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magouille et compagnie - Page 2166

  • Le médiateur de la mairie de Bordeaux pour les roms poursuivi par la justice

    BORDEAUX (NOVOpress/Infos Bordeaux) – Militant au sein du Parti socialiste, Jérôme Lobao a été le directeur de campagne de la socialiste Michèle Delaunay – actuelle ministre déléguée chargée des Personnes âgées et de l’Autonomie -  lors des législatives de 2007 en Gironde. Membre du collectif Romeurope et président de l’association Procom, Jérôme Lobao est très estimé par la classe politique et médiatique locale, celle-ci louant sa « démarche civique ». Il semble que cette lune de miel avec le médiateur de la ville de Bordeaux risque de prendre rapidement fin.

    En effet, ce Portugais à qui les expulsions de Roms rappelaient « les moments sombres de l’Histoire » a été placé en garde à vue au commissariat central de Mériadeck. Le 21 janvier prochain, Jérôme Lobao (photo) comparaîtra à la barre du tribunal correctionnel de Bordeaux pour répondre de corruption et d’abus de confiance.

     

    Selon nos confrères du Sud-Ouest, on lui reproche « des détournements d’argent des caisses de l’association Procom pour plusieurs milliers d’euros ». « Concrètement, Jérôme Lobao est soupçonné d’avoir soudoyé des chefs d’entreprise du BTP pour alimenter la trésorerie de Procom. Il aurait ensuite détourné cet argent pour son compte personnel » !

    http://fr.novopress.info/148210/le-mediateur-de-la-mairie-de-bordeaux-pour-les-roms-poursuivi-par-la-justice/#more-148210

  • Gabrielle Cluzel : "La famille est porteuse de valeurs aujourd'hui réputées détestables"

    La journaliste Gabrielle Cluzel répond aux questions de Medias Presse Info :

    "Avec toutes les mesures sociétales et fiscales comme la baisse du quotient familial, peut-on dire que ce gouvernement ne fait rien pour les familles ?

    Non, on ne peut pas le dire, car il ne fait pas «rien »… Il  fait pire que rien ! Il les persécute. A travers le mariage dit pour tous, c’est la famille dont on a cherché à ébranler les fondations.  Et les autres mesures, fiscales notamment, sont encore des coups de butoir supplémentaires. Et pourquoi s’acharner sur la famille ?  Parce que l’entité traditionnelle qu’elle représente est porteuse de valeurs aujourd’hui réputées détestables. Elle est un lieu de hiérarchie et d’autorité, entre les parents et les enfants.  Elle est un  lieu d’identité, de traditions communes. Elle est un lieu de transmission,  transmission d’un patrimoine génétique, matériel, culturel, civilisationnel même.  Elle est par essence un lieu, disons le mot même s’il est un peu provocateur,  d’exclusion, d’amour exclusif, où les liens filiaux, les liens du sang priment sur les autres. J’ose le dire, je préfère mes enfants à ceux des autres et je défie n’importe quelle mère  de prétendre le contraire…

    Après le vote de la loi Taubira, Hollande et son gouvernement ne comptent pas s’arrêter là. On a évoqué la PMA et la GPA. Croyez-vous qu’après plus d’un an de manifestations, le gouvernement se montrera plus prudent et qu’il faudra donc davantage se méfier ?

    Le brouillage des cartes, la fragmentation de la parentalité que sont la PMA et la GPA  (qui atteint son summum avec dissociation, dans le cas de la GPA, entre mère porteuse et mère biologique  pour éviter qu’une mère porteuse, déchirée de laisser la chair de sa chair, change d’avis et s’avise de vouloir garder le bébé…), induits par le mariage pour tous, viennent la ronger de l’intérieur faute de pouvoir totalement l’abattre par des réformes extérieures.

    Le gouvernement se montrera-t-il plus prudent ? Oui, sans doute. C’est pour cela qu’il a mis pour le moment de côté la PMA et la GPA. Mais cela reviendra tôt ou tard. D’abord parce que ce gouvernement nous a montré, que chez lui l’idéologie finissait toujours par avoir le dessus sur la plus élémentaire prudence politique. Ensuite, parce que le mariage dit pour tous ne trouve pleinement son sens qu’à travers la PMA et la GPA. On commencera par la PMA, plus facile à gober. Puis on viendra naturellement à la GPA, car sinon il y aurait discrimination patente entre les lesbiennes qui ont la chance d’avoir été dotées à la naissance d’un utérus et les gays, brimés par la nature, qui n’ont tiré qu’une prostate à la loterie de la vie. Elisabeth Badinter et Najat Belkacem ont déjà parlé du concept de « GPA éthique ». Un oxymore qui passera rapidement dans le langage courant. Il y aura au préalable un tir d’artillerie nourri, entre émotion (avec une instrumentalisation de cas particuliers qui nous tireront les larmes), et stigmatisation des opposants (« racistes », « fachos », « homophobes »…pas besoin de vous faire un dessin, je pense ?).

    Divorce, avortement, mariage homosexuel et adoption, maintenant la PMA. Peut-on parler d’un processus de destruction de la famille ?  Ne fait-on pas tout pour casser les liens qui peuvent unir les membres d’une même famille ?

    Oui, c’est évident. La famille devient  une espèce de puzzle compliqué, dont les pièces finissent par s’éparpiller. L’euthanasie sera rendue plus facile, Les liens seront tellement distendus…

    Peut-on penser que certains partis ont compris le poids électoral « Manif Pour Tous » comme on peut le voir avec le rapprochement  de Nicolas Dupont-Aignan avec Frigide Barjot ? Doit-on en profiter pour agir auprès des candidats pour les municipales et les européennes ?

    Les sentinelles et les veilleurs dans les rues doivent devenir des « sentinelles «  et des veilleurs dans les urnes. Ils doivent faire comprendre aux candidats qu’ils les tiennent à l’œil, qu’ils n’accorderont pas leurs suffrages sans certaines garanties. Deux écueils néanmoins : celui d’être instrumentalisé par tel ou tel parti et celui d’imaginer que l’on pourra créer soi-même un parti politique, reposant sur les seules questions éthiques, ce qui serait un peu réducteur.  

    Pour en revenir au sujet de la loi Taubira, n’a-t-on pas perdu pour avoir privilégié le nombre et manqué d’un discours clair et ferme politiquement ?

    C’est l’éternel dilemme quant à la stratégie à adopter… On est sur une ligne de crête. Faut-il privilégier le nombre comme vous dites en cherchant un dénominateur commun qui «ratisse large », mais  qui se révèle tellement petit in fine que l’on peut avoir perdu de vue  l’essentiel de la substance du message initial, ou au contraire par détestation de la compromission, rester entre soi, au risque de rester très «confidentiel », ce qui est moralement et intellectuellement séduisant, mais potentiellement assez stérile. L’arbitrage, en conscience, est compliqué. Si compliqué que je ne me permettrais de juger ni les uns ni les autres. Peut-être, au fait, la juxtaposition des deux points de vue par des combats parallèles, n’est-elle pas mauvaise ?  Les uns et les autres se servant mutuellement de garde-fou, de modérateur. A condition qu’ils ne perdent pas leur temps et leur énergie à se tirer mutuellement dans les pattes, évidemment.

    Le fait de dire qu’on est « contre la loi Taubira » ne donne-t-il pas un aspect négatif au combat au lieu de dire qu’on est « pour la famille » ?

    Il ne faut pas avoir peur d’être dans l’opposition, en signifiant clairement l’objet de son opposition. Et puis être « pour la famille » est un peu vague, non ? Le  gouvernement aussi prétend être pour la famille, sauf que ce qu’il appelle famille n’en est plus une.

    Justement pour plus de clarté, n’aurait-on pas intérêt à revenir aux bases et à redéfinir plus clairement ce qu’est la famille et son bien-fondé ?

    Vaste chantier ! Mais vous avez raison. Quand il n’y a plus qu’un champ de ruine il faut se retrousser les manches et rebâtir pierre par pierre. Avec patience et persévérance. Et surtout sans écouter les bonnets de nuit qui prétendent que tout est foutu."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Laïcité : Thibaud Collin à L’AF : "La laïcité est un régime de fermeture"

    Nos lecteurs connaissent bien Thibaud Collin : il nous avait déjà fait l’amitié de nous accorder un entretien sur son précédent livre : Les lendemains du mariage gay (Editions Salvator). Nous sommes revenus à lui pour qu’il nous présente, dans le cadre d’un dossier de L’AF "Pour en finir avec la laïcité", son dernier ouvrage : Sur la morale de Monsieur Peillon (Editions Salvator, 14,50 euros).

    L’AF 2875 : Vincent Peillon veut remettre à l’honneur la « morale laïque ». Or sa laïcité n’est-elle pas surtout une contre-religion ?

    Thibaud Collin : Notre Ministre est philosophe de métier. A ce titre, il a une connaissance approfondie de la tradition républicaine. Il a écrit sur Edgar Quinet, l’un des premiers théoriciens de l’école laïque, sur Jaurès, sur Ferdinand Buisson, celui qui a dirigé l’enseignement primaire pendant des années et a mis en œuvre les orientations de son ministre, Jules Ferry. Or que nous disent ces auteurs sur la laïcité en général et sur l’école et la morale laïque en particulier ? Ils tiennent en fait un discours à double-fond. Le premier consiste à dire que la laïcité est une forme juridique rendant possible la coexistence pacifique de citoyens ayant des croyances religieuses différentes (ou pas de croyances religieuses du tout). La laïcité se présente alors comme la propriété d’un régime politique et de sa législation par laquelle la question religieuse est mise entre parenthèses. Mais il existe une autre dimension de la laïcité qui la rapproche de fait d’une religion (en l’occurrence une contre-religion ou une irréligion), c’est que la laïcité contient une dogmatique par laquelle elle prétend correspondre à la vérité et au bien humain.

    Elle s’identifie alors au régime mental et institutionnel des peuples enfin « autonomes », qui ont su « se libérer » de la tutelle des institutions autoritaires, au premier chef de l’Eglise catholique et de la monarchie. Il y a donc une dimension de « libération » spirituelle et morale dans la laïcité qui de facto la place au même niveau que la croyance religieuse. Les républicains de la Troisième hier ou Vincent Peillon aujourd’hui auront beau jeu de dire que la laïcité n’est pas anti-religieuse, qu’elle respecte les croyances individuelles, leur lutte contre ce qu’ils nomment le « cléricalisme » n’est pas seulement mue par la reconnaissance d’une juste distinction entre le temporel et le spirituel. La laïcité est ici vraiment « un nouveau pouvoir spirituel ». D’ailleurs Peillon désigne ainsi l’école de la République. La volonté d’être la matrice englobant et accueillant la diversité des croyances religieuses lui attribue, qu’on le veuille ou non, une position transcendante.

    « Quelle morale dispenser dans une société laïque ? », demandez-vous. L’Etat seul ne devrait-il pas être laïque ?

    Oui, bien sûr. Comme je viens de le dire la laïcité adéquatement prise ne concerne que l’Etat et non pas la société civile qui comme telle est le lieu d’expression de toutes les dimensions de l’être humain, et donc au premier chef de cette recherche de la vérité sur le bien ultime. Cependant aujourd’hui la laïcité est de plus en plus vue comme une norme exigeant de la part des individus une privatisation de leur croyance religieuse et de ses implications sociales et culturelles. Cette dualité est à interroger. C’est la personne dans son unité qui adhère à une doctrine ou à une personne comme étant vraie et cela engendre une conversion dans la manière de vivre, de se rapporter à soi-même et aux autres.

    Vous soulignez, à l’encontre de la pensée dominante, que « la laïcité est essentiellement fermeture ». Pourquoi ? [...]

    Propos recueillis par François Marcilihac

    La suite de l’entretien et du dossier "Pour en finir avec la laïcité" dans L’AF 2875 :

    - Entretien avec Thibaud Collin
    - "Retrouver l’identité nationale" par Elie Hatem
    - "Affaire Baby-Loup : un imbroglio juridique" par Elie Hatem
    - "Le procès du voile intégral" par Grégoire Dubost

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Laicite-Thibaud-Collin-a-L-AF-La

     

     

  • Les Mères Veilleuses interpellent Dominique Bertinotti

    Communiqué des Mères Veilleuses :

    "Non à la promotion de tous les types de « familles » oui à l’aide à la famille durable

    Inquiètes de l’état d’esprit dans lequel s’élabore le projet de loi familles, les Mères Veilleuses se réuniront lundi 9 décembre à 12 heures devant le mur de la Paix, sur le Champ de Mars à Paris, puis apporteront une lettre au ouverte à la ministre déléguée à la famille.

    Après la loi Taubira, qui a pour conséquence de priver délibérément certains enfants de leur père ou de leur mère, les Mères Veilleuses s’inquiètent du projet de loi familles, qui vise à ériger en modèles équivalents pour l’enfant toutes les formes de familles, comme l’a exprimé Dominique Bertinotti : « Si nous avons besoin d’une loi famille, ou plutôt d’une loi familles, ce n’est pas pour être dans la défense la famille, mais pour garantir la promotion de toutes les familles. » Les Mères Veilleuses respectent et accueillent toutes les formes de familles, mais estiment que la famille fondée sur l’altérité sexuelle et la filiation naturelle doit demeurer la référence, au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant.

    Il est ainsi incompréhensible d’entendre la ministre vouloir faire la promotion de la famille monoparentale, quand on sait les difficultés et les souffrances que connaissent bien souvent les mères ou les pères seuls, ainsi que leurs enfants !

    Les Mères Veilleuses s’inquiètent en outre d’un projet élaboré sans les associations familiales, mais offrant des tribunes à nombre de personnalités marquées par une idéologie des plus libertaires en matière de filiation. Elles demandent à être reçues par Dominique Bertinotti, afin de contribuer à l’élaboration du projet de loi, et veulent l’assurance que ce dernier n’ouvrira pas aux couples homosexuels la PMA et la GPA, afin que jamais une femme ne soit amenée à louer son ventre.

    Les mères veilleuses vous donnent rendez-vous le lundi 9 décembre au Mur de la Paix, sur le Champde- Mars à Paris, pour un point presse à 12h30. Elles seraient heureuses d’y rencontrer les médias, afin de faire entendre, loin des clichés véhiculés, leurs voix de mères qui souhaitent défendre l’égalité des enfants. Elles porteront ensuite à Madame Bertinotti une lettre ouverte.

    Né le 21 avril 2013, le collectif des Mères Veilleuses rassemble plus de 1000 femmes dans toute la France. Chaque première semaine du mois, elles proposent dans plusieurs villes des espaces de rencontres et d’échanges en profondeur. Ce qui les réunit, c’est leur détermination à protéger pacifiquement le plus faible, l’enfant. Elles défendent le droit de l’enfant à connaître ses parents biologiques et, chaque fois que c’est possible, à être élevé par eux."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Quand « Marianne » manipule…

    « La journaliste ne présentera pas ses excuses. C’est étranger à la tradition de la presse française. »

    Le 22 septembre dernier, on pouvait lire dans l’hebdomadaire Marianne, sous la signature de Lisa Vignoli, les quelques lignes suivantes : « Alain Soral est passé de mode. Mais il reste Dieudonné, Robert Ménard et Thierry Meyssan […] « Ces porteurs d’idéologie profitent et entretiennent la détestation selon une stratégie bien déterminée », analyse le chercheur en philosophie Vivien Hoch […] Leurs diverses provocations, leur entretien de l’idéologie antisémite et leur ironie constante devraient les écarter du débat public. » Rien de moins.

    Il se trouve que Robert Ménard n’est pas antisémite. (Ni fasciste, ni raciste). Il se trouve que cette imputation assassine était une pure (si l’on peut dire) et simple invention de Lisa Vignoli. Il s’est trouvé qu’à peine avait-il pris connaissance des affabulations de cette dernière, M. Vivien Hoch, justement indigné, démentait les propos qui lui avaient été faussement prêtés et prenait même la peine d’adresser à Robert Ménard le texte dont s’autorisait Lisa Vignoli, et qui disait tout le contraire. Non seulement Robert Ménard n’y était pas cité parmi les « porteurs d’idéologie » en question, mais il y était écrit en toutes lettres qu’il « tente de s’exprimer sincèrement, sans stratégie invisible, et en cela mérite un écho dans le débat public ».

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  • Élus parisiens : abus de pouvoir dans l’accession au logement social

    PARIS (Bulletin de réinformation) – 74 m² pour 1.170 € par mois, soit 60 % moins cher qu’un logement privé : les privilèges de Geoffroy Boulard, un adjoint UMP à la sécurité dans le XVIIème arrondissement font scandale.

    Alors que beaucoup d’élus de tous bords abusent largement de leur situation politique, les partis politiques du Système se sont indignés d’un tel abus, cela dans un contexte immobilier particulièrement tendu en région parisienne. En 2012, on comptait en effet plus de 380.000 demandeurs de logement sociaux en Ile‑de‑France dont seuls 20 % ont obtenu satisfaction. Pour 2013, le nombre de demandes est proche des 500.000, selon le bailleur Paris Habitat.

    Deux têtes de liste UMP aux élections municipales de Paris occupent un logement social

    Les ressources financières dont disposent MM. Bohbot (un patronyme qui ne s’invente pas) et Giannesini, dépassent pourtant largement les seuils fixés pour bénéficier d’un tel logement. Mediapart a par ailleurs publié cette semaine la liste des adjoints PS et PC au maire de Paris qui bénéficiaient de logements sociaux avant leur élection, et qui ont « oublié » de déclarer leur changement de situation financière. Parmi ces resquilleurs, Jean Vuillermoz, (qui loue un 53 m² pour 300 € par mois) ; Liliane Capelle (100 m² pour 1.800 €), Pierre Mansat, Claudine Bouygues, Didier Guillot, ou encore Catherine Vieu‑Charier, une ancienne directrice d’école qui bénéficie encore de son logement de fonction : 68 m² pour 300 €. A ces élus parisiens se rajoutent des élus nationaux, dont notamment l’ancienne ministre Delphine Batho ou encore Jean‑Pierre Chevènement. Alors que le personnel politique prône l’égalité et la transparence à tout crin, c’est toujours : « Faites, ce que je dis, mais pas ce que je fais »…

    http://fr.novopress.info/148082/elus-parisiens-abus-de-pouvoir-dans-laccession-au-logement-social/

  • Qui n'aime pas la France ?

    L’histoire se répète et c’est souvent bien triste.

    Hier, les révolutionnaires s’emparaient de la notion de « patrie », accusant les royalistes de trahir la France au motif que ceux-ci avaient pris les armes contre une révolution régicide et déicide.

    Hier, ces mêmes révolutionnaires décrétaient, non sans suffisance, qu’eux seuls représentaient la France, voire « qu’ils étaient » la France. Toute honte bue, ils accusaient leurs adversaires - lesquels appartenaient pourtant à des familles qui avaient servi le pays durant des siècles dans les institutions comme sur les champs de bataille - d’être des apatrides. S’arrogeant un magistère insupportable, ils refusaient l’idée que des hommes pussent encore défendre un système à leurs yeux archaïque, alors que les « philosophes » avaient su faire passer la France des ténèbres à la lumière. Ils oubliaient qu’avant eux, la France était le pays phare de l’Europe, le pays qui rayonnait, que tout le monde enviait, que tout le monde s’efforçait d’imiter. [...]

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  • Menaces de mort à Lyon

     

    Ce matin les habitants du quartier d'Ainay dans le 2e arrondissement de Lyon ont découvert de nombreux graffitis extrémistes sur les murs de la mairie d'arrondissement et de la salle municipale François Sala où doit se tenir ce soir "La soirée branchée" des Enfants des Terreaux. Des graffitis "antifascistes" et anti-catholiques revendiquant notamment "Enfant des Terreaux, un coup de couteau". Plusieurs plaintes ont été déposées dans la journée et une enquête de police est actuellement diligentée. Les enfants des Terreaux font part de leur stupéfaction face à ces messages de haine. Malgré ces menaces, les Enfants des Terreaux maintiennent leur soirée festive ce soir et rappellent qu'il ne lâcheront jamais rien.

     

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    Michel Janva

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/