Le grand paradoxe ou plutôt l’énorme mensonge de « l’écologie » politique repose sur une idée : la vie. La pandémie du Covid-19 a accentué au-delà du raisonnable la peur de la mort. Ni le nombre de morts, ni les tranches d’âge assez logiquement les plus touchées n’auraient du conduire à pareille panique planétaire augmentée dans notre pays par la gesticulation d’un gouvernement dépassé par la question. Sans doute la priorité donnée à la protection de la vie a-t-elle facilité un glissement de l’opinion vers ceux dont le fonds de commerce se confond avec l’exploitation politique de la peur face aux menaces chimique ou nucléaire. Entre pollution et contamination, l’amalgame sémantique a été depuis longtemps utilisé par les marxistes repeints en vert qui se sont emparés de « l’écologie ». Le climat mental créé par la crise sanitaire a donc développé surtout chez les urbains des grandes villes l’idée qu’il fallait améliorer la qualité de l’air, de l’alimentation, et se méfier davantage des produits d’une grande industrie cynique prête à jouer sur notre santé pour augmenter ses profits. Le rôle des grands laboratoires pharmaceutiques dans « l’étrange défaite » de notre système de santé et en particulier dans le navrant débat autour du « protocole Raoult » a donné du crédit à cette hostilité et permis la réunion contre le capitalisme du gauchisme assoiffé de révolution et des bobos soucieux de leur santé. Le taux d’abstention avec sans doute une mobilisation plus sélective des électeurs a fait le reste. On remarquera seulement que l’autre bénéficiaire politique potentiel de la pandémie, le souverainisme, qui dénonce lui de manière plus précise, et l’excessive circulation des biens et des personnes, et la délocalisation de notre production, qui expliquent à la fois la propagation rapide du virus et l’absence des moyens matériels pour le combattre, n’a pas su utiliser cette carte pourtant maîtresse.
France et politique française - Page 1446
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Le contre-sens suicidaire de la prétendue « écologie ».
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Conseil d'État : quand l'État se fait juge et partie
Plus haute juridiction administrative, le Conseil D’État est censé arbitrer les conflits entre l’État et les citoyens. Mais son indépendance à l’égard du pouvoir est sujette à caution.
Sis au Palais-Royal, à Paris, le Conseil d'État est « la confrérie la plus prestigieuse et la plus secrète de la République » selon le journaliste Yan Stefanovitch, qui lui consacre un livre très documenté, paru au mois de mars(1). Il exerce une double fonction de conseiller du gouvernement et de juge administratif en cas de conflit entre l'État et les citoyens, et la jurisprudence de ses décisions, « encadre la vie quotidienne des Français dans toutes ses dimensions » : restrictions aux droits face au terrorisme, liberté de manifester et utilisation d'armes létales ou non par la police, port du voile, mouvements migratoires, retraits de permis de conduire, permis de construire, attribution d'aides sociales, droits et libertés des fonctionnaires, réclamations pour des impôts indus... Ou liberté du culte, comme on l'a vu le 18 mai, lorsque le Conseil d'État a ordonné au gouvernement de rouvrir les lieux de culte.
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Thaïs (Génération identitaire): « Nous avons piraté l’attention médiatique »
Ces derniers temps, l’organisation « Génération identitaire » fait beaucoup parler d’elle, entre l’affaire judiciaire de la mosquée de Poitiers et son action récente contre le racisme anti-blanc lors de la manifestation en soutien à Adama Traoré, le 13 juin. À 21 ans, Thaïs, l’une de ses militantes, confie à REACnROLL les motivations qui l’ont poussée à s’y investir. Elle indique également vouloir porter plainte contre Jean-Luc Mélenchon qui l’accuse d’avoir fait un salut nazi…
REACnROLL. «Génération identitaire», c’est quoi ?
Thaïs. «Génération identitaire» est un mouvement de jeunesse qui compte plus de 4000 adhérents à ce jour. Nous sommes présents dans toutes les régions de France et dans d’autres pays d’Europe. C’est un mouvement qui souhaite défendre l’identité française et européenne contre l’immigration massive et l’islamisation. -
L’université en procès ?, par Gérard Leclerc.
Siège principal de l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS)© Celette / CC by-sa
Est-il vrai, comme le veut Le Monde qu’Emmanuel Macron s’est aliéné les sciences sociales, en s’en prenant au monde universitaire ? Tout est parti de quelques phrases prononcées en privé par le président de la République et rapportées par le quotidien du soir : « Il – le monde universitaire – a encouragé l’ethnicisation de la question sociale, en pensant que c’était un bon filon. Or, le débouché ne peut être que sécessionniste. Cela revient à casser la République en deux. »
On comprend qu’une telle assertion ait provoqué un bel émoi du côté des intéressés, d’abord ceux qui se sont sentis visés à juste titre, et les autres qui ont estimé injuste le caractère général de l’accusation. Il n’empêche que le président a posé une question judicieuse et que, sur ce point précis, j’ai de bonnes raisons de penser qu’il a été bien conseillé.
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GRANDE CHARTE DE FRANCE
Il nous plaît aujourd'hui de diffuser La Grande Charte de France du général Didier Tauzin telle qu'il l'annonçait récemment sur Boulevard Voltaire en présentant son nouveau livre "Rebâtir la France après le COVID-19 - Sur le roc !", signalé par La Faute à Rousseau. La charte se passe d'exégèse, de commentaires ou de développement, et c'est bien pratique. A prendre en bloc ou à laisser. On ne picore pas.
Le général Tauzin souhaite qu'elle préside à notre constitution au même titre que la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Il l'a proposée au Chef de l'Etat.*Art.1 – L’IDENTITÉ DE LA FRANCE
*Art.2 – LA VOCATION DE LA FRANCE
*Art.3 – LES QUATRE FONDAMENTAUX POLITIQUES DE NOTRE NATION
*Art.4 – LES MISSIONS DE L’ÉTAT
*Art.5 – LES CINQ PRINCIPES ESSENTIELS DE L’ACTION POLITIQUEGRANDE CHARTE DE FRANCE
ARTICLE 1 – L’IDENTITÉ DE LA FRANCE
1.1- La France puise son identité culturelle, politique et sociale à trois sources essentielles : la pensée hébraïque qui lui a donné le Décalogue, la pensée gréco-romaine, et la pensée du Christ dans l’Évangile, qui a donné le christianisme. De ces trois apports, c’est le christianisme qui marque le plus l’identité de la France. Il en demeure la principale source et c’est en se référant à lui que nos ancêtres ont bâti la France.
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Les rats resteront dans Paris
La chronique de Philippe Randa cliquez là
Hidalgo réélue ! Qui l’aurait cru il y a seulement un an au vu d’un bilan économique et sanitaire désastreux : Paris surendettée, envahie de rats, aux trottoirs parsemés de SDF, bruyante et embouteillée comme jamais, malgré une persécution permanente des automobilistes… On se disait alors que même les « bobos », cœur de l’électorat socialo-écologistes, n’allaient plus le supporter… et reporteraient automatiquement, forcément, leurs bulletins de vote sur le ou la candidate d’opposition, d’où la certitude affichée alors pour la République en Marche de conquérir sans vraiment de difficultés la Capitale de la France.
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Buzyn auditionnée à l’Assemblée : surréaliste !
C’est peu dire que l’audition d’Agnès Buzyn par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale laisse une impression de malaise. On a beau ne pas aimer tirer sur les ambulances, avec quatre fois plus de décès en France qu’en Allemagne, entendre que « ce qu’on a mis en place dès le 10 janvier est sans commune mesure avec les autres pays » fait sortir la fumée par les oreilles ! De même que l’affirmation selon laquelle, lors de son départ du ministère, tout était en place pour que le système de santé soit prêt pour faire face à l’épidémie…
Ceux qui ont dû réanimer dans les couloirs apprécieront, et on frémit d’imaginer où nous en serions si nous avions été privés du talent d’anticipation d’Agnès Buzyn !
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CULTURE DE MORT : AVORTEMENT Le Monde de demain : c’est encore plus d’avortements selon le HCE
Le Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes publie, chaque semaine, depuis la fin du mois d’avril, des analyses et des propositions pour dénoncer des atteintes à l’égalité entre les femmes et les hommes et pour recommander des pistes d’action aux pouvoirs publics. Première vigilance, je vous le donne en mille : l’avortement, alors que la France compte plus de 220 000 avortements chaque année. Le sang appelle le sang…
Le HCE constate la pénurie de médecins pratiquant l’avortement. Durant le confinement,
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Énergie électrique : peut-on continuer longtemps à dire des âneries ?
Loïk Le Floch-Prigent Contrepoints
Quand va-t-on arrêter de prendre 65 millions de Français pour des enfants attardés à qui on peut asséner n’importe quoi ? Les masques ne vous ont-ils pas suffi ?
Le 11 juin la ministre de l’Écologie et de l’énergie accompagnée du président de RTE responsable du réseau électrique national ont voulu rassurer les Français : ils sont vigilants, s’il fait froid cet hiver, il n’y aura pas de black-out !
Après que les Français, désormais masqués, se souviennent des propos rassurants du début de la pandémie sur le fait que, certes nous n’avions pas de masques, mais qu’ils étaient inutiles et peut-être même nuisibles, cet avertissement du type « dormez bien mes petits », a des saveurs d’avertissement !
Il est vrai que l’ensemble du discours qui suit montre bien l’étendue du problème. Le PPE, dont les décrets sont sortis en avril, est déjà dépassé et c’est grâce aux centrales à gaz, et aux centrales à charbon qui ne ferment qu’en 2022, que nous allons nous en sortir cet hiver 2020/2021 !
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AUDITION DU PR. DIDIER RAOULT : JE RÉSUME L'ESSENTIEL (conflits d'intérêts, hydroxychloroquine, ...)