France et politique française - Page 1644
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Réponse à Omar SY : violences policières, racisme et tout le tintouin
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Oui, Macron morcelle un peu plus la France, par Ivan Rioufol
Emmanuel Macron dira sans doute, ce dimanche soir, tout le bien qu’il pense de la police, accusée d’être raciste et violente par des minorités ethniques revanchardes. Il mettra en garde, probablement, contre le séparatisme qu’elles veulent politiquement imposer en France. Le président de la République ne peut, certes, être tenu pour responsable de quarante ans de somnambulisme d’Etat. Cela fait des décennies que le ver du racialisme a été introduit dans le discours dominant par l’idéologie antiraciste. Celle-ci ne juge qu’en fonction de la couleur de la peau et de l’origine. Le Noir et l’Arabe sont victimes, forcément victimes.
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François Rebsamen a une passion : l’immigration.
En 2012, il critiquait Nicolas Sarkozy qui voulait une loi ”visant à imposer un examen de langue française à tout candidat au regroupement familial.”En 2018, il voulait que la France accueille plus de réfugiés “en régularisant notamment les ni expulsables, ni régularisables.” Il se vantait d’ailleurs d’en avoir accueilli : "Il faut aujourd’hui faire clairement les choses, il faut accueillir les réfugiés. C’est un devoir et ils ont le droit d’être accueillis. Il faut les accueillir dignement, c’est ce que j’ai fait dans ma ville”, glissait le maire socialiste de Dijon.Hasard ou coïncidence, après avoir accueilli ces réfugiés en 2018, la situation à Dijon s’est fortement dégradée. A tel point que, en octobre 2019, François Rebsamen se plaignait dans les médias “d’actes criminels insupportables” dans la métropole dijonnaise.Mais, depuis 2 jours, Dijon fait la Une de tous les médias avec la guerre entre Maghrébins et Tchétchènes. Et François Rebsamen est désormais en mode panique.Il appelle au calme et dénonce des violences “inacceptables”. Et il s’en prend à la police et la justice qui ne font pas bien leur travail : "On manque de sanctions. La justice arrive beaucoup trop tard, elle arrive 9 mois, 1 an après. […] La police n’a pas fait convenablement son travail. Le renseignement territorial est censé informer les autorités sur ce qui peut advenir. Or, ces Tchétchènes sont passés à travers les filets d’informations."« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes » BossuetLien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, insécurité, lobby 0 commentaire -
Dénoncer « la réécriture haineuse et fausse du passé » après avoir qualifié la colonisation de « crime contre l’humanité »… il l’a fait !

« Son problème, c’est qu’il adore les déguisements : en militaire, en aviateur, etc. Il ne faudrait pas que les Français finissent par croire qu’il s’est déguisé en Président », raillait un proche du Président – désireux de rester anonyme, on le comprend un peu – dans les colonnes du Parisien, le 5 avril dernier.
C’est donc le blazer de Nicolas Sarkozy qu’Emmanuel Macron a sorti, dimanche soir, de sa penderie… déterminé, un poil conservateur, propre à rasséréner son électorat vieillissant et épris d’ordre qui, bien qu’habitué à avaler beaucoup de couleuvres, le soir aux infos, avec un petit whisky, peine à digérer ce qui ressemble cette fois à un boa constrictor : mieux que la chloroquine, l’indigénisme incarné par la très vertueuse et pacifique famille Traoré (en fais-je assez comme ça ?) a fait disparaître miraculeusement le Covid-19, en tout cas des écrans télé, et on peut le remercier bien bas car c’est sans doute grâce à lui, le deux poids deux mesures commençant à devenir géant, que nous pourrons nous rassembler tranquillement cet été sans devoir rendre compte du moindre château de sable ou pique-nique entre amis.
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Castaner, Belloubet, Ndiaye : dehors, pour bêtise !, par Christian Vanneste.

Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut par le gouvernement le plus lamentable que la France ait eu à subir : d’abord, il y a Castaner, ce personnage au passé douteux occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a du le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Ran-Tan-Plan !
Ainsi donc, l’émotion peut l’emporter sur la loi, si, bien sûr, elle est d’extrême-gauche et importée des Etats-Unis au profit des délinquants : le ministre de l’Intérieur est clairement du côté du désordre et baigne dans son idéologie superficielle de socialiste dont la réflexion n’a jamais dépassé le niveau des slogans. L’antiracisme, c’est bien, le racisme, c’est mal. Quand les Gilets Jaunes manifestaient, avec en queue de cortège les Blacks-blocs chargés comme par hasard de créer les « tensions » en fin de journée, afin qu’on puisse généreusement interpeller, gazer, éborgner les premiers en oubliant les seconds, les potes de Castaner, c’étaient les flics ! Maintenant que les cortèges sont suscités par la mort d’un délinquant noir, Castaner ne veut plus qu’on touche à ses vrais potes : il a remis la petite main jaune à la boutonnière. Les policiers, objets d’un « soupçon avéré » de racisme seront sanctionnés, les techniques d’arrestation une fois de plus restreintes. Des vidéos inondent la toile qui montrent des policiers en train de fuir devant des loubards, et au contraire des « malfaisants », comme disait Audiard, réduire la tête de ceux qui les regardent de travers. Dignité, respect, mais pas pour le « petit blanc », seulement pour celui qui cogne le plus vite et le plus fort, mais qui est une victime puisqu’il est arrière-petit-fils de colonisé ! Racisme inversé et slogan américain sont devenus le langage courant, quasi obligatoire du politiquement correct dans un pays doublement colonisé, par ses anciennes colonies, comme disait Poutine, et par un bain de culture américain, que nous devrions laisser se dissoudre au milieu de l’Atlantique !
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A Dijon, affrontements entre Arabes et Tchétchènes. Armes automatiques brandies (video)

Des images atterrantes mais qui deviendront banales dans les prochaines années.
Toutes les prévisions des nationalistes depuis 50 ans se réalisent une à une, puisqu’ils n’ont pas été écoutés.
A Dijon, capitale de la Bourgogne et il y a peu l’une des villes les plus agréables de France, dans le quartier colonisé des Grésilles, on a vu ces derniers jours des affrontements violents entre populations immigrées, mais « Français comme-vouzémoi » bien sûr, selon la République en tout cas.
Tout a démarré après qu’un adolescent tchétchène a été frappé par des Arabes sur fond de trafic de drogue.
Les Tchétchènes, de plus en plus nombreux en France – ce qui est normal, puisqu’elle est ouverte à tous désormais –, sont plus discrets que les Arabes par exemple ; mais, pour rester dans le cadre de la loi, disons que souvent ils ne s’embarrassent pas de celui-ci justement. Réputés pour leur violence, ils ont voulu venger leur jeune congénère. -
Formidable Génération identitaire, par Franck Deletraz
Avec leur spectaculaire « opération Alpes » d’avril 2018 et leur occupation surprise du toit de la CAF de Bobigny en mars 2019, les militants de Génération identitaire avaient déjà fait la preuve de leur immense courage et de leur détermination à lutter pour la défense de notre pays et de notre peuple. Mais, en déployant une immense banderole dénonçant le racisme anti-Blancs comme ils l’ont fait samedi, sous les hurlements de haine et les appels au meurtre des milliers de manifestants « antiracistes » et d’extrême gauche réunis par le Comité Traoré, ces jeunes Français audacieux ont peut-être plus que jamais marqué les esprits de nos compatriotes lassés d’être quotidiennement traînés dans la boue par le lobby « antiraciste ».
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Les soignants de retour dans la rue : « On est épuisés, on manque de tout et nos salaires n’évoluent pas »

« Fini les applaudissements, place aux rassemblements » : après trois mois de crise sanitaire, médecins, aides-soignants et infirmiers ont commencé à manifester, mardi 16 juin, un peu partout en France pour rappeler le gouvernement à ses promesses sur l’hôpital, en plein « Ségur de la santé ».
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Alexandre del Valle : « En fait, il n’y a que des islamistes et des racistes autour de Mme Traoré »

Alexandre del Valle décrypte, pour Boulevard Voltaire, les événements de ces derniers jours : manifestations antiracistes autour de l’affaire Traoré mais aussi violences inter-communautaires à Dijon. Il estime que l’État a cédé devant une véritable offensive insurrectionnelle et porte des accusations graves quant aux personnes qui entourent, dans les manifestations, Assa Traoré, sœur d’Adama.
Ce week-end, à Dijon, des bandes armées se sont livrées à des affrontements. Visiblement, il s’agirait de gangs d’Afrique du Nord contre des gangs tchétchènes. Que révèle cette actualité ?
Ce n’est pas la première fois que cela arrive. Il y a une quinzaine d’années, un de mes amis qui était à la tête de la police de Nice m’avait relaté une vengeance extrêmement violente de Tchétchènes qui avaient été agressés. Les Tchétchènes ont souvent des types européens. Une personne d’une bande algérienne avait agressé un Tchétchène blond ou roux en pensant que c’était un petit Français qu’on pouvait se permettre d’humilier. La vengeance avait été terrible. Le corps avait été traîné sur la route par une voiture. C’était un véritable carnage. Cela remonte à plus de dix ans. Ce n’est donc pas la première fois que des heurts se produisent entre Tchétchènes et Algériens ou entre Tchétchènes et Albanais. Ce sont des peuples très durs avec des mafias très organisées qui font en général très peur. Les Albanais ou les Tchétchènes de ces gangs mafieux ont souvent des types européens. Les milieux du banditisme maghrébin craignent énormément ces deux milieux. Parfois, ils les prennent pour des Français de souche qu’ils jugent beaucoup moins violents.
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Macronnerie

Bernard Antony a eu le courage la non-intervention (solennelle) du président de la République hier :
Ce qu’il a dit sur le déconfinement ne mérite pas beaucoup de lignes sur ce blog.
Passons sur son autosatistaction pour ce qu’il en fut de la gestion de la pandémie du coronavirus.
Ce n’est pas « demain la veille » que l’on aura une remise en cause sérieuse de la perversion idéologique et financiariste du libéralisme mondialiste qui nous a, entre autres dégâts, placé dans une telle dépendance de la production médicamenteuse chinoise.
Et pour ce qu’il en est de ce qu’il appelle « l’Europe », pas l’ombre d’une esquisse de volonté de remise en cause du gros mammouth de l’eurocratie totalitaire bruxelloise. L’Union Européenne est trop au service de l’impérialisme idéologique LGBT pour qu’un Macron ose en critiquer l’inversion radicale des valeurs déterminant sa politique.
Et d’ailleurs, cette inversion est pour l’essentiel celle qu’il partage; comme on a pu le constater par ces maintes photos très significatives qu’il a sciemment voulu faire largement circuler, telles celles prises à l’Elysée un soir de la dite « fête de la musique ».
Sur la dialectique révolutionnaire racialiste de la société française en particulier, ce n’est évidemment pas de lui que l’on pouvait attendre qu’il en vienne à constater que, selon notre formule, aujourd’hui si répercutée, « l’antiracisme est un racisme en sens contraire ».


