Xavier Raufer revient sur l’affaire Olivier Duhamel, révélée par Camille Kouchner dans son livre La Familia grande, qu’il qualifie de « viol de mineur par personne ayant autorité, son beau-père » : un crime.
Il dénonce « la toute-puissance » du « microcosme » de gauche qui « s’est cru tout permis ».
On ne parle plus que de l’affaire Duhamel dans le petit milieu parisien. Olivier Duhamel a abusé de son beau-fils, c’est-à-dire du fils de sa femme. Sa belle-fille a écrit un livre où elle raconte tout ce qui s’est passé. De quoi l’affaire Duhamel est-elle le nom ?
C’est une vengeance terrible à propos d’un crime. J’évite de parler de tout et de rien. J’essaye de me concentrer sur ma compétence professionnelle. Une infraction très grave a été commise. Ce n’est pas comme on a pu l’entendre dans les médias, de l’inceste puisqu’il n’y avait aucun lien biologique entre l’enfant qui a subi l’agression sexuelle et monsieur Duhamel. En revanche, c’est très caractéristiquement un viol de mineur par personne ayant autorité, c’est-à-dire son beau-père. C’est un acte très grave et c’est un crime. C’est la raison pour laquelle, j’en parle.