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magouille et compagnie - Page 864

  • Dénoncer « la réécriture haineuse et fausse du passé » après avoir qualifié la colonisation de « crime contre l’humanité »… il l’a fait !

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    « Son problème, c’est qu’il adore les déguisements : en militaire, en aviateur, etc. Il ne faudrait pas que les Français finissent par croire qu’il s’est déguisé en Président », raillait un proche du Président – désireux de rester anonyme, on le comprend un peu – dans les colonnes du Parisien, le 5 avril dernier.

    C’est donc le blazer de Nicolas Sarkozy qu’ a sorti, dimanche soir, de sa penderie… déterminé, un poil conservateur, propre à rasséréner son électorat vieillissant et épris d’ordre qui, bien qu’habitué à avaler beaucoup de couleuvres, le soir aux infos, avec un petit whisky, peine à digérer ce qui ressemble cette fois à un boa constrictor : mieux que la chloroquine, l’indigénisme incarné par la très vertueuse et pacifique famille Traoré (en fais-je assez comme ça ?) a fait disparaître miraculeusement le Covid-19, en tout cas des écrans télé, et on peut le remercier bien bas car c’est sans doute grâce à lui, le deux poids deux mesures commençant à devenir géant, que nous pourrons nous rassembler tranquillement cet été sans devoir rendre compte du moindre château de sable ou pique-nique entre amis.

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  • Castaner, Belloubet, Ndiaye : dehors, pour bêtise !, par Christian Vanneste.

    Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut par le gouvernement le plus lamentable que la France ait eu à subir : d’abord, il y a Castaner, ce personnage au passé douteux occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a du le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Ran-Tan-Plan !

    Ainsi donc, l’émotion peut l’emporter sur la loi, si, bien sûr, elle est d’extrême-gauche et importée des Etats-Unis au profit des délinquants : le ministre de l’Intérieur est clairement du côté du désordre et baigne dans son idéologie superficielle de socialiste dont la réflexion n’a jamais dépassé le niveau des slogans. L’antiracisme, c’est bien, le racisme, c’est mal. Quand les Gilets Jaunes manifestaient, avec en queue de cortège les Blacks-blocs chargés comme par hasard de créer les « tensions » en fin de journée, afin qu’on puisse généreusement interpeller, gazer, éborgner les premiers en oubliant les seconds, les potes de Castaner, c’étaient les flics ! Maintenant que les cortèges sont suscités par la mort d’un délinquant noir, Castaner ne veut plus qu’on touche à ses vrais potes : il a remis la petite main jaune à la boutonnière. Les policiers, objets d’un « soupçon avéré » de racisme seront sanctionnés, les techniques d’arrestation une fois de plus restreintes. Des vidéos inondent la toile qui montrent des policiers en train de fuir devant des loubards, et au contraire des « malfaisants », comme disait Audiard, réduire la tête de ceux qui les regardent de travers. Dignité, respect, mais pas pour le « petit blanc », seulement pour celui qui cogne le plus vite et le plus fort, mais qui est une victime puisqu’il est arrière-petit-fils de colonisé ! Racisme inversé et slogan américain sont devenus le langage courant, quasi obligatoire du politiquement correct dans un pays doublement colonisé, par ses anciennes colonies, comme disait Poutine, et par un bain de culture américain, que nous devrions laisser se dissoudre au milieu de l’Atlantique !

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  • A Dijon, affrontements entre Arabes et Tchétchènes. Armes automatiques brandies (video)

    Des images atterrantes mais qui deviendront banales dans les prochaines années.

    Toutes les prévisions des nationalistes depuis 50 ans se réalisent une à une, puisqu’ils n’ont pas été écoutés.

    A Dijon, capitale de la Bourgogne et il y a peu l’une des villes les plus agréables de France, dans le quartier colonisé des Grésilles, on a vu ces derniers jours des affrontements violents entre populations immigrées, mais « Français comme-vouzémoi » bien sûr, selon la République en tout cas.
    Tout a démarré après qu’un adolescent tchétchène a été frappé par des Arabes sur fond de trafic de drogue.
    Les Tchétchènes, de plus en plus nombreux en France – ce qui est normal, puisqu’elle est ouverte à tous désormais –, sont plus discrets que les Arabes par exemple ; mais, pour rester dans le cadre de la loi, disons que souvent ils ne s’embarrassent pas de celui-ci justement. Réputés pour leur violence, ils ont voulu venger leur jeune congénère.

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  • Nous, les vrais indigènes d’ici...

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    Georges Feltin-Tracol

    L’américanisation de la France et de l’Europe vient de prendre en une quinzaine de jours un tournant préoccupant. La mort de l’Étatsunien George Floyd aux États-Unis permet la mobilisation dans l’Hexagone d’une foule bigarrée d’experts en agitation et de jeunes nigauds blancs, adeptes précoces de l’ethno-masochisme. De la crèche jusqu’à l’université, l’institution scolaire peut se satisfaire de son bourrage de crâne quadridécennal.

    Comparant sans la moindre raison valable les actions policières aux États-Unis et en France, des groupuscules haineux qui recrutent antifas, gendéristes et clients du réseau diplomatique de subversion yankee, accusent les forces de police et dénigrent des personnalités historiques. Le 22 mai dernier, en Martinique, une bande d’excités gauchistes fait tomber deux statues d’un néo-nazi notoire du XIXe siècle, Victor Schœlcher, à l’initiative du crime inexpiable d’avoir fait voter l’abolition de l’esclavage dans toutes les colonies françaises en 1848. On comprend mieux l’exaspération de ces vandales…

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  • Macronnerie

    Macronnerie

    Bernard Antony a eu le courage la non-intervention (solennelle) du président de la République hier :

    Ce qu’il a dit sur le déconfinement ne mérite pas beaucoup de lignes sur ce blog.

    Passons sur son autosatistaction pour ce qu’il en fut de la gestion de la pandémie du coronavirus.

    Ce n’est pas « demain la veille » que l’on aura une remise en cause sérieuse de la perversion idéologique et financiariste du libéralisme mondialiste qui nous a, entre autres dégâts, placé dans une telle dépendance de la production médicamenteuse chinoise. 

    Et pour ce qu’il en est de ce qu’il appelle « l’Europe », pas l’ombre d’une esquisse de volonté de remise en cause du gros mammouth de l’eurocratie totalitaire bruxelloise. L’Union Européenne est trop au service de l’impérialisme idéologique LGBT pour qu’un Macron ose en critiquer l’inversion radicale des valeurs déterminant sa politique.

    Et d’ailleurs, cette inversion est pour l’essentiel celle qu’il partage; comme on a pu le constater par ces maintes photos très significatives qu’il a sciemment voulu faire largement circuler, telles celles prises à l’Elysée un soir de la dite « fête de la musique ».

    Sur la dialectique révolutionnaire racialiste de la société française en particulier, ce n’est évidemment pas de lui que l’on pouvait attendre qu’il en vienne à constater que, selon notre formule, aujourd’hui si répercutée, « l’antiracisme est un racisme en sens contraire ».

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  • Coronavirus : « 84 plaintes » ont été déposées contre le gouvernement

    Le procureur général François Molins a indiqué, sur RTL, qu’à ce jour « 84 plaintes » ont été déposées contre des membres du gouvernement auprès de la Cour de justice de la République, qui est la seule instance compétente pour juger des actes commis par des ministres en fonction. « Les qualifications pénales tournent autour des infractions d’homicide et de blessures involontaires, aux infractions de mise en danger de la vie d’autrui ou au fait de ne pas avoir pris de mesures adéquates », a expliqué François Molins. Parallèlement, le parquet de Paris a ouvert une vaste enquête préliminaire sur la gestion de la crise, visant notamment les chefs d' »homicides involontaires » ou « mise en danger de la vie d’autrui ». Suivez en direct les dernières informations sur le coronavirus et la gestion de la crise.

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/coronavirus-84-plaintes-ont-ete-deposees-contre-le-gouvernement

  • Michel Onfray : "Mon péché mortel ? Être resté aux côtés du peuple".

    Michel Onfray, chez lui à Chambois, dans l'Orne, en 2019. Photo12 via AFP

    Source : https://www.lexpress.fr/

    Souverainisme, Le Pen, Raoult, BHL, De Villiers... Dans un grand entretien musclé, le philosophe s'explique sur sa revue Front Populaire et fustige les médias.

    Il est l'intellectuel qui entend réunir les souverainistes de tous bords à travers sa nouvelle revue Front populaire, où l'on retrouve Jean-Pierre Chevènement comme Philippe de Villiers. Il est aussi celui qui concentre les critiques violentes sur sa supposée dérive idéologique qui l'aurait vu passer de la gauche libertaire de Proudhon à l'extrême-droite d'Eric Zemmour.

    Au coeur des polémiques, Michel Onfray publie également l'ultime volume de sa monumentale Contre-histoire de la philosophie (Grasset). Dans La résistance au nihilisme, on retrouve ce que le philosophe Onfray a de meilleur et, parfois, de plus caricatural : d'un côté, un populisme au sens noble du terme qui en fait un formidable pédagogue sur la pensée d'après mai-68 (avec des belles pages sur Pierre Hadot ou Robert Misrahi) comme un critique impitoyable d'une gauche intellectuelle qui a souvent préféré les jargons obscurs aux masses populaires ; de l'autre le pamphlétaire manichéen et antilibéral à qui l'outrance fait perdre le sens des nuances... 

    Dans un long entretien accordé à l'Express dans lequel il ne nous épargne pas, le philosophe s'explique sur cette nouvelle revue, mais aussi sur l'évolution de ses positions sur l'immigration, Didier Raoult, BHL, ses soutiens dans la droite radicale et son parcours personnel. 

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  • Report des régionales en 2022 : si Trump ou Orban osaient, ils seraient vilipendés

    Report des régionales en 2022 : si Trump ou Orban osaient, ils seraient vilipendés

    Mais comme il s’agit de Macron, c’est parfaitement démocratique…

    Alors que les élections régionales sont prévues en mars 2021, la perspective d’un report du scrutin à 2022 – donc après la présidentielle – est sur la table de l’exécutif.

    Lundi, le président de la République aurait profité d’un déjeuner avec Renaud Muselier, président des Régions de France, pour lui proposer une aide financière de l’État en échange du soutien des Régions de France.

     «Je vous aide (financièrement) si vous m’aidez à reporter les régionales après la présidentielle car j’ai des opposants politiques parmi vous».

    Une manière de renvoyer aux ambitions politiques de certains présidents de régions qui louchent sur la présidentielle, comme Xavier Bertrand (Hauts-de-France), Valérie Pécresse (Île-de-France) ou Laurent Wauquiez (Auvergne-Rhône-Alpes).

    https://www.lesalonbeige.fr/report-des-regionales-en-2022-si-trump-ou-orban-osaient-ils-seraient-vilipendes/

  • Thaïs d’Escufon (Génération identitaire): « Nous recevons beaucoup d’insultes, mais bien plus encore de remerciements ! »

    Thaïs, vous avez 21 ans, vous êtes étudiante et, samedi, vous faisiez partie de ces jeunes qui ont déployé une banderole sur les toits de Paris au passage de la manif « contre le racisme et les violence policières ». Pouvez-vous nous expliquer l’objet de cette action ?

    Le gouvernement s’est incliné devant le gang Traoré. L’essentiel de la classe politique s’est soumis activement ou passivement depuis des semaines. Nous ne sommes pas la génération « genou à terre », nous sommes la Génération identitaire, alors nous avons décidé d’agir.

    Constatant le silence et l’inaction de ceux qui nous gouvernent, nous avons décidé d’agir symboliquement en déployant une immense banderole portant ces inscriptions : « Justice pour les victimes du racisme anti-blanc #WhiteLivesMatter » à partir du toit d’un immeuble parisien situé place de la République.

    Sitôt que la banderole a été déroulée – l’un d’entre nous a dû descendre en rappel pour l’étendre car le balcon du dessous l’avait bloquée -, nous avons vu l’ensemble du cortège se tourner brusquement vers nous, nous insulter, nous adresser des signes obscènes et, enfin, nous viser avec des pétards et des tirs de mortier. C’était assez dangereux, car même si le toit n’était pas très pentu, nous avons bien failli être déséquilibrés par ces tirs et aurions pu glisser. Il est vrai que cela n’aurait sans doute ému aucun « people »…

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  • N’importons pas, en France, la question raciale américaine !

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    Les États-Unis ne sont pas la France. La justice ne repose ni sur la revanche ni sur le désordre. Les États-Unis connaissent, une fois de plus, des émeutes raciales. La violence urbaine n’y est pas nouvelle. La situation de la minorité noire, la seule à être venue dans le pays, non pour y vivre mieux et plus librement, mais amenée de force sous le régime de l’esclavage, y est spécifique. Depuis Martin Luther King, des progrès ont été réalisés, dont le symbole a été l’élection de Barack Obama. En politique, comme au cinéma, les Noirs ont conquis des places, mais les pesanteurs sociologiques et historiques subsistent. Depuis Malcolm X, le désir d’assimilation fondé sur l’égalité des droits a laissé place, chez certains, à une volonté de revanche qui accentue la fracture. La véhémence de « Black Lives Matter » en témoigne, qui met en exergue les « victimes de la police » noires.

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