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France et politique française - Page 1640

  • La « politique nataliste » n’est pas un gros mot

    La « politique nataliste » n’est pas un gros mot 

    Le député RN Nicolas Meizonnet, successeur de Gilbert Collard, élu député européen, a effectué ses premiers pas au sein de l’Assemblée, après plusieurs mois de blocages suite à un recours des animalistes (!). Vendredi dernier, il est intervenu dans le débat sur la réforme des retraites pour défendre un amendement rappelant l’importance de la démographie pour l’équilibre du système par répartition. Que n’a-t-il pas osé déclarer :

    Permettez-moi, en préambule, de vous dire l’honneur que j’éprouve à m’exprimer pour la première fois dans cet hémicycle, après sept mois d’attente, à un moment que je crois fondamental pour l’avenir des Français et de notre modèle social.

    Cet amendement est l’occasion de rappeler le fonctionnement de notre système de retraite par répartition, auquel nous sommes particulièrement attachés, vous le savez, et auquel votre réforme promet de faire énormément de mal. Le système par répartition repose sur le fait que les travailleurs actuels – les cotisants – paient les pensions des retraités actuels. Cela suppose deux conditions : d’une part, les actifs doivent être assez nombreux et d’autre part, ils doivent avoir du travail – cela n’a échappé à personne.

    C’est pourquoi nous proposons de rappeler ces deux piliers – natalité et emploi – dans l’article 1er, qui décrit les principes généraux du système de retraite universel. On ne peut pas dire que l’un ou l’autre de ces deux points constitue une priorité des politiques gouvernementales.

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  • De 1945 à 1968 Le prix de l’abdication de la droite

    On a peine à croire aujourd'hui, au vu de ce que le « quotidien de référence » est devenu, que l'article ci-dessous a pu paraître dans Le Monde. C'est pourtant le cas. Il y fut publié le 4 juillet 1968 sous le titre : « La droite et les événements »(1). Gilbert Comte, qui y fut journaliste durant vingt ans, nous a permis de publier à nouveau(2) ce texte, écrit « à chaud », extraordinaire de lucidité.

    Par Gilbert Comte

    Par son désarroi moral devant la crise universitaire et une abdication politique peut-être sans exemple dans sa récente histoire, la droite française n'aura pas médiocrement contribué à rendre les troubles de mai fort périlleux pour la nation. Pendant trois semaines, l’anarchie estudiantine put battre l'Etat, tituber entre l'incohérence et le vandalisme, tomber certains soirs en Sorbonne dans d'inquiétantes névroses, sans produire autre chose parmi nos conservateurs qu'une courtisanerie apeurée, ou des lamentations inefficaces.

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  • Pas de démocratie sans alternance !, par Christian Vanneste.

    L’alternance est le propre de la démocratie libérale, le signe indiscutable de son bon fonctionnement. Les Anglo-saxons, qui ont inventé ce système politique, le pratiquent depuis maintenant longtemps. Satisfaits de leurs gouvernants et de leurs élus, ils les reconduisent. Déçus, ils les virent, et les opposants arrivent au gouvernement avec de nouvelles propositions. Parfois, la continuité est plus forte que le changement

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  • Marine Le Pen envisagerait abandonner la tête du RN "en vue de la Présidentielle"

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    L'avis de Jean-François Touzé

    En envisageant d'abandonner la présidence du Rassemblement National dans la perspective de la Présidentielle de 2022, Marine Le Pen ne sacrifie pas seulement au mythe gaullien du candidat au dessus des partis face au peuple, illusion fondatrice d'une Ve République bâtie sur l'arnaque et l'illusion, à laquelle elle a, depuis, longtemps fait acte de soumission.

    Cette décision à laquelle réfléchit Marine Le Pen relève, en fait, du subterfuge, le but étant avant tout de laisser derrière elle les dettes abyssales de son parti, conséquences d'une gestion aussi héliogabalesque qu'incompétente, de fuir ses responsabilités et de pouvoir, grâce à un comité de soutien, se donner les moyens nouveaux de sa candidature. À l'évidence, l'annonce très prématurée de cette dernière en janvier, s'inscrivait également dans ce scénario.

    Miné par son trou financier, proche du dépôt de bilan, ayant échoué dans toutes ses tentatives de rassemblement, exsangue sur le plan militant, incapable de constituer des listes municipales dans de nombreuses villes qui semblaient pourtant favorables, le RN est devenu un fardeau pour celle qui en est encore la Présidente.

    Ceux qui, derrière Jean-Marie Le Pen, ont, par leur travail, leur peine, leur sueur, leur abnégation, parfois leur sang, construit le Front National dont elle hérita avant de le renier, apprécieront.

    Marine Le Pen aime les jeux de miroirs. Surtout quand ils reflètent sa propre image. Mais le réalité est têtue. Ce qui se dessine, ce n'est pas une sortie par le haut. C'est un sauve-qui-peut.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/02/24/marine-le-pen-reflechirait-a-abandonner-la-tete-du-rn-en-vue-6214962.html

  • Emmanuel Macron éliminé dès le premier tour de 2022 : les macronistes ne parlent que de ça !

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    Les analyses publiées sur Boulevard Voltaire sont-elles lues jusqu’à l’Élysée ? Comme la passionnante interview d’Alain de Benoist sur le destin politique d’, tellement impopulaire et détesté qu’il ne pourrait pas se représenter. Une analyse qui traduit, avec une longueur d’avance, ce qui se dit au Palais, et dans Le Monde. Dans son rôle de gentil concierge indiscret de la Macronie, le quotidien est contraint à la lucidité : “La présidentielle de  commence à inquiéter Emmanuel Macron et ses proches- Les stratèges n’hésitent pas à envisager une élimination dès le premier tour du chef de l’État, qui cristallise les mécontentements.” Titre et sous-titre parfaitement synthétiques.

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  • Paris : Hidalgo, les Verts et les Marcheurs sont très divisés. La droite unie peut l’emporter

    Paris : Hidalgo, les Verts et les Marcheurs sont très divisés. La droite unie peut l’emporter

    Nouvelles de France a rencontré Serge Federbusch, candidat de l’union des droites à Paris (soutenu notamment par le RN et le PCD) :

    Vous êtes candidat aux municipales à paris. Pourquoi ?

    Paris, la ville qui possède le patrimoine historique, artistique, architectural et urbain le plus divers au monde est pourtant menacé. Une politique démagogique s’en prend à la beauté de ses avenues, encombre ses rues d’édicules disgracieux et inutiles, l’endette, désorganise ses services publics les plus essentiels comme celui de la propreté, fait monter artificiellement les prix immobiliers ce qui en chasse sa population d’origine au bénéfice de clientèles subventionnées. Et l’éventuelle réélection d’Anne Hidalgo pousserait cette évolution délétère à un paroxysme.

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  • Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence

    Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence.jpegRevendiqué par Michel Charzat et Mussolini

    Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence

    La réédition, aux éditions du Seuil, des Réflexions sur la violence (1), l'ouvrage le plus célèbre de Georges Sorel, fournira sûrement à quelques commentateurs l'occasion de revenir sur ce personnage peu banal, et qui a suscité des Jugements totalement opposés. Tandis que Jean-Paul Sartre, en effet, le traitait de « fasciste » et Henri Guillemin de « très petit monsieur », il était, pour Benedetto Croce, celui qui avait donné au rêve marxiste une forme nouvelle. Alors, où est le vrai, où est le faux ? Nous n'avons pas, quant à nous, la prétention d'apporter une solution à un problème aussi difficile. Et les éléments que nous versons au dossier posent plus d'interrogations qu'ils n'en résolvent.

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  • Ordonnances Macron, qu’en dire pour l’instant, par Frédéric Winkler.

    « La fin de la politique est le bien humain » Père de Pascal. Devant la cadence antisociale d'un système destructeur de notre économie au profit des banques dont le président fut un des loyaux serviteurs, alertons inlassablement nos frères dans la promiscuité des lendemains qui ne seront pas enchanteurs. Un monde Orwellien est en marche, depuis quelques temps déjà, il était question de réformer le Code du travail devenu effectivement incompréhensible dans ses inextricables articles.

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  • Marseille : Stéphane Ravier (RN) serait largement en tête et le candidat LREM bon dernier…

    Marseille : Stéphane Ravier (RN) serait largement en tête et le candidat LREM bon dernier…

    Ce serait la panique à Matignon :

    C’est la première fois que le RN est donné en tête. Pour l’instant c’est un sondage qui circule sous le manteau.

    D’après cette enquête officieuse, Stéphane Ravier serait largement en tête au 1er tour avec 25% des intentions de vote devant le Printemps marseillais, qui regroupe plusieurs partis de gauche, donné à 17%. Ils sont suivis par la candidate LR Martine Vassal, qui était jusque-là en pole position, et par le candidat écologiste Sébastien Barle, tous les deux ex-aequo à 15%. L’ancien LR Bruno Gilles, qui se présente sans étiquette, les talonnerait à 14%. L’ex-socialiste Samia Ghali serait à 9%.

    Le candidat de la majorité se retrouve en queue de peloton : Yvon Berland est crédité de seulement 5% des intentions de vote. Une catastrophe pour la majorité, au point que Matignon aurait décidé de s’en mêler. Un candidat raconte qu’un émissaire du Premier ministre est venu le voir la semaine dernière pour lui proposer une alliance avec le candidat de LREM.

    https://www.lesalonbeige.fr/marseille-stephane-ravier-rn-serait-largement-en-tete-et-le-candidat-lrem-bon-dernier/

  • Insultes et propos racistes contre Messiha : au fond, rien de grave pour le président de SOS Racisme !

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    , cadre du Rassemblement national, est régulièrement attaqué par Belattarn notamment avec cette comparaison entre l’homme politique et un chameau.

    Ce qui, pour certains, est un simple jeu est, en réalité, la forme la plus salace de racisme, car entretenue par Belattar sous l’autodérision. Parce que d’origine maghrébine, Belattar pense disposer de tous les droits pour attaquer ad hominem une personne née en Égypte et naturalisée française plus tard.

    Certains rigolent de la comparaison entre la tête de Messiha et celle d’un chameau, mais nul n’ose imaginer la profondeur du mal qui est fait au cadre du RN, la souffrance qu’il endure, et également sa famille, ses proches. Jean Messiha supporte, tous les jours, les inepties proférées par le supposé comique, mais la dernière salve, réclamant son introduction dans un parc animalier afin de rejoindre d’autres camélidés, est ignoble. C’est la raison pour laquelle Messiha a pensé bon de faire un tweet d’alerte en taguant  et la LICRA.

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