acsé (Agence pour la cohésion sociale et l’égalité des chances) qui dépend du ministère de la Ville, également conseillère régionale d’Aquitaine. Ces deux membres du conseil national du Parti socialiste se sont émus des propos d’Alain Finkielkraut dans l’émission "Des paroles et des actes" diffusée jeudi 6 février sur France 2. [...]

    La suite sur Sud-Ouest

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Un-stalinisme-decomplexe

  • SNCF : les billets augmentent, mais pas pour tout le monde…

    Les Français s’indignent, les syndicats crient au scandale… et dans trois jours, on sera passé à autre chose.

    La publication du rapport annuel de la Cour des comptes est un rituel. Les sages y donnent leur avis sur les perspectives de nos finances publiques et dénoncent quelques sujets de scandale puisés dans les politiques publiques. Ainsi, chaque année, à la Chandeleur, la France indignée fait des « Oh ! », pousse des « Ah ! », et puis chacun s’en retourne veiller sur sa propre cassette. Comme si de rien n’était.

    En ce mois de février 2014, Monsieur Migaud et ses collègues magistrats ont pris dans leur viseur les avantages en nature des employés de la SNCF, tout particulièrement les fameuses « facilités de circulation » (FC) et autres réductions dont bénéficient les agents et leurs familles. Ce n’est pas la première fois qu’ils se penchent sur le sujet, mais force est de constater que leurs précédentes alertes sont restées sans effet. La SNCF, qui court après les fonds pour entretenir son réseau, ne semble pas à court pour entretenir son personnel.

    Lire la suite

  • Gaspard Proust ridiculise les idéologues du gender

    Lu dans Minute :

    Samedi 8 février, « Salut les Terriens », Canal +

    Il n’y a pas que Zemmour qui soit allé sur le site Internet de l’Education nationale, section ABCD de l’Egalité. Gaspard Proust aussi:

    « A côté, le congrès mondial des enculeurs de mouche, c’est du sérieux! Exemple – je cite – “la course d’orientation pour combattre l’idée que les filles sont peureuses et ne savent pas s’orienter” […] Il y a aussi l’histoire de “Hector, l’homme extraordinairement fort”. Là encore, je cite: “Hector, l’homme extraordinairement fort, est capable de choses époustouflantes et pourtant, une fois son numéro terminé, Hector est un homme discret. Il a installé sa caravane à l’écart, loin des regards, car il a un secret: il tricote !” Autre activité proposée sur le site: la GRS: gymnastique rythmique et sportive avec ruban, dont le but est de faire faire des activités permettant aux filles de prendre des risques avec un objet qui les attire et aux garçons d’être dans une activité esthétique tout en prenant des risques corporels. Avec un ruban! Il a des putains d’auteurs, Peillon! Certains dénoncent le lobby LGBT, abréviation de Lesbiennes, Gays, Trans, Bis. Putain, c’est d’un triste: tu rajoutes la lettre S pour sclérose en plaques et P pour philatélie et tu comprends pourquoi ils se sentent si seuls dans leurs manifs! »

    Mieux qu’un édito politique, fut-il signé Zemmour, la séquence humoristique de Proust !"

    Michel Janva

  • L’enseignement du genre n’a pas sa place dans la sphère scolaire

    Communiqué de Versailles Familles Avenir :

    "Versailles Familles Avenir, engagée dans la campagne pour les élections municipales de Versailles, défendra les parents qui s’opposent à l’enseignement de l'idéologie du genre dans les écoles. Les enfants et les familles sont actuellement pris en otage par l’idéologie du gouvernement ; Versailles Familles Avenir s'engage à faire tout ce qui sera en son pouvoir pour défendre le droit à la liberté des familles d’élever leurs enfants.

    Accepter l'enseignement du genre à l’école, c'est ouvrir la porte à toutes les manipulations et exposer les élèves à bien d’autres violences. On ne peut accepter que soient transmis à des enfants, sans même en avertir les parents, des discours qui viennent les remettre en question jusque dans leur personnalité. Une question relevant de l’intimité des individus ne peut être prise en charge par l’Éducation nationale. Celle-ci ne peut interférer dans le discours que les parents tiennent à leurs enfants.

    Comment qualifier un État qui entendrait penser à la place des gens ? Que serait une nation qui se donnerait pour objectif de s’immiscer dans les consciences ? Voici autant de questions à se poser. Nous devons entrer en résistance face à l’intrusion de l’enseignement de l'idéologie du genre sous des formes variées dans les crèches, les écoles maternelles et primaires de Versailles, comme dans les bibliothèques ; Versailles Familles Avenir fera tout ce qui sera en son pouvoir pour lutter aux cotés des professionnels contre elle."

    Michel Janva

  • « La Faillite de Mandela » et « Juan Perón » de Jean-Claude Rolinat

    Note de lecture de Camille Galic
    Trente-huit pages dans « Le Point » réputé « de droite », davantage encore dans les hebdos de gauche, le 5 décembre dernier, le décès – d’ailleurs attendu depuis plus de six mois – de Nelson Mandela a plongé dans l’affliction la planète entière dont les dirigeants ont tenu à se rendre toutes affaires cessantes aux obsèques du « géant ». C’est dire si le livre de Jean-Claude Rolinat, « La Faillite de Mandela » (*), s’imposait après le raz-de-marée d’éloges déversés sur la sépulture de celui que certains ont proposé de sacrer « plus grand homme d’État du XXe siècle ».
    Mandela richissime, la RSA ruinée
    Le 3 février, l’un des exécuteurs testamentaires de « Madiba » faisait savoir que sa fortune personnelle était provisoirement évaluée à 46 millions de rands, soit 3 millions d’euros. Pas mal pour un simple avocat (diplôme obtenu sous le régime honni de l’apartheid, notez bien) : libéré en 1990 après de longues années passées en prison pour entreprise terroriste, il n’aura occupé que cinq ans la présidence de la République sud-africaine, dont l’appauvrissement a, au contraire, été proportionnel à l’enrichissement de son premier président noir, si bien qu’en effet la faillite du pays est avérée. Quelles qu’aient été les intentions pacificatrices de Mandela couronnées par un prix Nobel de la paix également attribué à son complice afrikander Frederik Willem de Klerk, président du Parti national et président de la République d’Afrique du Sud de 1989 à 1994, qui a trahi son peuple au profit de la majorité noire et d’un puissant capitalisme apatride, le résultat n’est pas à la hauteur des folles espérances mises par la mediaklatura dans la « nouvelle Afrique du Sud ». Les chiffres accablants fournis par J.-Cl. Rolinat le prouvent : « Le passage du pouvoir blanc au Black Power » a accouché d’un pays malade.
    Le pays malade d’une « ségrégation de la revanche »
    Aujourd’hui, la République d’Afrique du Sud est malade :
        – malade de la criminalité : 25.000 assassinats par an, 30.000 tentatives de meurtre et 300.000 cambriolages, plus le taux de violence sexuelle le plus élevé au monde ; en 2009, on estimait qu’un Sud-Africain sur quatre avait commis un viol, qu’un enfant était violé toutes les trois minutes et, en 2013, les statistiques avançaient que « 40% des Sud-Africaines seront violées dans leur vie », les Blanches en priorité ;
        – malade du racisme institutionnel : les politiciens noirs flétrissent l’ancien régime et imputent tous leurs échecs au défunt apartheid et aux Blancs ; ceux-ci sont tacitement accusés de saboter les plus beaux projets et vivent dans une telle insécurité physique et professionnelle que le quart d’entre eux a préféré s’exiler ;
        – malade des rivalités tribales : l’appartenance commune à l’African National Congress (ANC au pouvoir) cache mal les haines et les rivalités entre Xhosas, ethnie de Mandela, et Zoulous, ethnie de l’actuel président Jakob Zuma, prévaricateur et fornicateur d’élite ;
        – malade de la « discrimination positive » ou, plutôt, comme le dit notre auteur, d’une « ségrégation de la revanche » : en effet, l’africanisation massive et précipitée de l’administration, du secteur hospitalier, de la police et de l’armée, des services et de l’industrie a mis à mal en moins de vingt ans l’économie la plus florissante du continent noir.
    Comme pouvaient le constater tous les visiteurs des années 1970 et 1980 de l’autre siècle, l’auteur a raison de souligner qu’à certains égards la Republik, qui était aussi moderne et dynamique que les États-Unis, a sécrété un chômage exponentiel, frappant indistinctement toutes les communautés puisque de plus en plus de Blancs sont réduits à la mendicité. Là encore, les chiffres sont éloquents : 23,2% de la population active sont officiellement sans emploi, 40% selon les syndicats, ce chômage étant lui-même générateur de misère. Le nombre de personnes vivant en dessous du seuil d’extrême pauvreté, soit 260 euros par an, a doublé pendant la décennie suivant l’accession de Mandela à la présidence, passant de 1,9 à 4,2 millions d’individus, entraînant une criminalité subséquente.
    « Kill the Boer, kill the farmer ! »
    Entre 1990 et 2005, selon l’indice de développement humain du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), l’Afrique du Sud a ainsi reculé de 35 places, et la dégringolade risque de s’accélérer du fait d’un phénomène terrifiant encore qu’il ne semble pas inquiéter nos commentateurs : l’élimination systématique des fermiers blancs, selon l’un des slogans chers à l’ANC, « Kill the Boer, kill the farmer ! ». Plus de 4.000 éleveurs et agriculteurs ont ainsi été assassinés, bien souvent en compagnie de leurs proches et dans des conditions abominables, depuis l’avènement tant attendu de la « nation Arc-en-ciel ». Résultat redouté par J.-Cl. Rolinat : « En 1994, on dénombrait 133.000 fermiers commerciaux. Aujourd’hui, il en reste moins de 40.000. Déficit énorme. Hémorragie dont les statistiques de production se font l’écho… Un processus à la zimbabwéenne avec, à la clé, les conséquences qu’on peut imaginer, chute des ventes, baisse des exportations et, à terme, la famine ! »
    Loin des dithyrambes de la presse occidentale, voilà le véritable héritage de Mandela dont le vrai prénom est Rolihlahla, autrement dit « fauteur de troubles » en bantou : un État, certes, « décolonisé » mais, comme tant d’autres, ruiné par le délire idéologique, le racisme rabique, le revanchisme imbécile mais aussi la rapacité et la corruption de son nouvel Establishment, ces riches politiciens et affairistes bantous dont la surenchère dans le luxe est une insulte à la misère et à la désespérance ambiantes. Le tableau brossé par l’auteur, qui retrace aussi brièvement l’histoire de la RSA, est tristement véridique. Tout au plus peut-on regretter qu’il ne souligne pas le rôle capital joué par une certaine oligarchie financière – très étrangère à la geste des Boers – dans la dérive du Parti national puis la mortifère abdication de De Klerk… dont l’épouse Monika fut elle-même victime en 1998 de la criminalité organisée.
    À l’opposé du mandélisme, le péronisme
    Alors que paraissait ce livre, Winnie Madikizela-Mandela, épouse répudiée de Nelson et jadis surnommée Bloody Winnie, Winnie la Sanglante, pour son goût de la violence, estimait, le 26 janvier dans Le Journal du dimanche, avoir été la véritable opposante à l’apartheid et affirmait avec un certain dédain : « Sans moi, il n’y aurait pas eu de Nelson Mandela. Si je ne m’étais pas battue, il n’y aurait pas eu de Mandela, le monde entier l’aurait oublié. »
    Sans Evita Perón, y aurait-il eu un Juan Perón et, sous ses avatars si divers et souvent si éloignés de l’original, le péronisme aurait-il encore des adeptes, au point que l’actuelle présidente argentine, Cristina Kirchner, s’en réclame, d’ailleurs bien abusivement ?
    C’est toute la question qui sous-tend la monographie que J.-Cl. Rolinat, décidément très productif, publie sous le titre Juan Perón (**). Mais la photo de couverture est celle du couple, vite devenu indissociable tant la jeune et fragile Eva Duarte, actrice de très humble condition mais animée d’une volonté et d’un nationalisme farouches, participa aux conceptions, à l’organisation et au prodigieux succès du parti justicialiste, cette « troisième voie » entre l’URSS et le trop puissant voisin états-unien.
    L’auteur se défend de vouloir faire une icône de cette « femme faite homme dans un corps féminin » (qui finit par la trahir, le cancer ayant emporté l’idole des descamisados alors qu’elle avait à peine dépassé la trentaine). Il conclut : « On ne peut pas parler de Juan Domingo Perón sans évoquer son double, celle qui mit toute son énergie, son talent, son intuition de femme, sa force de caractère et son intelligence au service de la cause du peuple, au service des ambitions de son mari. À un point tel que, à un moment, on pouvait se demander qui était l’inventeur du péronisme. »
    Au contraire du mandélisme, le péronisme avait su redresser l’économie argentine, ramener la cohésion sociale et pratiquement éradiquer la pauvreté.
     Camille Galic 4/02/2014
     (*) J.-Cl. Rolinat, République sud-africaine : la faillite de Mandela, éditions Les Bouquins de Synthèse nationale, 1/01/2014, 188 pages.
    (**) J.-Cl. Rolinat, Juan Perón, éditions Pardès, Collection Qui suis-je ? 21/12/2013, 128 pages.
    http://www.polemia.com/la-faillite-de-mandela-et-juan-peron-de-jean-claude-rolinat/

  • Nouvel Arbitre était à la manifestation de l’Agrif contre les Femens!

    Ce samedi 8 février se tenait pour la quatrième semaine de suite une manifestation. Cette dernière, organisée par l’AGRIF (Alliance Générale contre le Racisme et pour le Respect de l’Identité Française et Chrétienne), rassemblait place Vauban toutes les personnes souhaitant la dissolution du groupuscule ukrainien Femen.

    Nous y avons retrouvé beaucoup de monde et de nombreux confrères étaient présent (Michel Janva du Salon Beige, Corsaire du Rouge et le Noir, Louis-Benoît Greffe de Politicviso, TV Libertés…) [...]

    La suite sur Nouvel Arbitre

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Nouvel-Arbitre-etait-a-la

  • Bibliothèques idéologiques (suite)

    La polémique sur les ouvrages idéologiques mis à la portée des enfants dans les bibliothèques se poursuit. Ainsi, l'Association des bibliothécaires de France s'indigne :

    "Ces derniers jours, quelques sites web ont mené des appels au retrait de livres achetés par des bibliothèques municipales, dont la liste est également dressée. Les ouvrages incriminés sont ceux d’une bibliographie proposée par le syndicat SNUipp-FSU de 79 livres de jeunesse pour l’égalité et concernent essentiellement l’égalité femme-homme et l’homosexualité. [...]"

    Le SNUipp a droit à plus de considération que les parents.

    J'apprends aussi l'existence de la Charte des auteurs et des illustrateurs jeunesse, qui défend son beurre, car, soyons honnêtes : si les bibliothèques n'achetaient plus ces ouvrages idéologiques, qui les achèteraient ?

    "[...] La Charte tient d’abord à exprimer sa colère de voir des auteurs, illustrateurs, éditeurs, libraires, bibliothécaires, enseignants et blogueurs de littérature jeunesse mis injustement en cause dans différents faits d'actualité touchant aux questions des genres ou de l’égalité fille-garçon. Nous ne pouvons laisser ces appels à la censure et à la haine passer pour des opinions acceptables. Nous ne pouvons excuser l’ignorance de ceux qui portent ces attaques. [...]

    Le Monde en perd même son français. A force de se concentrer sur une idéologie, on en perd la grammaire :

    MD'autres bibliothèques sont visées désormais par les parents qui s'inquiètent de la propagande faite contre leurs enfants : Loire-Forez (42), Besançon, Lille...

    Michel Janva

  • Accueil de 3 ministres à Angers ce mercredi 12 février…

    Jean-Marc Ayrault se rendra à Angers le mercredi 12 février, accompagné de Marisol Touraine, Ministre des Affaires sociales et de la Santé, et de Michèle Delaunay, Ministre déléguée chargée des Personnes âgées et de l’Autonomie.

    Angers Programe :

    •10h10 - Visite d’un L.E.N.A.
    (Logement évolutif pour une nouvelle autonomie)

    •10h50 – Visite de l’espace territorial « Bien Vieillir Robert Robin »

    •11h15 – Intervention du Premier Ministre à l’espace territorial « Bien Vieillir Robert Robin »
    16 bis, avenue Jean XXIII – Angers

  • Pourquoi tant de haine M. Valls ?

    Qui pouvait en douter ? Selon le dernier baromètre mensuel réalisé par Ipsos, François Hollande n’a pas convaincu après l’annonce de sa conversion au sociale-libéralisme: il chute de trois points avec 21 % d‘opinions favorables et parvient à gagner…un nouveau record d’impopularité avec 76 % d’opinions défavorables (+ 2 points), dont 43 % « très défavorables » (+ 3 points). Jean-Marc Ayrault évolue logiquement dans les mêmes eaux avec 22 % de bonnes opinions (- quatre points). La surprise pour un certain nombre de commentateurs vient de la rapidité et de l’ampleur de la dégringolade de la cote de popularité de Manuel Valls. Certes il n’est pas le seul? puisque sur 37 personnalités mesurées par cette enquête Ipsos, 29 sont à la baisse, dont 18 d’au moins trois points. Marine Le Pen est une des rares à progresser gagnant un point avec 30 % de bonnes opinions. Le ministre de l’Intérieur qui expliquait sur France 2 la semaine dernière qu’il «(regardait) les sondages avec intérêt» mais pas «en permanence», perd 11 points sur deux mois. Il reste en tête du baromètre – avec 48 % de bonnes intentions -, mais avec seulement  un point d’avance sur Bertrand Delanoë… contre dix points à la fin de l’automne. Ce dévissage de M. Valls dans l’opinion est confirmé par Harris Interactive ou il chute de neuf points,  mais aussi dans le baromètre mensuel BVA  (-6 points), pour l’institut YouGov (-7 pts) et OpinionWay (-12 points)

     Ce désaveu qui frappe aussi très largement les autres ténors des partis du Système comme le rapporte le sondage Ipsos cité plus haut, fait peur à beaucoup. Jean-François Doridot, de ce même institut, explique que «Cela n’augure rien de bon à un mois et demi des municipales. On ne peut pas vraiment dire que les deux camps se mobilisent. Ça s’annonce difficile pour tout le monde, y compris pour le Front National » croit-il savoir.

     Il faut en effet rappeler à nos compatriotes, comme le fait inlassablement Bruno Gollnisch, que l’on ne peut pas ébranler le Système en faisant la grève du vote, bien au contraire on le conforte en agissant ainsi. L’abstentionnisme est un allié de revers de l’euromondialisme. C’est en déposant un bulletin FN dans l’urne que l’on peut faire bouger les lignes et préparer l’alternative, la politique restant encore et toujours une question de rapport de forces. A bon entendeur…

     Rapport de force que Manuel Valls, a voulu engager contre une partie des Français et qu’il paye comptant dans les sondages, malgré le soutien médiatique bien réel dont dispose ce membre du club Le Siècle. A l’évidence son très médiocre bilan dans le domaine de la lutte contre la délinquance, laquelle touche tous les Français, de gauche comme de droite, les catégories les plus modestes, explique cette forte décrue de bonnes opinions.

     Mais au  delà, son bras de fer contre Dieudonné est aussi une des causes de sa dégringolade dans les sondages .Notamment auprès des électeurs franco-afro-maghrébins, des populations musulmanes de la France des banlieues, considérés jusqu’alors comme une clientèle électorale captive de la gauche et du PS en particulier. A tort ou à raison, le ministre de l’Intérieur  est apparu dans ce dossier comme le défenseur des intérêts d’une communauté tout en fustigeant à longueur de discours officiel  le communautarisme au nom de la république et de la laïcité…

     Dans le domaine des atteintes à la liberté d’expression, il n’est pas anodin non plus que les autorités françaises soient les championnes du monde lorsqu’il s’agit de demander la suppression de tweets. Selon les statistiques rapportées par Le Monde, entre juillet et décembre 2013, des pays comme l’Inde, le Royaume-Uni et la Russie ont demandé respectivement les suppressions de six, huit et quatorze tweets. Or, via  les autorités administratives et ses partenaires, en l’occurrence un certain nombre d’officines subventionnées, gardiennes du dogme progressiste et des luttes contre les discriminations, 306 demandes de censure ont été formulées dans le même laps de temps par le France !  

     Manuel Valls paye aussi «à droite» ses saillies contre la radicalisation de cette frange de l’électorat comparé au tea party américain ont expliqué quelques observateurs. Il révulse aussi nombre de Français par son soutien implicite  à l’activisme anticatholique.  Un tropisme socialo-maçonnique, qui est symbolisé dans un autre domaine par le  très militant Vincent Peillon au sein du ministère de l’Education « nationale» qui couvre de son autorité, entre autres,  une entreprise de lavage de cerveau des enfants avec les  ABCD de l’égalité.

     Nos compatriotes sont excédés plus largement par le règne du deux poids deux mesures, les atteintes à leur foi, et croyants ou non, les coups portés à une religion catholique consubstantielle à notre civilisation française et notre culture nationale.

     Si l’AGRIF (l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne) a su mobiliser avec succès samedi  dernier à Paris pour demander la dissolution des Femen, M. Valls a octroyé un passeport français à la dirigeante ukrainienne des Femen, Inna Schevchenko, dont la tête orne un  timbre de  la  république ( !!!). Il a donné son accord pour que  ce  groupuscule d’activistes ciblant notamment les  églises puisse s’installer sur le territoire  national.

     Le ministre de l’Intérieur, nous l’avions souligné, n’a émis qu’une protestation bien molle, de pure forme, devant la dernière profanation en date de ces dernières, en  l’église Sainte-Odile à Paris. Faut-il y voir un lien de cause à effet,  M. Valls est membre  (également de « manière éternelle, quand même » ?)  comme Alain Bauer,  de la loge « L’infini maçonnique » affilié au Grand Orient.

     Cette affiliation est à prendre en compte à la lumière de sa détestation des idéaux portés par le Mouvement national et de sa volonté d’associer le FN à l’extrémisme. Cela explique en partie que les groupuscules d’extrême gauche, éternels idiots utiles d’un Système qu’ils prétendent combattre, soient instrumentalisés par le pouvoir, comme on l’a vu à Rennes cette fin de semaine, avec la manifestation anti-FN qui a dégénéré en scènes d’émeute.

     Il s’agit d’associer, par capillarité en quelque sorte remarque Bruno Gollnisch, le FN à des images de violence, pour faire peur. Les milices anti frontistes sont bien utilisées pas le pouvoir avec beaucoup de cynisme et de malignité. Encore faut-il le savoir.

     Et ne pas se tromper sur la nature des regards  noirs que M.  Valls réservent dans ses  conférences de presse à l’évocation du FN  et dans les  débats à  Marine Le Pen ou dernièrement  sur France 2 à Florian Philippot. Comme le notait finement le cardinal de Mazarin dans son « bréviaire des politiciens», « Si quelqu’un te manifeste sa haine, sache que ce sentiment est toujours authentique : à la différence de l’amour, la haine ignore l’hypocrisie»…

    http://gollnisch.com/2014/02/11/pourquoi-tant-de-haine-m-valls/