France et politique française - Page 1398
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150 balles pour 10 g de coke, t'en as rêvé, Macron l'a fait !
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Il faudrait enfin commencer à nommer un chat un chat
« Le multiculturalisme – ce modèle où nous vivons côte à côte et nous nous en réjouissons – a échoué, totalement échoué. » C’est en ces termes que, déjà en 2010, Angela Merkel psalmodiait une lapalissade au cours d’un congrès des jeunes de la CDU, enterrant en conséquence le modèle d’une Allemagne multikulti. L’ange gardien déchu de l’Europe enfonçait le clou dans le cercueil du vivre ensemble : « Nous nous sentons liés aux valeurs chrétiennes. Celui qui n’accepte pas cela n’a pas sa place ici. » Ces propos ont été tenus à un moment où le débat faisait rage à la suite de l’immense succès du livre de Thilo Sarrazin sur les bienfaits tangibles du développement de l’islam, L’Allemagne disparaît.
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54% des Français n’ont pas été convaincus par Emmanuel Macron lors de son interview du 14 juillet, selon un sondage
D’après un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et France Info, 54% des Français n’ont pas été convaincus par Emmanuel Macron lors de son interview du 14 juillet. Si l’entretien du président de la République donnée à TF1 et France 2 a été très suivie (7 Français sur 10), Emmanuel Macron n’a pas réussi à «rassurer» les Français. Pire, 63% d’entre eux pensent qu’il ne leur a pas «dit la vérité», alors que c’était son principal objectif. Son nouveau premier ministre, Jean Castex, n’a d’ailleurs cessé de répéter durant son discours de politique générale mercredi à l’Assemblée nationale, sa volonté de renouer avec la confiance des Français.
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220 000 avortements chaque année, ce n’est pas assez
Des députés ont présenté jeudi une proposition de loi visant encore à améliorer l’accès à l’avortement, sous prétexte que la crise du Covid-19 a empêché de tuer quelques enfants à naître.
Emmenés par l’ex-LREM Albane Gaillot, désormais membre du groupe “Ecologie Démocratie Solidarité” (EDS), une quarantaine d’élus, issus de 8 des 10 groupes politiques représentés à l’Assemblée, sont signataires de la proposition de loi. Ils proposent une large avancée dans la culture de mort :
- L’article 1er prévoit la remise d’un rapport du Gouvernement au Parlement évaluant la mise en œuvre de l’éducation à la sexualité dans le cadre scolaire, à l’école primaire, au collège et au lycée.
- L’article 2 prévoit l’allongement des délais légaux d’accès à l’IVG de douze à quatorze semaines. Et puis ensuite ce sera 16 semaines, et 18, etc.
- L’article 3 étend l’autorisation de pratiquer des IVG instrumentales aux centres de planification et d’éducation familiale.
- L’article 4 supprime la double clause de conscience spécifique à l’IVG. Il faut obliger les médecins à tuer.
- L’article 5 prévoit de faciliter l’accès à l’interruption médicale de grossesse (donc jusqu’à la naissance !) pour raisons psychosociales. Derrière les raisons pyschosociales, on peut tout mettre.
- L’article 6 met en place une expérimentation, visant à permettre aux sages‑femmes de réaliser des interruptions volontaires de grossesse instrumentales dans les établissements de santé.
Mme Gaillot a rappelé que “près d’une femme sur trois a recours à l’avortement” au cours de sa vie. C’est énorme. Et il ne lui vient pas à l’esprit qu’il faudrait limiter ce recours, aider les femmes enceintes, les défendre face à leur famille qui les incite à avorter. Non, il faut du sang. Des sacrifices humains. Encore.
https://www.lesalonbeige.fr/220-000-avortements-chaque-annee-ce-nest-pas-assez/
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« Guérilla urbaine » aux Sables-d’Olonne : Environ 150 « jeunes » ont affronté les policiers pendant des heures, aucune interpellation
Source F.desouche cliquez là
Un épisode de violences urbaines a secoué le Remblai et la grande plage des Sables-d’Olonne dans la nuit du 14 au 15 juillet 2020.
(…) Selon nos sources, les forces de sécurité sont intervenues pour calmer et séparer ces jeunes qui étaient environ 150.
« Mais, quand ils ont vu des gens en bleu arriver, ils se sont rassemblés pour casser du flic. Ils ont pris des bouteilles et tout ce qu’ils avaient sous la main », raconte un témoin.
(…) Le syndicat Alliance police Nationale, qui estime le nombre de jeunes plus proche de 200, évoque
« une guérilla urbaine. Nos collègues ont reçu des feux d’artifices et des bouteilles de verre provenant de la plage »
« Il s’agissait de jeunes, voire de très jeunes personnes », selon une source proche de l’enquête qui parle également de bandes de La Roche-sur-Yon et du Mans venues en découdre aux Sables-d’Olonne.
Face au nombre important d’agresseurs, aucune interpellation n’a été possible.
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Qu’en est-il du pouvoir présidentiel ?
On imagine tous que le président de la République a des pouvoirs exorbitants sous la Vème République en raison d’une Constitution taillée sur mesure pour De Gaulle. A tel point d’ailleurs que l’on n’hésite pas à parler de monarchie républicaine. Dans les faits on serait loin du compte comme l’expose ici Emmanuelle Mignon qui fut la directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy. Les pouvoirs du président sur une administration omniprésente sont limités et la durée du mandat – cinq ans – n’autorise guère à engager de profondes réformes.
Ce qui nous amène à poser la question : comment réformer en profondeur ce pays ? Au fil des ans, on a créé un Etat jacobin monstrueux, étouffant à coups de taxes, de lois de circonstances, et de normes qui corsettent le monde du travail et contrarient les initiatives citoyennes. Une révolution s’impose, mais laquelle ?
Lire l’entretien ICI
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Eric Dupont-Moretti, par Aristide Renou.
J’ai dit très vite que Dupont-Moretti m’inspirait les plus vives craintes. Ce n’était pas préjugés de ma part, juste la constatation que ses premières déclarations laissaient transparaitre une adhésion sans faille à la culture de l’excuse et au politiquement correct judiciaire.
Nous en avons eu une nouvelle confirmation lors de sa visite dans un Centre Educatif Fermé, une structure qui accueille des mineurs en général déjà bien avancés sur le chemin de la délinquance.
Il a déclaré, face aux caméras et aux micros : « J'ai toujours pensé qu'il valait mieux construire une école qu'une prison » et « ces gamins-là, qui pour la plupart n’ont pas eu de chance, il faut les aider. »
Je tiens Victor Hugo pour un immense poète, mais a-t-il jamais existé de phrase plus naïve et aux effets plus pernicieux que « Qui ouvre une école ferme une prison » (peut-être n’a-t-il pas dit exactement ça, mais cette formule qui lui est attribuée traduit incontestablement sa pensée en la matière) ?
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Covid-19. Des héros et des salauds
Dresser un bilan provisoire de l’épidémie de Covid-19, ce n’est pas seulement comptabiliser les victimes de la maladie et les effets économiques du confinement. C’est aussi s’intéresser au monde de la Santé et à sa médiatisation. Dominique Remmaker dresse un bilan incisif de cette période pour les professionnels de santé.
PolémiaDon et contre don
On doit à l’écrivain Alphonse Karr (1808-1890) cette phrase un rien sibylline : « Un service que l’on rend est une dette que l’on contracte ». À la suite de Marcel Mauss et des théoriciens du don – contre don, il ne faut jamais perdre de vue en effet que contracter une dette, c’est subir en retour le pouvoir et le prestige du donneur. Un sentiment difficile pour l’ego, d’autant plus que le créancier est une construction sans chair ni os. Voici donc « les soignants », héros de vingt heures comme le gigot l’est de sept, qu’il fallut applaudir dans un élan de concorde nationale, à l’unisson des propagandistes médiatiques. Un peu comme dans le temps de la guerre – mythifié par un président qui ne l’a jamais connu –, tous montèrent au front en gants blancs et masques invisibles, contre un ennemi qui ne l’était pas moins. En face d’un simple bout d’ARN ceint de quelques protéines, notre société des droits individuels s’éprit d’un travers collectif : renoncer à la haine de classe, de caste, corporatiste, raciale, religieuse, anti-mâle blanc, progressiste, traoriste, en un mot, multiculturelle. Point de distinction entre médecins, infirmières ou aides-soignantes parmi ces professionnels qui consentirent à prendre le risque de leur vie pour leur idéal. Point de médecins nantis, corrompus et surpayés, à opposer à des personnels affamés et opprimés par un pouvoir d’essence patriarcale. Seulement de vrais courageux, altruistes et solidaires, qui s’infectèrent et parfois moururent sans distinction d’appartenance. Et dont on découvrit soudain l’importance sociale, la précarité, les faibles rémunérations et la mise en coupe réglée par la technocratie politico-gestionnaire. Des idoles, en somme, qu’il fut bon de célébrer au son des casseroles entre l’apéro et le repas du soir, durant deux mois de grande trouille nationale entretenue par les clairons mortifères de BFMTV. Ils n’en demandaient pas tant. L’ennui, c’est que ce qu’ils demandent aujourd’hui, ils ne l’obtiendront pas. Et que les groupies d’hier commencent à déboulonner leurs statues – décidément, une manie !
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I-Média n°307 – Censure des prénoms : l’aveu des médias
01:50 L’image de la semaine
Qui dit 14 juillet dit défilé militaire et feux d’artifices. Mais comment oublier tous ceux qui, le 14 juillet 2016, ont perdu la vie à Nice suite à un attentat islamiste ?
03:22 Censure des prénoms : l’aveu des médias
Alors que les journalistes taisent plus que jamais l’identité des criminels lorsqu’ils sont d’origine immigrés, nous reviendrons sur les aveux de la caste médiatique quant à cette censure et analyserons ses conséquences gravissimes.
11:45 Revue de presse
La chute du New York Times…
Fogiel qui attaque CNews…
Comme d’habitude, nous reviendrons sur l’actualité médiatique de la semaine.25:04 14 juillet : fête nationale et défaite médiatique
À l’occasion du 14 juillet, Léa Salamé et Gilles Bouleau ont complaisamment interrogé Emmanuel Macron pendant que les journalistes se taisaient sur les émeutes de banlieue.
https://www.tvlibertes.com/i-media-n307-censure-des-prenoms-laveu-des-medias
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La dictature de minorités qui vomissent la France et l’occident..
« La France, tu l'aimes, tu la respectes ou tu la quittes »
Cette supplique et cette exhortation répétées par nombre de responsables politiques s'adressent à ces minorités radicales qui vomissent la France, et qui pensent qu'elles peuvent et doivent imposer, leur culture, leurs mœurs, leurs lois au pays d’accueil au lieu de respecter celles de ce pays, et cela sous le prétexte que ce pays serait à jamais coupable d'actes inexpiables à leur égard, esclavage, colonisation et suprématisme blanc.
discours de fermeté tenu par l'imam de la mosquée d’Agen.
https://www.sudouest.fr/2015/11/17/pour-l-imam-la-fran-ce-on-l-aime-ou-on-la-quitte-2187834-4778.php
L'immigration est un phénomène normal, la France a été et est un pays d'immigration. Le phénomène migratoire pourrait être une richesse pour le pays d’accueil, une solution pour l'immigré de trouver une opportunité de se réaliser, si chez lui c'est impossible économiquement ou politiquement, mais ce n'est une chance qu' à plusieurs conditions.
La première condition est sine qua non
----- Que le flux d'immigration soit contrôlé, car on ne peut recevoir plus d'immigrés que l'on ne peut intégrer. C'est une règle d'or.
Ce qui doit être une chance et une richesse pour les deux parties, devient si ce critère n'est pas respecté, un fardeau insupportable et un risque majeur.
Par ailleurs, même si la politique s’embarrasse rarement de sentiments, tout phénomène excessif de déplacement de population serait considéré comme une pompe aspirante des cerveaux et des bras des moyens humains des pays ponctionnés.
En conséquence, il faudrait
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