Jany Leroy
Lors du débat sur la fin de l’urgence sanitaire, le 11 mai dernier, Jean Lassalle apporte cette touche personnelle qui le distingue du commun des députés. Alors qu’il défend la cause des discothèques dont la date de réouverture reste pour l’instant très incertaine, son argumentaire déborde soudain sur le cas des clubs libertins. « Les plus anciens d’entre nous savent que les lieux d’échangisme sont restés ouverts durant tout le confinement. » Jusque-là, tout va mal.