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France et politique française - Page 1412

  • Le retour du racialisme – La revue de presse de Radio Courtoisie

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    Par Michel Leblay et Laurent Artur du Plessis ♦ La revue de presse du Libre journal de Dominique Paoli sur Radio Courtoisie du 3 août 2020 porte sur le retour du racialisme en Occident.

    La mort de George Floyd à Minneapolis, le 25 mai 2020, lors de son interpellation par la police a déclenché, à travers les États-Unis, des manifestations à caractère racial, tournant pour plusieurs d’entre elles à l’émeute. Elles ont réuni des Noirs et des Blancs dont une part de ces derniers, les éléments violents, est liée aux mouvances d’extrême gauche. Ces manifestations ont eu leur écho en Europe, notamment en France. Rassemblant des groupes issus de l’immigration africaine et des mouvements d’extrême gauche, elles participent sous le prétexte de violences policières aux revendications dites racialistes. Ce terme apparu il y a quelques années au sein d’une intelligentsia de gauche vise à mettre en évidence des discriminations supposées que subiraient les populations d’origine immigrée (voir Le MondeLe retour du « racialisme », 20 juin 2019 « Les universalistes disent, et ils ont raison, que la “race” n’existe pas, mais certains groupes sont victimes de discrimination à l’emploi et au logement à cause de leurs caractéristiques ethniques ou physiques, souligne l’anthropologue Jean-Loup Amselle).

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  • Avant de commémorer Mai 68... (2017)

    S’il est un signe du caractère violent de notre société, c’est l’expansion de ceux qu’il est convenu d’appeler les antifas, et qui radicalisent le grand mouvement de mai 68  contre les flics et contre tout ordre supérieur aux individus cela au moment ou on parle d’en célébrer le cinquantenaire.

    On aimerait nous faire croire que le danger en France, ce sont les fachistes. En réalité les antifas sont absolument décomplexés et beaucoup plus dangereux comme vient de le démontrer l'affaire des incendies de voitures qui ont eu lieu, nuitamment, entre le 25 et le 26 octobre, à l'intérieur de la caserne de gendarmerie de Meylan en Isère. La revendication, sur une Plateforme informatique, indique que ce sont des femmes d'un mouvement féministe « dur », qui ont sévi. Ce site avait déjà servi pour d'autres revendications antifa. Il semble fiable. Et quand bien même ce mouvement féministe ne serait pas à l'origine de ces incendies, la rhétorique ultra-violente qu'il emploie mérite le détour. Elle nous renvoie à la perspective d'un Mai 68 "pour de vrai" et pas simplement dans le langage, une perspective pas vraiment rassurante !

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  • Les trois premières fautes de Jean Castex

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    Sans aucun doute, Jean Castex est un brillant haut fonctionnaire. Mais cela n’en fait pas l’homme de la situation pour devenir Premier ministre de la France. Il n’a pas réfléchi à la manière de restaurer le pacte social face à la globalisation financière et se satisfait de mesures pour acheter la paix sociale à court terme. Dès sa nomination, il a montré qu’il ne voulait pas réformer la classe politique, qu’il se contentait de lutter contre la pandémie en faisant comme les autres, et qu’il soutenait le projet maastrichien conçu durant la Guerre froide.

    Thierry Meyssan Mercredi 29 Juillet 2020
    L’administration française fonctionne très bien toute seule. En ce sens, c’est une des meilleures au monde. Le rôle des ministres n’est pas de se substituer aux directeurs d’administration centrale qui font tourner la machine. C’est au contraire d’adapter l’administration aux changements du monde ; de l’orienter dans le sens imaginé par le président de la République et approuvé par les citoyens lors de son élection.
    Le président de la République ne peut avoir d’avis sur tout. Mais ils doit penser les Affaires étrangères et la Défense, la Police et la Justice, la Monnaie et les Impôts. C’est ce que l’on appelle les fonctions régaliennes. Actuellement, il doit repenser cet ensemble pour rétablir le contrat social face à une modification profonde des structures de la société.

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  • Jean-Frédéric Poisson: “Le discours antichristianiste est beaucoup plus volumineux que le discours de la haine et de l’agressivité à l’égard de l’islam”

    Jean-Frédéric Poisson: “Le discours antichristianiste est beaucoup plus volumineux que le discours de la haine et de l’agressivité à l’égard de l’islam”

    Extraits de l’interview accordée par Jean-Frédéric Poisson à Sputnik à propos des actes de dégradation du patrimoine français (vandalisation des statues, incendies dans les églises) :

    Nous sommes condamnés à traiter le problème par la racine: par l’éducation et par le retour dans les salles de classe de l’école primaire à un juste enseignement sur ce que qu’est le phénomène religieux, à quoi ça sert, pourquoi il faut respecter l’église, le monument aux morts, les statues, notre histoire en général

    Contrairement à ce qu’on veut nous faire croire, le discours antichristianiste est beaucoup plus volumineux que le discours de la haine et de l’agressivité à l’égard de l’islam. Tous simplement, parce que le christianisme est encore dominant.

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  • Christophe Girard est parti : il a bien fait !

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    Lorsque la polémique et l'indignation concernant Gabriel Matzneff (GM) battaient leur plein, avec la révélation de ceux qui avaient soutenu un auteur, une oeuvre et des journaux intimes se flattant sans vergogne d'actes criminels à l'encontre de très jeunes enfants, l'hésitation n'était pas de mise et la cause était juste : il fallait dénoncer cette honte et la complaisance du milieu culturel et littéraire à cet égard.

    Je n'en suis que plus à l'aise pour dire que trop c'est trop.

    Surtout quand de près ou de loin, Christophe Girard, apprécié par la maire de Paris dans le secteur culturel dont elle lui avait confié la charge, n'avait pas eu la moindre chose à se reprocher dans la gestion de l'affaire Matzneff ou dans ses propos à son sujet.

    À la demande de Pierre Bergé, il avait octroyé une aide à l'écrivain et il avait déjeuné trois fois avec lui, sans en être l'ami a-t-il précisé, contrairement à l'affirmation de GM, ce qui n'est pas encore interdit, que je sache, en France ! En faisant régler par la mairie trois notes de fais. Quel scandale !

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  • Les Lansquenets d'Europe ont tenu, malgré les contraintes, leur rencontre estivale dans le sud de la France

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    Compte-rendu de la session 2020 des Lansquenets d’Europe

    Malgré les nombreuses difficultés actuellement imposées par le pouvoir politique, les Lansquenets d’Europe, association continentale d’ambition métapolitique pan-européenne animée par Gabriele Adinolfi (ci-dessus lors de la réunion de 2019), ont été les seuls de la période estivale à honorer leur rendez-vous annuel dans le Midi de la France. Précisons que cette réunion se tenait dans un lieu privé, en Provence, et, le plus souvent en plein air.

    Du 23 au 26 juillet 2020 se sont donc tenues leurs cinquièmes rencontres près d’Aix-en-Provence. Malgré une faible affluence due à la crise sanitaire et à ses conséquences économiques, une trentaine de personnes, venues de France, d’Italie, de Belgique, d’Espagne, des Pays-Bas, de Pologne et de Suisse, ont néanmoins tenu à s’y inscrire.

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  • Fin programmée des chaudières au fioul : la « France périphérique » encore pénalisée

    « À partir du 1er janvier 2022, il sera interdit, pour des raisons écologiques, de poser une nouvelle chaudière au fioul (4 millions de logements en sont actuellement équipés, principalement dans la « France périphérique ») et au charbon (il n’y en a presque plus, tant les contraintes sont importantes).

    Les ménages pourront, après cette date, faire réparer leur chaudière au fioul, changer des pièces, voire effectuer quelques travaux, mais lorsqu’elle sera définitivement en panne, ils devront se tourner vers des modes de chauffage plus « écologiques ». En 2035, il ne devrait rester que quelques ancêtres particulièrement robustes.

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  • INSÉCURITÉ : Réponse à TATIANA VENTÔSE (qui ne m'a rien demandé, mais ça fait rien!)

  • Immigration : Le Monde et les merveilleuses histoires des « hébergeurs citoyens »

    Ce sont des histoires magnifiques que Le Monde a collectées.De belles histoires « christiques » comme on nous en racontait au catéchisme.
    D’ailleurs, c’est bien de catéchisme qu’il s’agit ici.
    Le « quotidien du soir » – formule jusqu’ici consacrée qu’on pourrait remplacer par « le quotidien de la bonne conscience » – nous apporte une série d’émouvants témoignages.
    Ceux de gens « touchés par le sort de jeunes réfugiés contraints de dormir dans la rue » ; ce ne sont pourtant que « des citoyens ordinaires [qui] leur ouvrent la porte de leur domicile ».
    On les appelle les « hébergeurs citoyens ».
    Il y en a une jolie collection, dans les pages du Monde, de ces gens touchés par la misère qui s’étale sur nos trottoirs.
    Ils s’appellent Pascale et Bertrand, Marie et Stéphane, Valérie et Laurent, Georges, Béatrice, puis Olivia et Émilie.

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  • Sur Sacr TV, chroniques de la Monarchie populaire - Société mercantile ou recherche du Sacré - 2.

    Antoine de Rivarol disait "La faveur que le gouvernement accorde aux sujets doit toujours être en raison inverse de la mobilité de leurs richesses. Ainsi celui qu’on doit favoriser le plus, c’est le laboureur… Je mets au dernier rang l’homme à argent qui, tel qu’un magicien, peut d’un trait de plume transporter sa fortune au bout du monde ; et qui, n’agitant jamais que des signes, se dérobe également à la nature et à la société… Cette maxime est fondamentale, et on peut toujours juger un ministre d’après elle". Dans un chapitre précédent, nous avions parlé de la féodalité par le mouvement des communes et dit combien celle-ci était bienfaitrice à l’époque de sa création face aux barbares envahissants. L’école républicaine la présente comme oppressive et inhumaine vis-à-vis des faibles. Ecoutons Louis Dimier : « Le préjugé révolutionnaire enseigne à ne reconnaître dans ce sort des petits que l’objet d’un devoir moral ; il y subordonne tout l’Etat. Cet intérêt particulier, dans une fonction qui ne doit considérer que les intérêts généraux, ruine l’Etat sans profit pour ceux qu’on lui préfère. Ceux-ci pâtissent deux fois de la Révolution : de l’impuissance à laquelle son erreur la condamne et de la banqueroute sociale à laquelle elle aboutit » (« Les Préjugés ennemis de l’Histoire de France »). Imaginons un instant, les hommes vivant cette époque, construire des cathédrales, élever des familles nombreuses, subir les fléaux de la guerre et les épidémies… Parcourir pour les compagnons, la France entière… Poser une pierre ici, tailler un meuble là. La mobilité géographique des hommes de ce temps est impressionnante, autant pour les chevaliers que pour les simples ouvriers. La fabrication des vêtements, les tapisseries, les meubles et articles divers se vendaient et se vendent encore dans le monde entier.

    Lisons sous la plume d’Alain Decaux, ce que l’école n’apprend pas sur nos rois : « L’Ancien régime avait su, par le jeu savant des dimanches et des jours fériés, équilibrer de façon très remarquable le travail et le repos. Il y avait les saints romains, les saints nationaux et les saints locaux : tous, excellent prétexte à interrompre le travail. M.Patrice Boussel, dans sa passionnante et si amusante Histoire des Vacances (Berger-Levrault, éditeur), à laquelle il faut obligatoirement se référer dès qu’on aborde ces sujets, nous dit qu’au XVIe siècle on comptait une soixantaine de fêtes chômées, outre les dimanches. Au XIIIe siècle, les ouvriers parisiens exerçant la profession de tréfileurs d’archal (Fil de laiton) bénéficiaient de vacances d’un mois. » Certes, c’était l’exception, mais « avec des semaines de travail d’environ quatre jours, l’ouvrier du Moyen-âge avait joui à la fin de l’année d’une période de repos plus longue que celle à laquelle on parvient en additionnant les jours de repos hebdomadaires, les jours fériés et les congés payés. »