magouille et compagnie - Page 281
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« Spirale de révoltes » : le scénario qui affole la Macronie !
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Racket électrique, racket des péages…tout ce qui change au 1er février 2024
A chaque début de mois, des nouveautés, qui vont rarement dans le sens des citoyens de ce pays, asphyxiés par les taxes, les charges, l’inflation, les augmentations en tout genre, et le racket d’un Etat qui leur indique en plus chaque jour qu’il serait très sympathique avec eux. Ce 1er février 2024 ne déroge pas à la règle, voyez plutôt.
Les factures d’électricité augmenteront à partir du 1er février pour les ménages et les entreprises qui ont souscrit au tarif réglementé d’EDF (le tarif dit bleu, le tarif heures pleines/heures creuses, ou l’offre Tempo). Une hausse en moyenne de 8,6 % (pour les tarifs de base) à 9,8 % (sur les tarifs heures pleines et heures creuses) liée au rétablissement partiel de la taxe intérieure de consommation finale de l’électricité (TICFE). Une taxe de plus donc, qui va provoquer des sueurs froides chez les particuliers, déjà asphyxiés, alors que certains ont cru souscrire à des offres bloquées durant 2 ans, c’était sans compter ce nouveau racket (alors que l’Etat n’est plus capable dans le même temps d’assurer une bonne scolarité à vos enfants, des soins de qualité dans les hôpitaux, un service public partout sur le territoire, votre sécurité. C’est le Tiers monde, mais vous payez quand même plus que les autres).
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Malgré la grogne des agriculteurs, un rapport appelle encore à la décroissance
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La Cnil autorise le stockage de données de l’Assurance maladie chez Microsoft. Et ce, malgré “le risque de communication à des puissances étrangères”.
Faute de prestataire européen, la Cnil a validé l’hébergement de données de santé des Français chez Microsoft, pour une durée de trois ans. Et ce, malgré “le risque de communication à des puissances étrangères”.
La Cnil a autorisé l’hébergement temporaire chez l’américain Microsoft d’un entrepôt de données de santé pour la recherche alimenté par l’Assurance maladie, une première pour la gardienne française des libertés numériques, selon une décision parue mercredi sur Legifrance.
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Mafia et chantage : Ursula prise la main dans le sac !
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Les dangers du traité Mercosur (1) : périls écologique et sanitaire...
Quelques tracteurs s’approchent de Rungis, et c’est Paris qui s’inquiète, du moins le pays légal : si l’heure n’est pas aux violences, la crainte d’un siège de Paris et de troubles aux portes des villes est bien là, prégnante, entêtante même, et les agriculteurs semblent se préparer à un long bras de fer avec le gouvernement mais, plus encore, avec Bruxelles et ses dogmes libre-échangistes et mondialistes. L’un des points de tension est le fameux accord Mercosur, défendu par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et par nombre des pays de l’UE, aussi peu soucieux de la préservation de l’Amazonie qu’ils le sont de l’agriculture française : malgré le souhait fortement exprimé du président Emmanuel Macron de ne pas donner suite, aujourd’hui, au projet de traité, les négociateurs européens n’ont pas vraiment interrompu les discussions avec le Mercosur (Brésil, Argentine, Paraguay, Uruguay), certains eurocrates de l’UE expliquant même qu’ils espéraient que l’accord serait signé avant les prochaines élections européennes du mois de juin.
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Charles Demassieux en prison ce soir ? Les juges s’acharnent contre un héros !
Un communiqué de Riposte laïque cliquez ici :
Nous venons d’apprendre une nouvelle mise en garde à vue de notre collaborateur, Charles Demassieux, arrêté par la police judiciaire de Versailles, ce mercredi 31 janvier, à 10 heures 30, sous le prétexte fallacieux de menace de mort contre magistrat. Son ordinateur et son téléphone portable ont été saisis par les policiers.
Le destin de Charles Demassieux a basculé le 15 octobre 2023, dans un petit village de la Creuse où il avait décidé de venir vivre, lassé par les turpitudes de la région parisienne. cliquez ici
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« Une filière criminelle tunisienne très implantée, à 70% de ce qui est commis » : Christian Estrosi, décrypte la situation de la cité des Moulins à Nice
Il a choisi de casser les codes à l’occasion du traditionnel raout hivernal des “Amis du Maire”. Lundi 29 janvier depuis le Palais de la Méditerranée, l’édile a ainsi rapidement interrompu son discours pour proposer à la salle de lui poser des questions au débotté. Dans l’assistance, deux niçoises ont pu prendre le micro, et dénoncer la situation des Moulins.
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[Point de vue] Réformes de l’enseignement : G. Attal jette de la poudre aux yeux
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ZFE : ILS DÉCLARENT LA GUERRE À LA FRANCE RURALE