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France et politique française - Page 1501

  • Dépôts de bilan : l’hécatombe ne fait que commencer

    de l’essayiste Olivier Piacentini (ses livres ici) :

    « En quelques jours, les annonces des dépôts de bilan, licenciements et fermetures d’usines ont plu dans les médias. Naf Naf et Alinea ont d’ores et déjà déposé le bilan, Conforama devrait suivre dans les jours qui viennent. Comme André, la Halle, 5 à sec et hélas, bien d’autres. Redressements judiciaires, plans de sauvegarde, ces dernières essaieront de survivre, mais ne pourront résister qu’en réduisant le nombre de magasins et les effectifs…

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  • Appel à l’union des droites aux municipales : illustration des enjeux à Tarascon

    Appel à l’union des droites aux municipales : illustration des enjeux à Tarascon

    Le gouvernement a annoncé la tenue du second tour des élections municipales le 28 juin, sauf forte dégradation des conditions sanitaires. Nos lecteurs savent tout le mal que nous pensons de cette date, qui ne permettra pas la conduite d’une campagne de second tour dans des conditions satisfaisantes.

    Pour autant, notre appel à la fusion des listes de droite qualifiées pour le second tour pour battre la gauche et ses alliés reste plus pressant que jamais. La limite de dépôt des listes étant le 2 juin, il ne reste plus que quelques jours pour éviter des défaites évitables. 

    Nous avions évoqué en mars le cas de Carpentras, où une victoire reste possible si le candidat divers-droite soutenu par le RN et le candidat soutenu par LR acceptent de fusionner. 

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  • Charles Gave : « C'est le moment de vérité pour la zone euro »

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    Propos recueillis par l'abbé Guillaume de Tanoüarn

    Charles Gave, économiste libéral bien connu, considère que la présente crise sanitaire va déboucher sur une crise économique sans précédent dans la zone euro, crise providentielle qui va rendre aux nations leur légitimité pour sortir de la grande récession annoncée.

    Nous sommes en train de voir venir une crise sans proportion avec aucune autre, une crise économique qui ne ressemblera ni à la crise de 1929 ni à celle de 2008 et qui risque bien de prendre tout le monde de court ?

    Effectivement les deux crises auxquelles vous faites allusion étaient des crises financières. Cette crise n'est pas une crise financière, c'est une crise sanitaire, qui a été mal gérée au départ et qui entraîne déjà l'effondrement du chiffre d'affaires des sociétés de service sur lesquelles depuis la désindustrialisation repose notre économie : les sociétés d'événementiel, le tourisme, mais aussi, cher Père, à sa manière l’Église catholique, toutes ces entreprises connaissent une baisse de leur chiffre d'affaires qui pour l'instant est de 100 %. Ce à quoi on assiste, c'est à un effondrement de la rentabilité du secteur privé, ce qui immédiatement va créer du chômage et une vaste déstabilisation de notre économie.

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  • Est-ce vraiment de Montcornet qu’il faut parler ?

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    André Posokhow 

    Pour faire oublier son incurie dans la lutte contre l’épidémie, Macron, en pleine opération de communication relayée par les médias bien-pensants, a souhaité célébrer la « victoire » de Montcornet qui aurait été remportée par le colonel De Gaulle le 17 mai 1940.

    Il n’y a pas eu de victoire, ni même un succès. Il y a eu, sur ordre supérieur, l’engagement de l’embryon de la 4e DCR, pour ralentir le déferlement ennemi afin de barrer la route de Paris. Cette action qui a surtout été un va et vient, s’est traduite par des pertes sensibles et un échec tactique et stratégique, les blindés de Guderian poursuivant leur avance sans désemparer.

    Il ne s’agit pas de gaullisme ou d’antigaullisme mais de refuser d’être dupe d’un bobard à répétition.

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  • Splendeurs et misères de la gouvernance

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    La crise du coronavirus marquera, à plus d'un titre, l'histoire du monde. Peut-être moins en raison du nombre de morts que la pandémie aura provoqué qu'en raison de ce qu'elle aura révélé sur l'aveuglement des gouvernants et la docilité des gouvernés. Que sait-on au juste de ce virus ? Malgré des médias mainstream abreuvant d'informations, le péquin moyen ne dispose de quasiment rien de précis et de fiable. Il est, par exemple, impossible de calculer le taux de létalité du virus puisque, faute de tests, on ignore le nombre de personnes infectées. Et pourtant, les tenants de la gouvernance ne cessent de justifier leurs décisions en brandissant l'argument d'autorité scientifique (la consultation d'un comité d'experts). Si cela a permis, un temps, d'étouffer le débat et d'essayer de Étire passer les esprits critiques pour des irresponsables, la cohérence du discours s'est assez rapidement fissurée quand sont apparues au grand jour les concurrences entre équipes de chercheurs laissant entrevoir des intérêts plus financiers que médicaux. S'il existe un traitement (qui n'est certes pas une panacée) à base de chloroquine associée à d'autres médicaments pour soigner les seuls malades, pourquoi certains veulent-ils (à tout prix...) un vaccin susceptible d'être imposé à toute l'humanité ?

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  • Technocratie et risque d’expertocratie, par Germain Philippe.

    La technocrature, maladie sénile de la démocratie : (11/14)

    Stratégie de substitution

    Notre analyse de physique sociale du XXI° siècle nous à amené à un tournant clé de la république française. Devant l’énorme niveau de discrédit atteint par de l’élite politique sous Sarkozy et Hollande, l’Etablissement n’a pas d’autre choix que de la «  dégager  ». Décision majeure qui rompt la vieille harmonie oligarchique du Pays légal.

    Pour réussir ce «  dégagisme  », l’Etablissement a élaboré une stratégie de substitution au profit de l’élite technocratique. Une fois le pouvoir politique entre ses mains, celle-ci pourra préserver l’Etat providence républicain permettant de juteux profits pour l’élite financière, ces «  très riches  », ces «  dynasties républicaines  » de la nouvelle classe mise en place par Bonaparte. Le scénario stratégique repose sur un clivage idéologique novateur opposant progressistes et conservateurs. Le terme conservateurs étant un mot valise englobant, en fonction des circonstances, les populistes et les réactionnaires. Le véritable but est de positionner Marine Le Pen comme ennemi unique, vu son incapacité à fédérer les extrêmes, malgré sa rhétorique de la «  démocratie directe  » face à la «  démocratie apaisée  » regroupant centre-gauche et centre-droit.

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  • La popularité d’Emmanuel Macron baisse de trois points en un mois et repasse sous la barre des 40%, selon un sondage

    Selon le baromètre Ifop qui paraît dans le Journal du Dimanche (JDD), Emmanuel Macron voit sa popularité chuter de trois points en un mois, avec 39% de satisfaits (34% « plutôt satisfaits« , 5% « très satisfaits« ) et 60% de mécontents (31% « plutôt mécontents », 29% « très mécontents« ), son Premier ministre Edouard Philippe, lui, en gagne deux, pour atteindre 46% de bonnes opinions.

    Si les Français saluent la gestion de la crise du coronavirus par le chef du gouvernement et apprécient ses discours clairs et son ton juste, Emmanuel Macron voit son socle s’éroder. S’il reste plus populaire que Nicolas Sarkozy et François Hollande au même stade de leur mandat (respectivement 33% et 21% de satisfaits), sa popularité est en baisse de sept points dans son électorat de 2017. Sur sa gestion de la crise, les jugements sont sévères, avec un « leitmotiv » selon le directeur général adjoint de l’Ifop Frédéric Dabi : l’accusation de « mensonge », sur les masques en particulier.

    Le JDD / La Provence

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-popularite-demmanuel-macron-baisse-de-trois-points-en-un-mois-et-repasse-sous-la-barre-des-40-selon-un-sondage

  • Les entrepreneurs face à la crise du coronavirus – LA PAROLE AU PEUPLE, ÉPISODE 4

  • Ecole, commerce, la marelle idiote du déconfinement balisé vous décourage d'apprendre et d'acheter

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    La France de Campagnol, chronique  de Christian Combaz sur TV Libertés cliquez ici