magouille et compagnie - Page 912
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Le Parti de la France contre le confinement général
Loin d'être la solution, le confinement général dont Emmanuel Macron vient d'annoncer le prolongement pour un mois au moins (Castaner précise que la date du 11 mai est un objectif, pas une certitude) fait partie du problème.Écran de l'impuissance du pouvoir qui tente ainsi de camoufler sa gestion initiale chaotique et idéologique de la crise (cf son refus de fermer les frontières quand il était encore temps), son imprécision en matière sanitaire, les carences lourdes de conséquences de notre économie nationale en matière industrielle dues aux délocalisations et à la doxa mondialiste, la situation dramatique de notre système hospitalier et, plus généralement, la tiers-mondisation de l’État, le confinement retarde l'immunité collective, impose un contrôle de masse de type soviétique et ruine le pays (effondrement de 8% du PIB). -
Malgré le confinement et la crise économique, 104 parlementaires insistent pour la régularisation des immigrés clandestins
BI – Paul Molac et ses collègues immigrationnistes ont fait des émules. Ils sont désormais 104 parlementaires à demander la régularisation de tous les immigrés clandestins présents sur le territoire français, et cela même alors que le confinement est généralisé, que la crise économique qui se profile va jeter de nombreux Français hors du marché du travail, sans emploi, sans entreprise.
Et ces derniers de surfer sur la pandémie de coronavirus pour faire passer leur idéologie favorable à l’immigration, comme le montre la lettre adressée au Premier ministre :
Monsieur le Premier Ministre, dans le cadre des mesures d’urgence pour lutter contre le COVID-19 le gouvernement portugais a promulgué le samedi 28 mars différentes mesures d’ordre humanitaire, sanitaire et financier, dont la régularisation provisoire de tous les immigrés qui avaient introduit une demande afin d’obtenir les mêmes droits que les citoyens portugais pour l’accès aux soins et les aides financières. C’est une mesure de salubrité publique qui protège tous les habitants du Portugal.
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Marion Maréchal : “La cellule de crise qui a été mise en place pour assurer l’approvisionnement national en matériel est un fiasco total”
Au lendemain de l’allocution d’Emmanuel Macron sur la situation sanitaire en France, Marion Maréchal a décidé de réagir sur Europe 1 : “Ce qui me dérange un petit peu dans l’utilisation de l’unité nationale, c’est qu’elle semble parfois utilisée pour ne pas avoir à rendre des comptes politiques“.
Elle pointe un discours “d’adaptation à la pénurie” plutôt que de “vision stratégique“.
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Crise sanitaire – Le pouvoir et la responsabilité
Lors de son allocution du 13 avril, le chef de l’Etat a prononcé une phrase qui mérite d’être relevée. De mémoire : « Des choses n’ont pas bien fonctionné (dans la crise du covid) nous en tirerons les conséquences ». Il est essentiel de rappeler que le pouvoir politique ne se conçoit pas en dehors de la responsabilité. Les deux ne peuvent pas être découplés. Le pouvoir est source de contentement personnel: pour un esprit sain, la satisfaction de servir l’intérêt général; et pour un cerveau pervers, la pure jubilation narcissique. Mais cette satisfaction, qu’elle qu’en soit la nature, a une contrepartie: la responsabilité. Le personnage qui incarne le pouvoir incarne aussi, par définition, la responsabilité. Dès lors qu’il exerce la mission de décider, il est personnellement comptable de ses décisions ou de ses non décisions et de leurs conséquences. Le chef choisit lui-même son entourage. Il arbitre entre les choix qui lui sont proposés. Si l’appareil de décision dont il est en charge ne fonctionne pas correctement, souffre de dysfonctionnements, il lui incombe de prendre, quand il en est temps, les décisions pour y remédier. S’il n’est pas correctement informé, c’est qu’il ne s’en est pas donné les moyens, en particulier dans le choix de ses collaborateurs. Idem, s’il est mal conseillé, cela signifie qu’il s’est trompé sur le choix de son entourage. Par ailleurs, s’il n’est pas libre de choisir ses collaborateurs, si ces derniers lui sont imposés, et s’il accepte d’en être l’otage, cela signifie qu’il n’est pas digne de sa mission. L’attitude de dirigeants politiques qui se défaussent sur leur administration pour l’accabler des insuffisance ou des désastres est inepte. Le pays élit des gouvernants et leur confie son destin sur la base des promesses de ces derniers. S’ils réussissent et si le pays est heureux, ils méritent des lauriers. Si le pays sombre dans le chaos et la détresse, sans qu’ils ne lui apportent de solution satisfaisante, cela signifie qu’ils ont failli dans leur tâche. Ils sont à coup sûr seuls et uniques responsables. Quant un drame éclate, faute d’anticipation ou de préparation suffisante, la responsabilité est avant tout celle des autorités politiques auxquelles le pays a fait confiance. Chercher des boucs émissaires, quels qu’ils soient – prédécesseurs, fonctionnaires, collaborateurs, experts, peuple – pour se dérober à sa responsabilité, est la quintessence de la misère politique.
Maxime TANDONNET
https://maximetandonnet.wordpress.com/2020/04/15/le-pouvoir-et-la-responsabilite/
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Confinement : sanction prolongée ! Un entretien avec Philippe Randa
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés cliquez là.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Confinement, encore un mois de plus ; c’était prévisible, non ?
Pour le moins sous-entendu et quasi officiellement annoncé avant même que le président de la République ne le confirme. On se demandait simplement si la sanction serait à nouveau de 15 jours dans un premier temps ou davantage. C’est davantage, donc !
Vous parlez de sanction, alors qu’il s’agit tout de même de sauver des vies !
L’un n’empêche pas l’autre : qu’aujourd’hui, on doive limiter la catastrophe humanitaire en ralentissant autant que faire se peut, par une mesure extrême, l’arrivée de malades dans nos hôpitaux incapables de les accueillir tous en même temps, est une chose ; constater que les hôpitaux n’avaient plus les moyens de faire face à une pandémie, en est une autre ! Il ne s’agit pas de « sauver » des vies, mais de gérer une épidémie dans un contexte de pénurie de matériel et d’affolement gouvernemental !
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Guillaume Bernard : « Emmanuel Macron a osé commencer son intervention en rejetant la responsabilité sur l’imprévisibilité du virus… »
Guillaume Bernard réagit après l’allocution d’Emmanuel Macron, lundi soir.
Le président de la République a annoncé un confinement jusqu’au 11 mai au moins, mais rien d’autre de substantiel. Qu’en pensez-vous ?
Il a osé commencer son intervention en rejetant la responsabilité sur l’imprévisibilité du virus alors que, d’après Mme Buzyn, le gouvernement était au courant depuis janvier. Il y a aussi eu le cas chinois ! Il a aussi parlé d’informations partielles et changeantes, alors que c’est lui-même et son gouvernement qui n’ont cessé d’utiliser des injonctions contradictoires et variant en fonction du temps. Je trouve cela honteux. Je crois qu’on se moque de nous.
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Un discours d’un vide sidéral – Un mois ferme !
Vingt-huit minutes. Le discours prononcé par le chef de l’Etat était long. Inversement proportionnel à la densité de son contenu. Dans les dix premières minutes, il a fallu se concentrer pour réussir à tirer la moindre information du laïus. Fidèle à lui-même, Emmanuel Macron a, avec une aisance parfaite, débité du vide. Le temps des discours énergiques du début du quinquennat, comme celui qu’il avait prononcé pour Arnaud Beltrame, semble dater d’une éternité. Ces discours étaient à l’époque écrits par Sylvain Fort, un auteur publié aux éditions Pierre-Guillaume de Roux bien connues de nos lecteurs, et gage d’une certaine qualité de style.
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L'enfumage continue : le confinement de Macron ? Cache sexe de son incapacité, de son incompétence, de sa nullité ! ...
Et c'est reparti !!!!!!
Trop long, comme d'habitude (plus de 25 minutes); "emmerdant", comme aurait dit Pompidou, Président de la République; ridicule, en passant plusieurs minutes sur le vaccin contre le COVID 19 dont tout le monde sait pertinemment qu'il ne sera pas disponible avant 1an et demi/2 ans; prêcheur ennuyeux dont le sermon serait à donner pour modèle aux séminaristes comme LE type et le style de sermon à éviter ABSOLUMENT...
On a compris : ce "semble président" veut à tout prix éviter que l'on pose la seule question qu'il faut poser : comment se fait-il que nous en soyons là aujourd'hui alors qu'Agnès Buzyn, dans un entretien accordé au journal Le Monde du 20 Décembre dernier (c'est-à-dire il y a presque 4 mois) révélait qu'elle était au courant de ce qui allait se passer ?
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Macron doit partir !
Macron doit partir parce qu’il est inapte à la fonction de chef d’État. Sa prestation du 13 avril en est l’ultime preuve.
Que nous dit-il ?
« Les masques sont commandés » : fort bien, mais quand arrivent-ils ? Alors que les masques sont le préalable au « déconfinement », obligatoires en Asie et disponibles chez beaucoup de nos voisins, nul ne sait quand ils seront en libre accès en France, malgré l’effort – en dépit des obstacles mis par les administrations – des entreprises et des collectivités territoriales.
Macron nous dit : « Il y aura des tests pour ceux qui présentent des symptômes », alors que ce sont les possibles cas asymptomatiques qu’il faut détecter, notamment pour pouvoir déconfiner, reprendre l’activité économique et rouvrir les écoles. Nos voisins y parviennent, pourquoi pas la France ?
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“Amateurisme”, “improvisation” : l’opposition ouvre le feu après l’allocution de Macron
Pour la quatrième fois depuis le début de la crise du coronavirus, le président de la République a pris la parole devant les Français. Le chef de l’État n’a toujours pas convaincu les responsables politiques de l’opposition.
Lundi 13 avril au soir, Emmanuel Macron a prononcé une allocution télévisée, la quatrième depuis le début de la crise du coronavirus, pour faire le point sur l’épidémie. Il y a notamment annoncé une potentielle fin du confinement prévue pour le 11 mai et une réouverture progressive des crèches, écoles, collèges et lycées. Le chef de l’État s’est également plié à une ébauche de mea-culpa sur la façon dont la France gère la crise, et a reconnu qu’elle n’y était « à l’évidence pas assez préparée ». Insuffisant pour les responsables politiques de l’opposition, qui ont tous fait savoir leur mécontentement.