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Les pompiers sont intervenus à quelques heures d’intervalle dans le quartier Figuerolles-Gambetta ce samedi 12 avril pour des attaques à coups de machette. Après l’agression d’un jeune homme vendredi soir, un autre individu [âgé de 16 ans] a été pris pour cible à hauteur de la sécurité sociale aux alentours de 13 heures. (…)
À Nantes, un étudiant de droite, que nous appellerons Julien, a accepté de témoigner anonymement pour Breizh-info.com. À 22 ans, il a décidé de quitter l’université après des mois de violences physiques et psychologiques liées à ses convictions politiques. Un récit glaçant d’une réalité trop souvent passée sous silence dans les milieux universitaires, mais également dans un monde politique totalement inféodé au gauchisme, ces dernières semaines en sont des témoignages. Un témoignage qui rappelle les violences que subissent les étudiants dans les facultés marquées à gauche, à Rennes comme à Nantes, pour ne citer que la Bretagne.
Oui, il y a de nombreuses personnes qui vivent au-dessus de leur moyen s’achetant des smartphones très haut de gamme à 1 500 euros à crédit et qui ont du mal à boucler les fins de mois, mais là ce n’est pas ce phénomène dont on parle.
D’après les informations d’Objectif Gard, ce dimanche matin vers 4h, un jeune homme d’une vingtaine d’années a été transporté aux urgences du CHU de Nîmes après avoir été menacé, agressé et frappé par deux voleurs rue Général Perrier.
Pendant que les pros et anti s’écharpent pour savoir si le jugement concernant Marine Le-Pen est politisé ou pas, Bruno Retailleau a rappelé l’évidence, c’est à dire qu’il existe des « juges rouges » en France, citant notamment le Syndicat de la magistrature et l’affaire du « Mur des cons ». Ce mur sur lequel ces braves fonctionnaires censés ne pas faire de politique dans leur exercice professionnel avaient épinglé les hommes à abattre. Ce même syndicat qui pendant les européennes avait appelé par communiqué à agir contre l’accession de l’extrême droite au pouvoir. On voit également des voyous islamisés de banlieue, foncer sur des policiers avec des voitures volées et s’en tirer avec des travaux d’intérêt général alors même que des Gilets Jaunes ont pris des trois mois fermes pour un jet de caillou sur les mêmes forces de l’ordre. Il y a à l’évidence une orientation politique chez certains de ces gens censés appliquer la loi, rien que la loi et toute la loi, mais selon que vous soyez pauvre ou puissant, politicien ou simple citoyen, citoyen issu de la diversité, ou citoyen du cru.
Aujourd’hui, dans une quarantaine de ville de France, à l’appel de nombreuses associations, syndicats et bien sûr de la « gauche » qui est en fait devenue l’extrême gauche, se déroulent des manifestations pour la défense de l’État de droit. Pourquoi cette initiative ? Parce que l’État de droit – comprenez la liberté et la démocratie – serait menacé, paraît-il, par le RN qui vient de se faire condamner par la « justice » pour l’affaire dite des assistants parlementaires. Et même plus, la démocratie serait menacée de sombrer dans le fascisme et le totalitarisme parce que le RN aurait osé critiquer la décision de justice qui le frappe, fait appel et indiqué bien haut et fort qu’il est innocent et que Marine Le Pen ne saurait être empêchée de se présenter en 2027. C’est impardonnable pour les tenants de l’État de droit, c’est-à-dire la gauche et les bien-pensants.
Les exploitants d'éoliennes viennent de subir plusieurs condamnations judiciaires dont la portée est décisive. La Justice leur reproche de tuer des oiseaux rares. Pour Fabien Bouglé, auteur en 2021 de Nucléaire, les vérités cachées. Face à l'illusion des énergies renouvelables (Éditions du Rocher), « c'est le début de l'hécatombe des condamnations pénales ». Un virage. « On est en train d'assister à une déroute financière et écologique de l'énergie d'avant. »
Ils envisageaient un départ sur zone irako-syrienne ou de commettre des attentats d’inspiration jihadiste sur le sol français. Mais la cour d’assises de Paris n’a pas été entièrement convaincue, acquittant vendredi un des six hommes jugés pour participation à une association de malfaiteurs terroriste. Les cinq autres mis en cause ont été condamnés à des peines allant de 7 ans d’emprisonnement à 20 ans de réclusion criminelle, sensiblement moins que ce que réclamait le parquet. (…)