Bobards médiatique et dictature sanitaire. Alerte rouge sur la France !
L’atmosphère autour de l’épidémie de Covid-19 devient de plus en plus anxiogène, malgré plusieurs éléments positifs.
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Bobards médiatique et dictature sanitaire. Alerte rouge sur la France !
L’atmosphère autour de l’épidémie de Covid-19 devient de plus en plus anxiogène, malgré plusieurs éléments positifs.
Depuis 40 ans, c’est-à-dire depuis la fin de la présidence Giscard, la France est exportatrice d’électricité. Vitrine de l’excellence française, jamais le moindre problème, jamais le moindre accident. Et une électricité parmi les moins chères du monde. Ah, mais ! Il fallait que cela cesse. On a arrêté d’autorité les deux réacteurs de Fessenheim qui fournissaient 75 % de l’électricité d’Alsace-Lorraine.
Et aujourd’hui, zéro. Pas un seul ministre, pas un seul média pour dire à M. Macron qu’il allait priver d’emploi 3.000 personnes et transformer en désert une petite ville où le bonheur était palpable.
Cette décision infantile a déjà sa sanction, qui va sans doute satisfaire le gamin : ce mois-ci, et malgré les températures estivales, EDF a dû rallumer ses centrales à charbon pour faire l’appoint, informe LCI. Ça ne s’était jamais vu en dehors des vagues de froid de l’hiver.
Comment est-ce possible ?
Ils ont fait, selon leur génération, les barricades de 1968, les manifs étudiantes de 1986 ou les rassemblements anti-Le Pen de 2002. L’été 2003, certains se sont retrouvés à la grande fête altermondialiste qui s’est tenue sur le plateau du Larzac, comme au bon vieux temps des pantalons pat’d’eph’, des 2 CV orange et des sacs à main en toile de jute. Quand ils fument, ce n’est pas toujours du tabac. Leurs nuits sont peuplées de cauchemars qui ont nom capitalisme, libéralisme, fascisme et racisme. Etudiants hier, ils travaillent aujourd’hui dans des secteurs où ils gagnent beaucoup d’argent. Ils ont néanmoins bonne conscience, car ils sont des révoltés : contre un monde injuste et dur, ils portent haut le flambeau de la morale et des droits de l’homme. Ils le disent dans les journaux et à la télé – qui les accueillent volontiers. C’est maintenant le comble du chic : des brasseries de Saint-Germain-des-Prés au Festival de Cannes, tout le (beau) monde se dit « politiquement incorrect ».
Près de la moitié des sièges du Sénat était à pourvoir hier.
Le groupe LR, fort de 144 membres dans le Sénat sortant, passe à 150 sièges. Son allié de l’Union centriste perd un siège et se retrouve à 50 élus.
Le PS perd 5 élus et en compte 66. Les Radicaux de gauche perdent 11 sénateurs et ne se retrouvent plus que 13.
Les écologistes franchissent la barre des 10 sièges nécessaires à la constitution d’un groupe au Sénat avec 12 élus.
Malgré des élections municipales catastrophiques, LREM parvient à se maintenir au Sénat avec 22 sièges (moins 1). Le groupe AGIR (ex LREM et UDI) perd 3 sièges et conserve son groupe avec 10 élus.
Après les attentats de janvier 2015 commis par les frères Kouachi (nés en France de parents algériens, qui ont tué en criant Allahu akbar et en disant : « Vous allez payer car vous avez insulté le prophète », et qui ont intimé à une rescapée de « lire le coran » ; mais aucun rapport avec l’islam) et Amedy Coulibaly (né en France dans une famille malienne, qui s’est « marié » religieusement mais pas civilement –mais rien à voir avec l’islam- avec Hayat Boumeddiene, née en France dans une famille algérienne, et qui a en particulier fait un pèlerinage à La Mecque en 2014 – mais rien à voir avec l’islam), après l’attaque au couteau de ce 25 septembre dans la rue où était installé Charlie Hebdo en 2015 par un pakistanais sans doute né au Pakistan dans une famille pakistanaise et paisible quoique le ministre de l’intérieur ait parlé d’un attentat terroriste islamiste, Charlie Hebdo a publié un communiqué dans lequel on relève notamment :
En raison de la remontée du taux d’incidence du Covid-19 dans la métropole d’Aix-Marseille, mais aussi en Guadeloupe, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a annoncé, mercredi soir, des mesures très strictes dans ces deux régions, placées en « zone d’alerte maximale » : bars et restaurants devront totalement fermer à partir de samedi 26 septembre.
Une mesure qui a provoqué un tollé chez les restaurateurs et élus marseillais. Réaction de Stéphane Ravier au micro de Boulevard Voltaire.
Tous les bars et les restaurants de Marseille sont fermés jusqu’à nouvel ordre. Cela fait suite à la recrudescence de la seconde vague de Covid-19. Cet ordre est unilatéral puisqu’il est venu du ministère de la Santé. La maire de Marseille et le président de la région l’ont visiblement découvert. Quelle est votre opinion sur la situation à Marseille ?
Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples et La Nouvelle guerre des mondes ♦ Les partisans d’une sortie de la France de l’Union européenne (d’un Frexit sur le modèle du Brexit britannique) ont raison de souligner les défauts et les limites de l’Europe de Bruxelles. Notamment parce que ce « machin », selon l’expression méprisante du général de Gaulle, n’est plus adapté au monde dans lequel nous sommes entrés. D’autant que cette Union est de moins unie et qu’elle se veut de moins en moins européenne.
Cependant les partisans d’un Frexit font fausse route. Avant tout parce qu’ils prétendent nous faire entrer à reculons dans le xxie siècle multipolaire. Et pour le dire autrement, en poursuivant une fin utopique, ils contribuent à renforcer le mal européiste dont ils prétendent nous guérir.
L’Union européenne n’est pas la seule responsable du déclin français
D’abord, en rendant l’Union européenne responsable de tous nos maux, les partisans d’un Frexit égarent ceux qui les écoutent sur les causes réelles de notre déclin catastrophique et, paradoxalement, ils finissent par exempter l’oligarchie française de toute responsabilité dans ce désastre.
Il est en effet trompeur de faire de l’Union européenne la source unique ni même principale du déclin français.
La crise sanitaire actuelle ouvre la porte à de nombreuses autres crises, et le cycle infernal dans lequel nos pays semblent entrés sans savoir où se trouve la sortie n’est pas pour rassurer nos concitoyens : selon un sondage publié par l’Unedic jeudi dernier, et que rapporte Le Figaro dans son édition du vendredi 25 septembre, « la quasi-totalité des Français (93%) a le sentiment que le chômage peut toucher tout le monde », donc soi-même, et c’est bien la survenue de la Covid 19 dans le paysage sanitaire qui a aggravé ce sentiment fort et anxiogène : « 73% des Français estiment que la situation s’est dégradée en raison du Covid-19. Un chiffre qui bondit de 27 points par rapport à la première vague de l’enquête réalisée avant le confinement et publiée en avril par l’organisme en charge de l’assurance-chômage. » Cela rompt avec le (relatif) optimisme qui pouvait, au moins dans les milieux gouvernementaux, prévaloir avant janvier dernier : le nombre de chômeurs s’était stabilisé, sans pour autant diminuer de façon assez significative pour indiquer une inversion de tendance véritable. D’autant plus que, ces dernières années, on assiste à la montée inquiétante d’un précariat qui correspond aussi à l’ubérisation de l’économie et de la société, et qui doit nous interroger sur les définitions du travail et de l’emploi.