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France et politique française - Page 1643

  • Sécurité, proximité et travail acharné : comment Robert Ménard a réveillé Béziers

    Après avoir conquis, en 2014, une ville en déclin, Robert Ménard est parvenu, en six ans, à lui redonner sa fierté. Retour sur un mandat haut en couleur.

    C’en est presque à se demander si on ne s’est pas trompé de destination. Quand on arrive pour la première fois à Béziers, difficile de reconnaître la ville décrépite et sinistrée décrite dans les articles publiés en 2014, lorsque la candidature de Robert Ménard contre le premier adjoint du maire UMP sortant, Raymond Couderc, qui avait raccroché après trois mandats, avait braqué les projecteurs médiatiques sur la ville. Après six ans de gouvernance Ménard, élu avec 46,98 % à l’issue d’une triangulaire, l’AFP a beau saluer l’ouverture de sa campagne en publiant un article intitulé « Fief de Robert Ménard, Béziers reste pauvre, inégalitaire et divisée » , ce n’est pas ce que l’on voit : c’est au contraire un centre-ville aux façades restaurées de frais, à l’atmosphère animée mais paisible, à la propreté impeccable, qui offre au visiteur une vitrine étonnamment attirante ; où il fait bon flâner dans les ruelles pleines de charme qui séparent la place de la mairie de la splendide cathédrale Saint-Nazaire. Ce n’est pas, surtout, ce que l’on entend : sorti du cercle étroit des opposants politiques, difficile de rencontrer quelque habitant de Béziers qui n’entonne pas, fût-ce à contrecœur, les louanges du maire ou de sa gestion.

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  • Yvan Benedetti commente l'actualité

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/02/07/yvan-benedetti-commente-l-actualite-6211064.html

  • LES GILETS JAUNES, ACTE 64 : SALE AMBIANCE

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    Les Reportages de Vincent Lapierre

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/02/07/les-gilets-jaunes-acte-64-sale-ambiance-6211065.html

  • Collectif Némésis : « Les féministes de gauche ne pointent pas les persécuteurs de Mila pour des raisons idéologiques »

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    Le collectif Némésis dénonce l’indignation à géométrie variable des féministes, dans de récentes affaires ayant touché des jeunes femmes victimes de viol (étudiante à Rouen) ou de menaces de mort () ou, plus récemment, lors du meurtre sordide de Laura.

    Quelle est votre position sur l’affaire Mila ?

    Nous avons soutenu la jeune Mila dès le début de l’affaire et relayé le hashtag #JeSuisMila, nous considérons que cette jeune fille n’a fait qu’utiliser son droit à la liberté d’expression et qu’il est intolérable qu’en France, elle doive se cacher comme si elle vivait en Afghanistan ou en Égypte. Elle a rejoint la longue liste de supposés blasphémateurs comme Salman Rushdie (victime d’une fatwa de l’ayatollah Khomeini), Taslima Nasreen, plus proche de nous Robert Redeker, les dessinateurs de Charlie Hebdo et tant d’autres qui ont été menacés de mort pour avoir osé critiquer la religion musulmane.

    Vous avez pointé la lâcheté des associations féministes. Pourquoi, selon vous ?

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  • Denain (59) : la maire socialiste « noue une alliance informelle » avec les Frères musulmans pour les municipales

    Alors que le candidat du Rassemblement national Sébastien Chenu semble en position d’emporter la ville, la maire Anne-Lise Dufour-Tonini entretient des rapports cordiaux avec la famille Iquioussen, ouvertement proche des frères musulmans. Par électoralisme ? La réponse n’est pas simple.

    En apparence, c’est un cas d’école. Une élue socialiste du Nord, sentant sa base électorale s’effriter, cède aux sirènes du communautarisme. Alors que le Rassemblement national est en embuscade, prêt à ravir la mairie, elle noue une alliance informelle avec des religieux, qui lui apportent les voix de la communauté musulmane.

    En échange, elle les laisse étendre leur influence, au mépris des principes laïques et républicains qui forment le socle du socialisme. Sauf qu’à Denain (20 075 habitants), la réalité du terrain est plus nuancée. L’entrisme des frères musulmans dans la vie politique locale ne fait plus guère de doute. Leur poids électoral réel, en revanche, est une énigme.

    (…) Médiacités

    http://www.fdesouche.com/1334013-denain-59-la-maire-socialiste-noue-une-alliance-informelle-avec-les-freres-musulmans-pour-les-municipales

  • La défaite les divisera encore plus

    6a00d8341c715453ef0240a5093deb200b-320wi.jpgAu lendemain des élections municipales, le parti ministériel nous en a très aimablement avertis : au ministère de l'Intérieur, l'incertain Castaner, s'apprêtait à en trafiquer les statistiques de résultat. Ce sont en effet 54 % des électeurs français dont il se proposait de camoufler le désaveu probable. La manœuvre annoncée aura semblé tellement énorme que les gardiens du temple constitutionnel ont finalement  protesté.

    Castaner, ce très mauvais ministre de l’Intérieur coche, à vrai dire, toutes les cases : parfaitement nul sur le maintien de l'ordre et la sécurité des citoyens et contribuables[1], totalement médiocre quant au pilotage des collectivités locales, il se révèle pire encore s'agissant de la préparation des élections.

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  • Macron : mille jours et le chaos

    Alors qu’Emmanuel Macron fête ses mille jours à la tête de l’Elysée, les Français dressent un constat accablant du mi-mandat présidentiel. Crise des Gilets Jaunes, réforme des retraites ou encore affaire Benalla, le quinquennat Macron est pour le moment bien amer.

    Emmanuel Macron fête ses mille jours à l’Elysée

    Et le bilan est amer. Un cap symbolique pour le président de la République dont le mandat ressemble davantage à long calvaire qu’à une promenade de santé. 

    Selon un sondage Odoxa près de deux français sur trois estiment que Jupiter est un mauvais président et un tiers des personnes interrogées le considèrent même comme « un très mauvais président ». Parmi les personnes ayant une mauvaise opinion, 62% le considèrent mauvais en raison « de ses actions et de la politique qu’il a menée ». Il faut dire que depuis son élection en mai 2017 et la promesse d’un «nouveau monde politique»,  certains électeurs ont quelque peu « déchanté ». En deux ans et demi de présidence, Emmanuel Macron a perdu 32 points de popularité ; ses prédécesseurs, François Hollande et Nicolas Sarkozy, en avaient perdu respectivement 35 et 31.

    Si le locataire de l’Elysée limite la casse de ce côté, il a en revanche tiré son épingle du jeu en se montrant parfois extrêmement méprisant avec les gens qui ne sont rien. En effet, pendant la campagne électorale ou peu après son élection, Emmanuel Macron a multiplié les petites phrases chocs qui ne sont pas passées auprès de l’opinion.

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  • Dans l'Incorrect, une liste utile des médias royalistes...

    La Rédaction a apprécié le "site royaliste quotidien", "consacré à l'actualité", "très productif" : le rajeunissement de notre équipe et la conséquente chute spectaculaire de sa moyenne d'âge (plus que divisée par deux : moins de quarante ans) explique évidemment cette réactivité, ce dynamisme qui sont remarqués par tous...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le Parti de la France salue son Président d'Honneur

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    Thomas Joly, Président du PdF, et Jean-François Touzé, son Délégué général, lors des obsèques de Roger Holeindre

    Le blog de Thomas Joly cliquez ici

    Roger Holeindre fut un homme exceptionnel de courage, de fidélité et de rectitude. Ses obsèques se devaient de s'élever à la hauteur de celui qui fut notre ami et, au delà de la mort, reste notre camarade.
    Toute la grande famille nationale était au rendez vous pour ce dernier hommage à un immense patriote et un grand militant. Tous étaient venus et se serraient autour du cercueil de bois blanc marqué d'un crucifix et recouvert des trois couleurs ainsi que du béret rouge et des décorations de Roger.
    Pavoisée en Bleu blanc rouge par les drapeaux du CNC, l'église Saint Roch était archipleine.

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  • Politique française : de Charybde en Scylla, par Maxime Tandonnet

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    La politique française donne le sentiment étrange d’empirer d’année en année sans que le fond de l’abîme ne soit jamais atteint.

    D’après l’enquête de CEVIPOF sur la confiance, 79% des Français ont une image négative de la politique. 39% éprouvent de la méfiance envers elle, 28% du dégoût et 10% de l’ennui. S’ajoutant à l’explosion de l’abstentionnisme (plus de 50% aux législatives de 2017) et au vertigineux progrès du vote « anti-système » de gauche ou de droite, ces résultats soulignent le climat d’écœurement qui ronge le pays et la profondeur du fossé qui sépare la classe dirigeante du peuple et ne cesse de se creuser. Faut-il s’en étonner ?

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