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magouille et compagnie - Page 2142

  • Avec les écolos, le bonheur est dans le gouvernement !

    Avec nos amis les Verts, on est rarement déçu ! Chacune de leurs interventions est l’occasion de s’en payer une bonne tranche.

    Avec nos amis les Verts, on est rarement déçu ! Chacune de leurs interventions est l’occasion de s’en payer une bonne tranche. De consternation dans les projets annoncés, de pitié dans les alliances électorales… et de « poilade » dans les déclarations.

    La dernière en date vaut son pesant de cacahuètes (on les leur lancera sous condition qu’elles proviennent de commerce équitable, bien sûr)…

    Depuis samedi, Europe Écologie Les Verts (EELV) est désormais pour une « participation combative » au gouvernement… Alors qu’on s’attendait à les voir abandonner le radeau de la méduse par indigestion de couleuvres – on ne les compte plus, de la reculade sur l’écotaxe à celle de la loi sur la famille en passant par les déclarations prêtées à Arnaud Montebourg, sur une technique expérimentale « propre » d’extraction des hydrocarbures de schiste –, ils ont bel et bien clamé leur volonté, ce samedi, « d’imprimer leur marque sur l’action du gouvernement »

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  • Exemple d’une association dégénérée venant bourrer le crâne des élèves

    couleurs.jpgIl y a des partisans du gouvernement pour dire que les tenants de la théorie du genre et de la propagande homosexuelle ne viennent pas dans les classes s’en prendre aux cerveaux des jeunes.

    Sur le tract (visible ici) que l’association (financée par les impôts) communautaire homosexualiste, militante LGBT « Couleurs gaies » [sic] envoie aux établissements de la région Lorraine, on peut lire :
    Depuis 2008, Couleurs Gaies est agréée par l’Académie de Nancy-Metz pour de telles interventions.

    Ces dernières sont construites en référence aux objectifs fixés par les différentes circulaires du ministère de l’Education nationale qui préconisent la lutte contre toutes les formes de discriminations. Au cours de l’année scolaire 2011/2012, notre association a sensibilisé près de 2000 élèves, de la 4ème à la Terminale. [...] Nos interventions font la part belle aux techniques de pédagogie active.

    L’homophobie est la clef d’entrée pour réaliser un travail plus large de déconstruction des stéréotypes et d’analyse critique des phénomènes discriminatoires. [...]
    Nous sommes très sollicités, surtout au cours des mois de janvier, février, mars et avril.
  • Le Salon Beige fait trembler le ministre Filippetti

    SLa campagne lancée par votre blog contre la mise à disposition intempestive d'ouvrages inspirés de l'idéologie du gender dans les bibliothèques municipales -ce qui permet notamment d'enrichir aux frais du contribuable les artisans de cette propagande- crée des remous.

    Ce matin c'est Europe 1 qui a sorti le sujet, indiquant que cela dure "depuis plusieurs semaines", alors que le premier post ne date que du 4 février. Celui-ci a en effet mis le feu aux poudres, montrant que même une ville comme Versailles n'est pas protégée des idéologues, et ensuite de très nombreux parents ont cherché à savoir ce qui se passe dans leur ville. Libération a embrayé sur le sujet, rappelant que Le Salon beige recommande le guide d'Anne-Laure Blanc, Une Bibliothèque idéale. Même M6 a parlé de votre blog ce soir dans son journal (vers 12mn45).

    Vincent Peillon a demandé à ce qu'on laisse les enfants tranquilles. Mais c'est bien ce que l'on demande !

    Ce soir c'est Aurélie Filippetti, ministre de la Culture et de la Communication, qui se fend d'un communiqué condamnant les pressions exercées par des extrémistes (sic) sur les bibliothèques publiques :

    "Près d’une trentaine de bibliothèques publiques ont fait l’objet, ces derniers jours, de pressions croissantes de la part de groupuscules fédérés sur internet par des mouvements extrémistes [sic] qui en appellent désormais à la lutte contre ce qu’ils appellent les « bibliothèques idéologiques ».

    Ils se rendent dans les bibliothèques de lecture publique, exercent des pressions sur les personnels, les somment de se justifier sur leur politique d’acquisition, fouillent dans les rayonnages avec une obsession particulière pour les sections jeunesse, et exigent le retrait de la consultation de tout ouvrage ne correspondant pas à la morale qu’ils prétendent incarner.

    Il est temps d’en appeler à Voltaire, à l’esprit des Lumières, pour dénoncer ces atteintes scandaleuses à la démocratie et à la liberté dans notre pays. La lecture est l’un des meilleurs outils de lutte contre les fanatismes, contre l’intolérance.

    La France ne tolère pas les tentatives de censure de ces lieux-phares de la République que sont les bibliothèques, berceau de la connaissance et du savoir, ni les attaques contre leurs professionnels irréprochables, dont les règles d'éthique professionnelle sont d’ailleurs inscrites dans le Manifeste de l'UNESCO sur la bibliothèque publique.

    Je réaffirme mon soutien le plus absolu au personnel des bibliothèques et aux élus locaux qui doivent faire face à ces agressions."

    C'est plus simple que de dénoncer l'attaque d'une librairie parisienne par ses amis "antifas"...

    A propos de bibliothèques idéologiques, proposant dans ses rayons destinés à la jeunesse des ouvrages inspirés du gender (la bibliothèque du Chesnay a placé les ouvrages non plus directement à portée des enfants, mais sur une étagère au niveau des parents), des lecteurs me signalent aujourd'hui celles de La Roche sur Yon, Limours (91), Francheville...

    C'est le printemps des consciences : les parents ayant la primauté dans l'éducation de leurs enfants reprennent l'initiative et demandent des comptes à leurs élus. A un mois des élections municipales, cela paie.

    Michel Janva    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Quand l'UMP s'attaque à un document sur la théorie du genre qu'elle a elle-même diffusé...

     

     

    L'UMP en est persuadée : le gouvernement cherche à effacer les preuves de sa promotion de la "théorie du genre". Tellement persuadée que l'un de ses délégués généraux, le député Sébastien Huyghe, a signé un communiqué le 4 février affirmant ceci : Le gouvernement, pris la main dans le sac sur la théorie du genre, essaye désespérément de faire disparaître les pièces à conviction qui l'accusent.
    Cette "pièce à conviction" est un tableau mis en ligne par le site Ligne Azur, une filiale de l'association Sida info service travaillant en partenariat avec l'Education nationale et proposant un service d'écoute téléphonique à destination des lycéens. Le tableau et le site ont pour vocation d'aider ces lycéens se posant des questions sur leur orientation sexuelle. Sauf que depuis le 3 février, le site ne répond plus.
    Il n'en faut pas plus à l'UMP pour accuser le gouvernement de faire tomber volontairement le site, pour cacher ce document, qui explique par exemple que les pratiques sexuelles ne sont pas "nécessairement connectées à la façon dont [on] définit [son] orientation" sexuelle. Une véritable promotion du "genre"à l'école selon l'UMP, que le gouvernement voudrait désormais faire disparaître.
    A un détail près, que Sébastien Huyghe ne semble pas avoir relevé, contrairement à la rubrique Désintox de Libération qui s'est penchée sur la question : le partenariat entre les lycées et Ligne Azur existe depuis 2009. Il été lancé et promu par le ministre UMP Xavier Darcos dans une volonté de "lutte contre l'homophobie", puis reconduit avec le même enthousiasme par Luc Chatel.
    Quant au tableau incriminé, il est en ligne depuis plus de deux ans, avant que la gauche n'arrive au pouvoir. Najat Vallaud-Belkacem ou Vincent Peillon n'ont donc aucun lien avec sa diffusion. L'Etat n'est de toute façon pas censé interférer avec le contenu du site, selon le partenariat qui le lie à Ligne Azur, explique également Libération.
    La formule "identité de genre", qui hérisse le poil de beaucoup à l'UMP, a toujours été présente, même sous l'ère Darcos et Chatel, affirme enfin le rédacteur en chef de Ligne Azur, Alain Miguet. 

     

    Mais ça, Sébastien Huyghe ne l'avait pas relevé à l'époque.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/

  • ILGA, exemple de cette internationale LGBT qui vit de subventions

    Peu de gens osent aujourd’hui remettre en question la pertinence, l’influence internationale et le pouvoir économique des organisations politiques LGBT. Il est pourtant bien utile de s’intéresser par exemple au rôle de l’Association lesbienne et gay internationale (ILGA).
    Ce lobby est-il influent en raison de sa représentativité sociale ou de sa force économique donnée par ses membres, affiliés et sympathisants ? La réponse est non, et son apparente force sociale est un montage artificiel dénué de toute représentativité.

    D’où vient le pouvoir économique de l’homosexualisme politique ?
    La réponse à cette question peut être envisagée à travers l’exemple de l’ILGA, qui regroupe environ 356 organisations LGBT en Europe, avec un budget en 2013 de 2.032.400€ selon les données du «registre de transparence» de l’ILGA-Europe, publiées par l’Union européenne.

    Cependant, loin de ce qu’on pourrait attendre d’une organisation qui se prétend représentative et affirme disposer de millions de sympathisants, près des trois quarts du budget de l’organisation, à savoir 69,28%, sont couvert par des subventions publiques de l’ Union européenne mais aussi des États membres.

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  • Pour la gauche, le comble du fascisme, c'est le peuple

    Après avoir décrit les étapes de la conversion de la gauche au libéralisme, qu'il fait remonter à l'affaire Dreyfus, Eric Zemmour décrypte ainsi la période actuelle dans Figarovox :

    "Le prix à payer pour la soumission définitive de la gauche au libéralisme économique, c'est effectivement la marche en avant totalitaire vers un libéralisme sociétal. Comme on peut le voir à travers la politique de Najat Vallaud-Belkacem, qui reprend aujourd'hui les programmes que l'inter LGBT promeut depuis 15 ans, ou à travers le rapport sur l'intégration qui prône le retour du voile à l'école, la gauche brûle aujourd'hui ses vaisseaux sociétaux. Elle le fait pour deux raisons assez simples.

    Premièrement, comme on l'a déjà dit, pour masquer sa conversion au libéralisme mondialisé.

    Deuxièmement, parce qu'elle sent qu'il y a «un retour de bâton» dans le pays réel comme le montrent les sondages. Tout l'électorat de droite, de l'UMP au FN, fait désormais bloc sur les thématiques sociétales, immigrationnistes et sécuritaires, mais désormais la moitié de l'électorat de gauche les rejoint également. Il y a une donc une volonté idéologique de la part de la gauche de briser ce qui leur apparaît comme le comble du fascisme : le peuple français. Celui-ci est à leurs yeux, racistes, xénophobe et homophobe. Et les lobbys pourtant ultra minoritaires, qui dictent leur loi au gouvernement, veulent profiter du quinquennat de François Hollande pour imposer leur vision de la société de manière irrémédiable. Il s'agit ni plus ni moins d'une déclaration de guerre."

    Louise Tudy

  • L’antifascisme n’est pas passé !

    Nous sommes quand même encore en démocratie.

    « Ce n’est pas que je sois raciste, mais… » On sait que cette déclaration liminaire prélude bien souvent à la démonstration plus ou moins éclatante de son contraire. Il en est de même du « Je suis démocrate, mais… »

    Je suis démocrate, mais je pense que certains partis devraient être interdits… Je suis démocrate, mais je pense que certaines opinions ne devraient pas avoir droit de cité… Je suis démocrate, donc partisan du pluralisme, mais d’un pluralisme limité au cercle des gens fréquentables… Je suis démocrate, mais je trouve normal que le service public de la radio et de la télévision soit fermé à Alain de Benoist… Je suis démocrate, mais je ne comprends pas qu’Alain Finkielkraut, Éric Zemmour, Élisabeth Lévy, Ivan Rioufol aient accès tout comme d’autres aux micros, aux tribunes, aux plateaux… Je suis démocrate et j’accepte tous les débats, excepté ceux où pourraient figurer les gens que j’ai inscrits sur ma liste noire… Je suis démocrate, mais je dénonce ceux qui osent employer l’expression « Français de souche »… Je suis démocrate, mais dans certaines limites, à partir desquelles je ne suis plus démocrate.

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  • L'UMP veut le statut du faux-parent

    Nathalie Kosciusko-Morizet, qui a reproché au gouvernement de n'avoir "pas de politique familiale", a néanmoins jugé qu'"il faut avancer" à propos du statut du beau-parent. Elle a rappelé que l'UMP au pouvoir avait ouvert ce sujet :

    "On avait commencé à regarder le problème mais ce n'est pas simple à résoudre", "il faut préserver tous les liens".

    De même Valérie Pécresse a jugé qu'

    "il faut y travailler bien évidemment parce que les familles ont changé, il y a énormément de familles recomposées et de beaux-parents qui vont de fait élever des enfants, mais il faut faire très attention".

    "Il ne faut pas que ce statut du beau-parent conduise à gommer le parent".

    Comme l'écrit Aude Mirkovic sur le blog de l'Homme Nouveau, c'est un faux prétexte :

    "En pratique, on prétend que la vie quotidienne des enfants élevés par un « beau-parent » est très complexe, et qu’il faudrait habiliter ce dernier à accomplir les actes usuels concernant l’enfant. Sauf que, en l’état du droit, un des parents peut déjà autoriser un tiers à accomplir un acte usuel concernant l’enfant, autorisation qui peut être tacite et n’a donc même pas besoin d’être exprimée. Lorsqu’un parent confie son enfant à un tiers, il donne à ce tiers un mandat tacite d’accomplir les actes de la vie quotidienne. Une baby-sitter peut emmener l’enfant chez le médecin ou au tennis et aller le chercher à l’école, et le « beau-parent » aurait besoin d’une loi pour cela ?

    Quant aux actes importants concernant la personne de l’enfant, ils requièrent l’accord des parents, ce qui est bien normal. Associer le « beau-parent » à ces décisions ne simplifierait rien puisque, au contraire, l’accord des parents serait toujours nécessaire et qu’il faudrait, du coup et en plus, celui du « beau-parent » ! Les promoteurs du statut du « beau-parent » veulent faciliter le partage de l’autorité parentale entre les parents et lui. Mais le droit actuel permet déjà ce partage, s’il est justifié par les besoins de l’éducation de l’enfant. C’est bien le minimum que l’on puisse faire, car associer un tiers à l’autorité parentale est un acte grave, et pourquoi le faire sans besoin particulier relatif à l’éducation de l’enfant ? L’autorité parentale est une institution au service de l’enfant et non un faire-valoir pour les adultes.

    On invoque encore que l’enfant risque, en cas de séparation, d’être brutalement séparé de cet adulte qui partageait sa vie. Mais le droit actuel permet déjà au juge, à défaut d’accord amiable, d’organiser des liens entre cet adulte et l’enfant, si tel est l’intérêt de ce dernier. Il serait irresponsable de généraliser cette possibilité car comment poser comme postulat que l’intérêt de l’enfant est, systématiquement, de maintenir des liens avec tous les adultes qui défilent dans sa vie ? On imagine l’agenda de ministre qu’il devra tenir entre les différents droits de visite des uns et des autres.

    Enfin, certains feignent de croire que, lorsque l’enfant n’a qu’un seul de ses parents et que ce dernier décède, le « beau-parent » ne peut le recueillir et qu’il se retrouve en famille d’accueil. Là encore, tout est faux car le parent dernier mourant peut, de son vivant, désigner la personne qu’il choisit comme tuteur de l’enfant en cas de décès. À défaut, le conseil de famille désignera un tuteur au mineur, et pourra désigner le « beau-parent » si c’est là le bien de l’enfant. Ici encore, comment prévoir de façon systématique que l’homme ou la femme qui vit avec le père ou la mère de l’enfant sera le tuteur de ce dernier ? Une décision sur mesure est bien plus profitable à l’enfant qu’une règle généralisée car on ne peut poser a priori qu’il est dans l’intérêt de l’enfant d’être systématiquement confié à son « beau-parent » s’il venait à être orphelin."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Maçonnerie : extrémisme politique et mafia affairiste

    Après des décennies de toute-puissance, la franc-maçonnerie est peu à peu dévoilée, comme d’autres groupes politiques ou ethnico-religieux qui poursuivent leur guerre de mille ans contre les peuples d’Europe. Ce n’est pas sans raison que les nationalistes battaient le pavé parisien ces dernières semaines au cri de « Franc-maçon en prison ! »
    L’actualité met en exergue le double-discours des maçons : des politiciens qui s’affichent anarchistes libertaires pendant qu’ils œuvrent dans le secret de loges très hiérarchisées à la destruction des libertés, des défenseurs de la probité au cœur de tous les scandales politico-financiers.
    Un anarchiste « grand maître » : Daniel Keller, antifasciste et franc-maçon
    C’est à la loge « Vérité ni dieu ni maître » que Daniel Keller a été initié. Cela ne l’a pas empêché de se courber devant les puissants de ce monde, de se prosterner devant le « grand architecte de l’univers », avant lui-même de devenir « grand-maître » du Grand Orient de France (GODF). Un (faux) Dieu, un maître, mais pas de vérité… Antifasciste militant, il parcourt la France pour dénoncer la bête immonde. De passage à Brignoles – « le Hénin-Beaumont du sud » –, il a accordé un entretien à Var Matin. Morceaux choisis.
    « Le GODF n’est pas une société secrète de magouilles »
    « On n’entre pas dans la franc-maçonnerie pour faire des affaires, se créer un réseau ou se faire élire. »
    « J’ai écrit en ce sens au président du Parlement européen pour plaider l’inscription de l’IVG dans la charte des droits fondamentaux. »
    « On présente la loi de 1905 comme liberticide, alors qu’elle représente tout l’inverse. La laïcité permet de rassembler au-delà des diversités culturelles, religieuses, ethniques… »
    « Le Front national n’est pas “francmaçonniquement” compatible… »
    « Le GODF n’est pas un vaste think tank. C’est un rassemblement d’honnêtes gens »
    Comme pour illustrer ces mensonges, la justice, après avoir fermé les yeux pendant des années, a mis au jour une nouvelle affaire, dont le point central est l’appartenance des protagonistes à la maçonnerie.

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    Mafia maçonnique et affairisme : scandale au cœur de la Préfecture de police de Paris
    Le contrôleur général de la Préfecture de police de Paris Jean-Yves Adam a été mis en examen pour corruption, pour de multiples faits commis au nom de la franc-maçonnerie. Il a été arrêté mercredi et placé en garde à vue puis mis en examen pour corruption, violation du secret professionnel, abus de biens sociaux, et banqueroute par dissimulation d’actifs.
    L’enquête s’intéressait au départ aux « indulgences », le classement sans suite de procédures contraventionnelles, en faveur d’autres membres de la mafia. Les enquêteurs ont ensuite accumulé preuves et témoignages sur des violations du secret professionnel, l’utilisation illégale des fichiers de police, toujours en lien avec ses activités mafieuses.
    Une troisième partie de l’enquête s’articule autour de faits délictueux en lien avec sa passion pour les courses automobiles. Il y aurait des faits « plus graves encore ».
    Sans surprise, il a bénéficié jusque-là de la protection de membres de la mafia. Un haut fonctionnaire de la préfecture de police a confirmé au Point qu’il avait été protégé par les « amitiés fraternelles ».
    Jean-Yves Adam est un haut cadre de la Grande loge nationale “française” : il est, selon les habituelles terminologies ridicules de la maçonnerie, « assistant grand porte-glaive ». Un fait éclairant : le « grand porte-glaive » fait office de procureur dans la justice interne de cette mafia. Il avait auparavant occupé les fonctions de « vénérable » de la loge « Noces de Cana 854 ».

     

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    http://jeune-nation.com/2014/02/maconne ... ffairiste/

  • Les antifas et le ministère de l’Intérieur… une longue histoire