
Ainsi donc, Brune Poirson claque la porte de l’Assemblée nationale. Madame s’ennuie, sans doute. Mais elle continuera à naviguer dans les eaux macroniennes en demeurant responsable des relations internationales de LREM et, en tant qu’administratrice de la Fondation de la Mer, elle restera dans son élément favori : celui de la biodiversité marine, et donc de la transition écologique dont elle a été chargée, durant trois ans, comme secrétaire d’État.







