Alexandre Bompard a créé la surprise lors de l'annonce de son plan 2026 avec le lancement de l'enseigne Atacadão… en France. Le PDG de Carrefour ouvrira en effet à l'automne 2023 aux Franciliens ce Cash & carry à la française qu'il exploite avec succès au Brésil. Pour se faire une idée, Atacadão, c'est à la fois un grossiste et un supermarché. Dans les allées du magasin, qui ressemble davantage à un entrepôt (un peu comme l’enseigne Métro en France, qui est justement un grossiste), on trouve des particuliers comme des professionnels. Les petites quantités sont bannies et tous les produits sont proposés dans des conditionnements plus volumineux qu'en supermarché. C’est à même le sol que palettes et cartons s'entassent dans les rayons du magasin-entrepôt. À la caisse, les chariots vomissent leurs ras bord, car le prix des produits diminue avec la quantité…
magouille et compagnie - Page 545
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Le grand déclassement des Français est en marche, par Florent Machabert
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Exclu le capitaine Juving-Brunet en garde à vue suite à la création du Franc libre
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Nanterre (92) : deux patientes âgées de 70 et 78 ans violées à l’hôpital, une fillette de 12 ans violée deux jours plus tard par le même homme, un migrant congolais (MàJ : il prétend agir sous le coup de pulsions mais ciblait les personnes vulnérables)
26/11/2022
À l’époque, l’agresseur court encore. Ce SDF de 27 ans sera finalement interpellé le 9 septembre, presque par hasard, en train de frauder, gare de Lyon à Paris. Ses empreintes génétiques permettront de lui attribuer un troisième viol, commis deux jours après ceux de l’hôpital, toujours à Nanterre. L’homme avait repéré une fillette de douze ans depuis la rue, avait réussi à se glisser dans l’appartement par une fenêtre, l’avait enfermée à clé, étranglée, et lui avait imposé plusieurs actes sexuels avant de prendre la fuite. Un violeur en série présumé, qui a reconnu en garde à vue agir sous le coup de « pulsions » en ciblant des populations vulnérables. « C’est terrible, tout ça aurait pu être évité… », lâche Agnès en secouant la tête.
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Macron prépare son avenir « à l’international », mais pas celui de la France
Jeudi, Gabrielle Cluzel épinglait Emmanuel Macron pour son culot : ne prétend-il pas « bâtir un travail de civilisation » tout en accélérant la disparition de la nôtre ?
Le problème, avec notre président, c'est qu'on peut le prendre en flagrant délit quasiment tous les jours : un jour avec Yseult et la francophonie, le lendemain avec les maires de France, le surlendemain sur McKinsey : « Je ne crains rien »... Il est une série à lui tout seul, ou un caractère de La Bruyère : la prétention avec un grand P.
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e-générosité pour ravis de la crèche !
La chronique de Philippe Randa
Dans un passé de moins en moins récent, se montrer chaque dimanche à la messe était certes un acte de piété pour beaucoup, mais aussi une occasion de paraître pour certains.
Ainsi de certains fortunés qui, à la sortie de l’office, s’attardaient sur le parvis pour sortir leur bourse et lâcher quelques piécettes aux malheureux qui demandaient l’aumône. Il fallait que cela se voie, se sache, se dise… Une bonne action, surtout à moindres frais et à condition d’être publique, faisait son bourgeois aussi sûrement que son embonpoint.
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"s'il n'y a pas d'autre choix, je fabriquerai un autre téléphone" : Elon Musk envisage la création d'une "alternative" si Twitter était retiré des boutiques Apple et Google
Elon Musk a déclaré qu'il pourrait lancer son propre smartphone si Twitter était retiré des plateformes populaires comme Apple et Google, suggérant qu'il pourrait ne pas avoir d'autre option.
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L’Allemagne coule, l’Europe avec et Bruno Le Maire ne s’en rend absolument pas compte
par H16
Tiens, voilà qu’une Große Katastrophe se profile sur l’horizon teuton : on apprend qu’Uniper, la principale société allemande de vente de gaz et premier distributeur de l’entreprise russe Gazprom, doit faire appel à l’État allemand à hauteur de 55 milliards d’euros suite à une perte nette kolossale établie à 40 milliards d’euros depuis le début de l’année.
Un milliard d’euros par-ci, un milliard d’euros par-là et, rapidement, on commence à parler gros sous. En tout cas, à 55 milliards d’euros, voilà une somme rondelette qui va peut-être faire réfléchir Olaf Scholz sur les choix énergétiques opérés ces dernières années par l’Allemagne : manifestement, multiplier les efforts sur les énergies renouvelables revient un peu trop à multiplier aussi les approvisionnements en gaz et à se retrouver en fâcheuse posture lorsque la conjoncture internationale change un tantinet.
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McKinsey : où est passée l’exemplarité prônée par Emmanuel Macron ?
« La République exemplaire ». Cette promesse du candidat Macron s'est bien vite dévoyée.
Sept mois après les révélations du rapport sénatorial sur « l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques », le Parquet national financier (PNF) confirme, ce jeudi 24 novembre, le lancement de plusieurs procédures dans le cadre de l’affaire McKinsey.
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Ukraine. Emmanuel Macron annonce "une contribution supplémentaire de 6 millions d'euros pour le transport et la distribution par le programme alimentaire mondial de céréales d'Ukraine à destination du Yémen et du Soudan" (Vidéo)
Après avoir rappelé que "Nous contribuons à hauteur de 14 millions de dollars à l'acheminement, par le programme alimentaire mondial, de 25.000 tonnes de blé (...) à destination de la Somalie", Emmanuel Macron annonce "une contribution supplémentaire de 6 millions d'euros pour le transport et la distribution, par le programme alimentaire mondial, de céréales d'Ukraine à destination du Yémen et du Soudan". Pour le président de la République : "Les pays les plus fragiles ne doivent pas payer le prix d'une guerre qu'ils n'ont pas voulue. La France comme l'Ukraine et comme tous nos partenaires, a décidé de faire et fera toujours le choix d'une solidarité en actes"
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OQTF, contentieux : chiffres et révélations du futur projet de loi sur l’asile et l’immigration
Ce document préparatif, que BV s’est procuré, sert de base aux conversations menées par le gouvernement avec les partis politiques, syndicats patronaux, etc., dans le cadre de la future loi qui verra le jour au printemps. Le gouvernement est bien obligé de lâcher quelques chiffres, quelques arguments, quelques états des lieux pour justifier ses ambitions de changement. Et ce n’est pas piqué des hannetons.