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France et politique française - Page 2153

  • Économie : ce ne sera pas une correction mais un krach !

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    Marc Rousset

    Étienne Lefebvre, rédacteur en chef des Échos, vient de déclarer : « Il n’y aura pas de krach, mais une correction en 2019. » En fait, les Français, avec à leur tête Macron, « barreur de petit temps »selon Nicolas Sarkozy, doivent bel et bien s’attendre à un krach en 2019 ou 2020 au plus tard. Les raisons sont multiples : hyper-endettement démentiel (mondial, public et privé), signes de ralentissement de la croissance, incertitudes en janvier 2019 liées au Brexit, restriction des liquidités car fin des politiques monétaires non conventionnelles des banques centrales, remontée inéluctable des taux d’intérêt, fin de la trêve commerciale Chine/États-Unis le 1er mars 2019, élections en mai 2019 et risques populistes salvateurs en Europe, fragilité des pays émergents endettés en dollars, bulles spéculatives boursières et immobilières partout dans le monde, implosion à venir des produits dérivés bancaires.

    En Espagne, on assiste à la descente aux enfers de l’entreprise de distribution Dia, tandis que le Premier ministre socialiste Pedro Sánchez relève de 22 %, par décret, le SMIC avec une perte de compétitivité du pays à la clé. En Allemagne, même une entreprise comme Volkswagen doit emprunter, depuis 2018, à 1 % au-dessus du taux du Bund allemand. Aux États-Unis, le président de la Fed Jerome Powell, contrairement aux précédentes déclarations sur les hausses à venir des taux d’intérêt en 2019, face à la chute de Wall Street, aux plaintes des boursiers et aux pressions de Donald Trump, déclare d’une façon très opportuniste que la politique monétaire n’est pas sur une trajectoire préconçue, que la stratégie de réduction automatique du bilan de la Fed à 50 milliards de dollars par mois pourrait être modulée .

    Les hausses de taux d’intérêt qui se profilent risquent de faire de nombreuses victimes, étouffées par la charge de la dette. En zone euro, la prime de risque sur les marchés obligataires va augmenter, suite aux incertitudes politiques, en même temps que la volatilité boursière. Natixis, dans une étude économique récente, souligne que, pour les pays de l’Europe du Sud et la France souhaitant corriger leurs stupides réévaluations internes provoquées par le laxisme socialiste (35 h, régimes spéciaux, abaissement de l’âge de la retraite), dévaluer d’une façon interne est maintenant impossible socialement et politiquement : « sortir de l’euro serait catastrophique, mais rester dans l’euro peut être catastrophique aussi ».

    Aux États-Unis, Apple, la première société à avoir dépassé les 1.000 milliards de dollars de capitalisation boursière, a perdu plus d’un tiers de sa valeur et fait trembler les marchés, suite au ralentissement de la croissance chinoise et à la guerre commerciale sino-américaine avec les entreprises Huawei et Qualcomm.

    En Italie, après Monte dei Paschi di Siena, c’est sauve qui peut à la banque génoise Carige, créée en 1483. La BCE va intervenir directement car les administrateurs de la dixième banque du pays ont démissionné, faute de pouvoir lever les fonds indispensables à son sauvetage. Le titre a perdu 90 % de sa valeur en trois mois. Carige affiche 1,5 milliard d’euros de pertes depuis 2014, suite aux créances douteuses et à des difficultés dans le secteur maritime. Le titre ne vaut plus que 0,0015 euro.

    L’Italie, c’est une dette publique de 132 % du PIB, des banques avec 11 % de créances douteuses et 20 % d’obligations risquées d’État à leur actif, 20 % d’entreprises « zombies » alors que la moyenne européenne est de 9 %, des dettes « Target 2 » de la Banque d’Italie à la BCE pour 432 milliards d’euros. La hausse des taux d’intérêt et le ralentissement de la croissance mènent l’Italie à la banqueroute.

    Tandis que les économies européennes s’écroulent et s’hyper-endettent, que les classes moyennes fondent, en raison du laxisme socialiste généralisé, du coût de l’invasion migratoire ainsi que de l’insécurité, du mortifère libre-échange mondialiste, la croissance du Vietnam, avec 95 millions d’habitants, a atteint 7 % en 2018. Selon une étude de l’Agence française du développement, les classes moyennes représentent 72,5 % des ménages vietnamiens et le PIB par habitant a été multiplié par dix en trente ans.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le mythe de la Cinquième – La République sans la Révolution ? En finir avec l’idéologie républicaine

    Le mythe de la Cinquième – La République sans la Révolution ? En finir avec l’idéologie républicaine

    Lu ici :

    C’est un précepte évangélique que l’on reconnaît un arbre à ses fruits. Nos républicains sincèrement amoureux de la France devraient en prendre graine, car il n’est pas certain que leur position fasse montre d’une cohérence à toute épreuve. La République a plus d’un siècle maintenant, et un retour sur expérience est non seulement possible, mais sans doute bienvenu. Or, que montre un simple regard rapide ? Deux guerres mondiales, dont la première a connu une paix boiteuse, et dont la seconde a été perdue en trois semaines ; une décolonisation bâclée et entachée de crimes, dont nous payons encore aujourd’hui les conséquences en ce qui concerne l’Algérie et l’Afrique noire ; un large mensonge sur les « conquêtes sociales », dont les plus significatives ont été le fait des catholiques sociaux antirépublicains au XIXe siècle, avant l’avènement de la République, et contre la gauche, qui craignait que cela fasse mentir son dogme de la lutte des classes ; une pérennisation de la division des Français par l’anticléricalisme ; une contradiction mortelle entre la prétention de maintenir une morale chrétienne et l’effort constant pour  détruire la religion qui la justifiait ; enfin, une double soumission, après 1945, au pouvoir américain et à l’idéologie marxiste, qui a conduit à faire de la France la couveuse de beaucoup des grands criminels du XXe siècle, de Hô Chi Minh à Khomeiny – et rappelons que le Parti communiste chinois a été fondé dans la Concession Française de Shanghaï. Sur le plan institutionnel, cinq républiques en cent cinquante ans, pour une monarchie en huit cents ans ; sur le plan international, le passage du premier rang parmi les pays, disputé avec l’Angleterre, au cinquième ou sixième. La République a dilapidé en quelques décennies le patient acquis de la Monarchie. Si l’on est honnête, il n’y a franchement pas de quoi pavoiser !

    Oui, mais voilà, nous avons la Cinquième, la République gaullienne avec ses institutions stables et solides, des institutions à toute épreuve, aptes à répondre à toutes les crises.

    Parlons-en. On peut faire remarquer tout d’abord aux chantres de la Cinquième que, née de la crise algérienne qui a emporté la Quatrième, elle-même n’a été confrontée jusqu’ici qu’à une crise majeure, mai 68, alors qu’elle n’avait que dix ans d’âge et que son fondateur était toujours au pouvoir. La preuve de sa solidité est donc mince.

    Quant à sa stabilité, rappelons que la Constitution a connu depuis 1958 une vingtaine de modifications : les lois fondamentales de la Monarchie étaient autrement plus stables. A ceci, on répond communément que la plupart des modifications sont dues à l’intégration européenne, et c’est vrai, et que cette intégration a été initiée sous la Quatrième, et c’est encore vrai. Mais si la stabilité des institutions républicaines est incompatible avec l’Union Européenne, il ne fallait pas entrer dans l’Union, ou plutôt, puisque c’était fait, en sortir ; si on accepte cette Union en perpétuelle construction, on accepte le principe d’une instabilité chronique de la constitution. Or, si la constitution définit les institutions, son instabilité rend celles-ci instables, et la République avec elle.

    Qui plus est, le passage du septennat au quinquennat, pour le mandat du Président, n’a pas été, que l’on sache, commandé par l’Union Européenne.

    De surcroît, l’instabilité institutionnelle s’est toujours doublée d’une forte instabilité juridique : la République, de quelque numéro qu’elle soit, a toujours été en insurrection permanente contre sa propre légalité, et elle ne peut pas ne pas l’être étant donné qu’elle repose sur un principe révolutionnaire, c’est-à-dire un principe de changement permanent. Or, qu’on n’aille pas nous dire qu’il en va autrement avec la Cinquième : sa constitution l’inscrit ouvertement dans l’héritage de 1789. Il arrive un temps où il faut assumer ses choix : 89, ou la stabilité, mais on ne peut pas avoir l’un sans l’autre.

    Tout ceci n’a pas échappé au regard des plus sagaces, ou des moins prévenus. Mais on entend souvent dire alors que la Cinquième souffre du fait qu’elle a été faite sur mesure pour le général de Gaulle. A la bonne heure ! Imagine-t-on une Monarchie taillée, telle une cotte de mailles, pour le seul Louis XIV, ou pour son aïeul saint Louis ? Un régime serait donc fait pour une personne ? Si telle a été la pensée de de Gaulle, c’est assurément la plus grande injure qu’il ait faite aux Français. Nous laissons les historiens éclaircir ce point.

    Mais cette histoire de République couturière va loin, car ne faut-il pas voir l’origine du mythe de la stabilité de la Cinquième dans le fait qu’elle a survécu… à son fondateur ?! Quel exploit en vérité, quelle gloire pour des institutions que de perdurer plus que dix ou quinze ans ! Le père Ubu n’est pas loin.

    Il ne faut pas oublier, enfin, que, sur un plan politique et social, la Cinquième, c’est celle qui a vu la plongée à vitesse accélérée de la France dans le matérialisme le plus effréné – c’était l’heure du Concorde. Le terrain était préparé, certes, l’emprise de la société de consommation à l’américaine a joué pleinement, c’est vrai. Mais à tout le moins faut-il constater que la Cinquième a été impuissante à s’y opposer, si elle ne l’a pas encouragée positivement. Et le grand homme lui-même, pourtant adversaire farouche des américains, qu’a-t-il fait, sinon assimiler le progrès à la machine à laver et au frigidaire, et l’ordre au fait de ne pas bambocher et de se tenir bien à table ? Quelle grandeur en effet, quelle hauteur de vue !

    De manière plus grave encore, peut-être, de Gaulle et la Cinquième, c’est le maintien du pouvoir communiste sur les esprits, à travers le monde de l’éducation et de l’édition. On pourra une nouvelle fois trouver des excuses : cette fois, c’était l’URSS qui était puissante…

    De quelque manière qu’on l’envisage, cette « monarchie républicaine » n’est en réalité qu’une République monarchique, c’est-à-dire un régime qui concentre, et de plus en plus, le pouvoir entre les mains du Président, avec charge à lui de prendre en main la Révolution. La Cinquième République, c’est la Révolution par le monarque – quand la Troisième, c’était la Révolution par le Parlement, comme à la belle époque, la guillotine sur la place publique en moins ; les autres ne comptent pas.

    En définitive, la Cinquième est bien l’achèvement de l’idée républicaine : c’est la Révolution installée dans les dorures des palais. Son triomphe.

    Peut-on être amoureux de la France et être républicain ? Oui, si l’on ne sait pas ce que l’on dit, d’un côté ou de l’autre. Ou, ce qui revient au même, si l’on confond, une fois de plus, le réel avec une idée. Comme le dit si bien de nos jours un certain locataire, « on ne bâtit rien sur des mensonges. » Sur des illusions non plus.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-mythe-de-la-cinquieme-la-republique-sans-la-revolution-en-finir-avec-lideologie-republicaine/

  • Femmes Gilets jaunes : «On manifeste pour le logement, les mères isolées, les femmes précaires»

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    Au lendemain de l’ Acte 8 du mouvement, des centaines de femmes Gilets Jaunes ont décidé de manifester aux quatre coins de la France.

    Sophie Tissier, 40 ans, « mère isolée de deux enfants », explique ainsi au mégaphone être au RSA depuis deux ans et demi :

    C’est très difficile pour nous d’être mises en lumière dans la société en tant que femmes. Or nous sommes plus pacifiques que les hommes et on veut mobiliser de façon pacifique. (…) On est très nombreuses dans les manifestations, sur les ronds-points, car on est plus touchées par le travail précaire.

    Les slogans visaient principalement le président de la République : « Macron démission », « Macron, t’es foutu, les gonzesses sont dans la rue » ou encore « Macron, si tu ne viens pas, c’est nous qui venons chez toi ».

    « Le gouvernement veut nous faire passer pour des casseurs, mais aujourd’hui nous sommes des mères, des grands-mères, nous sommes les filles, les sœurs de tous les citoyens, et nous voulons dire que (…) notre colère est légitime. C’est lors des crises sociales que les droits des femmes sont le plus en danger », a déclaré pour sa part, la manifestante Chloé Tessier.

    https://fr.novopress.info/213126/femmes-gilets-jaunes-on-manifeste-pour-le-logement-les-meres-isolees-les-femmes-precaires/

  • La Macronie, ou la crise de la démocratie

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    Dans une société d’images, la violence ne révèle pas toute sa réalité. Paris et plusieurs villes, comme Bordeaux et Rouen, ont été le théâtre d’affrontements entre des « gilets jaunes » et les forces de l’ordre, le 5 janvier dernier. Sachant que n’est « gilet jaune » que celui qui revêt un gilet jaune. Qui représente qui, dans une crise généralisée de la représentation ? Tant que les policiers et les militaires accepteront de servir de chair à canon en vue d’une stratégie de criminalisation, le peuple ne pourra obliger le Président à dissoudre l’Assemblée nationale.

    Par ailleurs, les intimidations et les menaces dont font l’objet des députés macroniens sont stupides : à quoi cela sert-il de s’en prendre à des Playmobil® ? Des personnages hauts en couleur qui racontent des histoires… Le péché originel, en Macronie, c’est la confusion entre civilisation et gentrification. Il est vrai, pourtant, que le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a été inspiré en déclarant, la veille de la dernière manifestation : « Nous devons aller sans doute encore plus loin dans le changement, être encore plus radicaux dans nos méthodes, nos manières de faire, dans notre style… » C’est dit : la Macronie entend se radicaliser. Or, dans une cour d’école (sans véritable école), c’est celui qui dit qui est.

    Retour en arrière : en 2017, les startupers et les baby-boomers s’étaient coalisés pour élire une élite mondialisée, et ce, avec près de 26 % d’abstention au second tour de l’élection présidentielle et près de 52 % d’abstention au premier tour des élections législatives qui s’en sont suivies. Un coup de Trafalgar électoral conforté par le putsch médiatico-judiciaire qui a frappé le candidat Fillon. Retour du refoulé : la riposte de la majorité silencieuse explose dans le même incubateur que le télé-évangélisme macronien – la bulle Internet. Des marcheurs contre les Marcheurs qui ont des revendications, non en faveur de l’ouverture, mais de la protection : « Taxer le fioul maritime et le kérosène »/« Protéger l’industrie française »/« Que les causes des migrations forcées soient traitées »/« Entrée du référendum d’initiative populaire dans la Constitution », etc.

    En face, le Président Macron a trouvé une parade : lancer un grand débat national sur la base de cahiers de doléances. Un véritable simulacre. Le débat se veut être encadré, voire totalement cadré, notamment sur la question migratoire. De toute évidence, l’ordre libéral-libertaire est éminemment totalitaire. La marchandisation y rime définitivement avec la fétichisation. Et la marque appelle des sous-marques : « Les Gilets jaunes libres », « Gilets jaunes le Mouvement », « La France en colère », « Les émergents »… Ruse de l’ambition oblige, le gilet jaune n’est plus qu’un but spéculatif.

    Chaque camp a conscience qu’une perte humaine chez l’adversaire fera les affaires de l’autre. La technocrature et l’État étant dissociables, l’inconscient collectif pense que « le moyen de la violence légitime » (Max Weber) n’a plus de sens. Voilà pourquoi l’élève de Ricœur n’est plus en mesure d’asseoir son autorité. Démocrite disait que « le caractère d’un homme fait son destin ». Ce Jupiter fait passer des vessies pour des lanternes et fait le sourire de l’ange pour libérer la bête. Avec un tel homme à sa tête, la France de Clovis et du Comité de salut public semble courir à sa perte.

    Henri Feng

    http://www.bvoltaire.fr/la-macronie-ou-la-crise-de-la-democratie/

  • RIP pour le RIC ?

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    Georges Feltin-Tracol

    Sociologues, analystes de l’opinion et politologues se réjouissent de cette fin d’année : les « Gilets jaunes » leur fournissent de longues heures d’études supplémentaires. Hétérogène tant par sa composition sociale que par sa structuration par âge, le sexe et les origines géographiques, ce mouvement inédit de contestation politico-sociale valide l’avertissement sur la « fracture sociale » énoncée en 1994 – 1995 par Marcel Gauchet dans une note devenue célèbre de la Fondation Saint-Simon.

    Outre l’hostilité à la hausse de la taxe carbone, à l’augmentation des carburants, à la multiplication répressive des radars routiers et au refus de la cherté de la vie courante, les « Gilets jaunes », quasi unanimes, réclament le RIC, le référendum d’initiative citoyenne. Une consultation serait organisée à partir du dépôt d’un nombre précis de signatures de citoyens selon le principe du voisin suisse. Loin de souhaiter un quelconque pouvoir autoritaire charismatique, les « Gilets jaunes » veulent l’extension du domaine démocratique à leur quotidien. Ainsi se rapprochent-ils d’une formation, transalpine celle-là, dont la couleur emblématique est aussi le jaune, le Mouvement Cinq Étoiles.

    Il est ironique d’entendre les « Gilets jaunes » réclamer plus de démocratie directe quand un mois avant le début de leur action disparaissait, le 10 octobre dernier, Yvan Blot. Haut-fonctionnaire en retraite, collaborateur aux premiers numéros de Nouvelle École, co-fondateur du Club de l’Horloge et ancien élu du RPR chiraquien et du FN de Jean-Marie Le Pen avant de rallier les Républicains, cet essayiste se passionnait pour les modes de démocratie participative au point d’en devenir un spécialiste éminent. Il n’hésitait pas à assister aux assemblées populaires cantonales dans les Alpes suisses et observait l’emploi du référendum en Allemagne à l’échelle des communes et des Länder, en Italie et aux États-Unis, en particulier en Californie. Par-delà un abord assez froid et distant, il aurait pu donner son point de vue pertinent aux « Gilets jaunes ». Vedette sur Internet depuis un excellent examen du Traité constitutionnel européen en 2005, Étienne Chouard soutient lui aussi le recours référendaire comme facteur de redynamisation de la démocratie et de réaffirmation de l’implication politique des citoyens. On retrouve chez les « Gilets jaunes » une aspiration démocratique radicale très similaire aux discussions un temps exprimées par le phénomène – urbain et bo-bo – « Nuit Debout ».

    Il faut reconnaître que le référendum d’initiative populaire (RIP) ne représente pas la panacée. Dans le cadre actuel d’institutions biaisées, l’exécutif, les tribunaux, les médiats et le Conseil constitutionnel en limiteraient la pratique. Le RIP peut même parfois desservir le bien commun. L’interdiction référendaire des minarets en Suisse en 2009 masque d’autres consultations plus ou moins récentes qui ligotent la souveraineté helvétique dans les mailles des traités internationaux ou entérinent des lois liberticides.

    Certains « Gilets jaunes » l’ont compris puisqu’ils ajoutent en outre la révocation permanente des élus. Inscrite dans la constitution bolivarienne du Venezuela de feu Hugo Chavez et proposée par La France insoumise, cette procédure existe depuis longtemps en Californie. On oublie que si l’acteur Arnold Schwarzenegger fut pendant sept années gouverneur républicain de cet État, il le dut en 2003 à une pétition révocatoire qui destitua par un vote populaire le gouverneur démocrate Gray Davis et désigna à la majorité relative son successeur pour achever le mandat en cours.

    Le référendum d’initiative populaire (ou citoyenne) et la révocation des élus compléteraient la proposition législative d’initiative populaire, la fin des subventions publiques aux partis politiques, aux syndicats et aux associations mémorielles tronquées ainsi que le tirage au sort d’une partie non négligeable des assemblées locales. Ces mesures pourraient dans un premier temps ne concerner que le cadre local, ce qui renforcerait le localisme. Il va de soi que ces innovations institutionnelles ne régleront pas la crise profonde de la « démocratie » occidentale, car sa résolution ne peut passer que par une remise en question intérieure des préoccupations souvent matérialistes de chacun d’entre nous.

    Bonjour chez vous et à l’année prochaine !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°106, mise en ligne sur TV Libertés, le 31 décembre 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/01/08/rip-pour-le-ric-6119142.html

  • Gilets Jaunes : Macron et sa Garde suisse – Journal du mardi 8 janvier 2018

     

    Politique / Gilets Jaunes : Macron et sa Garde suisse

    Alors que la crise des Gilets Jaunes se poursuit, le premier ministre Edouard Philippe est intervenu lundi soir pour annoncer une batterie de mesures sécuritaires. Un tournant qui dénote la peur et l’impuissance d’un exécutif aux abois.

    Sécurité / Les prisons au bord de l’implosion

    International / La nouvelle stratégie de l’Etat Islamique

    Alors que les Etats-Unis ont annoncé le retrait de leurs troupes en Syrie, la menace terroriste demeure. Si Daesh a perdu du terrain au Proche-Orient, l’organisation pourrait rebondir en Afrique et entreprendre de nouvelles attaques en Europe.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/gilets-jaunes-macron-et-sa-garde-suisse-journal-du-mardi-8-janvier-2018

  • De l'écrasement du pouvoir d'achat

    6a00d8341c715453ef022ad3acab62200d-320wi.jpgEn 20 ans, le SMIC horaire brut, applicable à des semaines de 35 heures, soit 151 heures par mois est passé de 6,31 à 10,03 soit un multiplicateur de 1,58, nettement supérieur, quand même, à celui du point d'indice de la fonction publique. Car, de son côté, l'indice 100 des fonctionnaires représentait 5 623 euros valeur février 2017 contre 32 998 francs en 1998 soit 5 036 euros : un multiplicateur de 1,12. À l'inverse on peut citer l'exemple du tu timbre-poste. Sous coût vient, lui, d'augmenter de 10 % soit pour une lettre prioritaire 1,05 euro contre 0,46 euro 20 ans plus tôt : le multiplicateur est un des plus élevé à 2,3. Pour un service déclinant.

    Bien plus, la question lancinante du logement accapare entre 30 et 40 % du budget de nos compatriotes. Elle joue un rôle non négligeable dans les difficultés des jeunes ménages, dans la paupérisation des classes moyennes et dans les inquiétudes grandissantes du peuple français. Or, on l'occulte trop souvent, et l'INSEE la sous-estime[1] dans ses pondérations d'indice.

    Ainsi, ce 7 janvier, en milieu de journée, le quotidien Le Monde pouvait titrer, sur ce que ses rédacteurs appellent la hausse inattendue des prix de l'immobilier[2]. À l'enquêtrice, Laurent Vimont, PDG de Century 21, est obligé d'en expliquer l'une des causes, la plus évidente : "l’appétit d’achat immobilier est toujours encouragé par le niveau très bas des taux d’intérêt, parfois même négatif, puisqu’au-dessous de l’inflation."

    De la sorte, le prêt à taux zéro, invention contre-nature se voulant sans doute sociale, se retourne contre l'objectif auquel il était censé répondre.

    Les vraies données de ce que nous appelons inflation retracent l'érosion monétaire. Or, trop nombreux sont les analystes et les décideurs qui confondent cette donnée avec l'augmentation de la quantité de monnaie, cause véritable de la hausse des prix.

    L'irrationnel et le ressenti risquent de fausser encre plus la désignation des responsabilités, et par conséquent d'empêcher le rétablissement du libre jeu de l’économie.

    Étrangement, dans le procès fait trop sommairement aux institutions communautaires, certes bancales et critiquables, et par conséquent améliorables, de l'Union européenne, appellation elle-même bien grise, la politique de l'une d'entre elle semble échapper à ce dénigrement : celle de la banque centrale de Francfort.

    C'est pourtant bien la ligne directrice de Trichet d'abord, de modération des salaires, combinée, à partir de la crise de 2008, aux choix de Mario Draghi qui ont abouti à la distorsion artificielle des prix.

    Celle-ci s’est trouvée alourdie par le monstrueux tribut social, institutionnalisé par la réforme Juppé de 1996. Elle a écrasé le pouvoir d'achat disponible : le niveau de vie des Français moyens a été pris désormais en sandwich – entre d'une part les prix contraints et/ou administrés, avec un très gros pourcentage d'immobilier inflationniste, et les charges d'une part, – et des gains stagnants d'autre part. La très lente évolution, voire la chute, des rémunérations des classes moyennes, aussi bien celles des fonctionnaires modestes que celles des travailleurs indépendants, a engendré la réalité de la vie chère. L'euro, en lui-même ne constitue pas la cause centrale.

    À cette erreur de conception s'ajoute un préjugé de plus en plus répandu depuis 20 ans. Interrogez par exemple autour de vous à propos du prix de la baguette de pain dite parisienne. Sans même s'interroger sur l'évolution de sa qualité et de son poids, combien coûtait-elle au moment du passage à la monnaie unique. Comme son prix ordinaire chez les boulangers de beaucoup de grandes villes tourne autour de 1 euro

    On vous répondra bien souvent qu'elle valait un franc, ce qui se révèle doublement inexact. En fait, en 1998, au prix moyen que l'on qualifiera d'officiel, elle valait 4,05 francs soit 0,62 euro. Cette valeur est passée en moyenne[3] à 0,87 euro : un multiplicateur de 1,4.

    L'impression générale demeure, à l'inverse des faits que l'euro auront détruit le bon équilibre naturel des prix, autrefois maintenu, pensent les bonnes gens, par une d'administration vigilante dont il conviendrait, affirment les pseudo-économistes de l'absurde, de rétablir l'intervention.

    Un tel sentiment pervertit une large part de l'opinion publique jusque dans ses intentions de vote du printemps prochain, où on ne manquera pas d'entendre accuser "l'Europe" de porter les responsabilités de la vie chère. Pour les statisticiens, comme pour un certain nombre d’esprits faux, tel Giscard en son temps, mais aussi pour les fondateurs de l’euro à l’époque où Delors sévissait à la présidence de la Commission européenne, la monnaie ne peut être considéré que comme un instrument de mesure.

    Et les conséquences de cette vision réductrice déteint sur la plupart des journalistes et commentateurs agréés. Quand les aveugles conduisent les paralytiques on risque fort de courir à la catastrophe.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Cet organisme, monopolistique dans son principe, créé en 1946, joue, à vrai dire, un rôle central dans la désinformation technocratique qui entoure le sujet.
    [2] Cocassement le chapeau a évolué au fil des heures. Initialement, on pouvait lire que "le retournement attendu n'a pas eu lieu" pour devenir à 12 h 45 "contrairement aux prévisions, les prix continuent de grimper." Ces imperceptibles nuances manipulatrices sont accompagnées d'une illustration renvoyant au 16e arrondissement de Paris, citadelle supposée de la bourgeoisie rentière. Pourtant, s'agissant de Paris, qui n'est pas la France les bobos spéculent, quant à eux sur des quartiers plus branchés devenus clairement plus chers.
    [3] Pendant la même période, une grande quantité d'offres différenciées s'est développée, notamment dans les supermarchés, avec des variantes selon qu'il s'agit d'une baguette dite de tradition, appellation ne remontant en fait qu'au passage d'Alain Madelin, etc.

    https://www.insolent.fr/2019/01/de-lecrasement-du-pouvoir-dachat.html

  • « Les bourgeois aimeraient tellement qu’on en revienne au train-train des débats habituels : les écolos, les vélos, les machos… » Fin

    Il faudrait mettre fin à la mondialisation et instaurer de nouveau, en France et en Europe, des frontières qui protègent 2) Faire cesser le matraquage socio-fiscal, qui pèse essentiellement sur la classe moyenne, en réduisant les dépenses publiques anormales 3) Mettre fin à l’assistanat pour réduire les dépenses publiques, pour sauver la sécurité sociale et réduire les impôts de ceux qui travaillent 4) Réduire les folles dépenses et les gâchis engendrés par la sphère politico-administrative, notamment en supprimant le sénat, en réduisant le nombre des députés, en supprimant le département, échelon inutile du mille-feuilles 5) Arrêter l’immigration, qui est devenue une invasion : elle est la cause majeure de l’envolée des dépenses publiques et du matraquage fiscal ; elle a chassé la classe moyenne des banlieues ; elle pourrit la vie des Français ;  elle est devenue une invasion.

    Pour améliorer considérablement la vie des Français moyens de souche européenne : 1) Rétablir en France et en Europe des frontières qui protègent de la mondialisation 2) Cesser le matraquage socio-fiscal 3) Mettre fin à l’assistanat 4) Réduire la sphère politico-administrative 5) Arrêter l’immigration

    Sur les gilets jaunes

    La baudruche Jupiter s’est dégonflée brusquement avec un grand pschiiiit…

    C’est en roulant dans l’escalier que le pseudo Jupiter dégringole de l’Olympe

    Macron-Rothschild est à deux doigts de porter plainte contre le peuple

    Bilan provisoire : 1) les réformes libérales prévues par Macron c’est terminé 2) grâce aux gilets, il va se prendre une veste aux européennes 3) il va avoir du mal à tenir jusqu’en 2022

    Relevons que les Français moyens actifs qui touchent plus que le Smic et ne font pas d’heures sup, c’est à dire la majorité, ne gagnent rien aux annonces de Macron-Rothschild

    Et toute la bourgeoisie retient son souffle : pourvu que ça suffise et que ces imbéciles se contentent de ces miettes…

    Il a pris les Français moyens pour des poires
    Veut les calmer maintenant avec un moratoire
    Un peu tard désormais pour faire machine arrière
    Nous ne supportons plus ce pseudo Jupiter

    Il s’est pris pour Jupiter alors qu’il n’est qu’employé de banque

    Parties intégrantes du Système, les syndicats subventionnés n’ont plus rien en commun avec les Français moyens en gilet jaune

    De nombreux Français ne supportent plus ce banquier et rêveraient d’un Trump ou, mieux encore, d’un Poutine

    (l’arc de triomphe dégradé rouvre ses portes) Dans un pays qui se laisse envahir sans réagir, un arc de triomphe paraît quelque peu incongru

    En rester au Touquet manquait par trop d’éclat
    Un autre avenir s’ouvrait dès qu’elle prit ce quadra
    Rothschild et tout le CAC lui ont ouvert les bras
    Elysée, Brégançon, Lanterne, Etcetera
    Elle courait les palaces, Davos, Essaouira
    Un Vuitton tous les jours, une perruque, et Gala
    Rien n’était trop brillant pour cette prof d’en bas
    Elle pouvait même rêver faire la nique à Carla
    Las… Le micro-Jupiter a volé en éclats
    C’est au musée Grévin que Brizit vieillira

    Les bourgeois aimeraient tellement qu’on revienne au train-train des débats habituels : les écolos, les vélos, les machos…

    Trois France en présence désormais : la classe dirigeante mondialiste et immigrationniste ; les immigrés ; et les Français moyens de souche, rackettés, trahis, envahis…

    (macron au Puy en Velay) Le rêve jupitérien… Et puis… Envolé…

    Il se rêvait en Jupiter… Il lui reste la Jupiler…

    Après avoir créé le désordre, Macron-Rothschild compte sur les forces de l’ordre

    Macron en 4 flashs : Rothschild ; l’immigration est une chance ; Ben Allah ; ISF…

    Les juges voudraient mettre les gilets jaunes sur « le mur des cons » mais ils sont trop nombreux

    Les policiers, issus du peuple, ont pour mission de protéger les bourgeois de la colère du peuple… On comprend qu’ils dépriment…

    Macron-Rothschild = désordre

    La politique libérale de Macron-Rothschild est soutenue par 25 % des Français au maximum, c’est à dire par la classe dominante. Ce niveau est également celui de son score du premier tour.

    Matraquage socio-fiscal de la classe moyenne, reléguée dans les zones périphériques + enrichissement sans précédent de la classe dirigeante + mépris de classe macronien + invasion migratoire = gilets-jaunes

    La classe dirigeante mondialiste a appauvri les Français moyens de souche ; elle les a méprisés ; elle a entrepris de les remplacer… Ils réagissent… Enfin !

    Sur la délinquance, la police, la justice

    Les médias se passionnent pour ces meurtres bien de chez nous : Dupont, Fourniret, Lelandais, Dutroux, le petit Grégory, Francis Heaulme, l’affaire Daval, la plupart vieux de plusieurs décennies… Quant aux meurtres à coups de couteau qui se produisent à longueur d’année, ils font eux l’objet d’un silence radio quasi total…

    (la Défense : un professeur tué devant l’université) Une attaque à la Défense

    (la Défense : un professeur tué devant l’université) Pakistanais… Comme le journaliste du Système a oublié de le préciser…

    (Chambéry : le magistrat giflé par le père d’une détenue) Première hypothèse : l’agresseur est issu de la diversité…. Deuxième hypothèse : le magistrat giflé, comme la plupart des juges, est immigrationniste… Morale hypothétique : bien fait !

    Sur l’économie, le social, l’assistanat

    Le but du prélèvement à la source ? Une fois qu’il sera rentré dans les moeurs, il deviendra indolore, comme la TVA. Et l’Etat pourra l’augmenter en douce un petit peu chaque année…

    Les assistés et les immigrés voient leur situation s’améliorer au fil des décisions « sociales ». Les riches voient leur impôts baisser (ISF, flat tax…). Matraqués d’impôts et de taxes, les Français moyens de souche voient leur pays leur échapper…

    (la France taxera les GAFA même sans accord européen) Ah bon ? Alors finalement on peut quand même agir, même sans l’Europe ? ça fait pourtant 20 ans qu’on nous dit le contraire…

    Les délocalisations ; l’envolée des prix de l’immobilier dans les grandes villes sous l’effet de l’enrichissement des riches ; l’immigration… Tout cela s’est fait au détriment des Français moyens de souche

    Sur l’environnement

    Le racket des Français moyens de souche sur les routes a trois objectifs : remplir les caisses ; créer une fracture entre police et population ; rendre les Français moyens craintifs et dociles

    Sur le féminisme, les homos, les mœurs, le politiquement correct 

    (pupille un film bouleversant sur l’adoption) Le mieux c’est encore la famille traditionnelle : papa, maman et des enfants à soi

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • « Les bourgeois aimeraient tellement qu’on en revienne au train-train des débats habituels : les écolos, les vélos, les machos… » première partie

    Paysan Savoyard sur Facebook

    (décembre 2018)

    Info : le pseudo du moment, Hubert Defrasses, tient toujours sur FB (sauf sur Le Monde, Libération, France-culture, 20 minutes, Le Parisien et l’Express, d’où je suis banni).

    Sur l’invasion et sur la France envahie

    Notre avenir si rien ne change : mise en minorité de la population blanche ; islamisation ; tiers-mondisation ; violence ; chaos

    Mondialisation + immigration = violences grandissantes assurées

    L’immigration est le débat central. Elle est en effet la cause première de tous les désordres avec lesquels la société française est aux prises : matraquage fiscal, surpopulation dans les villes, délinquance, relégation des Français moyens dans la périphérie…

    Alors qu’il serait si simple d’arrêter l’immigration et de demander à tous ces gens de rentrer chez eux…

    Imaginons que l’on pose par référendum cette question simple : « Oui ou non, voulez-vous un arrêt complet de l’immigration et le renvoi d’une grande partie des personnes originaires de l’immigration non européenne ». La réponse serait oui à 80 %…

    Fermer la porte de chez soi n’a rien à voir avec l’égoïsme

    Ce n’est pas parce qu’ils ont plus de 30 ans que les migrants mineurs doivent être discriminés

    Sur l’attentat de Strasbourg

    Oui c’est ça, chantons, allumons les bougies, plaçons des petits bouquets sur les trottoirs… Je propose également qu’on embauche des pleureuses

    Il a crié Allah Akbar, certes, mais ça n’a pas forcément de rapport avec l’islam…

    Ah : les petits bouquets et les bougies… Faites des réserves, les pleureuses : l’Aquarius est parti en chercher d’autres…

    Bah, seulement 2 ou 3 morts : le Système devrait parvenir à faire passer ça sans problème. Cet attentat de Strasbourg devrait également permettre de tourner la page des gilets jaunes en douceur… Un cadeau de Noël en quelque sorte…

    Alors que le terroriste est un immigré et un musulman, le Système va comme d’habitude parvenir à calmer les gogos en mettant en avant le fait qu’il est né en France et a la nationalité

    Immigré + déjà condamné pour des faits de droit commun + islamiste fiché… Comme d’habitude… Et il était libre comme l’air… Comme d’habitude…

    Bah, faut pas exagérer : en 2018 le terrorisme n’a fait que 6 morts… Ce n’est rien au regard des avantages énormes que représente l’immigration, qui est une chance comme l’a bien dit Macron-Rothschild

    Bah, l’immigration présente tellement d’avantages : elle augmente le nombre des consommateurs ; elle permet de casser les salaires ; elle pourvoit les emplois manuels… On peut bien supporter quelques inconvénients, tels que le terrorisme… Après tout, il n’y a eu que 6 morts en 2018…

    Et les images des forces de l’ordre, nombreuses, bien équipées, impressionnantes, qui tournent en boucle sur les médias du Système pour rassurer le populo…

    Le journaliste du Système a oublié de donner le nom… Il se prénomme Chérif semble-t-il…

    La police tire sur le Chérif ??!!… Je ne comprends pas… ???

    Parlons plutôt de l’affaire Grégory…

    Bon le plus important c’est tout de même la COP 24…

    Les musulmans « radicaux » sont pressés d’en finir. Les musulmans « modérés », eux, savent que le temps joue en leur faveur : sans rien faire d’autre que naître et s’installer, ils seront bientôt propriétaires de l’Europe

    Pour un pays envahi par l’immigration comme le nôtre, je trouve qu’il n’y a pas beaucoup de terrorisme. Pour ce qui est de la délinquance en revanche…

    Sur le Système mondialiste et immigrationniste, son projet, sa propagande, ses collabos, ses dissidents

    (pacte de l’onu pour des migrations « ordonnées, sûres et régulières »)  Il y a encore des gens pour douter que l’immigration de masse en Europe est voulue et organisée par la classe dirigeante occidentale ?

    Ceux qui dirigent au nom du peuple, Salvini, Orban, Kurtz, ne signeront pas le pacte de l’ONU sur les migrations. Ceux qui le trahissent l’approuvent avec empressement, à commencer par Merkel et Macron.

    (démission du premier ministre Belge, suite à l’adoption du pacte sur l’immigration) Qui va l’emporter en Europe ? Les « populistes », comme Orban et Salvini ? Ou les immigrationnistes, emmenés par Merkel et Macron ?

    Deux courants chez les experts autorisés de l’islam, tous deux immigrationnistes. Le premier (Kepel…) considère que les musulmans, « dont l’immense majorité souhaitent s’intégrer », doivent être soigneusement distingués des djihadistes. Le second (Roy…) affirme que le djihadisme est avant tout une réaction contre les inégalités et le racisme produits par la société française. Le débat public est circonscrit à ces deux courants… afin de ne jamais donner la parole au courant anti-immigration.

    (soutien appuyé du vatican au pacte de marrakech) A l’idée d’être bientôt remplacés par les musulmans, les cathos frémissent d’allégresse et sont impatients de tendre la joue gauche

    (entrée de l’extrême-droite au parlement d’Andalousie) Mêmes causes partout en Europe : l’invasion, organisée par la classe dirigeante. Mêmes effets : la montée en puissance de partis « populistes », c’est à dire décidés à arrêter l’immigration

    Le Système cherche à discréditer ses opposants en les présentant comme des dangers… Alors que, du point de vue des intérêts de la majorité des Français, c’est le Système qui est le danger

    Leur but est de noyer les populations européennes dans un peuple nouveau, sans identité, interchangeable, voué à la consommation, corvéable à merci…

    Sur les politiciens, la sphère politico administrative, la gauche, la droite, la classe dominante

    Les Français avaient le choix entre un banquier mondialiste et immigrationniste et le leader du parti anti-immigration, certes techniquement moins compétente, mais patriote. Ils ont choisi le banquier…

    Le Système avait le choix entre deux libéraux au programme très proche : il a choisi Macron et a détruit Fillon. La raison principale était à mon sens la suivante : alors que Fillon était bien trop tradi-coincé, Macron incarnait au mieux les moeurs libertaires…

    Voter blanc, voter nul ou s’abstenir : 3 manières de voter Macron en douce

    Les syndicats sont les marionnettes du Système, auquel ils appartiennent à part entière

    (Téléton) Y a encore des pigeons pour donner à ce genre de truc ? Ils trouvent qu’ils ne sont pas assez rackettés ?

    Pour le Système, un olibrius comme ce BHL est définitivement contre-productif : quelles que soient les thèses qu’il veut défendre, il déclenche avant même d’avoir ouvert la bouche une réaction instinctive de rejet

    (Hamon candidat aux européennes)  Ah bon… Voilà qui change tout

    (Hamon candidat aux européennes)  A cette annonce, Macron, subjugué, décide de démissionner à son profit

    3 populations à Paris : les bourgeois de droite ; les bourgeois de gauche (les bobos) ; les immigrés. Les Français moyens de souche en ont été chassés depuis longtemps

    (Bruno Le Maire) Quand les technocrates auront fini de fusionner les 36000 communes, il ne restera plus que lui…

    Le droit se tord dans tous les sens, en fonction du rapport de forces du moment et des préjugés des juges….

    La brochette d’experts qui, depuis 40 ans, nous disent ce qu’il faut penser : DSK, BHL, Attali, Dany le rouge, Morin, Rosanvallon, Minc… Il manque Bourdieu, qui a préféré laisser tomber

    Les Français qui souhaitent un arrêt de l’immigration, qui demandent une remise en ordre et qui refusent la mise en oeuvre d’une politique économique libérale, ces Français sont majoritaires. Mais la désunion de la droite et du RN les empêchent de voir s’appliquer la politique qu’ils attendent.

    À suivre

  • Acte 8 : Des milliers de Gilets Jaunes toujours déterminés à Paris.