Notre dette va atteindre 140 % de notre PIB en 2024, selon Le Figaro. Après cette date, elle risque de grimper à un rythme faible, mais régulier, le déficit restant autour de 3 % du PIB. Certes, le Japon est à 230 % du PIB depuis près de vingt ans sans connaître de difficultés économiques particulières autres qu’une croissance molle. Il se finance sans aucun problème à des taux négatifs. Mais c’est le seul exemple de ce type. Lorsqu’une dette dépasse les 130 % du PIB, en général, les taux d’intérêt flambent, entraînant une cessation de paiements. Si la BCE n’intervenait pas, l’Italie et la Grèce, qui sont respectivement à 130 % et 180 %, emprunteraient au-delà de 5 % et feraient faillite. C’est ce qui est arrivé au Liban et à l’Argentine. Dans ces deux pays, les importations sont bloquées, les programmes sociaux abandonnés, la misère s’étend au point que les populations ont faim. Inadmissible, au XXIe siècle.
France et politique française - Page 1411
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Et si nous vendions du vent pour alléger la dette ?
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Macron a tort : la rentrée ne sera pas difficile, mais apocalyptique
Par Marc Landré *
Emmanuel Macron l’avait déjà laissé entendre le 14 juin, lors de sa dernière adresse télévisée à la nation. « Notre pays va connaître des faillites et des plans sociaux multiples en raison de l’arrêt de l’économie mondiale », avait prévenu le chef de l’État, en appelant déjà à une « reconstruction économique » de la France et promettant de « tout faire pour éviter au maximum les licenciements ». Ce vendredi, dans son interview à la presse régionale, il a été encore plus clair : « la rentrée sera difficile et il faut s’y préparer ». Pronostiquer qu’elle sera « difficile » est au mieux un euphémisme, au pire une lapalissade. La rentrée de septembre, de l’avis de tous les experts, va être bien pire, c’est-à-dire apocalyptique. En réalité, comment pourrait-il en être autrement, tant la déflagration économique que la France endure est d’une violence inédite ? Les Français - qui dans leur grande immense majorité ont été pour l’heure épargnés par les conséquences de la crise sanitaire - ne s’en rendent pas compte mais l’horizon est des plus sombres, pour ne pas dire des plus noirs.
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ILS DÉNONCENT LE RACISME SYSTÉMIQUE DE LA FRANCE – Les Reportages de Vincent Lapierre
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La France a besoin d’une révolution conservatrice !
Il y a deux idées aussi fausses l’une que l’autre : la première est que la droite et la gauche n’existent plus, la seconde est que les premiers ministres de M.Macron seraient « de droite ». La vraie coupure entre la droite et la gauche ne réside pas dans l’appartenance à un parti qui est situé d’un côté ou de l’autre, mais dans une opposition constante depuis la Révolution entre le conservatisme et le progressisme. La vraie droite est conservatrice, et peut se vouloir réactionnaire. La vraie gauche est progressiste et peut se vouloir révolutionnaire. Lorsque des gens qui se disent de droite en arrivent à faire lentement et en douceur ce que la gauche fait brutalement et rapidement, ils mentent évidemment : il sont de gauche. Bien sûr le mot « progressiste » est à relativiser. Une « avancée » peut être une amélioration mais aussi la présentation avantageuse d’une décadence. Le conservateur, c’est-à-dire l’homme de droite est celui qui trie systématiquement les changements nécessaires pour conserver l’essentiel et rejette ceux qui sont superflus voire néfastes. Dès le début de ce clivage, la droite voulait conserver la monarchie et le pouvoir du roi. Elle savait parfaitement que les privilèges devenus injustifiés, que la confusion dans l’organisation du Royaume, et l’anarchie de ses finances ne pouvaient durer. Pour autant, elle ne voulait ni la république, ni la destruction de l’Eglise. Le mouvement sinistrogyre de la période révolutionnaire de 1789 à 1794 a correspondu à la victoire constante et de plus en plus sanglante du « progressisme ». L’égalité civile s’étendait à la politique et abordait le social. Le mouvement s’arrêta à ce point lorsqu’on revint du suffrage universel de 1793 au suffrage censitaire et qu’on ne suivit pas la « conspiration des Egaux » de Babeuf qui mettait fin à la propriété privée des moyens de production.
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La LDNA veut la dissolution de l’Eglise catholique après paiement de réparations
Après les manifestations antiracistes à Paris, la Ligue de défense noire africaine ne dit pas son dernier mot. Elle veut cette fois, la dissolution de l’Eglise catholique en guise de “réparations”.
(…) C’est dans un second tweet que la Ligue de défense noire africaine, qui assure « défendre les droits des Afrodescendants et des Africains », affiche réellement ses intentions. « Mais bientôt viendra le jour où la LDNA obtiendra des réparations justes pour toutes les atrocités commises et permises par la France, sur nos ancêtres », commence-t-elle. Ce groupuscule ultra-black le planifie déjà : « Même le Vatican, l’Eglise catholique, devra passer à la caisse et être dissoute après le paiement des réparations », espère-t-il.
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Libération, quotidien de Blancs, lu par des Blancs, qui milite pour le racisme anti-blancs (partie 2)
DÉCIDÉMENT, LIBÉRATION N’EN FINIT PAS AVEC LES CAUSES VICTIMAIRES QUE LE FUTUR JUGERA COMME DES TRAHISONS HONTEUSES, COMME AU SUJET DE LA PÉDOPHILIE DONT LE JOURNAL SE FIT L’ARDENT DÉFENSEUR AUTREFOIS. AUJOURD’HUI, CE QUE LIBÉRATION AIME CE SONT LES RACISTES NOIRS ET CE QU’IL DÉTESTE CE SONT LES EUROPÉENS BLANCS. PREMIÈRE PARTIE : CLIQUEZ ICI.
Laurent Joffrin insiste dans son éditorial : la République française proclame l’égalité mais ne l’applique pas dans les faits, évoquant les discriminations concernant les logements ou les embauches, les contrôles au faciès ou la misogynie. Cependant, l’éditorial omet un pan très important de ces discriminations et beaucoup de réalités : si les contrôles se font au faciès c’est parce que la majorité des délinquants appartient à des ethnies clairement déterminées ; la discrimination au logement se fait dans tous les sens, de même en ce qui concerne les emplois : qui a déjà vu un Français de souche embauché dans un kebab ? Quant aux idées opposées de celles de Joffrin, elles ont été quarante ans durant interdites d’expression en France, pas toujours par la loi mais dans les faits par la censure des médias de grand chemin.
De manière objective, il est même, tout au contraire de Joffrin, possible d’affirmer que la France est une terre d’égalité : aucun pays dans le monde n’accueille autant d’individus dans de telles conditions d’aides sur tous les plans, de l’éducation à la santé en passant par l’apprentissage de la langue, l’aide à trouver, justement, emplois et logements.
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C’est écrit dans Le Monde : Assa Traoré, ou la fabrication d’une icône…
C’est souvent quand on veut trop bien faire que tout s’en va en quenouille. La preuve par la journaliste Zineb Dryef, ancienne de Rue89, dans le supplément dominical du Monde, qui signe un portrait d’Assa Traoré, qui est à peu près à Angela Davis ce qu’Henri Salvador fut à James Brown. Et c’est ainsi qu’à vouloir tout démontrer, c’est parfois à l’effet contraire qu’on aboutit.
Naguère, c’étaient les héros et les saints que célébrait l’imaginaire collectif. Aujourd’hui, l’heure serait plutôt aux victimes et à leurs souffrances, réelles comme imaginaires : « J’ai raison parce que j’ai souffert et plus que toi, tant qu’à faire », tel est le bréviaire.
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A Marseille, Guy Tessier préfère la gauche radicale à la droite de conviction...
Guy Tessier fut officier parachutiste. Il fut aussi un militant national, membre actif du Parti des Forces Nouvelles, avant de faire carrière au sein de la droite républicaine marseillaise.Même lui a cru bon de suivre les consignes de la droite la plus bête du monde et préféré abandonner la grande cité phocéenne à la gauche radicale plutôt que d'accepter le pacte Marseillais que lui proposait Stéphane Ravier, ce qui lui aurait permis d'emporter la mairie.Les Marseillais ont devant eux des jours bien sombres.NDLR SN : Il y a bien longtemps que Tessier a oublié son engagement post-juvénile au PFN. Il n'est d'ailleurs pas le seul...Lien permanent Catégories : actualité, élections, France et politique française, lobby 0 commentaire -
Sur Le Point, Michel Onfray : « Il y a du peuple quand il y a une conscience de soi ».
Co-fondateur de la revue Front populaire avec Stéphane Simon, Onfray souhaite réunir souverainistes de droite et de gauche. Populisme, souverainisme, Macron : le philosophe aux desseins politiques est l'invité de l'interview politique du Point.
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Il y a quelques jours, P'tit Luc, une figure du mouvement nationaliste, est parti...
Claude Jaffrès
P'tit Luc nous a quitté, il a rejoint tous ces valeureux combattants, ses camarades et nos modèles.
Monsieur Roger Luc, pour l’état civil, quel personnage !
Je milite depuis à peu près 1956, je l'ai pratiquement toujours vu.
C'est à la permanence du Mouvement Jeune Nation que j'ai fait sa connaissance, il avait une « tronche » qu'on remarque et j'avais tout de suite ressenti de la sympathie... et puis ses oreilles de lutteur et son passé d'ancien d'Indo m'impressionnaient. Il était vêtu de sa fameuse veste en « peau retournée », il venait d’adhérer, il sortait du bureau où il avait rencontré Pierre Sidos et Dominique Venner, dont il disait que c'etait un bon chef. Nous les plus jeunes, nous étions ravis de cette nouvelle recrue de choc, nous ne furent pas déçus. Durant cette période Algérie Française, le Mouvement Jeune Nation fut sans doute la plus active et virulente des formations politiques, P'tit Luc s’imposa très rapidement comme l'un des meilleurs, tous le connaissaient, tous l'appréciaient, mais nos adversaires pas du tout.