Extrait tiré de l'émission "Bercoff dans tous ses états", diffusée sur Sud Radio le 31 Août 2020.
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Extrait tiré de l'émission "Bercoff dans tous ses états", diffusée sur Sud Radio le 31 Août 2020.
Plus de trois ans après avoir raflé plus de 300 sièges à l’Assemblée Nationale, La République En Marche enregistre un 35ème départ parmi ses députés.
Élue dans l’Yonne, Michèle Crouzet quitte le groupe En Marche et rejoint le MoDem, dénonçant “le fonctionnement du mouvement LREM”.
Le groupe LREM ne dispose plus d’une majorité absolue et doit désormais s’appuyer sur les jeux d’alliance à l’Assemblée nationale.
https://www.lesalonbeige.fr/assemblee-nationale-lrem-perd-sa-majorite-absolue/
De retour dans cette malheureuse Capitale de la Macronie, siège social de la république jacobine, votre chroniqueur a retrouvé, outre l'usage de sa plume, tous les embarras de Paris. Crasse, mendicité, racailles, cela ne s'était pas arrangé en 6 ans de folles décisions, et de folles dépenses, de la Mégère Hidalgo.
À l'aube de son nouveau mandat, cela s'est encore aggravé, en quelques semaines. Habile politicienne, elle a su faire l'unité de son camp retranché. Et face à pas mal de branquignols et autres bras cassés, la rouée ne nous a pas seulement rappelé que le plus mauvais des professionnels se révèle en général supérieur au meilleur des amateurs. Elle a su également s'inscrire dans un contexte de ville musée, de bobos subventionnaires et attributaires. Et tout ceci risque fort d'accélérer le déclin du centre nerveux qui persiste, impavide, à diriger le pays.
En revanche, ces désagréments en eux-mêmes permettent, dans un tel marigot grouillant, dans la quantité de son offre culturelle, outre quelques bribes de souvenirs nostalgiques au coin de certaines vieilles rues, certaines informations importantes qui passent inaperçues ailleurs.
Le vandalisme a comme d’habitude régné autour des Champs-Elysées hier soir après le match Bayern-PSG. Ce type d’événement est tellement récurrent qu’il n’étonne plus. Il fait désormais partie du paysage national. Il semble normal, presque traditionnel que l’avenue française la plus connue dans le monde entier et dont les images devraient attirer les touristes devienne l’épouvantail au coeur d’un pays infréquentable, où la sécurité n’est plus assurée.
Pourtant, cet épisode n’est pas anodin. Il condense l’effondrement de notre pays, le désastre total de sa politique. Sur le plan économique, il est essentiel que notre pays attire les touristes et les capitaux. Il est donc primordial que son image soit positive en alliant une sécurité efficace, un dynamisme des activités attractif et une beauté des lieux séduisante. Or, au sein même de ce qu’on appelle le « triangle d’or », des bandes de sauvages ont détruit une douzaine de magasins et une quinzaine de voitures. Que doit penser le Chinois, le Japonais, l’Américain ou n’importe quel Européen de cette voiture qui brûle dans la nuit au milieu d’une foule surexcitée ? Parce qu’un match de football opposait à Lisbonne deux entreprises de spectacle sportif qu’on qualifiera d’internationales, une fois de plus, des scènes d’émeutes, des saccages se sont déroulés à Paris ! A Münich, siège de l’équipe victorieuse, rien de tel : on a fêté la victoire. A Paris, victoire ou défaite, on casse !
En pleine rentrée politique, Christian Estrosi appelle son parti à soutenir Emmanuel Macron en vue de sa réélection. Une déclaration qui en dit long sur l’état de la droite. Dans ces conditions, quel peut être l’avenir des LR ? Une occasion à saisir pour Nicolas Sarkozy ?
Analyse et réaction d’Édouard Husson au micro de Boulevard Voltaire.
La rentrée est compliquée et sous pression, pour Les Républicains. Le parti de la droite essaie de trouver son champion pour 2022. Parmi les différents noms apparaissent Xavier Bertrand et François Baroin. La voix dissonante de Christian Estrosi apparaît aussi. Il incite son parti à rallier Emmanuel Macron. Qu’évoquent ces débats de l’état de la droite ?
Charles Gave ( Économiste et essayiste) et Marcus C. Kerber ( Économiste) analysent les conséquences désastreuses du plan de relance européen post-covid. Et dénoncent le coup d’État permanent de la commission européenne pour détruire la souveraineté fiscale des États- Nations avec la complicité du Président Macron et de la Chancelière Merkel.
Christian Estrosi a dévoilé sa stratégie pour 2022. Après examen des forces en présence au sein de son parti, il se rend à l’évidence : le combat ne pourra être gagné. Partant de là, son plan d’attaque se dessine : éviter un affrontement perdu d’avance et passer dans le camp adverse qui aura eu la bonté d’aménager un strapontin aux généraux LR en panne d’électorat. En patois niçois, la tactique s’énonce ainsi : « Pour ne pas gâcher tous les talents de la droite, passons un accord avec Emmanuel Macron pour qu’il soit notre candidat commun à la présidentielle et que ceux-ci puissent participer au redressement de notre pays. »
Rappelant les pirates d’Astérix qui préfèrent saborder leur navire plutôt qu’affronter les gaulois, le maire de Nice, du haut de son poste d’observation, aperçoit les troupes macroniennes et crie à la cantonade : « Les mama, les crocro, les macroniens ! Plutôt se joindre à eux que sombrer dans les abysses de la politique ! »
"En 2016, Emmanuel Macron a soutenu la vente du groupe français Alcatel au finlandais Nokia en promettant de créer un champion européen. Quatre ans après avoir pillé notre fleuron national, Nokia supprime 1233 emplois dans la recherche et le développement. Sauvons Alcatel en imposant le made in France pour les commandes de télécom !"
Le Dr Laurent Toubiana, épidémiologiste, chercheur à l’INSERM (institut national de la santé et de la recherche médicale) où il dirige l’équipe SCEPID (Systèmes Complexes et Epidémiologie) au sein du Laboratoire d’Informatique Médicale et d’Ingénierie des Connaissances (LIMICS) et directeur de l’Institut de Recherche pour la valorisation des données de Santé (IRSAN), dénonce lui-aussi les mensonges au sujet du Covid 19 et l’entretien par les médias d’un climat de peur infondée.
Il n’y a rien en ce moment qui justifie cette peur puisqu’il n’y a pas d’épidémie, explique-t-il.
Il affirme également faire l’objet de pressions pour ne pas sortir du discours officiel.