Après avoir analysé la partie "éducation" du discours d'Emmanuel Macron du 2 Octobre 2020 qui annonçait un projet de loi visant à défendre la laïcité, Barbara Lefebvre revient aujourd'hui sur la question du financement du culte.
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Après avoir analysé la partie "éducation" du discours d'Emmanuel Macron du 2 Octobre 2020 qui annonçait un projet de loi visant à défendre la laïcité, Barbara Lefebvre revient aujourd'hui sur la question du financement du culte.
Communiqué du Parti de la France
Le Parti de la France soutient la manifestation décentralisée dans les grandes villes de France organisée ce samedi 10 octobre par la Manif pour Tous contre la loi bioéthique de Macron. Nous invitons nos adhérents et sympathisants à y participer.
Le PdF regrette en revanche que l'immense majorité des militants MPT n'ait pas encore fait le choix du combat politique en même temps que de celui pour les valeurs. L'Histoire et l'expérience montrent en effet que sans engagement partisan les meilleures intentions restent lettres mortes.
“Marine Le Pen cherche-t-elle à favoriser une vraie candidature de droite ?” titrions-nous début août suite aux changements opérés au sein des instances du RN fin juillet, qui visaient essentiellement des proches de Marion Maréchal. Des phantasmes répondait la direction du RN.
Aujourd’hui, nous apprenons que trois proches de Marion Maréchal vont passer prochainement en commission des conflits (qui rime souvent avec exclusion) pour des raisons fallacieuses :
Règlements de comptes au sein du Rassemblement national. Selon nos informations, trois conseillers régionaux d’Auvergne-Rhône-Alpes, Agnès Marion, Antoine Melliès et Sophie Robert (cette dernière étant par ailleurs membre du bureau national), sont convoqués fin octobre à Nanterre devant la commission des conflits du parti où ils risquent des sanctions pouvant aller jusqu’à l’exclusion.
Martine Wonner est médecin et députée. Elle a été exclue au mois d’avril du groupe LREM pour avoir critiqué la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement qui, selon elle, pose des actes anticonstitutionnels.
Son intervention dans l’Hémicycle, il y a quelques jours, n’est pas passée inaperçue : doute sur la reprise de l’épidémie de Covid-19, inefficacité des masques et aveuglement du gouvernement sur les traitements à administrer. Au point que Libé et Le Monde mettent en doute la véracité de ses propos.
Voici un entretien très intéressant paru sur Boulevard Voltaire.
Les villes de Marseille et de Strasbourg se sont dotées de leur propre conseil scientifique et social. La ville de Paris pense avoir le même dispositif. Comme si les territoires tentaient de s’émanciper de la tutelle nationale. Comment l’interprétez-vous ?
La ville de Strasbourg a été la première à se doter d’un tel conseil scientifique. Les citoyens n’y voient absolument plus clair. Avec des informations contradictoires en permanence, les territoires souhaitent aujourd’hui accompagner les agences régionales de santé dans des mesures sanitaires les plus adaptées aux préoccupations du moment. On sait que les chiffres de la Covid évoluent extrêmement vite. Les médecins et les scientifiques des territoires ont très très envie de pouvoir être forts d’analyse, forts de proposition et de conseils auprès du préfet sanitaire.
Communiqué de la Marche pour la vie :
Le mot « antisémitisme » ne peut s'appliquer sans confusion ni anachronisme aux attitudes et aux conduites antijuives observables dans l'Antiquité gréco-romaine ainsi que dans le monde christiano-européen d'avant le milieu du XIXe siècle. Il y a eu une judéophobie antique et un antijudaïsme religieux. Contrairement à l'antijudaïsme, qu'il soit populaire ou théologico-religieux, l'antisémitisme tel qu'il est observable à partir du début des années 1880 en Allemagne, puis quelques années plus tard en France, se présente comme une vision du monde ou une idéologie politique à part entière, un système de représentations et de croyances qui remplit une fonction cognitive expliquer les malheurs du genre humain en les attribuant à une cause diabolisée : « le Juif », incarnant une « race » dangereuse (et une fonction mobilisatrice (inciter à combattre les Juifs et leur « influence » polymorphe).
Alors que le gouvernement, par la voix du ministre de la santé Olivier Véran, met en place de nouvelles restrictions drastiques pour tout un pan de l’économie française en décrétant la fermeture totale des bars et restaurants à Aix-Marseille ainsi que la fermeture des salles de sport à partir de lundi dans les zones d’alertes renforcées, soit dans plus d’une dizaine de grandes villes françaises, et pour la vie sociale des Français, au micro d’Europe 1 le ministre de la santé, Roxana Maracineanu avoue que :
« Les décisions, aujourd’hui, ne sont pas prises en fonction d’une réalité qui serait celle de la circulation du virus, mais pour dire qu’il faut continuer à être disciplinés comme vous l’êtes. »
Pierre-André Taguieff est depuis plusieurs décennies, le spécialiste incontesté des questions liées au racisme et à l’antiracisme. Nous l’avons interrogé à la fois sur son œuvre immense et sur les évolutions qu’il a très tôt perçues, des thématiques racistes, antiracistes et antisémites, il n'y a pas d'éclaireurs plus pertinent en France sur tous ces sujets. Cet entretien relativement complet, forme une belle introduction à son œuvre. Nous l’en remercions.
Propos recueillis par l'abbé G. de Tanoüarn
En choisissant le racisme comme principal sujet d'études depuis la publication de La Force du préjugé en 1988, vous avez décidé de « penser l'impensable ». Quelle est votre première intuition, celle autour de laquelle, comme dit Bergson, un écrivain tourne toute sa vie ?
C'est une question fondamentale plutôt qu'une intuition directrice, disons la question de l’identité, et qui peut se formuler deux manières. Tout d'abord, comme une interrogation inquiète sur moi-même, en évitant l’écueil du narcissisme : qui suis-je ? Ensuite, sous la forme de la quatrième question kantienne : qu’est-ce que l'homme ? Ou : qui sommes-nous ? On ne saurait répondre directement à de telles questions, qui s'entrecroisent en se présupposant l’une l'autre.