
En Algérie, Gérald Darmanin a signifié - comme cela a été fait en Tunisie et au Maroc - la fin de la « crise des visas ». On se souvient qu’en septembre 2021 - début de la campagne présidentielle, sûrement une coïncidence -, Emmanuel Macron avait annoncé diviser par deux les visas délivrés aux ressortissants de ces pays. Une mesure de rétorsion envers des États renâclant à délivrer des laisser-passer consulaires. Foin de ces mesquines chamailleries aujourd'hui, embrassons-nous, Folleville ! Qu’a-t-il été négocié en échange de ces largesses ? Difficile à dire précisément.