Confinés. Prisonniers à l’intérieur de nos frontières familiales. Pour combattre un virus contre lequel, à ce jour, nos gouvernants ont été incapables d’agir avec efficacité.
Ah ! Si nous avions pu tester, village après village, ville après ville, quartier après quartier, tout aurait été différent et il eût été inutile de nous enfermer pour un temps indéterminé « chez nous ». Emmanuel Macron, pour qui le mot « frontière » est un péché mortel, n’a donc eu qu’une seule idée en tête : isoler 65 millions de Français chez eux, derrière nos portes devenues aussi infranchissables que le mur de Berlin.
Cette décision dont on ne connaîtra les effets désastreux, sur les plans économique, social, moral, qu’au retour à une vie normale, a été prise par la plupart des grands pays. À défaut d’avoir prévu comment lutter contre une telle pandémie. Mais ce n’est pas pour cela que nous devons nous satisfaire de ce confinement douloureux.