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Après la chute du gouvernement Barnier, Marion Maréchal appelle dans le JDD à former une alliance allant du RN à l’UDR en passant par la Droite républicaine et Horizons :
[…] La chute du gouvernement Barnier vient nous ramener à une idée simple : pour fonctionner, une coalition doit reposer certes sur une capacité au compromis mais d’abord sur un socle commun d’idées, et non uniquement d’intérêts ponctuels.
C’est un article de l’AFP repris par le site 20 Minutes (source ici) et intitulé: “Etats-Unis : Un rapport du Congrès affirme que le Covid-19 provient d’une fuite d’un laboratoire”.
Selon ce rapport préliminaire de la commission du Congrès, la fuite d’un laboratoire de Wuhan est « l’hypothèse la plus plausible » pour expliquer l’origine du Covid-19
L’avenir de la France ne passe pas par les retraites… Le gouvernement Barnier va être censuré pour une histoire de retraites. C’est dérisoire.
Les retraites et la date : sujet sensible
Malgré le respect dû aux anciens, l’avenir d’une nation et d’une civilisation ne passe pas par le niveau de ses retraites.
D’autant que l’équation est simple : comment maintenir le niveau des retraites quand le rapport entre le nombre des actifs et celui des rentiers diminue ?
Le gouvernement Barnier n'est plus. Hier, le 4 décembre 2024, le NFP et le RN ont uni leurs voix pour le faire tomber. La crise politique française est historique, particulièrement lorsque l'on considère la situation catastrophique du pays et sa position sur l'échiquier international. Tant et si bien qu'elle fait la une des journaux dans le monde entier, que ce soit chez nos voisins, nos partenaires ou nos rivaux. Tour d'horizon.
Depuis plusieurs jours, depuis que Marine Le Pen a annoncé clairement qu’elle censurerait le gouvernement Barnier, tous les médias nous expliquent que nous vivons un moment historique, que cela n’est arrivé qu’une fois sous la Ve République, et que la France vit un moment historique. À entendre certains, on se croirait au moment de la chute du Mur de Berlin !
Par 331 voix, la motion de censure a été votée, Barnier est tombé. L’événement prend un caractère historique tant il est rare dans notre constitution, même s’il était prévisible dès sa nomination. Si les précédents budgets avaient connu semblable infortune nous n’en serions pas là, mais il était de bon ton de privilégier une stabilité apparente au détriment de la logique et de la sincérité. Nous avons bien eu durant les jours qui ont précédé ce vote toute la classe de privilégiés, cette gauche bourgeoise boursouflée de suffisance et de mépris, qui s’est acharnée à vouloir nous faire croire que ce n’était moralement pas acceptable que Barnier soit censuré, surtout avec l’hypocrite association des voix de l’ensemble des oppositions. Ils ne se sont même pas rendu compte de l’incongruité de leurs propos, toujours dans l’inversion accusatoire, le dédain et le dénigrement. Aux autres le devoir d’exemplarité, à eux l’exonération. Pour eux, continuer la gabegie administrative, l’immigration de masse, la guerre aux Russes, la destruction de nos industries, c’est la « stabilité » et la « raison » ?
Faut-il y voir une application très concrète de la politique de fermeté voulue par Bruno Retailleau en matière de sécurité ? Après les soupçons qui pèsent sur le groupe scolaire Al-Kindi dans le Rhône, déjà évoqués en ces colonnes, le 4 décembre, par Clémence de Longraye, c’est l’Institut européen des sciences humaines (IESH), près de Château-Chinon, qui subissait, mercredi 4 décembre, une perquisition par une « grosse opération policière », selon les mots d'Anne Lehaître, procureur de Nevers. L'établissement est en effet visé par une enquête pour « des soupçons de blanchiment, d’abus de confiance ainsi que de non-respect de l’obligation de déclaration de financements étrangers, inscrite dans la loi de lutte contre le séparatisme adoptée en 2021 ». Pourtant, auditionné par le Sénat le 27 avril 2016, Larabi Becheri, alors directeur adjoint de l'Institut européen des sciences humaines de Château-Chinon, aujourd'hui doyen de l'établissement, affirmait solennellement : « Nous n'avons jamais reçu de financement des Frères musulmans. »
Notre monarque bien aimé, Sa Majesté Mohammed Ben Salmane Ben Abdelaziz Al Saoud, trouve que les vizirs, pachas, caïds et autres émirs qui dirigent les dhimmis du Francistan ont besoin de quelques stages de remise à niveau. Ils ne maîtrisent pas correctement la culture islamique et il leur arrive encore de mal interpréter les fatwas du commandeur des croyants.
On les forcera à une conversion sincère et volontaire plus tard. Mais pour l’instant, il faut parer au plus pressé. Remettre ces mecs dans le droit chemin de la Mecque.
Lundi 2 décembre, dans une tribune publiée dans le Point, 10 anciens ministres, parlementaires, anciens dirigeants d'entreprise (dont Henri Proglio, ancien président d'EDF) alertaient sur « l'extrême gravité pour la France de poursuivre la politique énergétique proposée par le projet de Programmation Pluriannuel de l'Energie » et particulièrement « la poursuite à marche forcée d'installation d'éoliennes marines ou terrestres, ou de panneaux solaires qui ne servent en aucun cas à la décarbonation de notre pays ». En France 9 719 éoliennes squattent les campagnes mais l'Etat tenu par sa promesse faite à l'Europe d'atteindre la « neutralité carbone en 2050 » (feuille de route du GIEC) prévoit d'en construire environ 19 000 autres dans les années à venir.
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne Eurolibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Le gouvernement de Michel Barnier a donc été censuré ; sa chute était-elle inévitable ?
Dans un premier temps, non, je ne l’imaginais pas. Je pensais que tout le monde faisait monter les enchères comme toujours dans ces cas-là (c’était également l’avis de la Fondation Polémia), mais que des compromis de dernières minutes seraient trouvés. Compromis de façade, puisque l’enjeu était avant tout l’assurance qu’aurait pu obtenir Marine Le Pen de ne pas être déclaré inéligible en mars prochain dans le procès des faux assistants parlementaires de son mouvement au Parlement européen. Le reste n’étant que politicaillerie et tambouille parlementaire pour distraire la galerie.