
Albert Coroz : Le bras de fer qui dure entre la Hongrie et l'UE l'a privée des fonds européens qui lui reviennent contractuellement (7,2 milliards).
Contrairement à la propagande de nos journaleux en Suisse romande, il ne s'agit pas de charité, cet argent fait partie du contrat établi entre l'UE ses États membres.
Au grand désespoir de l'UE progressiste, le peuple hongrois a réélu pour la troisième fois en 2022 Orban et sa coalition, qui plus est avec une écrasante majorité. Pour les fonctionnaires européens, ne pas voter progressiste est équivalent à un déni de démocratie. C'est pourquoi, la Hongrie doit périodiquement remplir une liste d'exigences qui lui sont adressées par le Parlement européen afin de satisfaire à des critères totalement arbitraires et farfelus, pour mériter ce qui lui revient de droit.