À Mestre, ville située à l’entrée de la lagune de Venise, s’est jouée une scène étrange. À l’Osteria Plip, une soixantaine de convives sont attablés, dont le maire de Venise Luigi Brugnaro, et le conseiller municipal (vert) d’opposition Gianfranco Bettin : il est cinq heures du matin et c’est autour d’un bon repas que les élus entendent protester contre le nouveau DPCM, le décret de la présidence du Conseil des ministres qui impose un couvre-feu à 18 heures aux restaurants et aux bars, tandis que les cinémas, théâtres, salles de sport et piscines doivent fermer, ainsi que la plupart des collèges et lycées.
magouille et compagnie - Page 861
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Émeutes à l’italienne contre les restrictions anti-pandémie
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Une proposition formidable !
Pieter Kerstens
La crise sanitaire du Covid 19 touche toute l'Europe et les dirigeants ne savent plus à quel saint se vouer. Chaque Chef d'Etat ou de Gouvernement y va de ses propositions qui, mois après mois, se contredisent souvent.Dans le concours des propositions imbéciles, un pas vient d'être franchi par une experte en Belgique.Interrogée sur la RTBF, Frédérique JACOBS, infectiologue à l'hôpital Erasme à Bruxelles, propose le report des fêtes de Noël en Juillet/Août "quand il fera beau".Et pourquoi pas non plus reporter la Saint Valentin au 12 août ? Et les défilés du 1er Mai au 1er Novembre? Ou alors, regrouper l'ensemble des fêtes et des jours fériés durant la même semaine en été, "quand il fait beau" ?A entendre de telles inepties, on peut se demander si le virus atteint non seulement les voies respiratoires, mais aussi les facultés mentales de certains spécialistes, médicaux ou politiques.D'ores et déjà, la Belgique a pris une grande avance dans le domaine de la connerie ! -
« Pour le Medef, un reconfinement ce serait l’écroulement de l’économie ! » L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Après vous avoir alerté pendant des semaines sur la seconde vague et la stratégie « stop and go » ou du confinement en « Yo-Yo », nous y sommes. Et même les plus sceptiques seront obligés de reconnaître, non pas la réalité de la maladie, puisque nous avons les « cenéqunegripetistes » d’un côté et les « portonsnosmasquesquandmêmistes » de l’autre mais au moins la réalité de ce qui arrive à savoir qu’ils soient d’accord ou pas, ils se prennent 135 euros d’amende dans le cadre d’un couvre-feu de plus en plus vaste et étendu. Je vous ai « presque » tout dit et annoncé des différentes phases. Evidemment, ce n’est pas terminé. Ceux qui veulent comprendre et lire entre les lignes comprendront. Ceux qui ne veulent pas, et bien, je leur souhaite tout le meilleur.
De la même manière que quelqu’un a dit « et pourtant elle tourne », malgré les critiques et les commentaires pas toujours très sympathiques, je peux vous le dire…. « et pourtant on va reconfiner ».
Nous allons reconfiner. Un peu, beaucoup, moyennement, seulement le week-end, en laissant les écoles ouvertes idéalement et en les fermant à l’ultime moment, mais nous allons reconfiner. Ce n’est qu’une question de temps, de jours, peut-être même avant la rentrée scolaire de la fin de nos vacances de la Toussaint. Peu importe le nom donné à cette seconde phase. Le mot confinement sera peut-être même savamment évité, mais c’est de la sémantique pour neuneus. Dans les faits, les mesures de restrictions sociales seront à nouveau très fortes et pas drôles du tout.
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Il va falloir écouter ceux qui font des vagues !, par Philippe Bilger.
Nous en avons assez de ne pas faire de vagues. Au rassemblement en hommage à Samuel Paty, le 18 octobre, place de la République, il y avait cette protestation, cette prise de conscience collective. Même tardive, elle laisse espérer plus qu’un éphémère sursaut.
J’ai toujours éprouvé de la sympathie pour les lanceurs de vagues, bien plus que pour les lanceurs d’alerte qui, à tort ou à raison, m’apparaissaient le plus souvent pour des dénonciateurs occultes au grand pied, certains de s’attirer, dévoilés, les félicitations des médias de gauche puisque leurs révélations sont, en général, ciblées politiquement et économiquement. Ils ont leurs bons et leurs méchants.
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Eoliennes : 20 milliards d'euros pour saccager les côtes françaises ! (texte de 1011)
Quand Sarkozy brasse de l'air, les éoliennes se multiplient. Quitte à saccager les plus beaux sites et à exaspérer les riverains, pour produire une électricité plus chère…
Début février, la cour d'appel de Nantes a confirmé, au grand soulagement des riverains qui y sont opposés, l'annulation fin janvier d'un permis de construire accordé en 2004 pour l'installation d'éoliennes à Plouvien, dans le Finistère nord, permis de construire déjà jugé non conforme à la loi littorale par le tribunal administratif de Rennes en 2008, notamment en ce qui concerne la préservation de l’environnement. Pour l'heure, les huit éoliennes continuent de fonctionner, mais l'association locale de défense de l’environnement entend bien, malgré la volonté de l’exploitant de contester cette décision, ne pas s'arrêter là, et elle a saisi le tribunal de grande instance de Brest pour « troubles anormaux de voisinage », espérant bien obtenir le démontage des machines.
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Un réanimateur viré en pleine crise COVID pour désaccord avec la politique sanitaire ! #WTF
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La justice n’est pas qu’affaire de budget, par Jacques Trémolet de Villers.
Les éclats médiatiques ne sont qu'écume. Le véritable problème de la justice est double : lui donner des moyens, certes, mais surtout être capable d'entendre le besoin de justice, et répondre à cette demande. Là est le vrai rôle de l'État.
«Huit pour cent d’augmentation pour le budget de la Justice », dit le Premier Ministre. C’est une annonce classique pour calmer la colère des magistrats. Mais elle peut aussi avoir l’effet inverse. Car, d’abord, la promesse sera-t-elle tenue en 2021, et, ensuite pourquoi ne pas crier plus fort pour avoir encore plus ?
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Sur Sud Radio, Professeur Christian Perronne : "On est train d'inventer une deuxième vague artificielle !".
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LA CONVERGENCE DES DICTATURES AU PAYS DES FRANCS !
Un pays muselé physiquement par le masque et mentalement par le politiquement correct, des habitants assignés à résidence entre confinement et couvre-feu, apeurés en même temps par le virus et par le terrorisme, soumis à des régimes d’urgence qui limitent les libertés fondamentales, des citoyens qui ne votent plus normalement et sont condamnés à écouter les discours narcissiques de leur dirigeant : sommes-nous encore en démocratie ?
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Grâce au coronavirus on découvre que l’état de santé de l’hôpital est préoccupant !
« Il faut sauver l’hôpital », a déclaré Jean Castex, le 24 octobre. On eût pu espérer qu’il dise qu’il fallait sauver les Français face à ce nouveau virus, mais apparemment, pour notre besogneux Premier ministre, sa préoccupation première est la santé de l’hôpital, dont les conditions de sauvetage sont, selon lui, intimement liées à la discipline qu’il impose au peuple. Si l’hôpital explose, ce sera la faute de la population qui ne respecte pas les consignes données, ne cherchez pas de raisons ailleurs.
L’hôpital subit les conséquences de notre société de consommation et de profit. Nos hôpitaux, gérés depuis quelques décennies uniquement en fonction de la rentabilité, et amenés à fonctionner en flux tendu, sont devenus le triste symbole de cette société où l’on ne respecte plus que les valeurs liées au profit, ignorant toutes les autres, pourtant indispensables à une vie harmonieuse dans le respect d’une culture humaniste.