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France et politique française - Page 176

  • Le salaire décent, une réponse à la question sociale ?

    Michelin famille chrétienne

    Illustration ci-dessus trouvée sur la toile, sur le site de Famille Chrétienne.

    Dans un précédent article, je dénonçais l’hubris capitalistique de M. Tavares et des rémunérations peu raisonnables au regard de la décence sociale. Mais, que faire face à ces excès qui semblent devenus si naturels que l’on en oublie parfois ce que devraient être la mesure et, au-delà, la justice sociales ? Plutôt que d’évoquer, à nouveau, la politique d’État possible face à cette situation, il me semble intéressant, cette fois-ci, de regarder ce que les grandes entreprises elles-mêmes peuvent faire pour remettre un peu de social dans l’économie : le cas de Michelin peut servir d’exemple utile et inciter à réfléchir à un « autre modèle »…

    Certains, à la lecture des lignes précédentes (cf article précédent sur l’indécence sociale), hausseront les épaules et me taxeront peut-être d’utopiste (version sympathique) ou de démagogue (version classique), voire de dangereux gauchiste (version stupide). Et pourtant ! Si M. Tavares est le symbole d’une indécence sociale qu’il convient de dénoncer, sans doute parce qu’il représente et incarne le capitalisme dans ce qu’il peut avoir de plus odieux (1), il est des patrons qui n’ont pas son cynisme et son avidité, preuve s’il en faut que c’est un système idéologique et son esprit dominant qu’il faut combattre et non les chefs d’entreprise ou les cadres de celle-ci qui n’en sont, trop souvent (mais pas toujours, heureusement !), que le reflet ou les exécutants rendus dociles par l’intérêt ou la peur de ne plus valoir (ou paraître ?) aux yeux de la société contemporaine.

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  • Monsieur Macron nous parle de son monde, mais pas du nôtre !

    macron_europe.jpg

    Et dans son monde, la France n’existe plus. Elle est d’ores et déjà remplacée par l’Europe.

    Et ce mot d’Europe revient constamment dans ce discours technocratique. Par contre, aucune référence quant aux peuples européens. Ils ont purement et simplement été gommés, comme si, par magie, un unique peuple européen né de son imagination était apparu.

    Il est frappant de voir que l’Europe, que l’on voulait bâtir sur les valeurs de la démocratie et la paix, se transforme aujourd’hui en une sorte d’État totalitaire dans lequel des personnalités non-élues donc non soumises à la souveraineté populaire, décideront seuls de notre façon de vivre.

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  • République et démocratie en France, une histoire trouble

    bureau de vote Bramtot
    Un bureau de vote en 1891 (tableau d’Alfred Bramtot).

    Quiconque a un peu de culture politique sait que « République » et « démocratie » ne sont pas des termes synonymes et interchangeables. La République populaire de Chine, la République de Cuba ne sont pas démocratiques. A contrario, le Royaume-Uni, l’Espagne, le Danemark sont des monarchies démocratiques. Il n’est même pas besoin d’aller chercher les exemples à l’étranger : la Première République ne fut pas démocratique (1) ; alors que le Second Empire fut démocratique (bien que les élections furent sévèrement encadrées).

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  • Face au « Pas de vague », c’est Mila la révoltée qui a raison

    N’en déplaise à Caroline Fourest, figure solennelle de la « gauche républicaine », c’est Mila la révoltée qui a raison. Déboulant le 8 avril sur RMC, la jeune femme de 21 ans a lancé : « J’ai la haine, la rage », parlant de l’emprise islamiste grandissante sur la France. Ce jour-là, la résistance à la charia qui vient et à l’avachissement de la République a pris le visage de cette guerrière blonde et tatouée, qui vécut sous protection policière pour avoir traité l’islam de « religion de merde » il y a quatre ans. Or l’essayiste Fourest, qui batailla utilement contre Tariq Ramadan, reproche à Mila son manque de « nuances ». 

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  • Débat Bardella-Hayer : cela aurait pu être pire…

    bardella hayer
    Enfin, le débat qu’on attendait tous ! Valérie Hayer et Jordan Bardella face à face, à armes égales. D’un côté, une candidate qui n’avait rien à perdre avec des sondages dans les chaussettes. De l’autre, un candidat qui doit éviter les faux pas, parfois inévitables dans une campagne longue et harassante, pour consolider sa position confortable sur cette ligne bleue des 30 % d’intentions de vote. D’un côté une sorte de rock star qui cartonne chez les jeunes, mais pas que chez les jeunes désormais. De l’autre, une grande inconnue au bataillon, il y a encore deux mois, qui tente de prendre gentiment la lumière. D’un côté, un animal politique précoce. De l’autre, une techno. D’un côté, un grand gaillard issue de banlieue. De l’autre, une bourgeoise rurale, originaire d’une province bien sage.

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  • Paris : La mairie souhaite réquisitionner le lycée Brassai (désaffecté), qui doit servir pour les JO, pour loger les migrants occupant La maison des Métallos, depuis presqu’un mois empêchant la programmation du lieu culturel

     «La Ville demande de l’aide à l’État. La mairie de Paris propose au gouvernement un lycée inoccupé, géré par la région, pour héberger les 100 à 200 migrants qui occupent un de ses établissements culturels, ou font l’objet d’évacuations régulières dans la capitale. Un sujet sensible à moins de trois mois des Jeux olympiques (26 juillet – 11 août). (…)

     

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  • La France silencieuse, ultime rempart face à la subversion islamiste

    L’entrisme palestinien à Sciences-Po n’est pas le problème : depuis les années soixante-dix, l’Education nationale et l’Université sont les terrains privilégiés de l’agitation subversive de la gauche. (J’ai eu, à cette époque, ma part d’éducation marxiste à la faculté de droit de Nantes). Mais cette politisation restait jusqu’alors une anomalie contournable. Elle devient préoccupante quand elle ne rencontre plus d’obstacles. C’est ce qui s’est produit, vendredi soir, avec la capitulation de la direction de l’école parisienne, félicitée pour son attitude par Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur. Les deux autorités ont renoncé à sanctionner les bloqueurs du Comité Palestine, keffiehs et drapeaux palestiniens en emblèmes, et ont promis de réexaminer les « partenariats de l’école avec les universités et les organisations soutenant l’État d’Israël ». 

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  • Saint-Chamond (42) : L’élue patriote Isabelle Surply victime d’une troisième série de menaces de mort en un mois (MàJ : Menaces explicites de la part des Loups Gris contre tous ceux qui s’opposent à eux)

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    01/05/2024

    De la part d’Isabelle Surply sur Twitter :
    INFO : Je viens de recevoir de nouvelles photos de la part de parents d’élèves totalement indignés et choqués… En réalité, les tags à Sainte Marie forment un menace/exhortation ultra ciblée : “

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  • [ÉDITO] À Domrémy, Marion Maréchal relève le drapeau de Jeanne d’Arc

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    « Jeanne, au secours ! » On se souvient de l’irruption de Jean-Marie Le Pen, habillé d’une parka rouge, le 1er mai 2015, sur la scène dressée par le Front national, place de l’Opéra à Paris, et de son cri, poussé devant les militants quand les rapports n’étaient pas au mieux entre le père et la fille. Ce cri, Marion Maréchal l’a repris et poussé à sa façon, ce jeudi 1er mai à Domrémy-la-Pucelle, le village natal de Jeanne d’Arc. Entourée de son équipe de campagne, la petite-fille du « Menhir » a relevé la tradition, abandonnée pour la première année par le Rassemblement national, de l’hommage à la sainte patronne de la France.

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  • Le RN et LFI critiquent la gestion financière du gouvernement et évoquent la possibilité d'une motion de censure avant la fin mai

    Le RN et LFI critiquent la gestion financière du gouvernement et évoquent la possibilité d'une motion de censure avant la fin mai

    Lors du débat d’orientation budgétaire à l’Assemblée nationale, le gouvernement a été vivement critiqué par l'opposition, notamment La France insoumise (LFI) et le Rassemblement national (RN), qui ont évoqué la possibilité d'une motion de censure avant la fin mai. Les reproches ont porté sur l'incompétence et le manque de crédibilité dans la gestion des finances publiques.

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