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France et politique française - Page 1351

  • Sur Sacr TV, chroniques de la Monarchie populaire - Société mercantile ou recherche du Sacré - 2.

    Antoine de Rivarol disait "La faveur que le gouvernement accorde aux sujets doit toujours être en raison inverse de la mobilité de leurs richesses. Ainsi celui qu’on doit favoriser le plus, c’est le laboureur… Je mets au dernier rang l’homme à argent qui, tel qu’un magicien, peut d’un trait de plume transporter sa fortune au bout du monde ; et qui, n’agitant jamais que des signes, se dérobe également à la nature et à la société… Cette maxime est fondamentale, et on peut toujours juger un ministre d’après elle". Dans un chapitre précédent, nous avions parlé de la féodalité par le mouvement des communes et dit combien celle-ci était bienfaitrice à l’époque de sa création face aux barbares envahissants. L’école républicaine la présente comme oppressive et inhumaine vis-à-vis des faibles. Ecoutons Louis Dimier : « Le préjugé révolutionnaire enseigne à ne reconnaître dans ce sort des petits que l’objet d’un devoir moral ; il y subordonne tout l’Etat. Cet intérêt particulier, dans une fonction qui ne doit considérer que les intérêts généraux, ruine l’Etat sans profit pour ceux qu’on lui préfère. Ceux-ci pâtissent deux fois de la Révolution : de l’impuissance à laquelle son erreur la condamne et de la banqueroute sociale à laquelle elle aboutit » (« Les Préjugés ennemis de l’Histoire de France »). Imaginons un instant, les hommes vivant cette époque, construire des cathédrales, élever des familles nombreuses, subir les fléaux de la guerre et les épidémies… Parcourir pour les compagnons, la France entière… Poser une pierre ici, tailler un meuble là. La mobilité géographique des hommes de ce temps est impressionnante, autant pour les chevaliers que pour les simples ouvriers. La fabrication des vêtements, les tapisseries, les meubles et articles divers se vendaient et se vendent encore dans le monde entier.

    Lisons sous la plume d’Alain Decaux, ce que l’école n’apprend pas sur nos rois : « L’Ancien régime avait su, par le jeu savant des dimanches et des jours fériés, équilibrer de façon très remarquable le travail et le repos. Il y avait les saints romains, les saints nationaux et les saints locaux : tous, excellent prétexte à interrompre le travail. M.Patrice Boussel, dans sa passionnante et si amusante Histoire des Vacances (Berger-Levrault, éditeur), à laquelle il faut obligatoirement se référer dès qu’on aborde ces sujets, nous dit qu’au XVIe siècle on comptait une soixantaine de fêtes chômées, outre les dimanches. Au XIIIe siècle, les ouvriers parisiens exerçant la profession de tréfileurs d’archal (Fil de laiton) bénéficiaient de vacances d’un mois. » Certes, c’était l’exception, mais « avec des semaines de travail d’environ quatre jours, l’ouvrier du Moyen-âge avait joui à la fin de l’année d’une période de repos plus longue que celle à laquelle on parvient en additionnant les jours de repos hebdomadaires, les jours fériés et les congés payés. »


  • La France prête pour l’infanticide

    La France prête pour l’infanticide

    Tuer un nouveau né un jour après la naissance c’est un infanticide, mais le tuer un jour avant l’accouchement c’est une « avancée sociétale »… Cet amendement au projet de loi bioéthique a été adopté à l’extrême fin de la session parlementaire, sans débat. Il élargit à la « détresse psycho-sociale » le champ de l’interruption médicale de grossesse (IMG), laquelle peut avoir lieu jusqu’au terme. Jusqu’aux 9 mois. La prochaine étape sera la légalisation de l’avortement postnatal, que l’on appelle infanticide. Mais rassurez-vous, ce sera encadré par la loi : jusqu’à X semaines après la naissance…

    Alliance VITA dénonce un cavalier législatif sur l’avortement :

    Alliance VITA dénonce la disposition adoptée à la sauvette en pleine nuit à la fin de l’examen du projet de loi bioéthique qui fait exploser l’encadrement de l’avortement en ajoutant le critère invérifiable de « détresse psychosociale » pour recourir à l’interruption médicale de grossesse (IMG), jusqu’au terme de la grossesse.

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  • Chanteloup-les-Vignes (78) : Une vingtaine d’individus attaquent les policiers, qui sécurisaient une intervention des pompiers. Un policier sérieusement blessé à la tête

    Nouvelle nuit de violences urbaines dans les Yvelines, notamment à Chanteloup-les-Vignes. Un fonctionnaire a été sérieusement blessé par un jet de pavé à la tête.

    Trois équipages de police, dont l’un de la brigade canine, se sont rendus dans la rue des Quertaines à Chanteloup-les-Vignes vers 22h50 ce dimanche soir, pour sécuriser l’intervention des sapeurs-pompiers qui étaient en train de prendre en charge une personne faisant un malaise à son domicile.

    Les forces de l’ordre ont alors été attaquées par une vingtaine d’individus au visage dissimulé. Ces derniers ont fait usage de mortiers d’artifice et ont jeté de nombreux projectiles sur les policiers.

    Les agresseurs ont pris la fuite. Un policier de la brigade canine a quant à lui été blessé après avoir reçu un pavé sur la tête. Sérieusement touché, il a été conduit à l’hôpital où il a reçu 8 points de suture et un certificat mentionnant 15 jours d’Incapacité totale de travail (ITT). Ses jours ne sont toutefois pas en danger.

    (…) Actu 17

    http://www.fdesouche.com/1409285-chantelouplesvignes-78-une-vingtaine-dindividus-attaquent-les-policiers-qui-securisaient-une-intervention-des-pompiers-un-policier-serieusement-blesse-a-la-tete

  • Face à l’ensauvagement : de l’indignation à la conversion

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    Le terme «  » est controversé. Il dérange les bien-pensants, dont notre nouvel apprenti ministre de la Justice, encore tout émoustillé par sa nomination inattendue qui l’a amené à renier sa parole publique de ne jamais accepter ce poste ministériel. Le mot ne date, pourtant, pas de la multiplication récente des actes exutoires de barbarie perpétrés par des factions de frustrés et d’illuminés sur des innocents et des monuments.

    En 2005, la philosophe et politologue Thérèse Delpech (1948-2012) signait, avec L’Ensauvagement – le retour de la barbarie au XXIe siècle, un essai lucide et prospectif, à l’horizon 2025, qui se révèle prophétique. Traitant de l’ensauvagement des relations internationales depuis 1905 et de ses débordements dans les sociétés – on y est –, il pose en filigrane la question, plus que jamais d’actualité, de savoir quelles idées méritent encore que nos « sociétés post-héroïques » prennent des risques pour les défendre.

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  • deuxième vague Les masques servent-ils la guerre contre COVID-19 ou notre système immunitaire

  • Argenteuil, terre salafiste : « Cette commune du Val-d’Oise est devenue une place forte des réseaux islamistes grâce à la complaisance des élus locaux »

     
  • Affaire Adama Traoré: mise en garde contre toute récupération politique.

    Quatre ans se sont écoulés depuis la mort d'Adama Traoré, lors d'une interpellation dans le Val-d'Oise. Au regard de ce drame, Stella Kamnga s'adresse à Assa Traoré et met en garde contre toute forme de récupération politique visant à monter la jeunesse contre la police et l'État français.

  • Le pouvoir qui préfère la repentance à la fierté nationale trahit la nation. (I)

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    La France révèle avec une évidence accrue de jour en jour une fracture entre sa caste dirigeante et la nation. Le centralisme parisien, la place excessive de la haute fonction publique, formée dans le même moule et protégée durant une vie entière des aléas auxquels sont exposés la plupart des Français, expliquent cette situation que les luttes idéologiques et la concurrence pour s’emparer du pouvoir rendent plus dangereuse encore pour le pays. Avec le temps, le bilan s’assombrit. La France est mal gouvernée et court d’échec en échec notamment depuis 1981. Sa chute dans le classement des puissances économiques, l’effondrement de son école, le désastre sanitaire récent en portent témoignage. Les manifestations de 2018 lorsque les Gilets Jaunes n’étaient pas infestés par l’extrême-gauche traduisaient ce désaveu d’un pouvoir inopérant et injuste par un peuple indigné. Mais, de manière plus sourde, la montée de l’abstention est un autre signe du retrait de la Plèbe, cette sécession par laquelle à Rome les plébéiens manifestaient leur réprobation à l’encontre des patriciens en se retirant de la Cité. Or, ce qui frappe le plus dans le fossé qui se creuse entre l’oligarchie et la nation, c’est que la première ne se contente pas d’une mauvaise gouvernance, elle peut être accusée de trahison. Certes, cela s’est déjà produit lorsque la France était occupée, mais elle ne l’est plus, à moins qu’il faille donner raison aux thèses de Renaud Camus sur le remplacement de population, l’occupation par les immigrés, et la colonisation inversée qui en découle….

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  • L’Assemblée nationale ouvre la voie à l’esclavage moderne

    L’Assemblée nationale ouvre la voie à l’esclavage moderne

    Communiqué de La Manif Pour Tous :

    Le vote en 2e lecture du projet de loi de bioéthique à l’Assemblée nationale illustre l’amateurisme du gouvernement et la légèreté de sa majorité parlementaire. Malgré la nature du texte et les demandes répétées de l’opposition, la majorité s’est obstinée à refuser un votre solennel pour clore cette seconde lecture, confirmant ainsi sa volonté de passer en catimini que un texte toujours aussi clivant.

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  • Dupond-Moretti a ses pudeurs

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     n’aime pas la transparence mais il se soumettra. Il est vrai qu’il ne peut pas faire autrement, vu que c’est la loi : la transparence qui s’impose aux ministres concernant leur patrimoine.

    L’avocat, qu’est d’abord le ministre de la Justice, avance des arguments contre cette fichue transparence qui peuvent convaincre, quand on y réfléchit un peu : « Est-ce qu’il est utile de savoir qu’un tel a un canoë-kayak de couleur verte, un camping-car ? Ce qui compte, pour les gens, c’est les réformes qu’ils vont faire », argue-t-il devant Apolline de Malherbe, chargée de l’interviewer pour BFM TV. Vu comme cela, effectivement.

    Mais puisqu’on en est aux arguments imagés, si, avant d’être ministre, l’on possédait un canoë-kayak et qu’en rendant son maroquin, on se retrouve propriétaire d’un yacht, réformes faites ou pas, le citoyen lambda, contribuable à ses heures et qui s’offre de temps en temps un tour en pédalo, a peut-être un peu le droit de se poser des questions, non ?

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