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magouille et compagnie - Page 2142

  • Manuel Valls connaît-il son modèle, Clemenceau ?

    Minute lui rappelle quelques réalités historiques :

    "Dans un coin de son bureau ministériel, un portrait du Tigre a été accroché. L’a-t-il lu ? Non, sans doute, ou quelques pages sélectionnées par un secrétaire. Car sinon l’impeccable républicain de la place Beauvau aurait pris soin de préciser à quel Clemenceau il réserve son admiration. Il y en a tant, des Clemenceau, que M. le Ministre, s’il les connaissait, les aurait volontiers envoyés en garde à vue…

    Cherchons donc quel Clemenceau admire Valls. S’agit-il du Clemenceau qui a lancé la carrière politique du général Boulanger, ce « factieux populiste » honni par l’histoire? Non, sans doute. C’est un peu comme si Valls faisait nommer Marion Le Pen ministre. Impossible. S’agit-il du Clemenceau qui apostrophait en 1893 un ministre de l’Intérieur en raison de ses origines juives ? Nauséabond ! Non, ce ne peut pas être non plus ce Clemenceau-là. Alors, peut-être, le Clemenceau écrivain, voyageur ? Eh bien, pas davantage. Dans Au Pied du Sinaï, paru en 1898, Clemenceau s’écoeure du juif traditionnel « crasseux », palpitant de « fanatisme talmudique ». Exit ce Clemenceau-ci. Voyons, cherchons encore… Il doit bien y avoir un Clemenceau acceptable en l’an 2014 ? Ah oui! Le dreyfusard. Ce doit être lui. Splendide modèle à l’oeil fulminant. Hélas… Ce Clemenceau n’hésitait pas à attaquer un député juif, anti-dreyfusard, en ces termes: « Il serait bon que les juifs cessent d’insulter ceux qui les défendent! » Bon, alors, pas ce Clemenceau là non plus. Mais à qui se fier ? [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/manuel-valls-conna%C3%AEt-il-son-mod%C3%A8le-cl%C3%A9menceau-.html

  • Aveux croisés de François Hollande et de l’UMP sur l’existence d’un parti unique

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Si François Hollande a clairement hier assumé une politique eurolibérale, sa conférence de presse a permis un autre aveu de taille, qui va bouleverser le débat politique français : l’existence dans notre pays d’un parti unique qui regroupe le PS et l’UMP.
    Cet aveu était d’une grande clarté dans la bouche même du chef de l’État, qui a assumé vouloir réussir ce que Nicolas Sarkozy aurait voulu continuer à faire, ajoutant que le débat politique français devait se faire entre « un centre-droit » et un « centre-gauche », tous deux européistes, ultralibéraux et antinationaux.

    Les réactions de l’UMP à cette conférence de presse ont confirmé sans ambiguïté l’aveu du parti unique. Jean-François Copé a revendiqué la paternité du projet de François Hollande. Des personnalités aussi éminentes de ce parti que Jean-Pierre Raffarin ou Bruno Lemaire ont fait publiquement savoir leur grande satisfaction.
    Côté PS, le sénateur André Vallini a eu hier soir cette formule très explicite : « L’UMP en rêvait, le PS va le faire »…

    Après de telles effusions, qui traduisent une identité totale d’analyses et de convictions entre PS et UMP, il ne sera plus possible à ces deux partis de jouer, de mettre en scène une opposition factice entre eux.

    Face au parti unique UMPS, enfin assumé et auquel Jean-Louis Borloo et son UDI demandent déjà à se greffer, les Français n’ont qu’une seule alternative : celle des patriotes du Front National et du Rassemblement Bleu Marine.
    Puisque la politique du parti unique est la parfaite continuité de la politique déjà menée depuis des années sous Sarkozy puis Hollande, son échec est certain.
    Le parti unique c’est la dictature de moins en moins douce dans laquelle la caste veut enfermer le pays. Les Français s’en libéreront en le dévoilant au grand jour et en lui tournant le dos

    Source: Nationspresse

    http://www.altermedia.info/france-belgique/nationspresse/aveux-croises-de-francois-hollande-et-de-lump-sur-lexistence-dun-parti-unique_96589.html

  • Les dessous du Gayet-Gate : La quenelle de Valls à Hollande

    Pour le « choc de simplification », on repassera ! Voilà donc plusieurs mois que, pendant que Trierweiler-Pompadour vit à nos frais à l’Élysée, le roi s’amuse avec Gayet-du Barry ! Après la gauche caviar, c’est vraiment la gauche plumard ! Valls, dans le rôle du duc de Choiseul, pourrait bien connaître la disgrâce…

    Ainsi donc, Manuel Valls ne savait rien. Rien de rien. «Je n’avais pas connaissance de ces sorties, je n’avais aucun élément et je n’admettrai pas l’affirmation selon laquelle le ministre de l’Intérieur a eu envie de connaître la vie privée d’une personnalité politique. Je n’ai aucune information, et heureusement, sur l’agenda privé du président» a-t-il fait savoir au «Monde», menton volontaire et main sur le cœur.
    La rue du Cirque, qui abritait les galipettes présidentielles, donne sur l’arrière de l’hôtel de Marigny, propriété de l’Etat français, qui sert de résidence pour les hôtes étrangers de la France, mais le premier flic de France ne surveille pas qui y habite, ni qui y vient !

    Ses toits sont à une portée de fusil à lunette de l’Élysée et du ministère de l’Intérieur, mais le premier flic de Fra­nce ne l’a pas placée sous très hau­te surveillance !
    Une annexe (de travail) de la présidence de la République, à double entrée, relie la rue du Cirque et l’avenue de Marigny, mais le ministre de l’Intérieur n’est pas informé que des allées et venues étranges ont lieu nuitamment ou au petit matin ! Et bien sûr, il n’a pas cherché à savoir, jamais, ce qu’il en était réellement de la rumeur qui, depuis plusieurs mois, prêtait à François Hollande une relation sentimentale avec l’actrice Julie Ga­yet – et même, sans qu’il demande, ses services ne l’ont pas informé de quoi que ce soit. Invraisemblable.
    « Le regard de Hollande sur moi a changé… »

    Entre Manuel Valls et François Hollande, il n’y a, ni amitié de trente ans, ni même de dix ans. Seulement une alliance de circonstances qui a vu le chef de l’Etat faire de Manuel Valls son ministre de l’Intérieur pour l’uni­que raison que, les Français exigeant une reprise en mains sécuritaire, Valls était le seul socialiste crédible en ce do­maine – bien plus que François Reb­samen qui rêvait du poste et dont François Hollande a fait son conseiller occulte (1). Dans les « équilibres » dont Hollande est friand, Valls, avec 5,63 % à la primaire socialiste de 2011, ne pesait rien.
    Dans Valls, à l’intérieur (Robert Laffont), qui vient de paraître, David Revault d’Allonnes et Laurent Bor­re­don, journalistes au « Monde », racontent fort bien comment, au fil des mois, les relations entre les deux hommes se sont détériorées au fur et à mesure que Valls ne parvenait plus à masquer son impatience d’accéder à la présidence de la République, une fois la parenthèse Hollande – qu’il méprise – terminée.
    Dans les premiers mois du quinquennat, Valls était parvenu à exercer une forte influence, pour ne pas dire un ascendant, sur Hollande, réveil­lonnant en sa compagnie pour le passage à 2013, allant jusqu’à oser lui remettre d’aplomb sa cravate !
    Mais Valls en a tant fait que Hollande en a pris ombrage. « [Le président] a une analyse un peu moins trau­matisée de la popularité de Manuel, qui a été pendant un moment un facteur d’intimidation », a confié à nos con­frè­res « une ministre importante » – qui, à part Christiane Taubira ? –.
    Un « haut dirigeant socialiste » pousse l’analyse un peu plus loin : « C’est bien d’être dans les premiers-ministrables. Ça l’est nettement moins d’être trop vite présidentiable, surtout quand il y a un président en face. Il a donné l’impression d’avoir une stratégie pour s’imposer au président. C’était une erreur. » Valls aurait d’ailleurs reconnu avec amertume, à l’un de ses proches : « Le regard de Hollande sur moi a changé… »

    A-t-il voulu flinguer Claude Sérillon ?
    Si, après les révélations de « Closer », la tête de Manuel Valls ne tombe pas, c’est que François Hollande est bien magnanime. Ou totalement inconscient.
    Cette fois, il s’est trouvé dans le viseur d’un téléobjectif ; ça peut ridiculiser – et ça a fait de la peine à la Pom­padour – mais ça ne tue pas. S’il s’était trouvé dans le viseur d’une arme, ce n’est pas en une de la presse people qu’il se retrouvait, mais à la une de tous les journaux, avec un liseré noir tout autour.
    Minute

    Valls peut toujours sous-entendre que la sécurité du chef de l’Etat relève du Service de la protection (des hau­tes personnalités), celui-ci dépend du ministre de l’Intérieur. Et c’est à lui qu’il rend compte…
    Valls aurait-il voulu, si ce n’est en balançant l’« information » du moins en la laissant fuiter – ce qui est aussi de sa responsabilité –, déstabiliser François Hollande ou bien… faire tomber son ennemi juré au palais de l’Elysée, le journaliste Claude Séril­lon, l’incontrôlable – et incompétent – conseiller en communication du président de la République ?
    Une fois déjà, Valls a eu sa peau. De 1997 à 2002, Valls est chargé de la presse et de la communication au cabi­net du premier ministre, Lionel Jospin. En septembre 1999, Jospin est l’invité du journal de 20 heures de France 2 présenté par Claude Sérillon. C’est ce soir-là que, interrogé sur les plans sociaux, il lâche la formule qui lui fera tant de mal : « Il ne faut pas attendre tout de l’Etat. » Valls est furieux. Pas contre Jospin, contre Sérillon !
    Pierre-Henri Arnstam, directeur de l’information de France 2, reçoit un coup de fil de Valls, furibard : « C’est scandaleux ce qui s’est passé hier à l’antenne ! Claude Sérillon était agressif, il a posé de mauvaises questions ! » Les téléphones de tous les dirigeants de Fran­ce 2 retentissent du même refrain. Ils alertent Arnstam : « On a été prévenu par Valls que tant que Sérillon présentera le journal, le premier ministre ne viendra plus sur France 2. »
    Quelques mois plus tard, Arnstam est viré. Et Sérillon aussi. Lequel est donc revenu par la grande porte il y a un an, seul ou presque de tout le cabinet élyséen avec lequel Valls n’entretient pas des relations étroites ou n’a pas prise, et qui doit aujourd’hui fait face à une crise qu’il est bien incapable de gérer.
    François Hollande n’est peut-être pas Louis XV mais, dans cette entrée en scène de la du Barry, le duc de Choiseul ne fera croire à personne qu’il n’y est strictement pour rien.
    Antoine Vouillazère dans Minute

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/les-dessous-du-gayet-gate-la-quenelle-de-valls-hollande_96573.html#more-96573

  • Le président exemplaire

    Et maintenant je nomme ma nouvelle greluche parmi les quatre personnalités françaises qui composeront le Jury 2014 de la Villa Médicis.
Plus d’infos ici

    Et maintenant je nomme ma nouvelle greluche parmi les quatre personnalités françaises qui composeront le Jury 2014 de la Villa Médicis.

    Plus d’infos ici

    http://francelibre.tumblr.com/

  • La LICRA, officine de combat contre les libertés du Net

    « Parmi les objectifs du “Jour de colère” : la lutte pour la liberté d’expression. Raison de plus pour se mobiliser le 26 janvier. »
    Nous l’affirmions dans une contribution du 6 janvier, l’affaire Dieudonné était  « l’arbre qui cache la forêt de l’offensive contre Internet » (1) où « la guerre est déclarée » (2), comme s’en était réjoui le 3 janvier Daniel Makonnen, responsable de la communication de la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme. Cette déclaration de guerre est confirmée par le président de la LICRA en personne dans une interview diffusée sur l’antenne Judaïques FM (3) le 11 janvier, deux jours après l’arrêt du Conseil d’Etat interdisant de facto la tournée de Dieudonné et la poursuite de son spectacle « Le Mur ».
    Au journaliste Olivier Issembert qui l’interrogeait sur l’opportunité et la possibilité de sévir contre les tweeteurs déviants et le site Youtube et lui demandait si « la prochaine étape, c’est ce combat sur Internet », Alain Jakubowicz a répondu en effet : « Il y a des mesures coercitives, mais il y a un certain nombre de choses qui sont faites, et je peux vous dire que la LICRA accomplit un travail considérable là-dessus. Nous avons créé d’ailleurs Licranet, avec des spécialistes du net, nous avons maintenant des équipes pour cela. »
    Car, ce « combat », en réalité contre la liberté d’opinion, la LICRA « l’a déjà anticipé ». « On est dans ce combat, poursuit M. Jakubowicz, je ne veux pas vous dévoiler les actions que nous menons, mais un certain nombre de vos auditeurs pourront vérifier que certaines vidéos ne sont plus visibles aujourd’hui […] Ce combat-là, dans le cadre légal évidemment, nous le menons parce que la loi ne permet pas que l’on continue à visionner des vidéos dont les propos sont attentatoires à la dignité et constitutives de délits. Pour certaines d’entre elles d’ailleurs, ces vidéos reprennent des propos qui ont été condamnés par la justice, donc ces vidéos [dont, à n’en pas douter, la dernière de l’humoriste franco-camerounais, qui a fait l’objet de 3.025.572 connexions en trois jours] doivent être supprimées et ne doivent plus être accessibles, et évidemment nous accomplissons à cet égard le travail qui doit être le nôtre. »
    Avocat… et justiciable
    Jusqu’où s’étendra ce travail ?
    Spécialiste du droit de la presse, M. Jakubowicz est avocat. C’est en cette qualité qu’il plaida contre Klaus Barbie, Paul Touvier et Maurice Papon, en cette qualité qu’il intégra à Lyon l’équipe municipale du ministre Michel Noir qui en fit son adjoint délégué aux droits de l’homme – mais oui ! – avant que les deux hommes se retrouvent en mars 1996 en correctionnelle. M. Noir, qui était devenu l’idole des médias après avoir déclaré en 1987 qu’il valait « mieux perdre les élections que perdre son âme » en s’alliant au Front national (4), comparaissait alors pour abus de confiance et abus de biens sociaux pour avoir mis en place une galaxie d’associations censées soutenir son action politique mais ayant, selon le parquet, bénéficié de « plusieurs millions de francs de subventions municipales » ; et son adjoint Jakubowicz pour avoir perçu de l’une de ces associations, Nouvelle Démocratie, près d’un demi-million de francs d’honoraires pour la défense, non de la mairie de Lyon, mais du seul maire dans une affaire privée : le procès  de son gendre et bienfaiteur Botton, poursuivi pour détournement de fonds dont avait largement profité son illustre beau-père, condamné le 20 avril 1995 en première instance à quinze mois de prison avec sursis et à 200.000 francs d’amende, assortis de cinq ans d’inéligibilité.
    Une autre « répression fulgurante » ?
    Prédécesseur d’Alain Jakubowicz de 1999 à 2010 à la tête de la LICRA, Patrick Gaubert avait accédé à la célébrité en profitant en 1994 de son poste de chargé de mission auprès du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua pour lancer contre la presse mal-pensante une « répression fulgurante ». Cette dernière se solda par des dizaines de procès sous les prétextes les plus aventurés, ruina nombre de journaux et contraignit les rescapés du jeu de massacre à renoncer en partie, par prudence, à leur liberté d’informer – y compris sur la criminalité étrangère et le racisme antifrançais… dont la LICRA prétend aujourd’hui défendre les victimes !
    Son successeur, lui, entend déclencher une « répression fulgurante » sur la Toile. Avec d’autant plus de chances de succès que depuis deux décennies, ce que beaucoup ignorent, la LICRA s’est internationalisée.
    Grâce aux généreuses subventions de l’Etat, des conseils régionaux et des municipalités – toutes libéralités sorties de la poche du contribuable –, la Ligue a créé des organisations-sœurs en Suisse, en Belgique, au Luxembourg, en Allemagne, au Portugal, au Québec, en Autriche et jusqu’au Congo-Brazzaville. Grâce à cette toile d’araignée patiemment tissée, la Ligue, relayée – ou impulsée – outre-Atlantique par le B’nai B’rith et la très influente Anti-Defamation League d’Abraham Foxman, parviendra-t-elle à normaliser Internet ?
    Parmi les objectifs du « Jour de colère » : la lutte pour la liberté d’expression. Raison de plus pour se mobiliser le 26 janvier.
    Camille Galic, 14/01/2014
    Notes :
    (1) L’affaire Dieudonné : l’arbre qui cache la forêt de l’offensive contre Internet
    (2)La Licra déclare « la guerre » aux propos haineux sur le Net
    26 janvier : jour de colère !
    (3) Texte disponible sur www.google.fr/#q=clan+des+vénitiens
    (4) Michel Noir récidiva le 23 mars 2011 en déclarant au Progrès que les électeurs devaient « choisir sans hésiter le candidat socialiste dans les duels PS-FN ».
    http://www.polemia.com/sainte-ligue-au-combat-contre-internet/

  • Déconjugalisation de l’impôt : Lettre ouverte d’une mère au foyer à Najat Vallaud Belkacem

    La liberté n'est pas qu'un mot :

    "Chère Najat,

    Normalement je tutoie tout le monde quand je suis sur mon blog, car il y a un je-ne-sais-quoi qui nous rapproche malgré le fait que nous soyons derrière nos écrans. Mais là, ça ne va pas être possible. Je me sens particulièrement éloignée de vous, de votre envie de changer le monde des femmes.

    Vous nous trouvez ringardes, nous qui sommes chez nous, à nous occuper de nos enfants. Vous êtes pourtant venue le 4 décembre à l'Espace Richelieu pour le Spot Efluent... une grande partie des femmes que vous avez rencontrées, sans compter les pères (!!!), sont au foyer... chez elles. Pour s'occuper de leurs enfants. Vous nous avez trouvées si ringardes que ça ? est-ce que nos sommes hors-sujet ? vous lisez nos blogs, c'est ce que vous avez dit, vous trouvez que nous sommes hors du temps ? Nous ne faisons pas avancer les choses ?

    Dans notre société on discrédite beaucoup les parents en leur disant que "les enfants n'ont pas de repères"... contrairement aux générations précédentes. IL EST VRAI qu'à mon époque, quand nous étions petits, nous n'avions pas la même façon de voir les choses, de respecter l'aîné, voire la hiérarchie. Les enfants et les jeunes de maintenant grandissent plus vite, la vie numérique y est pour beaucoup. A l'époque de nos parents, quand eux étaient enfants, ils n'osaient certainement pas le quart de ce que nos propres enfants osent maintenant.

    Pourquoi tout s'est dégradé en 3 générations ? l'arrivée du numérique, l'augmentation du nombre de femmes dans le monde du travail, le changement du modèle familial (mamans solos, divorces, familles recomposées, famille homo-parentales)...

    En 1969, Pierre Daninos a écrit "le pouvoir aux enfants". J'ai ce livre depuis peu. Ma Grand-Mère maternelle est décédée cette année et j'ai récupéré une partie des livres, dont celui-ci. Je vous conseille de le lire, je peux même vous l'envoyer si vous me promettez de me le rendre. Je l'ai lu et deux choses m'ont frappées. Les enfants de l'époque ne considéraient pas le fait d'avoir beaucoup d'argent comme nécessaire. Ils voulaient juste en avoir suffisamment pour vivre. La seconde chose, ils considéraient le rôle des femmes comme important dans l'éducation des enfants, et ils fallait que les parents soient strictes.

    Maintenant avec cette réforme, vous voulez quoi exactement... dévaloriser ces femmes ringardes qui veulent élever leurs enfants ? Confier ses enfants à d'autres personnes ? seront-elles mieux que nous ?

    Financièrement vous pensez que ça va se passer comment ?" (suite).

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Hausse de la TVA : Quel impact au quotidien pour une famille ?

    Les taux de TVA augmentent ce mercredi 1er janvier. Le taux normal passera notamment de 19,6% à 20%. La mesure décidée, il y a un an au nom de la compétitivité des entreprises, est contestée en période de baisse du pouvoir d’achat. Elle doit permettre de renflouer les caisses de l’État à hauteur de 10 milliards d’euros.

  • Dieudonné: le député belge Laurent LOUIS répond à Manuel Valls

  • Non à la théorie du genre – tournée de conférences d’Alain Escada

    - 15 janvier à Toulouse, salle Barcelone, 22 allées Barcelone, 20 heures 30
    - 1er février à Besançon, villa Blanche (1ère sortie rond-point de Chaleze), 20 heures
    - 8 février à Chartres, 11 bis rue des Jubelines, 20heures
    - 15 mars à Noisy le Grand, 10 rue Jules Ferry, 20 heures
    - 20 mars à Lyon, 56 Bd d’Inkermann, 6ème, 20 heures
    - 28 mars à Villechauve (près de Vendôme) à « La Lune et les Feux », 11 rue Pasteur, 20 heures

    Une offre promotionnelle est proposée. Son précédent ouvrage « Mariage homosexuel, homoparentalité, etc – Décryptage d’une révolution sexuelle » vendu à 12 euros et son nouvel ouvrage « Théorie du genre – L’idéologie qui voulait détruire la Créationet libérer toutes les perversions humaines » vendu à 6 euros, sont proposés à la vente ensemble pour 15 euros, frais d’envoi compris.
    Achat en ligne ici ou par chèque à envoyer à notre secrétariat CIVITAS – 17 rue des Chasseurs – 95100 Argenteuil.

  • Rendez-vous le 19 janvier Place Denfert Rochereau à Paris à 14h30

    Nous montrerons aux responsables politiques français, espagnols et européens que de nombreux citoyens veulent :

    • REFUSER l'inscription dans la loi française des avortements de complaisance, des avortements eugéniques, et de l'obligation de présenter la vie et la mort comme deux réponses équivalentes.
    • DENONCER l'omerta sur cet enjeu en France et la modification en douce de la législation alors même qu'il s'agit d'un "véritable bouleversement" selon le constitutionnaliste Bertrand Mathieu.
    • ENCOURAGER les rares députés français qui vont s'opposer à ces dispositions inscrites dans le projet de loi Egalité Femmes/Hommes voté à partir du 20 janvier à l'Assemblée nationale.
    • SALUER le courage du gouvernement espagnol qui vient de présenter un projet limitant l'avortement et qui ira le présenter à Bruxelles en février.
    • INSCRIRE la défense de la vie au programme des élections européennes, après le succès des mobilisations ONE OF US et anti-ESTRELA et alors que la Commission européenne fait du forcing pour relancer le débat sur le rapport Estrela, remettant en cause « l’autorité de la chose votée ».

    Michel Janva