France et politique française - Page 1499
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Les grenouilles se cherchent (encore) un roi.
Eric Zemmour est un journaliste et intellectuel courageux non conforme et lucide. "Ah ! Il ferait un bien bon candidat à la Présidentielle"...Le Général de Villiers démissionne de son poste de Chef d'Etat major des armées et écrit un livre talentueux sur les valeurs militaires et patriotes. "Ah ! Il ferait un bien bon candidat à la Présidentielle"...Le Docteur Raoult, professeur reconnu et légitime, rompt avec les pratiques imposées par la médecine officielle et les laboratoires. "Ah ! Il ferait un bien bon candidat à la Présidentielle"...Michel Onfray, philosophe gauchisant découvre le populisme et le souverainisme comme monsieur Jourdain apprend que la prose existe. "Ah ! Il ferait un bien bon candidat à la Présidentielle".Rien ne dit, au demeurant, que les uns comme les autres soient eux-mêmes candidats à une candidature...Dans la mare des ombres et de la confusion où s'ébattent entre deux nénuphars circonstanciels, certaines grenouilles "Natio" à la recherche permanente d'un nouveau roi, les illusions n'ont jamais manqué non plus que les leurres d'un moment que furent — mais qui s'en souvient ? — Alain Madelin, Jacques Calvet le Général Lacaze ou Charles Million. En pure perte !Dans la période de périls majeurs que nous traversons, les cadres, les militants, les sympathisants, les électeurs de la Cause nationale ne peuvent être pareils à cette "gent marécageuse" qu'évoquait La Fontaine "espérant un géant nouveau".Nous ne pouvons compter sur sur nous. Et c'est parmi nous que nous devrons trouver le chef d'un temps qui nous mènera à la bataille. -
Comment M. de La Tour du Pin est de l'Action Française ?
« Ce n’est pas Monsieur de La Tour du Pin qui est de l'Action Française ; c'est l'Action Française qui est de La Tour du Pin » (Maurras). La place du commerce et plus largement de l'économie dans la société a de tous temps été l'objet de débats. Aujourd'hui, l'économie mène le monde. Elle est au-dessus de la politique. Ne dit-on pas que nous sommes dans une « société de consommation » ? Les conséquences de cette société sont importantes pour chacun d'entre nous. Pas seulement parce que nous sommes tous des consommateurs, mais surtout parce que notre statut (d'employé comme de patron) en dépend. La Révolution et notre société placent l'individu isolé face à un monde en quête uniquement de jouissance. Les abus, l'exploitation apparaissent très vite. La vie sociale ou économique, son organisation, ses lois, ses limites doivent nous préoccuper.
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Face à la menace d'extrême gauche notre camp doit se renforcer.
Faut-il l'écrire une nouvelle fois ? Sans doute !Les conséquences économiques de la gestion gouvernementale du Coronavirus seront sans commune mesure avec les malheurs sanitaires qu'a engendrés l'épidémie.La crise sociale qui vient, elle, sera dévastatrice.L'extrême gauche et les syndicats révolutionnaires soufflent déjà sur les braises. Les actions de la CGT et de Sud contre Amazone et Renault en préfigurent d'autres bien plus lourdes de menaces pour l'ensemble des Français. La cible ? Les services publics et les entreprises stratégiques pour l'Etat qu'ils entendent paralyser.Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, insécurité, lobby 0 commentaire -
La réouverture du Puy du Fou les rend tous dingues !
Ainsi donc, le Puy du Fou, grâce à la pugnacité de son fondateur Philippe de Villiers (qui a aussi servi les autres parcs en zone verte), rouvrira ses portes le 11 juin.
Le Grand Parc n’a jamais si bien porté son nom que ces derniers jours : il les rend tous dingues. Libération s’indigne de ce « fait du prince » – Emmanuel Macron a pesé de tout son poids dans la balance contre l’avis d’Édouard Philippe – permettant de libérer le « célèbre parc à thème médiévo-zemmourien » (sic), que certains auraient bien confiné jusqu’à la nuit des temps.
Le journaliste de Libération, Sylvain Chazot, se sent trahi et écrase une larme amère sur Twitter : « Quel bonheur de voir que le barrage à l’extrême droite a permis d’élire un Président qui échange des SMS trop choupi avec Philippe de Villiers et appelle Éric Zemmour pour lui apporter son soutien. » De là à penser qu’Emmanuel Macron est un sous-marin réactionnaire qui cache (vachement) bien son jeu pervers… la gauche complotiste est en ébullition.
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I-Média n°299 – Covid-19 – 2ème vague : les médias surfent-ils sur les peurs ?
02:34 L’image de la semaine
Au sommet du pic Saint-Loup dans l’Hérault, la croix coupée par des militants d’extrême gauche il y a quelques jours est de retour !
03:23 Covid-19. 2e vague : les médias surfent-ils sur les peurs ?
Les journalistes ont multiplié les articles et les reportages sur la 2e vague, sur le retour des foyers de contamination ou encore sur le décès d’un enfant dû à la maladie de Kawasaki. Une focalisation qui interroge.
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François Hollande admet une « part de responsabilité dans la situation de l’hôpital »
« J’ai présidé la France pendant cinq ans, donc j’ai ma part de responsabilité aussi dans la situation de l’hôpital« , reconnaît lundi 25 mai sur France Inter l’ancien président de la République François Hollande, alors que le gouvernement lance aujourd’hui des négociations sur l’hôpital public, nommées « Ségur de la Santé ».
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Sens commun lance une grande consultation sur le conservatisme
Sens commun lance une grande consultation sur le conservatisme
Sens commun vient de lancer une grande consultation sur le conservatisme. Comme vous l’écrivez, il s’agit de « déconfiner le conservatisme », mot injustement connoté que vous entendez sortir du placard ?
Injustement connoté, oui, parce que l’idéologie progressiste domine la pensée politique depuis trop longtemps. Ce dernier se plaît à discréditer tout ce qui n’est pas synonyme de nouveauté et de changement. Sa motivation n’est pas le progrès mais la nouveauté pour elle-même et le rejet de la tradition au motif qu’elle perdure et se transmet. C’est ce que Mathieu Bock-Côté dit très bien : « On ne parlera du vieux monde que pour le maudire et on rêve ouvertement de mettre à mort socialement les nouveaux dissidents. »
Nous avons été les premiers, en 2018, à parler de conservatisme politique à un moment où seuls les intellectuels s’aventuraient sur ce terrain. Nous sommes conscients des réticences que ce mot génère. Certains lui cherchent un substitut idéal. Personne n’a encore trouvé ! Peut-être parce que ce terme recouvre à lui tout seul le nécessaire : « Conserver ce qui vaut, réformer ce qu’il faut. » Vous noterez que de nombreuses personnalités politiques de l’opposition apportent dans le débat public des propositions teintées de conservatisme, sans le dire. Désormais, tout le temps perdu à chercher un autre mot ou à se défendre d’être ouvertement conservateur alimente la bipolarisation de la vie politique souhaitée par Emmanuel Macron en vue de sa réélection. -
Étendard de la délivrance, par Jacques Trémolet de Villers.
Source : https://www.politiquemagazine.fr/
Comment, en ce mois de Mai, ne pas parler de Jeanne d'Arc ?
Ma chronique judiciaire va vers cette accusée, condamnée, victime de juges iniques vendus à l’ennemi, abusant de leur pouvoir spirituel pour tenter de faire triompher un pouvoir temporel illégitime. Elle a vaincu dans le temps et dans l’éternité, pour les siècles des siècles.
L’étendard de Jeanne qu’elle « aimait quarante fois plus que son épée » et sur lequel les juges l’ont beaucoup interrogée, a été appelé, dans un hymne célèbre, « Étendard de la Délivrance ». C’est vrai que sous cette bannière confectionnée selon l’ordre de ses Voix, c’est-à-dire selon la volonté de Dieu – « je vous l’ai assez dit que je n’ai rien fait que du commandement de Dieu » –, Jeanne a délivré Orléans, la Vallée de la Loire, puis le royaume.
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Philippe Douste-Blazy dénonce l’étude anti-chloroquine et lance un (énorme) pavé dans la mare !
Olivier Piacentini Boulevard Voltaire cliquez là
Récemment, une étude publiée par la revue scientifique The lancet a conclu à l’inefficacité du traitement à la chloroquine du professeur Raoult, voire à sa nocivité. Outre la réputation de la revue, le test porte sur 96.000 patients, ce qui apporte une crédibilité à ses résultats. Immédiatement, les médias ont répercuté ces résultats à grand renfort de publicité. Olivier Véran a saisi le Haut Conseil de la santé publique afin de revoir les conditions de prescription de ce médicament, assouplies il y a quelques semaines.
Interrogé sur BFM TV, Douste-Blazy a violemment critiqué cette étude, dont les résultats seraient biaisés. En effet, sur le groupe testé à la chloroquine, 20 % des personnes seraient atteintes de graves affections respiratoires, explique-t-il, contre seulement 7 % dans le groupe de contrôle… Un déséquilibre qui, évidemment, gonfle artificiellement la mortalité du groupe chloroquine. Et Douste-Blazy affirme avoir lu en détail les conditions de l’étude. « Si vous donnez de la chloroquine à des mourants, c’est sûr qu’ils vont mourir », a ajouté l’ancien ministre.
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La République contre la France et les Français : à l’école l’arabe oui, le breton et le corse non
Faute d’argent, l’Education nationale change les règles concernant l’étude du breton et du corse dans les écoles primaires.
Un dispositif avait été mis en place en 2000 prévoyant « une initiation » à la langue régionale « dans les trois cycles de l’école primaire à l’exception des élèves de petite section. Cette initiation se fait sur la demande de l’école et est intégrée à son projet. Les cours, d’une durée d’une heure, se déroulent une fois par semaine sur le temps scolaire. »