Mardi se tenait, à la Sorbonne, sous la houlette de Jean-Michel Blanquer, le « séminaire national annuel des coordonnateurs des équipes académiques “Valeurs de la République” ». En langage vernaculaire, une énième rencontre autour de la laïcité, mot-valise et notion aléatoire sur la définition de laquelle il n’y a pas moyen de s’accorder…
France et politique française - Page 1382
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Islamisme : en France, la déscolarisation des petites filles s’accélère !
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Près de la moitié des Français jugent défavorablement l’action du Premier ministre Jean Castex, selon un sondage
Un sondage Ipsos réalisé pour Le Point révèle que les Français sont de plus en plus nombreux (49%) à juger défavorablement l’action du Premier ministre Jean Castex, avec une augmentation de huit points des avis négatifs en un mois. Depuis sa nomination à Matignon, la chute de popularité du Premier ministre est spectaculaire, puisque les avis défavorables parmi l’ensemble des sondés sont passés de 27% en juillet à 49%, soit une hausse de 22 points.
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Stéphane Ravier : “C’est un tsunami d’insécurité qui déferle sur notre pays, un début de guerre civile (…) Les policiers ont des armes mais ne peuvent pas s’en servir”
Stéphane Ravier : "C'est un tsunami d'insécurité qui déferle dans notre pays, un début de guerre civile (...) Les policiers ont des armes mais ne peuvent pas s'en servir (...) Je préfère que ce soit une crapule qui aille au tapis plutôt qu'un policier" #Europe1
Stéphane Ravier, sénateur Rassemblement national des Bouches-du-Rhône, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de l’insécurité en France, de l’allocution d’Emmanuel Macron, de la gestion de la crise par l’exécutif et d’un éventuel couvre-feu.
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Une “croisade des mamans” pour sauver l’instruction à domicile et les écoles hors contrat
Une maman vient de lancer une “croisade des mamans”. Ce matin, elles étaient près de cent à avoir répondu. Ce soir, elles sont près de deux cents !
Chères mamans catholiques,
Je vous appelle à venir rejoindre notre croisade afin qu’aucune loi ne soit votée pour interdire l’instruction à la maison et que les écoles hors contrats restent autorisées par la loi.
Notre président voudrait supprimer l’instruction à domicile afin de faire de nos enfants de bons républicains et qu’ils n’aient pas déjà une “déformation” chrétienne ! Il a aussi pour intention de durcir les contrôles dans nos écoles hors contrats. Nous sommes en ligne de mire ! Il est temps que nous lancions une offensive et nous battions avec nos armes !
“La prière est notre seule arme, elle est la clé qui ouvre le cœur de Dieu” disait Saint Padre Pio ! Nous sommes des jeunes mamans qui avons à cœur de former nos enfants dans la foi catholique. Nous voyons notre société sombrer dans la décadence généralisée, et nos institutions catholiques traditionnelles permettent à nos enfants de vivre quotidiennement avec des prêtres, les sacrements, des amis chrétiens. Elles permettent à nos enfants tout simplement de vivre en présence de Dieu.
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Eric Zemmour : “Il n’y a aucune discrimination envers les immigrés dans les quartiers. Il y a en revanche une discrimination envers les Français qui ont dû fuir ces quartiers !” (Vidéo
Eric Zemmour : “Il n’y a aucune discrimination envers les immigrés dans les quartiers. Il y a en revanche une discrimination envers les Français qui ont dû fuir ces quartiers !” (Vidéo). Christine Kelly et ses chroniqueurs débattent de l’actualité, puis Éric Zemmour débat face à un invité dans Face à l’info, replay du 13/10/2020.
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Le changement de population devient désormais central dans les élections
C’est ce qui ressort d’une note publiée par la Fondation Jean-Jaurès, Jérôme Fourquet et Sylvain Manternach dans Le Figaro, à propos de la dernière élection municipale à Marseille :
Parallèlement à la victoire de Michèle Rubirola, la perte par le Rassemblement national du 7e secteur (13e et 14e arrondissements), conquis en 2014 par Stéphane Ravier, a constitué l’autre événement marquant du second tour à Marseille. La situation du parti frontiste dans la Cité phocéenne est cependant contrastée. On constate une baisse tendancielle du RN dans tous les secteurs du centre de Marseille. Cette érosion est spectaculaire dans les 1er et 2e secteurs où, en vingt-cinq ans, son audience a été divisée par deux. L’augmentation significative du poids de la population issue de l’immigration maghrébine, africaine et comorienne sur les listes électorales y constitue un handicap structurel pour le RN. À ce facteur est venue s’ajouter la « boboïsation » de certains quartiers du centre de la ville, la combinaison de ces deux facteurs aboutissant à un environnement socio-culturellement de plus en plus réfractaire au RN. Cette double logique se retrouve également dans le 8e secteur qui comprend le 15e arrondissement avec de nombreux électeurs issus de l’immigration et le 16e, où c’est plutôt l’embourgeoisement qui y limite les performances du RN. […]
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Politique macronienne à l’international : bourdes, moqueries, condamnations sans appel – un désastre !
Avec Macron, qui avait voulu joué un rôle de premier plan dans le monde, la France a perdu beaucoup de sa crédibilité et a, au contraire, quitté le premier rang pour se voir contestée par des dirigeants de pays qui ne sont pas à son niveau, celui d’un membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU.
C’est un autre « grand », et même le plus grand, mais dont le caractère éruptif et parfois fantasque est parfois aussi en dessous de ce qu’on attend du président des États-Unis, qui a, selon John Bolton, atomisé la politique d’Emmanuel Macron, d’un jugement sans appel : « Tout ce qu’il touche devient de la merde. » En se limitant à la dimension internationale, la liste des échecs et des déconvenues est impressionnante.
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Le point de vue de Marc Rousset sur l'affaire Suez/Véolia.
La Bourse de New York a fini la semaine sur une note positive vendredi, espérant un accord sur un soutien à l’économie, avec l’élection présidentielle en arrière-plan. Après plus de deux mois de négociations, Trump a finalement mis 1.800 milliards de dollars sur la table, espérant ainsi un accord avec les démocrates avant les élections. Les 2.200 milliards votés fin mars ont déjà été presque complètement dépensés ; les démocrates réclament une rallonge de 2.200 milliards, alors que Trump voulait la limiter à 1.600 milliards.
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Identitaires, communautaires et séparatistes : l’affrontement
Le discours d’Emmanuel Macron pour annoncer le futur projet de loi contre le « séparatisme islamique » a été prononcé vendredi 2 octobre. Le projet de loi, quant à lui, sera présenté le 9 décembre en Conseil des ministres.
Le Président évoque les « dérives » islamistes « au sein de nombreux services publics (…) en particulier, les transports en commun ». Il évoque « l’obligation de neutralité ». Mais comment imposer la laïcité aux musulmans alors que, par ailleurs, Emmanuel Macron appelle à créer des « postes supplémentaires dans l’enseignement supérieur » sur la « civilisation musulmane » ? Comment dire aux musulmans que leur foi doit passer après les valeurs républicaines alors que le véhicule culturel de l’islam, la langue arabe, devrait être « reconnue » et « exaltée (…) dans le cadre républicain de manière extraordinairement décomplexée » ? Multiculturalisme et laïcisme sont incompatibles : si l’on veut intégrer l’islam dans la République, on ne peut lui refuser de s’exprimer tel qu’il est. Or, c’est là que le bât blesse. Macron fait du Sarkozy, il rêve d’un islam de France qui ne peut pas exister dans la mesure où, pour le musulman, l’intérêt national est toujours secondaire. L’oumma, communauté des croyants, prime sur les patries, et la charia, loi coranique, sur les lois de la République.
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Macron : la désastreuse gesticulation internationale.
Le Président de la République a réatterri sur le sol national pour visiter les sinistrés des hautes vallées des Alpes Maritimes puis pour se concentrer à nouveau sur le Covid-19, qui a le mérite de dissuader les défilés protestataires en cette rentrée maussade et même désespérante. L’attaque du commissariat de Champigny-sur-Marne a souligné combien son discours sur le séparatisme était en retard sur la dérive de certaines parties de notre territoire. L’accueil d’une « otage » convertie et libérée contre 200 djihadistes dans le cadre d’un accord avant tout malien et peu respectueux de la vie des soldats français engagés contre le terrorisme lui a peut-être fait mesurer l’inanité de sa gesticulation sur la scène internationale. Avec Macron, qui avait voulu joué un rôle de premier plan dans le monde, la France a perdu beaucoup de sa crédibilité, et a, au contraire, quitté le premier rang pour se voir contestée par des dirigeants de pays qui ne sont pas à son niveau, celui d’un membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU.