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magouille et compagnie - Page 866

  • Le courage de la loi et de l’ordre !, par Christian Vanneste.

    Une peur chasse l’autre, un ennemi remplace l’autre : le Covid-19 s’éloigne. Déjà l’on entend des réflexions sur les excès de panique qu’il a suscités. Il est vrai que les pays qui ont su l’affronter avec une méthode efficace n’en ont subi que des effets mesurés. La France n’est pas de ceux-là. La vague virale a atteint l’Amérique après l’Europe. On peut s’étonner qu’un vaste mouvement de protestation rassemblant des foules ait lieu aux Etats-Unis alors que l’épidémie y sévit encore fortement.

    Un Afro-Américain court davantage le risque d’être tué par un membre de sa « communauté » que par un policier, mais l’image insupportable, ici celle d’un policier étranglant avec le genou sur le cou un homme noir interpellé, a, comme d’habitude, servi de détonateur à une onde de choc psychologique et planétaire. Une video, un slogan devenu un mouvement, « Black Lives Matter », des rassemblements, des défilés, parfois des émeutes avec violences, vols et incendies, le rite des policiers un genou à terre pour communier avec l’émotion collective : tout ceci, en dépit des risques sanitaires de l’épidémie, correspond à un trait typique de nos sociétés post-modernes où les emballements affectifs denses et courts dans le temps, relayés par les médias dans le monde entier, se propagent par mimétisme, chacun croyant devoir déposer sa fleur, faire son geste, pour avoir l’âme en paix, dans un élan processionnaire, quasi religieux, et quelque peu masochiste. Le racisme a chassé le Covid comme ennemi n°1. Il s’agit bien sûr du racisme blanc contre les noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui décidément ne vaudrait plus rien. Dans l’autre sens, ça ne compte pas, car c’est une juste revanche des opprimés contre les oppresseurs. Il y a longtemps que les raisonnements ont déserté la bulle médiatique dans laquelle nous vivons. Plus que jamais, chacun ne se sent lui-même qu’en sentant comme les autres…

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  • La grande peur du ministre de l'Intérieur

    6a00d8341c715453ef0263e94fbbc9200b-320wiL'information hélas remonte à plusieurs jours. Elle avait été communiquée à votre chroniqueur avant même la déferlante délirante des derniers jours. Ce que craint par-dessus tout le cabinet du Castaner, étayé par les rapports de la sécurité territoriale, ce ne relèverait ni de la reprise des activités islamo-terroristes sur notre sol, ni de la remobilisation gauchiste ou cégétiste. Ce qui les inquiète viendraient des éléments les plus jeunes et les plus exposés de la police nationale et des forces de l'ordre de notre pays : ils n'en peuvent plus de subir à sens unique les provocations des délinquants, revendeurs de drogue, et autres petits caporaux du quadrillage des cités.

    Les anciennes banlieues rouges ne sont certes plus encadrées, dira-t-on, par les gros bras du PCF, car leur potentiel insurrectionnel s'est déplacé vers les ramifications de l'islamisme.

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  • Arrestation d’Adama Traoré : l’ensemble des expertises médico-légales confirme qu’il n’y aucune trace de violence

    Arrestation d’Adama Traoré : l’ensemble des expertises médico-légales confirme qu’il n’y aucune trace de violence

    Me Pascal Rouiller, avocat du barreau d’Angers, chargé de la défense de l’un des gendarmes impliqué dans l’arrestation d’Adama Traoré le 19 juillet 2016 dans le Val d’Oise et à l’issue de laquelle l’homme de 26 ans a trouvé la mort, a décidé, avec ses confrères et consœurs, de « sortir du silence pour rectifier les fausses informations qui circulent actuellement » sur cette affaire.

    Sur RCF Anjou, Me Pascal Rouiller affirme que

    « l’ensemble des expertises médico-légales confirment qu’il n’y aucune trace de violence » et dénonce « le fait que la famille d’Adama Traoré souhaite surfer sur l’actualité pour en faire une affaire Floyd à la française ».

    https://www.lesalonbeige.fr/arrestation-dadama-traore-lensemble-des-expertises-medico-legales-confirment-quil-ny-aucune-trace-de-violence/

  • Attaque islamiste de la préfecture de Paris : l’accablant rapport de la commission parlementaire, par Franck Deletraz

    Après huit mois d’enquête, la commission parlementaire dirigée par Eric Ciotti (LR) et chargée de faire la lumière sur l’attaque de la préfecture de police de Paris, le 3 octobre 2019, par l’islamiste Mickaël Harpon, a rendu mercredi son rapport. Un rapport sans grande surprise, puisqu’une bonne partie de son contenu a déjà été révélée en février, mais qui conclut une fois de plus à « de graves défaillances » dans le suivi de Harpon, dont des actes auraient dû alerter sa hiérarchie.

    Une succession de « signaux » ignorés

    Présenté à huis clos, ce rapport, révélé par Le JDD et Le Parisien, souligne ainsi que plusieurs signaux auraient dû alerter les autorités au sujet de Harpon. A commencer par les propos que celui-ci avait tenus devant ses collègues en janvier 2015 au sujet des attentats de Charlie Hebdo. Des propos qui, rappellent les auteurs du rapport, « revêtaient une évidente gravité », mais n’ont pourtant fait l’objet d’aucun signalement. Pour la commission d’enquête, c’est « le dysfonctionnement le plus grave de l’affaire Harpon ». L’autre élément à charge contre le comportement de l’informaticien et contre le suivi de son évolution est sa conversion à l’islam après son mariage entre 2009 et 2011, conversion qui l’avait notamment conduit à ne plus saluer les femmes. Or, malgré plusieurs remarques de ses supérieurs, souligne la commission d’enquête, là encore, aucun signalement n’avait été effectué… Bref, autant de « failles » de sécurité inconcevables, insistent les députés, qui ont permis à Harpon de passer à travers les radars de l’antiterrorisme et de tuer à l’arme blanche quatre de ses collègues.

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  • Tous surveillés : 7 milliards de suspects

    Des caméras de Nice à la répression chinoise des Ouïghours, cette enquête dresse le panorama mondial de l'obsession sécuritaire, avec un constat glaçant : le totalitarisme numérique est pour demain. 


    Aujourd'hui, plus de 500 millions de caméras sur la planète offrent aux autorités la capacité de nous surveiller, à peu près partout et à chaque instant. Sous couvert de lutte contre le terrorisme ou la criminalité, les grandes puissances se sont lancées dans une dangereuse course aux technologies de surveillance. Dorénavant, l'incroyable perfectionnement de l'intelligence artificielle valide l'idée d'un regard total. Aux États-Unis, les forces de police utilisent la reconnaissance faciale pour identifier les suspects. En Chine, les caméras peuvent repérer les criminels de dos, à leur simple démarche. En France, la police utilise des caméras intelligentes qui analysent les émotions et les comportements des passants. Marquée par l'attentat au camion du 14 juillet 2016, qui a fait 86 morts, et s'est produit en dépit des 2 000 caméras scrutant la ville, Nice se situe désormais à l'avant-garde de l'expérimentation. Le centre de supervision et les zones dédiées à la reconnaissance faciale sont les chevaux de bataille du maire Christian Estrosi, qui veut faire de sa ville une safe city. Comme un virus, l'idéologie du tout sécuritaire se répand à la mesure d'une révolution numérique à la puissance exponentielle. Va-t-elle transformer notre monde en une planète habitée par 7 milliards de suspects ? Quel niveau de surveillance nos libertés individuelles peuvent-elles endurer ? 

    Documentaire de Sylvain Louvet (France, 2019, 1 h 30 mn)

    Disponible jusqu'au 20 juin 2020 !

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    Source : Arte

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Un gouvernement d’incapables et un incendie pas près de s’éteindre !

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    À force de jouer avec le feu, on finit par se brûler. C’est ce que devrait se dire Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, confronté à l’incendie de manifestations contre le racisme et la violence prétendus des policiers. À force de jouer avec le feu…

    Depuis la mort dramatique, et face caméra, de , étouffé sous les genoux d’un policier américain, la communauté noire d’outre-Atlantique s’est soulevée, obligeant les gouverneurs et l’État fédéral à prendre de sévères mesures de maintien de l’ordre. Aux États-Unis, la question raciale reste omniprésente, à cause d’un passé récent qui fait partie de l’histoire du pays. Rien de tel en France métropolitaine, où l’esclavage n’a jamais existé. Il n’existe pas, chez nous, de question noire, et c’est heureux. Cela n’a pas empêché la création d’associations communautaristes. Leur fonds de commerce est la victimisation. Leurs moyens d’action sont la violence – parfois, l’agitation médiatique –, toujours, et l’exploitation de la bêtise ambiante qui tend à culpabiliser des Français trop ignorants de leur histoire pour rétablir la vérité.

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  • Un pays déchiré par l’incompétence et l’idéologie de ses dirigeants !

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    La seule question qui se pose est de savoir pourquoi les Français ne se révoltent pas, pourquoi ils tolèrent le pouvoir le plus lamentable qu’ils aient eu à subir depuis 1944 ? Voilà des décennies que leurs gouvernants et les médias, l’oligarchie en somme, les manipulent éhontément. Avant d’être élus, ils leur promettent la Lune et ne leur offrent, ensuite, que des lendemains désenchantés.

    Benalla, gilets jaunes, grèves, manifestations, retards et pénuries face à l’, boulettes méprisantes jetées aux Français par leur Président, insuffisances criantes d’une majorité parlementaire sans expérience, sans racines et sans unité qui se fracasse sur la réalité, ministres d’une nullité humiliante pour notre pays et son Histoire, et pendant ce temps, les actes terroristes camouflés en gestes de déséquilibrés, la mainmise de tribus délinquantes sur les quartiers dits sensibles se poursuivent… Le bilan est à ce point désastreux qu’on a envie de crier « La coupe est pleine ! » Maintenant, elle déborde : l’affaire Traoré, c’est le retour de Leonarda à la puissance 10, l’humiliation d’un peuple et d’un État.

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  • Les Traoré : Leonarda en pire !

    Au regard du présent et de sa déréliction politique et judiciaire, l’affaire Leonarda et le dialogue entre celle-ci et l’ex-président Hollande vont bientôt apparaître comme un exemple de gentillesse républicaine.

    Parce que l’information ouverte – toujours en cours, c’est le point central – à la suite de la mort d’Adama Traoré, les interventions multiples qu’elle suscite, les immixtions scandaleuses qu’elle engendre, les pressions et la complaisance médiatiques concernant la famille Traoré “vendue” tel un exemple à suivre mais dont le passé, pour certains de ses membres, est rien moins qu’irréprochable, dépassent l’entendement.

    Plus une mobilisation nationale prévue, à l’initiative de cette même famille, le 10 juin mais il va de soi qu’on respecte l’indépendance de la Justice !

    J’espère que les “émotions” de Christophe Castaner ne l’empêcheront pas d’être ministre !

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  • Sur C News, Charlotte d'Ornellas vs David Guiraud (LFI) sur l'affaire Adama Traoré et les violences policières.

  • L’émoi fait loi – Castaner : l’impardonnable forfaiture, par Etienne Defay

    La mesure est comble et la lâcheté du ministre de l’Intérieur commence à devenir non dissimulable. Après le magnifique « soupçon avéré » de racisme concernant les policiers, l’inimitable premier flic de France a annoncé que les manifestations de soutien à George Floyd et Adama Traoré seraient autorisées. Une décision qui va à l’encontre de tout principe législatif. « L’émotion est supérieure au droit dans ces cas-là. »

    On invitera le lecteur à méditer cette phrase. Car elle est une synthèse parfaite. Comme le rappelle avec ironie la journaliste du Figaro Eugénie Bastié : « Castaner vient de trouver l’épitaphe de la civilisation occidentale. » En effet, c’est beau, c’est propre, c’est presque du Philippe Muray dénonçant la société festiviste basée sur l’injonction permanente de la fête et de l’émotion. Muray ? Pas seulement. Car il y a aussi du Houellebecq chez Castaner. Il faut pour cela se reporter à l’avant-dernière publication de l’écrivain, Soumission. « Castaner ploie les deux genoux au sol » dénonce l’éditorialiste Guillaume Bigot sur Boulevard Voltaire.

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