Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 1414

  • Les hommes changent, mais la ligne politique demeure la même

    106684004_10214246333271742_871710198827070549_n.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    Le changement, la "nouvelle étape" promise consiste pour Macron à remplacer un technocrate ex-juppéiste par un technocrate ex-sarkoziste.
    Il est vrai qu'en substituant Jean Castex à Édouard Philippe, le Président de la République ne poursuit qu'un but et un seul: nommer à Matignon un simple collaborateur, exécutant docile de ses exigences, et avoir ainsi les mains libres pour exercer l'entièreté des responsabilités du pouvoir.
    Il devra bientôt assumer aussi l'entièreté de la responsabilité des catastrophes qui viennent.

    106504893_10214246337231841_1559630591877160442_n.jpg

  • «Great Reset. Vote écolo termine en vélo! Quota carbone individuel et fin des avions ! » L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, chers impertinents,

    On va rire, mais on va rire mes amis, chaque jour un peu plus.
    N’oubliez pas, 20 minutes de rire quotidien c’est excellent pour la santé.
     La vôtre et donc celle de la planète.
    Tout le mois de juillet je vais vous parler de cette histoire de « great reset », pour vous aider à y voir plus clair, et en définir le contour.Qu’est-ce qu’il recouvre, qu’est-ce qu’il signifie, qu’est-ce qu’il implique évidemment pour nos vies quotidiennes, que cache-t-il aussi ?
    Autant de questions aussi fascinantes que passionnantes auxquelles nous allons apporter les réponses.
    En attendant, voici que les Khmers verts qui nous dirigent, veulent diriger nos vies et savent mieux que nous ce qui est bon pour nous.
    Ils ont décidé que les billets d’avion à 10 euros c’est terminé, et que d’ailleurs les vols en avion c’était aussi terminé.
    Terminé.
    Fini.
    Terminé les tours du monde à pas cher et les allers retours Paris-Venise à 40 euros (à condition de partir de Beauvais).
    Car ce qu’a dit Delphine Batho est très lourd de sens.
    « On doit organiser la réduction du trafic aérien, car le transport aérien n’est pas compatible avec la transition ».
    Taxe ou quota ?

    Lire la suite

  • Comment être élu maire avec seulement 5 % des inscrits

    567px-urne-567x475.jpg

    Le Monde titre : « À  donne la mairie du 12e aux écologistes ». Là, au moins, c’est clair. Les celles-zé-ceux qui croyaient que c’était les électeurs qui choisissaient leur maire vont peut-être comprendre, pour le coup.

    Explications. Dans le 12e arrondissement, au premier tour, cinq listes étaient en lice : la liste hidalguiste, conduite par Emmanuel Grégoire, avec 33,39 %, ensuite la liste datiste de Valérie Montandon, avec 22,86 % des voix, puis Sandrine Mazetier conduisant une liste appelée Union du centre, qui a obtenu 16,54 % des suffrages. Enfin, l’écolo Emmanuelle Pierre-Marie n’avait obtenu que 11,95 %, précédant un certain Patrick Rebourg, divers centre, fermant la marche avec 7,9 %. 43,54 % des inscrits s’étaient déplacés pour ce premier tour.

    Lire la suite

  • Crise sanitaire : vers une remise en cause des 35 heures ?

    Lors de l’entretien d’Emmanuel Macron publié ce matin dans la presse quotidienne régionale, le président de la République a affirmé que la crise sanitaire que nous venons de traverser avait « changé » la France. C’est sur les leçons tirées de cette situation exceptionnelle qu’il compte « reconstruire le pays ». Interrogé au sujet d’une éventuelle remise en cause des 35 heures en raison de la crise provoquée par le coronavirus, Emmanuel Macron est resté très évasif : « Le débat que nous avions connu avant cette crise autour de la durée du nombre d’années de cotisation dans la vie continue à se poser. Nous ne pouvons pas être un pays qui veut son indépendance, la reconquête sociale, économique et environnementale et être un des pays où on travaille le moins tout au long de la vie en Europe. »

    Lire la suite

  • Crise : la maladie de l'Union européenne

    Crise la maladie de l'Union européenne.jpeg

    Avec un certain aplomb, nombre de dirigeants politiques vantent leu gestion de la crise, entre auto-persuasion et mauvaise foi. Une assurance qui semble confiner au culot, tant il est vrai que, de plus en plus, les peuples s’interrogent et doutent.

    La rumeur enfle en effet, qui veut que le confinement n'ait pas particulièrement protégé les pays qui l'ont adopté pour se défendre du coronavirus. Ni sur le plan vital. Ni sur le plan économique. Le problème est que la rumeur n'est pas le fruit d'un complot d'esprits obtus et réactionnaires. Elle plonge ses racines dans un certain nombre d'études et de faits - têtus, comme il se doit. Ce qui explique sans doute que plusieurs États en arrivent aujourd'hui à l'étape suivante confiner les esprits en interdisant toute critique. À ce jeu, Macron semble passer d'autant plus maître qu'il s'est signalé par une particulière incompétence. Laquelle confine sans doute, avec l'idéologie.

    Ces données - ces faits - sont désormais accessibles à qui veut bien se donner la peine de faire un minimum de recherches. On en trouve des illustrations nombreuses, notamment à travers les États-membres de l'Union européenne. Prenons l'exemple du graphique qu'en a données, mi-mai, le professeur Luis Huete, de l'IESE, école de commerce sise à Barcelone, par lequel il résume, en un schéma très clair l'évolution économique des États en lien avec leur traitement de la crise du coronavirus.

    Lire la suite

  • L'écologie politique aujourd'hui. Partie 2 : Les Verts au risque de la gestion écologique municipale.

    6a00e54f0f7ad688340263e954246f200b-800wi

    Les Verts élus maires pourront-ils appliquer une véritable politique écologiste au sein de leurs villes ? Il est évident que la question va vite connaître un commencement de réponse, dès les prochaines semaines, en particulier sur le plan de l’aménagement urbain : la construction de nouveaux ensembles immobiliers repose aussi sur des choix municipaux, et il sera intéressant de voir comment les nouveaux édiles pourront appliquer une politique de densification sans attenter aux équilibres des centres-villes anciens et de leurs paysages, par exemple. Des tours plus hautes ? Des rénovations plus nombreuses ? Quelles aides municipales pour ces dernières ? Le danger, éminemment social, serait que le coût des travaux à effectuer entraîne le départ définitif des populations les moins aisées ou les plus âgées, incapables de régler des factures d’isolation thermique et de ravalement de plus en plus élevées, et, par un effet mécanique d’aubaine, la gentrification accélérée de ces mêmes lieux, déjà bien entamée depuis plus de deux décennies. Or ce processus, favorable à la clientèle électorale des Verts, risque aussi de muséifier les cœurs de ville dans une sociologie de « bourgeoisie mondialisée », souvent liée au secteur tertiaire et aux métiers de l’informatique et de la communication, mais peu intéressée aux activités artisanales « physiques », qu’elles soient « industrielles » ou « de services ». La disparition des cafés populaires au profit de « bars lounge » ou de restaurants branchés, déjà bien avancée aussi, n’est pas forcément une bonne nouvelle pour la sociabilité des villes et le nécessaire « composé » social d’un tissu urbain équilibré. La « fracture territoriale » est déjà là, au cœur de cette évolution citadine qui paraît comme consubstantielle à la métropolisation, nationale ou mondiale…

    Lire la suite

  • Marseille : Stéphane Ravier (RN) appelle à l’union avec la droite pour battre l’extrême-gauche

    Marseille : Stéphane Ravier (RN) appelle à l’union avec la droite pour battre l’extrême-gauche

    Suite au remplacement de Martine Vassal par Guy Teissier, Stéphane Ravier, candidat du Rassemblement national à la mairie, a appelé à la formation d’un «pacte Marseillais» pour battre l’extrême-gauche.

    «Ce pacte peut rassembler des hommes et des femmes de bonne volonté, débarrassés de toute idéologie et d’esprit sectaire, au service de notre ville».

    L’élu RN évoque le retrait de Martine Vassal, l’héritière de Jean-Claude Gaudin, ce qui tourne selon lui «définitivement une page peu glorieuse» de l’histoire de la ville. Et il appelle les conseillers municipaux élus dimanche soir à se rassembler pour éviter l’élection de la tête de liste du «Printemps Marseillais», Michèle Rubirola.

    Lionel Royer-Perreaut, maire LR des 9e et 10e arrondissements, a annoncé qu’il ne soutiendrait pas la candidature de Guy Teissier.

    «C’est un déni démocratique. Guy Teisssier n’a même pas été élu maire d’arrondissement, il n’a pas de légitimité. Je ne cautionne pas cette manière de faire et je présenterai donc ma candidature, samedi, pour représenter les valeurs de la droite et du centre durant ce scrutin».

    Martine Vassal a répondu fermement à la proposition de pacte de Stéphane Ravier.

    «Tant que je serai en responsabilité, il n’y aura jamais le moindre accord, jamais la moindre discussion, jamais la moindre compromission avec l’extrême droite».

    Lire la suite sur LeSalonBeige

  • Une vague verte ? Non, le retour à vélo de la gauche immigrationniste et mondialiste !

    green-wave-modern-art-845x475.jpg

    Il fallait oser l’imaginer : le PS est, en fait, un mutant. Le moribond Parti socialiste renaît de ses cendres dans un étrange amas fait d’alliance Verte, de France insoumise, de Parti communiste et d’extrême gauche.

    Pris un à un, ces partis politiques français ne représentent pas grand nombre d’électeurs ; mais déguisé sous le label vert de l’écologie, cet étrange alliage se met à sentir bon la campagne, à vendre des promesses de planète dépolluée, d’artères piétonnières paysagées, de sacs en amidon de maïs et de trottinettes électriques. Gentillet.

    Le parti écologiste a remporté son premier pari, dimanche, lors des  : celui du recyclage politique.

    Grégory Doucet, élu maire de Lyon dimanche soir, sans aucun mandat ni expérience politique, a fait alliance avec le Parti socialiste et les listes France insoumise. Léonore Moncond’huy, élue maire de Poitiers, a été également soutenue par le Parti communiste, Génération.s, Nouvelle Donne et Génération Écologie, au sein d’un gloubi-boulga appelé « Poitiers collectif ».

    Lire la suite

  • À peine élus, les colistiers font un doigt d’honneur aux habitants

    doigt-urne.jpg

    Les neuf colistiers du maire fraîchement élu de  (Oise) s’étaient réunis pour fêter leur victoire. Champagne, fiesta. Une photo pour immortaliser la soirée, doigts d’honneur tendus vers l’objectif. « On les a bien eus, allez tous vous faire… » De l’élégance, de la classe, l’équipe signe son éthique pour la commune. Le message semblant être adressé à quiconque regarde la photo, partisans et opposants se voient ainsi mis dans le même panier.

    Un tel chef-d’œuvre de convivialité méprisante ne pouvant rester confidentiel, l’une des participantes s’empresse de publier l’image sur Facebook, explique Le Parisien. On a le sens de la com’ ou on l’a pas. Elle l’avait.

    Lire la suite

  • Le contre-sens suicidaire de la prétendue « écologie ».

    g20-768x342.jpg

    Le grand paradoxe ou plutôt l’énorme mensonge de « l’écologie » politique repose sur une idée : la vie. La pandémie du Covid-19 a accentué au-delà du raisonnable la peur de la mort. Ni le nombre de morts, ni les tranches d’âge assez logiquement les plus touchées n’auraient du conduire à pareille panique planétaire augmentée dans notre pays par la gesticulation d’un gouvernement dépassé par la question. Sans doute la priorité donnée à la protection de la vie a-t-elle facilité un glissement de l’opinion vers ceux dont le fonds de commerce se confond avec l’exploitation politique de la peur face aux menaces chimique ou nucléaire. Entre pollution et contamination, l’amalgame sémantique a été depuis longtemps utilisé par les marxistes repeints en vert qui se sont emparés de « l’écologie ». Le climat mental créé par la crise sanitaire a donc développé surtout chez les urbains des grandes villes l’idée qu’il fallait améliorer la qualité de l’air, de l’alimentation, et se méfier davantage des produits d’une grande industrie cynique prête à jouer sur notre santé pour augmenter ses profits. Le rôle des grands laboratoires pharmaceutiques dans « l’étrange défaite » de notre système de santé et en particulier dans le navrant débat autour du « protocole Raoult » a donné du crédit à cette hostilité et permis la réunion contre le capitalisme du gauchisme assoiffé de révolution et des bobos soucieux de leur santé. Le taux d’abstention avec sans doute une mobilisation plus sélective des électeurs a fait le reste. On remarquera seulement que l’autre bénéficiaire politique potentiel de la pandémie, le souverainisme, qui dénonce lui de manière plus précise,  et l’excessive circulation des biens et des personnes, et la délocalisation de notre production, qui expliquent à la fois la propagation rapide du virus et l’absence des moyens matériels pour le combattre, n’a pas su utiliser cette carte pourtant maîtresse.

    Lire la suite