Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

France et politique française - Page 1644

  • « Un père n’est pas forcément un mâle » : Orwell l’avait imaginé, Macron l’a fait

    Annie Genevard, députée LR du Doubs, revient pour Le Figaro sur la négation délirante du président de la république concernant le statut du père. L’idéologie américaine du gender qui était considérée par beaucoup il y a quelques années encore, comme une lubie excentrique des militants de la secte des invertis, est désormais approuvée au plus haut sommet de l’Etat.

    Trouvé sur Le Figaro : « Dans son célèbre roman 1984, Orwell mettait en garde contre un système autoritaire ayant fait de l’emploi de la novlangue et du contre-mot l’un des moyens de sa politique: «la guerre c’est la paix», «la liberté c’est l’esclavage», «l’ignorance c’est la force», etc… Il expliquait ainsi la logique sous-jacente à ce moyen: «Commencez par dénaturer le mot, supprimez-le et la chose disparaîtra». Et si Emmanuel Macron, qui a très certainement lu lors d’un repas auquel était conviée, parmi d’autres, Pascale Morinière, présidente des Associations Familiales Catholiques.

    Si la mère n’est pas celle qui accouche, rien de très étonnant à ce que le père puisse être une femme.

    Lire la suite

  • I-Média n°284 – Face au courage de Mila, la soumission des médias

     

    01:51 Image de la semaine

    Kévin, Mathéo et Laura. Trois jeunes victimes de l’ensauvagement de la France. Trois jeunes victimes de l’occultation médiatique.

    04:19 Face au courage de Mila, la soumission des médias

    Lundi 3 février, Mila, qui est menacée de mort pour avoir critiqué l’islam, était invitée dans l’émission Quotidien de Yann Barthès. Courageuse, elle n’a rien lâché. Cyril Hanouna et sa bande ont, eux, préféré nous donner un exemple parfait de soumission.

    18:45 Revue de presse

    Des médias menteurs face aux différents attentats islamistes de la semaine…
    Viktor Orban qui dévoile la recette de son succès…
    Nous reviendrons ensemble sur le meilleur et le pire de la semaine médiatique.

    27:47 Municipales parisiennes : propositions délirantes et occultation médiatique

    La campagne électorale pour la mairie de Paris sombre totalement. Les candidats politiquement corrects multiplient les propositions délirantes, complaisamment couverts par les médias.

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n284-face-au-courage-de-mila-la-soumission-des-medias

  • Macron veut brader notre dissuasion nucléaire.

    5c92be2836000023266d6b6e.jpg

    L'avis de Jean-François Touzé
    En proposant aux pays de l'UE un "dialogue stratégique" sur l'emploi de la force nucléaire française, et en envisageant d'étendre notre notion d'intérêts vitaux à nos voisins, Emmanuel Macron se comporte en petit fourrier de Washington.
    Si l'idée de la constitution un jour d'une défense européenne crédible, construite à partir des armées nationales de chaque Etat, dans une vision de puissance civilisationnelle de notre continent, ne peut qu'être encouragée, elle ne peut se concevoir que dans la liberté, la volonté et l'indépendance européennes.
    Tant que l'Union européenne ne sera pas autre chose que l'appendice politique, économique et militaire des États-Unis, toute extension de notre doctrine de frappe atomique serait un pas franchi vers l'acceptation du vieux rêve américain des années 50 et 60 de "force multilatérale" à peine mis au goût du jour par les nouvelles données géopolitiques.
    Le "tout nucléaire" français voulu par Charles De Gaulle par son coût faramineux, son développement quasi monopolistique et l'affaiblissement dramatique de nos forces conventionnelles qu'il entraîna, fut une erreur de plus du fondateur de la Cinquième République.
    Mais brader aujourd'hui au seul profit de l'Europe américaine et de l'OTAN washingtonienne le peu de positions internationales que conserve encore la France — notre arme atomique et notre siège permanent au Conseil de sécurité de l'ONU — serait un crime contre la Nation et l'ambition identitaire européenne.
  • Laura 16 ans, égorgée en pleine rue : pourquoi ce silence médiatique ?

    laura.png

    Le samedi 30 janvier, à Sallaumines, dans le Pas-de-Calais, Laura Bernard, jeune fille de 16 ans, est retrouvée morte dans un parc au fond d’une impasse.

    L’autopsie révélera que le décès fait suite à des coups de couteau « au niveau du cou et au thorax », comme le rapporte 20 Minutes.

    Le ou les auteurs de cet acte crapuleux sont actuellement recherchés.

    Lire la suite

  • Qu’est-ce qui dérange Marine Le Pen ?

    Qu’est-ce qui dérange Marine Le Pen ?

    Le mardi 4 février, à Rome, se tenait la première National Conservatism Conference sur le sol européen, organisée par la fondation américaine Edmund Burke, réunissant des intellectuels et les leaders de plusieurs mouvements européens, avec pour objectif d’établir une convergence intellectuelle voire politique entre les conservateurs européensMarion Maréchal s’est exprimée à cette occasion.

    Dans Valeurs Actuelles, Xavier Nicolas signale que Marine Le Pen a interdit aux élus de son parti d’y participer. Est-ce uniquement parce qu’elle n’y avait pas été invitée ?

    Par ailleurs, les indiscrets que révèle Le Point ce jeudi 6 février, montrent un haut cadre du Rassemblement national agacé par le succès d’Eric Zemmour :

    « Nos militants sont accros à son émission quotidienne sur Cnews. Ils se délectent de ses diatribes sur l’immigration, l’islam et le grand remplacement ».

    Il avoue que ses électeurs trouvent leur discours « trop timoré » et

    « aimeraient qu’on aille aussi loin que lui. Or nous essayons de varier les thèmes et d’être un minimum, responsables. »

    De quoi inquiéter une nouvelle fois le parti de Marine Le Pen, d’autant qu’en octobre dernier déjà, le RN s’était alarmé des propos d’Éric Zemmour sur l’islam et l’immigration. Si certains cadres avaient déploré son discours, d’autres craignaient déjà qu’il n’empiète sur leurs thèmes de campagne.

    https://www.lesalonbeige.fr/quest-ce-qui-derange-marine-le-pen/

  • Michel Onfray : « L’affaire Mila permet d’effectuer un cliché très net de ceux qui travaillent à cette fameuse Soumission analysée par Houellebecq »

    Michel Onfray : « L’affaire Mila permet d’effectuer un cliché très net de ceux qui travaillent à cette fameuse Soumission analysée par Houellebecq ». Lire ci-dessous le texte du philosophe, publié sur son site, à propos de l’affaire Mila jeune fille menacée de mort pour des insultes envers l’Islam, jeune fille totalement abandonnée notamment par les prétendues associations « féministes » qui s’agitent pourtant quotidiennement actuellement.

    Jour après jour, l’affaire Mila agit comme un révélateur photographique: à cette heure-ci, elle fournit une magnifique photo de famille grand format des premiers acteurs de la France soumise –pour reprendre le vocabulaire de Michel Houellebecq.

    Rappelons les mots de la jeune fille.

    Lire la suite

  • Marie d’Armagnac : « L’objectif du congrès des conservateurs : se réapproprier la mémoire collective de la civilisation face à l’islam et au mondialisme ! »

    marie-darmagnac.png

    Lundi et mardi avait lieu, à Rome, le congrès des conservateurs sous l’égide des Américains. Des personnalités comme Marion Maréchal, Viktor Orbán, Édouard Husson et Giorgia Meloni, la présidente de Fratelli d’Italia, et d’autres y ont fait des discours marquants. Tous rassemblés sous les couleurs du conservatisme.

    Marie d’Armagnac, qui a suivi le congrès, répond aux questions de Boulevard Voltaire.


    Hier, vous étiez au congrès des conservateurs à Rome. Une alliance entre l’ultra libéralisme et le fascisme pour certains et un congrès des conservateurs pour d’autres.
    Que s’est-il passé à Rome ?

    C’était évidemment bien plus qu’un congrès des conservateurs internationaux qu’autre chose.

    Lire la suite

  • Entretien avec Fabrice Robert (Fraction) : « La vie est un combat, aussi bien dans la rue que dans l’octogone ! »

    Le site Breizh-info.com a récemment publié un entretien avec Fabrice Robert qui relance différents projets autour de Fraction. Un groupe qui – de par son engagement sans concessions – a considérablement marqué de son empreinte la scène du rock enraciné. Un retour qui se produit quelques temps après la sortie d’une nouvelle production d’In Memoriam.

    Découvrez cet entretien !

    S’il y a un retour musical sur lequel peu de gens auraient misé, c’est bien celui du groupe Fraction, groupe phare de la scène rock identitaire dans les années 90 et 2000. Derrière ce retour, un homme qui, après quelques années de retrait de la scène politique, fait donc son retour sur la scène musicale : Fabrice Robert.
    Un nouveau site Internet vient de sortir, des nouveaux morceaux sont annoncés, et pourquoi pas une reformation en concert dans les prochains mois ? C’est ce que nous avons demandé à Fabrice Robert. Entretien avec le fondateur du mouvement identitaire, et vétéran du hardcore 100 % Nissa, 100 % Europa, qui nous a accordé une interview exclusive, lui qui ne s’était plus exprimé dans un média depuis de nombreuses années.

    Lire la suite

  • Le règne technocratique, de Frédéric Winkler.

    2627229029.jpg« Les dimensions de l'entreprise néoradicaliste, avec ses ambitions, ses rouages, ses tentacules européennes, son arsenal financier, cette volonté de vampiriser les masses s'apparente beaucoup à une prise de pouvoir totalitaire » (Dominique de Roux). L'instabilité, l'hétérogénéité du personnel politique des IIIe et IVe Républiques ont en effet permis l'apparition d'une nouvelle classe dont la Ve République devait consacrer le règne et que Saint-Simon, au XIXe siècle, appelait de ses voeux : les « experts », les technocrates. Le changement régulier du personnel administratif, non seulement empêche une intégration locale de celui-ci mais rend le service parfaitement anonyme. Telle est l'origine du transfert progressif des pouvoirs aux technocrates. La planification devait les conduire à proposer un État apparemment plus fort et plus stable : ce fut l'origine de la Ve République.

    Lire la suite