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magouille et compagnie - Page 829

  • Il sera toujours plus confortable d’épingler le distrait qui a oublié son masque que le dealer au sein de son quartier.

    Il sera toujours plus confortable d’épingler le distrait qui a oublié son masque que le dealer au sein de son quartier.

    Extrait d’une tribune de Christian Vanneste :

    “(…) Les policiers pourront donc taxer les « clients » solvables mais seront impuissants devant l’activité des zones où leur présence réclame des opérations d’ampleur considérable. Et il sera toujours plus confortable d’épingler le distrait qui a oublié son masque que le dealer au sein de son quartier.

    Lorsqu’on passe des technocrates aux idéologues, c’est le mot lui-même qui effarouche. Qui dit ensauvagement dit sauvage, et qui dit sauvage commence à sentir le soufre du racisme. Les faits ont beau être têtus et aligner des auteurs qui ne s’appellent ni Philippe, ni Mélanie, ni Thomas, ni Axelle, car ce sont les prénoms des victimes, l’antiracisme inquisiteur refuse ce terme sourdement discriminant. Lorsqu’un crime met en lumière une partition ethnique de notre société, parce que justement des ethnies différentes, et non des races, ont des cultures différentes, et donc des comportements différents, un rapport différent à la violence, notamment, la novlangue progressiste édulcore : ce sont des incivilités, commises par des « jeunes », victimes de conditions sociales défavorables. Ce sont les victimes de la colonisation à la fois comme descendants de colonisés et comme « indigènes » colonisés en France même.

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  • À la une de Paris Match, les acrobaties du couple présidentiel à Brégançon

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    Chemise blanche pour lui, veste blanche pour elle. Le couple présidentiel pose pour la couverture de Paris Match. Quelques dossiers posés négligemment sur la table. Le message est envoyé à la France besogneuse. Il bosse même en vacances.

    Aux côtés du Président, son épouse a choisi une position périlleuse censée faire « décontracté ». À moitié assise à l’envers sur la table, le tronc néanmoins tourné vers l’objectif, cramponnée au rebord pour ne pas tomber. Roulement de tambour. Coup de cymbale. Et voilà, mesdames, messieurs, une première dame qui défie les lois de la pesanteur pour la bonne image de son mari. En pages intérieures, les coulisses de la cascade.

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  • Le Professeur Luc Montagnier dénonce les mensonges sur le Covid 19 : “Même les scientifiques sont achetés”

    Virologiste et Prix Nobel, le Professeur Luc Montagnier revient sur les folies de notre temps concernant le Covid 19, création humaine répète-t-il. Et il assène : “Même les scientifiques sont achetés”


    https://www.medias-presse.info/le-professeur-luc-montagnier-denonce-les-mensonges-sur-le-covid-19-meme-les-scientifiques-sont-achetes/123737/

     
  • De la gestion liquide à la société liquidée (quand tout est privatisé)

    L’État français privatise. Il privatise la Française des jeux, ENGIE et ADP, les barrages et bientôt les routes, après les autoroutes. La question que pose notre temps est celle de la vraie définition des fonctions régaliennes : qu’est-ce qui doit relever de l’État ?

    Ce que l'État nous dit c'est qu'il n'a pas vocation à gérer l'énergie, les jeux, les transports. Il le dit pour plusieurs raisons. D'une part, et de la manière la plus plate, la plus simple et la plus désagréable, il y est contraint par l'Union européenne qui exige qu'on dérégule l'énergie et les transports.

    Sans être farouchement libéral, on peut considérer que la doctrine des monopoles naturels a vécu, en effet. On pouvait trouver légitime que ces monopoles naturels soient des monopoles d'État à cause de l'ampleur pharaonique des investissements nécessaires pour créer telles sortes d'infrastructures par exemple, établir ex nihilo un réseau de voies ferrées, équiper tout un pays en centrales nucléaires ou même, plus modestement, équiper des communes montagnardes en remontées mécaniques, comme la Caisse des dépôts le fit à travers la Compagnie des Alpes. L'État se substitue légitimement à l'initiative privée si le bien commun exige qu'un équipement onéreux soit accessible à tous (de manière gratuite ou faiblement prisée). On a vu, au moment où le transport aérien fut libéralisé en Europe, que tous les discours sur l'impossible rentabilité des compagnies intérieures privées étaient faux les opérateurs privés réussirent aussi bien et mieux que les opérateurs publics en vendant des prestations à des prix inférieurs. Certains monopoles d'État n'ont d'autres justifications que la préservation d'une économie de rente.

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  • Séparatisme ? Pour ne pas écrire conquête islamique ?

    Le terme « séparatisme » est revenu tout récemment dans le vocabulaire politique. Dans les années 1950, il désignait les velléités de groupuscules, terroristes ou non, de séparer de la mère patrie les départements français situés en Algérie. Ces terres étaient françaises depuis 1830, mais une partie des habitants s’étaient progressivement engagés dans un processus de séparation. On connaît la suite, la montée en puissance du terrorisme, et finalement le ralliement au FLN, par la peur, la violence, le racisme …et l’islamisme.

    Mais voici qu’on nous parle de séparatisme du Val-d’Oise, de séparatisme de départements de la petite couronne. Le phénomène n’est pas exactement identique, bien que l’on y retrouve la recette qui a conduit à la perte des départements d’Algérie : la peur, la violence, le racisme… et l’islamisme, également.

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  • Le masque obligatoire en l’absence d’épidémie est une apparence de talisman pour vous protéger d’un danger mythique, mais avant tout une muselière pour nous faire taire

    Le masque obligatoire en l’absence d’épidémie est une apparence de talisman pour vous protéger d’un danger mythique, mais avant tout une muselière pour nous faire taire

    Tribune courageuse de Nicole Delépine, ancien Chef de Clinique des Hôpitaux spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie :

    Chacun à travers les multiples articles sur des supports variés vidéos ou tribunes aura compris que le masque obligatoire en l’absence d’épidémie, alors que les hospitalisations et décès sont de quelques unités dans un pays de 67 millions d’habitants est une apparence de talisman pour vous protéger d’un danger mythique, mais avant tout une muselière pour nous faire taire. 

 Vous n’aurez pas manqué la terrible loi dite de bioéthique votée à 3 H du matin le 1 août en deuxième lecture et autorisant deux horreurs terrifiantes, l’avortement jusqu’au terme, pudiquement qualifié d’interruption médicale de grossesse et l’autorisation de créer au laboratoire des chimères homme-animal à partir d’embryons sacrifiés. 
 Tuer un fœtus de 9 mois n’est-ce pas commettre un crime pour lequel de nombreuses femmes ont été condamnées par les tribunaux ? 
 Créer des Frankenstein mélangeant homme chauve-souris, homme porc ou tout ce que vous voudrez, n’est-ce pas défier la nature, et se diriger dans des sphères inconnues, tout cela en espérant vendre des organes de rechange aux milliardaires et en sacrifiant les bébés et embryons des autres. Business is business, on avait compris mais là ça dépasse l’imaginable.

    Le masque de la soumission à l’autorité

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  • M. Macron, « 1984 » n'était pas censé être un mode d'emploi ! (2019)

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    Macron est au paroxysme de la violence politique. une violence orwellienne, comme dans 1984, qui ne se contente pas de mutiler les corps des GJ, mais qui, petit à petit, détruit la vérité, la liberté d’expression et la possibilité même du débat.

    « Yes, la vérité est dead ». Ce n'est pas une nouveauté depuis l'élection de Macron, mais c'est devenu officiel depuis le remaniement du 31 mars. Si Orwell avait connu Macron et si 1984 s'était intitulé 2019, ce n'est peut-être pas « L'ignorance, c'est la force » qu'il aurait choisi comme slogan pour l'Angsoc (le système idéologique dominant dans 1984), mais « Le mensonge, c'est la vérité ».

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  • L’été meurtrier – La voiture, une nouvelle arme pour tuer en France, par Paul Vermeulen

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    Les actes se suivent et se ressemblent : des conducteurs sans permis, sans assurance, parfois sans papiers, souvent alcoolisés ou drogués percutent des personnes qui se trouvent au mauvais endroit, au mauvais moment. Retraités, femmes, enfants. Ils tuent aussi des policiers en essayant d’échapper à des contrôles routiers. Dernière occurrence dramatique en date ? Jeudi 13 août 2020 à Saint Malo, un policier a été volontairement percuté par le conducteur d’une voiture – et non par « un véhicule ». Les voitures ne tentent pas de tuer d’elles-mêmes, elles sont l’outil de tentatives meurtrières et c’est bien la récurrence de ces actes criminels qui inquiète. Ces actes ne sont pas le fait de chauffards. Un chauffard est un individu qui conduit mal, ne sait pas conduire, ne respecte pas le code de la route ou bien multiplie les fautes de conduite. Là, les victimes percutées le sont par des assassins à la voiture, nouvelle arme d’une violence extrême.

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  • Didier Raoult “je ne sais pas qui voudra se vacciner contre une maladie qui ne tue pas”

    Didier Raoult “je ne sais pas qui voudra se vacciner contre une maladie qui ne tue pas”

    Le professeur Raoult était l’invité de CNews le 19 août.  “Plus vous testez, plus vous trouvez de cas”, a-t-il affirmé. Les cas

    “qu’on trouve maintenant et ceux que l’on trouvait en février ou en mars, ce n’est plus la même maladie”.

    En effet, les formes actuelles des cas de nouveau coronavirus sont davantage “bénignes”. Il n’y a “plus du tout de troubles de la coagulation” et “la proportion des gens hospitalisés est beaucoup plus faible”.

    “Plus on s’affole, moins on soigne bien”. “On n’organise pas de lutte en ayant peur. Il faut enlever ceux qui ont peur et mettre ceux qui ont du courage devant”.

    Pour Didier Raoult, l’augmentation du nombre de cas est une conséquence directe de l’augmentation des dépistages. Cette maladie

     “va rentrer dans le paysage […] cette maladie n’est pas plus mortelle que les autres, son taux de mortalité est bien en dessous des 2% […] Le souci vient de notre manque de connaissance vis-à-vis du coronavirus”.

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