
Un des critères qui permet très facilement de différencier un régime libre d’un régime tyrannique, c’est la possibilité pour les habitants d’un pays de quitter celui-ci, en emportant leurs biens s’ils le souhaitent.
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Un des critères qui permet très facilement de différencier un régime libre d’un régime tyrannique, c’est la possibilité pour les habitants d’un pays de quitter celui-ci, en emportant leurs biens s’ils le souhaitent.
L’interview d’Emmanuel Macron à Brut fera date. Comme on dit, et sans mauvais jeu de mots, ce fut du brutal. À moins d’un an du début de la campagne présidentielle, on ne peut d’ailleurs que recommander l’écoute de cet entretien, notamment pour tous ceux qui, à droite, sont frappés de strabisme macronien. Pour la faire courte, Emmanuel Macron entérine le fait qu’une société multiculturelle s’installe en France et il se fait le gentil accompagnateur de ce mouvement.
Vesoul : une dame de 73 ans malade d’Alzheimer condamnée pour une attestation de déplacement mal datée
Vendredi 4 décembre 2020, une femme a été condamnée pour défaut d'attestation par le tribunal de police de Vesoul, en Haute-Saône.
Au premier confinement, elle avait été verbalisée pour une attestation mal datée. Or, cette dame est atteinte d’Alzheimer depuis cinq ans, sa fille est abasourdie.
Certes, les "Cagoules noires" existent et cassent depuis longtemps. Mais on les connaît, il y en a entre 2 et 300 à Paris, et environ 3.000 dans toute la France. Pourquoi la police ne reçoit-elle pas (jamais) d'ordres pour les mettre hors d'état de nuire ? Par ailleurs, le président de la République, en campagne électorale auprès de la jeunesse sur #Brut, a validé de fait la notion de #ViolencesPolicières, même s'il a essayé de proposer un subtil distingo avec son "je préfère parler de violences commises par des policiers" : le reste du débat a bien tourné autour du thème imposé par les révolutionnaires de "violences policières", et c'est cette expression-là qui a été, qui est et qui reste dans toutes les bouches. La réponse, à défaut d'être nouvelle, a été immédiate ce samedi, et Emmanuel Macron, qu'il le veuille ou non, a bien joué le rôle de pyromane en chef...
Pierre Vial
Il faut que les policiers se fassent une raison : entre leur parole et celle de racailles, c’est cette dernière qui sera prise en compte par les autorités. Pour éviter les complications… Il est plus facile de virer des policiers que de gérer une insurrection de racailles, toujours défendues, justifiées par les medias, les politiciens, bref la vermine.
C’est pourquoi je conseille vivement aux policiers d’adopter la politique des bras croisés, de ne plus prendre de risques pour une société qui n’en vaut pas la peine et des gens qui, comme disait De Gaulle, sont des veaux. Vous, les policiers, vous voyez des malfaisants, des auteurs de délits, voire de crimes ? Tournez donc la tête de l’autre côté, regardez ailleurs, vous n’avez rien vu, rien entendu. Des citoyens viennent se plaindre ? Dites-leur de s’adresser à ceux qu’ils ont élus pour les représenter.
Et puis, tiens, un bon conseil aux « autorités » : les policiers et les gendarmes vous créent des soucis ? Supprimez la police et la gendarmerie. Et ce sera aux citoyens qui ont encore quelque chose dans le ventre de se grouper pour assurer eux-mêmes leur sécurité. J’en connais qui ne demandent que cela. Et alors là les racailles n’auront qu’à bien se tenir.
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/12/06/bras-croises-6282428.html
À Nice, un médecin généraliste a écopé d’une amende pour non-respect du confinement. Les policiers ayant effectué le contrôle ont exigé une attestation employeur mais le soignant concerné était indépendant et n’en avait pas.
C’est du poumon que vous êtes malade
Le seul argumentaire du système, de ses intendants et de leur populace de téléphages est l’insulte tempérée par la menace. Quoiqu’on dise on est accusé de théorie de la conspiration avec un ricanement insultant et surtout menaçant. Théorie de la conspiration rimera un jour avec camp de concentration pour les contrevenants et rime aussi avec le fameux comique de répétition. Pensez au poumon du Malade imaginaire de Molière, auteur qui n’a jamais été autant d’actualité : les Femmes savantes, les précieuses, le Malade imaginaire, Tartufe, le Bourgeois gentilhomme et surtout Georges Dandin, cocu à répétition des temps pseudo-cycliques.
"On appelle ça un fiasco."
© Hannah Assouline
"Les policiers méritent mieux que ce rôle de rempart contre le changement, qu’on essaye de leur faire jouer", affirme Natacha Polony, directrice de la rédaction de "Marianne", dans son édito.
On appelle ça un fiasco. L’insupportable agression de Michel Zecler par des policiers hors de contrôle a ébranlé à juste titre un pays en pleine interrogation sur certaines pratiques de ses forces de l’ordre. Mais elle ne fait que s’ajouter à un climat parfaitement délétère dans lequel un ministre aux ambitions peu discrètes instrumentalise autant qu’il le peut la souffrance et les amertumes des policiers. Pendant ce temps, les médias s’interrogent doctement sur la double question qui leur semble la plus brûlante : doit-on parler de « violences policières » et ce mot implique-t-il un caractère « systémique » desdites violences ?
À quoi bon nommer un môssieur Vaccin si celui-ci arrive sur le devant de la scène pour faire office de rabat-joie ? Derrière son masque, il est à supposer que Jean Castex fulmine en l’entendant.