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Pour ceux qui s’imaginent que la guerre en Ukraine à débuté en février 2022, qui sont gavés de propagande par les mainstream en refusant de s’informer autrement, et qui écoutent religieusement, les « mensonges officiels » martelés en boucle par la boite à décérébrer dirigée par des milliardaires.
Comme beaucoup, je ne regarde plus les infaux et intox des chaînes TV qu’avec beaucoup de réserves. Hier au soir sur la chaîne franco-allemande ARTE, j’ai pu voir l’ampleur de la désinformation, avec un reportage sur les « salles de tortures russes » découvertes après la « libération » de Kherson, appuyée par le témoignage d’un « torturé » qui prétendait avoir été électrocuté. Je passe sur les qualificatifs déversés par la journaliste concernant les russes, à grand renfort de « crimes de guerre » et d’État « terroriste ».
C'était un génie, le nouveau JP Morgan, l'idole de la presse américaine et le second plus gros donateur du Parti Démocrate (Bon Sang ne saurait mentir); il pensait même racheter Goldman Sachs à ses heures perdues...
Las, c'était en fait le Madoff de la cryptomonnaie, et comme avec Madoff, l'Autorité des Marchés Financiers US (la SEC) s'est démontrée sourde et aveugle à tous les signes précurseurs graves d'une arnaque imminente.
Samuel Bankman Fried, fils de bonne famille ultra-connecté aura participé à un réseau opaque de blanchiment, d'arnaque et de corruption dans lequel des millions d'épargnants auront laissé un bras...
Mais n'oubliez pas, c'est sur Didier Raoult et sur Elon Musk qu'il faut braquer les meilleurs investigations de la presse
Enlevée à la sortie du collège vendredi à midi à Tonneins
Après le meurtre sordide de la petite Lola à Paris, il y a un mois, c'est au tour de la petite ville de Tonneins, en Lot-et-Garonne, d'être confrontée à l'horreur. Vanessa était une collégienne de 14 ans scolarisée au collège Germillac de Tonneins. Vendredi, sa mère, ne la voyant pas revenir, donne l'alerte.
Le ministère de l’Intérieur a recensé près de 1.500 associations qui viennent en aide aux migrants dès leur arrivée jusqu’à leur parcours administratif. Mais un paradoxe existe puisque ces associations, pour certaines, sont critiquées par le gouvernement, alors que c’est l’État qui les mandate pour intervenir.
Le bombardement médiatique avec les armes de distraction de masse s’intensifie. Il y a quelques jours la Pologne annonce avoir été frappée par deux missiles russes, les grands médias diffusent la nouvelle, l’alarme se déclenche, Moscou communique que c’est un faux mais personne n’écoute. Puis l’OTAN admet que l’accident a été causé par un missile ukrainien, mais les jeux désormais sont faits.
Attaquée par l’extrême droite après la décision de justice de libérer les migrants de l’Ocean Viking, la macronie espère bien s’attaquer aux trous dans la raquette juridictionnelle avec sa réforme de l’immigration.
Mehdi Meklat, avec la sortie de Arthur Rambo, revient sur le devant de la scène. Ce film est focalisé sur Marcelin Deschamps, triste pseudonyme que l’auteur et réalisateur avait utilisé voilà quelques années sur Twitter. Il s’en était alors servi pour dérouler une série de messages haineux, à caractère ouvertement misogyne et antisémite. Marcelin devenu Arthur, voilà qui ouvre à quelques questions.
Assa Traoré, ce vendredi 18 novembre, était entendue à l’ONU, dans le cadre de la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale en France, comme elle le rapporte sur sa page Facebook.
Dans une orthographe et une grammaire plus qu’approximatives – « la France a dû répondre aux des rapporteurs sur plusieurs cas discriminatoires et raciales » –, elle explique : « C’est un drame inconsolable qui me porte devant vous. Je me battrai toute ma vie pour que ce qui est arrivé à mon frère Adama n’arrive à aucun autre d’entre nous, à aucun de vos enfants, d’où qu’il vienne, qui qu’il soit, quelle que soit sa couleur ou sa religion. Nous avons des devoirs envers les générations qui nous suivent, celui d’être à la hauteur des valeurs d’égalité que nous portons haut et fort. »
La plupart des gens sont déconcertés face à ce qui ressemble à une crise énergétique mondiale : avec des prix du pétrole, du gaz et du charbon qui montent en flèche simultanément, et qui forcent même la fermeture de grandes usines industrielles telles que la chimie, l’aluminium ou l’acier. L’Administration Biden et l’Union europénne (UE) ont insisté sur le fait que tout ceci était dû aux actions militaires de Vladimir Poutine et de la Russie en Ukraine. Or ce n’est pas le cas. Cette crise énergétique est en fait une stratégie planifiée de longue date par les milieux affairistes et politiques occidentaux, afin de démanteler les économies industrialisées, au nom d’un « Agenda vert » dystopique. Les origines de cette évolution actuelles sont à rechercher dans la période bien plus ancienne que février 2022, lorsque la Russie a lancé son action militaire en Ukraine.