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magouille et compagnie - Page 270

  • Pour les pays du Visegrád, la première menace d’ingérence, c’est… l’UE !

    © Fred Romero/Wikimédia
    © Fred Romero/Wikimédia
    C'est l'histoire de l'arroseur arrosé ! Tandis qu'elle accuse ouvertement la Russie d'ingérence, l'Union européenne se retrouve dans le viseur des pays de l'Est. Un sondage réalisé auprès des pays du Visegrád sur les ingérences étrangères a été commandé par l’Observatoire européen des médias numériques (EDMO) et réalisé en partie par Ipsos, entre fin avril et début mai, auprès de 1.000 personnes de 18 à 65 ans en République tchèque, autant en Hongrie et autant en Slovaquie. La recherche a été menée pour le compte du CEDMO par Ipsos (pour la collecte de données en République tchèque, en Slovaquie et en Hongrie) et par l'Instytut Badań Pollster (pour la collecte de données en Pologne). Outre les questions sur la satisfaction à l'égard du fonctionnement de la démocratie ou sur la volonté de voter aux élections, les sondés ont aussi répondu sur le risque d'influence de la part d'États étrangers et d'institutions internationales.

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  • Vers l’auto-attestation pour les arrêts de travail courts car il n’y a plus assez de médecins

    Voilà qui va nous rappeler de sacrés souvenirs, ceux du Covid.

    Il faut dire qu’en économie de pénurie, il faut appeler un chat un chat.

    C’est la dure loi du réel.

    Quand il n’y a plus de médecins, il ne faut plus jouer à « et si nous avions des médecins ».

    Déjà, il faut supprimer les certificats médicaux pour les pratiques sportives. Ce n’est pas bien « grave », il y aura juste un peu plus de morts sur les terrains de sport.

    Et comme nous n’avons pas plus de médecins puisque Cuba ne veut pas nous en envoyer assez, « le gouvernement étudie la piste de l’auto-déclaration des arrêts de travail courts » !

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  • Santé : une politique de liquidation générale ?

    La dépense hospitalière globale en France, c’est environ 100 milliards d’euros par an, avec 80 milliards pour le public et 18 milliards pour les cliniques. Si ces établissements privés venaient à disparaître, pour passer à un système 100 % public, il faudrait, selon des estimations, dépenser 4 à 5 milliards d’euros de plus par an. Ces les cliniques privées, comme les hôpitaux publics, sont dans le rouge, mais ne bénéficient pas de la garantie de leurs dettes par l’Etat. La proportion des établissements privés en déficit augmente, pour atteindre 40 % aujourd’hui, soit une augmentation de plus de 50 % par rapport à 2021. En cause, une forte inflation n’a pas été compensée par des augmentations de tarifs. Ces cliniques devraient bénéficier de seulement 0,4 % de leur grille tarifaire en 2024, contre 4,4 % pour les hôpitaux publics. Et l’hôpital public a récupéré, à lui seul, les 470 millions d’euros de la sous-exécution de la Sécurité sociale en 2023

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  • Le conflit ukrainien aurait pu cesser il y a deux ans… le dire était complotiste !

    illustration jean ukraine
    C’est le journal allemand Die Welt qui a révélé l’information, et Le Figaro la reprend dans son édition du 14 mai. Jusqu’ici, tous ceux qui osaient affirmer que l’Ukraine et la Russie avaient commencé à négocier dès février 2022 et que le conflit était sur le point de se terminer rapidement avaient été qualifiés de complotistes – d’extrême droite, le plus souvent, évidemment.

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  • EURODEGENERESCENCE !

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    Pieter Kerstens 

    Par curiosité, j’ai regardé l’Eurovision de la chanson ce samedi 11 mai. Hors de la polémique concernant la candidate pour Israël et les diverses manifestations à Malmö, on doit reconnaitre que ce concours était bien organisé et orchestré.

    Quelles chansons et quelles voix ?

    L’Eurovision est avant tout un organisme international chargé, au sein de l’Union Européenne de radiotélévision, de coordonner les échanges de programmes de télévision entre les pays d’Europe occidentale et du Bassin méditerranéen, dont le siège est à Genève.

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  • Allo ?! C’est la panique, il me faut un débat

    La panique du camp présidentiel est palpable, à moins d’un mois des élections européennes. Macron qui annonçait régulièrement qu’il allait envoyer des soldats français en Ukraine, histoire d’apparaître comme un chef de guerre et de rassembler, semble avoir compris que personne dans ce pays, à part lui et quelques « consultants », sans doute rémunérés pour donner du corps aux analyses présidentielles, n’avait envie d’aller mourir sur un front russe. Même Ménard, l’air sentencieux, appelait les jeunes de ce pays à accepter d’aller mourir en Ukraine, pour défendre nos « valeurs européennes ». Lesquelles ? Celles, bien visibles, en action au concours de l’Eurovision, dégenrées, dégénérées, sataniques ? Non, les valeurs européennes, ça ne prend pas. Macron change alors de discours, peine décidément à se placer comme président, au dessus des partis et veut absolument participer à la campagne de Hayer, qu’il ne cesse pourtant de couler, comme si elle n’y arrivait pas assez bien toute seule.

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  • Xavier Raufer - Macron et les JO du chaos ?

    Capture d’écran 2024-05-14 à 11.23.16.png

    Plongez au cœur des enjeux sécuritaires qui préoccupent la France et les Français à l'approche des Jeux olympiques de Paris. Avec Xavier Raufer, criminologue, directeur d’études au pôle sécurité défense du CNAM, également professeur aux États-Unis, en Chine, nous analysons la situation actuelle, marquée par une série d'événements violents et une menace terroriste persistante, le tout dans une forme de déni du gouvernement et d'Emmanuel Macron.

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  • Xavier Raufer - Macron et les JO du chaos ?

    Capture d’écran 2024-05-14 à 11.23.16.png

    Plongez au cœur des enjeux sécuritaires qui préoccupent la France et les Français à l'approche des Jeux olympiques de Paris. Avec Xavier Raufer, criminologue, directeur d’études au pôle sécurité défense du CNAM, également professeur aux États-Unis, en Chine, nous analysons la situation actuelle, marquée par une série d'événements violents et une menace terroriste persistante, le tout dans une forme de déni du gouvernement et d'Emmanuel Macron.

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  • Guerre : des mots en l’air ou une vraie menace ?

    Macron a dit et répété qu’il était possible que la France envoie des troupes au sol en Ukraine ; parce qu’il ne fallait pas que la Russie gagne la guerre là-bas. Alors, faut-il vraiment craindre la guerre ? Et si une telle guerre commençait, d’abord avec l’armée de métier, ne risque-t-on pas de voir appelés à la mobilisation, toute une génération d’hommes valides ? 1 750 000 Français avaient été envoyés se battre en Algérie entre 1954 et 1962 de cette façon.

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  • La Nouvelle-Calédonie s’embrase car les indépendantistes kanaks refusent que le droit de vote s’étende aux habitants arrivés sur l’île depuis 1998, ils craignent de se retrouver minoritaires

    DÉCRYPTAGE – Les exactions commises dans la nuit de lundi à mardi, sur fond de réforme contestée par les indépendantistes, font craindre au gouvernement un cycle de violences.

    Des maisons brûlées, des voitures calcinées, des tirs à la carabine de chasse contre des gendarmes, des pillages… La Nouvelle-Calédonie s’est réveillée sonnée, mardi, par une nuit de violentes émeutes dans l’agglomération de Nouméa. Au point qu’un couvre-feu la nuit suivante a été décrété et que le gouvernement local a lancé un appel au calme, au moment où l’Assemblée nationale examine, à Paris, une réforme de la Constitution contestée par les indépendantistes. Explications en cinq questions-réponses.

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