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France et politique française - Page 1396

  • A Gaillac (81), une conductrice de bus menacée de mort pour avoir exigé le port du masque

    Trois jours après l’agression mortelle d’un chauffeur de bus à Bayonne, une conductrice de Gaillac (Tarn) s’est faite menacer de mort le 8 juillet dernier dans son bus. Comme au Pays-basque, le voyageur refusait de porter un masque dans l’autocar.

    L’agression a eu lieu mercredi 8 juillet dernier au centre-ville de Gaillac. Un voyageur de 53 ans a refusé de porter un masque dans un bus de l’agglomération. La conductrice, âgée de 52 ans, lui a alors refusé l’accès.

    L’homme, déjà bien connu des services de gendarmerie, a alors insulté la conductrice et l’a menacée de mort. Il a ensuite pris la fuite. Choquée, la conductrice a porté plainte. Son agresseur a finalement été arrêté et placé en garde à vue ce jeudi. Condamné précédemment pour des faits de vols aggravés, il faisait l’objet d’un sursis de trois mois. Sursis révoqué par le Procureur de la République d’Albi qui l’a envoyé à la maison d’arrêt d’Albi. Il repassera devant le tribunal le 31 juillet prochain.

    francebleu via FDS

    https://www.tvlibertes.com/actus/a-gaillac-81-une-conductrice-de-bus-menacee-de-mort-pour-avoir-exige-le-port-du-masque

  • L'association "Stop éolien 87" lance une campagne pédagogique sur les éoliennes

    Imaginez la multiplication de ces matériaux et de leur impact écologique par 10, 20 ou 30 000 éoliennes comme la Programmation Pluriannuelle de l'Énergie nous l'impose et vous aurez un désastre écologique.

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    Et voici une seconde leçon qui résume simplement les principaux aspects destructeurs de l'environnement par des machines qui prétendent le sauver. Aucune infrastructure aussi imposante et développant des forces mécaniques sur des surfaces aériennes de presque 2 hectares n'a été implantée dans nos horizons et multipliée par 10, 20 ou 30 000 lieux de nuisances. Il n'y a que des idéologues fanatiques pour croire que cela n'a aucune incidence désastreuse sur l'environnement.

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  • Archipelisation ou libanisation ?, par Philippe Germain.

    La technocrature, maladie sénile de la démocratie  : (18/20)

    La combinatoire apocalyptique

    Il faut à la France une alternative aux trois hypothèses d’assujettissement aux partis de l’étranger soutenu par les clans des Yes, des Da et des Hajal. L’alternative devra être française, en un mot  : souveraine.

    Une alternative et non pas une quatrième hypothèse prospective car, comme pour les pôles idéologiques, il est probable qu’aucun des clans ne l’emportera sur les deux autres. Il faut donc nous attendre à ce que les trois hypothèses se combinent dans une proportion encore impossible à définir. C’est l’alternative à cette combinatoire qui est indispensable à la France. Cette combinatoire sera apocalyptique car «  sur le territoire de la France une société nouvelle s’organisera, qui ne sera plus française, même si elle se souvient vaguement d’en avoir reçu l’héritage 1 ».

    En revanche, « Ne désespérons tout de même pas.  » conseillait le romancier royaliste Jean Raspail dans le Figaro du 17 juin 2004. En cela il rejoignait le maurrassien « Tout désespoir en politique est une sottise absolue  ». Il y présentait sa vision de l’avenir français : « Assurément, il subsistera ce qu’on appelle en ethnologie des isolats, de puissantes minorités, peut-être une quinzaine de millions de Français et pas nécessairement tous de race blanche qui parleront encore notre langue dans son intégrité à peu près sauvée et s’obstineront à rester imprégnés de notre culture et de notre histoire telles qu’elles nous ont été transmises de génération en génération. »

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  • Tous les partis sont infestés de pensée socialisante

    Tous les partis sont infestés de pensée socialisante

    Barbara Mazières, élue Rn à la région Pays de la Loire, est interrogée dans Les 4 Vérités :

    La présidente de région Pays de la Loire a proposé de présenter des vœux à soumettre au gouvernement de la part des régions dans le cadre du soutien à l’économie. Pourtant, deux de vos vœux ont été rejetés.

    En effet, la majorité « Les Républicains » de Mme Morançais a rejeté mes deux vœux. Le premier proposait au gouvernement de favoriser le prêt entre entreprises avec inscription de privilège. Cette idée est défendue par de nombreux entrepreneurs. Le second vœu proposait de ne fiscaliser que les bénéfices distribués. En effet, fiscaliser une entreprise au bilan revient à taxer un bien social. Ne pas fiscaliser les bénéfices non distribués permettrait aux entreprises de renforcer leur trésorerie et leur capacité d’investissement. Nous avons bien vu (enfin, les entreprises ont bien vu) durant la crise du Covid que la trésorerie était un facteur important de protection des entreprises, leur permettant de faire face à des imprévus.

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  • Covid-19. Des héros et des salauds

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    Dresser un bilan provisoire de l’épidémie de Covid-19, ce n’est pas seulement comptabiliser les victimes de la maladie et les effets économiques du confinement. C’est aussi s’intéresser au monde de la Santé et à sa médiatisation. Dominique Remmaker dresse un bilan incisif de cette période pour les professionnels de santé.
    Polémia

    Don et contre don

    On doit à l’écrivain Alphonse Karr (1808-1890) cette phrase un rien sibylline : « Un service que l’on rend est une dette que l’on contracte ». À la suite de Marcel Mauss et des théoriciens du don – contre don, il ne faut jamais perdre de vue en effet que contracter une dette, c’est subir en retour le pouvoir et le prestige du donneur. Un sentiment difficile pour l’ego, d’autant plus que le créancier est une construction sans chair ni os. Voici donc « les soignants », héros de vingt heures comme le gigot l’est de sept, qu’il fallut applaudir dans un élan de concorde nationale, à l’unisson des propagandistes médiatiques. Un peu comme dans le temps de la guerre – mythifié par un président qui ne l’a jamais connu –, tous montèrent au front en gants blancs et masques invisibles, contre un ennemi qui ne l’était pas moins. En face d’un simple bout d’ARN ceint de quelques protéines, notre société des droits individuels s’éprit d’un travers collectif : renoncer à la haine de classe, de caste, corporatiste, raciale, religieuse, anti-mâle blanc, progressiste, traoriste, en un mot, multiculturelle. Point de distinction entre médecins, infirmières ou aides-soignantes parmi ces professionnels qui consentirent à prendre le risque de leur vie pour leur idéal. Point de médecins nantis, corrompus et surpayés, à opposer à des personnels affamés et opprimés par un pouvoir d’essence patriarcale. Seulement de vrais courageux, altruistes et solidaires, qui s’infectèrent et parfois moururent sans distinction d’appartenance. Et dont on découvrit soudain l’importance sociale, la précarité, les faibles rémunérations et la mise en coupe réglée par la technocratie politico-gestionnaire. Des idoles, en somme, qu’il fut bon de célébrer au son des casseroles entre l’apéro et le repas du soir, durant deux mois de grande trouille nationale entretenue par les clairons mortifères de BFMTV. Ils n’en demandaient pas tant. L’ennui, c’est que ce qu’ils demandent aujourd’hui, ils ne l’obtiendront pas. Et que les groupies d’hier commencent à déboulonner leurs statues – décidément, une manie !

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  • Chloroquine Vs Coronavirus Didier Raoult Violaine Guérin Idriss Aberkane... dénoncent GILEAD

  • Jour de libération

    Jour de libération

    Les Français sont “libérés” fiscalement et socialement à compter de dimanche 19 juilletUn salarié célibataire doit travailler jusqu’à cette date pour financer la dépense publique, via le paiement des taxes, impôts et cotisations sociales.

    Cette date, révélée par l’étude annuelle de l’Institut économique Molinari (IEM), montre que la France reste championne d’Europe en matière de pression fiscale et sociale. Pour qu’un salarié bénéficie de 100 euros de pouvoir d’achat réel, son patron doit débourser 221 euros, dont 67 euros de charges patronales. Pour quels bénéfices ? Selon le patron de l’IEM,

    “si ces prélèvements bénéficient d’une manière ou d’une autre aux citoyens, il n’y a pas d’adéquation entre les dépenses et la qualité des services publics“.

    Selon l’indicateur du « vivre mieux » de l’OCDE, la France pointe à la 10e place sur les 20 pays européens analysés.

    En moyenne, chez nos voisin européens, cette date se situe autour du 14 juin pour cette année 2020. Toutefois, du côté de Chypre, le “jour de libération fiscale” est intervenu très tôt cette année : le 13 avril, devant Malte (19 avril). Les salariés du Royaume-Uni sont “libérés” depuis le 8 mai. Pour l’Espagne c’est depuis le 8 juin. Du côté de l’Allemagne, c’est depuis le 4 juillet alors que les salariés italiens et belges ont arrêté de payer la dépense publique depuis les 8 et 16 juillet.

    https://www.lesalonbeige.fr/jour-de-liberation/

  • Les temps barbares

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    Par Djordje Kuzmanovic*

    « Une partie de la gauche semble avoir oublié le concept de « lumpenprolétariat » développé par Karl Marx et qui caractérise bien ces criminels qui s’en  prennent d’abord aux travailleurs. Le "lumpenprolétariat" décrit cette frange du prolétariat qui a quitté les classes populaires par le bas et où on retrouve  les voyous, les petits criminels – tous ces gens qui n’ont plus de conscience de classe, qui sont immoraux, mal éduqués et individualistes. Ce sont des  alliés objectifs de l'oligarchie capitaliste car ils copient, à leur échelle, son ethos : la prédation violente, pour soi et contre les autres. C’est aussi s’occuper  des catégories populaires, tâche normalement dévolue à la gauche, que de la débarrasser de ce lumpenprolétariat. La gauche actuelle semble incapable  même de penser le sujet. [...] L’impunité de ce nouveau « lumpenprolétariat » fait d’ailleurs écho à l’impunité des plus puissants de notre société qui se délite  par ses deux bouts. Il y a dans notre République des zones de non-droit et il faudra un jour prendre le taureau par les cornes avant que cela ne dégénère  totalement – par le bas et par le haut. [...]

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  • Je ne suis pas de gauche, mais je me soigne !

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    Si, si, je vous assure que je fais tous les efforts possibles pour devenir un vrai « mec » de gauche, mais je n’ai pas encore assimilé la logique nécessaire pour être diplômé.

    Il y a des choses qui mettent à mal mon pragmatisme. Je vous explique : l’autre jour, sur France Info, j’ai entendu un journaliste parler du chauffeur de bus tué par des « passagers ». J’ai trouvé cette délicatesse dans le vocabulaire plutôt surprenante, mais cela doit faire partie de la novlangue que je n’ai pas encore acquise. Donc, moi, si je dis que c’est un voyou multirécidiviste, c’est quoi, pour les gentils gens de gauche ? De la haine répréhensible ?

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