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France et politique française - Page 2191

  • Voilà pourquoi le système LREM veut susciter une liste gilets jaunes aux européennes

    Voilà pourquoi le système LREM veut susciter une liste gilets jaunes aux européennes

    La vraie récupération des gilets jaunes ne vient de là où tout le monde croitComme l’a très bien expliqué Minute, Emmanuel Macron veut une liste aux européennes pour permettre à LREM de finir en tête le 26 mai et affaiblir son principal adversaire qui est le RN. Sans liste de gilets jaunes, le RN finit en tête à 24% et DLF réussit à se hisser à 8%, soit 32% à eux deux.

    La preuve à travers ce nouveau sondage sans liste gilets jaunes :

     

    Le député LREM Bruno Bonnell ne cache même plus ses intentions :

    Dans la majorité, certains en viennent presque à souhaiter cette liste gilets jaunes, comme Bruno Bonnell, député LREM du Rhône. “On assiste à la naissance de notre véritable opposition : c’est le “Front insoumis” ! S’ils trouvent des leaders et qu’ils se structurent, ils vont absorber le RN et LFI, pronostique-t-il.

    Le système veut même recycler Bernard Tapie pour mener cette opération :

    Pour nourrir cette grande ambition, Christophe Chalençon raconte déjà avoir trouvé un appui de taille en la personne de… Bernard Tapie !

    Christophe Chalençon, l’un des leaders des gilets jaunes “libres”, a ainsi un projet pour les élections européennes de mai 2019. Son objectif : participer à l’élaboration d’une liste pour “porter la voix de la ruralité et de la province” face à une Bruxelles “inhumaine qui ne s’intéresse qu’à la finance au détriment des peuples”. Cet ancien forgeron aux idées politiques hétéroclites, – très à droite sur son compte Facebook, il a voté Macron aux deux tours en 2017 – entend noyauter la machine européenne pour la faire changer de l’intérieur “car il s’agit là du seul moyen de nous faire entendre d’Emmanuel Macron” (…)

    Joint par Marianne, Bernard Tapie confirme : “Il faut que ce mouvement se structure. Sinon, il risque soit de s’essouffler, soit d’être récupéré par un parti politique”. L’ancien ministre de François Mitterrand, qui explique avoir été “profondément touché” par les gilets jaunes, a été plusieurs fois contacté par des manifestants. Il compte “leur offrir à la fois un espace d’organisation et d’expression à travers la Provence, pour leur permettre de proposer une offre politique alternative”, précise-t-il. A une condition cependant : “Qu’ils soient absolument indépendants de toute structure ou de toute personnalité politique.” A partir du 5 janvier, le journal la Provence mettra à leur disposition un feuillet d’une page par semaine, pendant un mois, “et notre rôle s’arrêtera là”, assure Bernard Tapie.

    Pas si sûr… Car s’il se défend de vouloir interférer dans le mouvement, l’actionnaire principal du journal sudiste a déjà parlé du projet à un autre poids lourd de la presse régionale : Jean-Michel Baylet, PDG de La Dépêche et à la tête du syndicat l’Union de la presse en région.

    Et France Info embraye :

    Marine Le Pen
     
    @MLP_officiel
     

    Ce titre est une manipulation du service public qui ne peut et ne doit tromper personne.
    Le système est vraiment prêt à tous les mensonges et toutes les bassesses pour démoraliser les . MLP

     
    791 personnes parlent à ce sujet

    https://www.lesalonbeige.fr/voila-pourquoi-le-systeme-lrem-veut-susciter-une-liste-gilets-jaunes-aux-europeennes/

  • Les gilets jaunes devraient exiger la fin du mondialisme économique et migratoire

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    La crise actuelle est le fruit attendu de la politique injuste du Système. Décennie après décennie, l’oligarchie a en effet imposé aux Français une idéologie contraire à leurs aspirations qui les a progressivement appauvris, déracinés et marginalisés. Aussi, pour retrouver leur dignité de peuple, les gilets jaunes doivent-ils aujourd’hui mettre en cause la pensée unique et exiger la fin du mondialisme économique et migratoire. Pour qu’il débouche sur un grand changement, il est dès lors important que chacun comprenne clairement la portée réelle de ce mouvement et ne se trompe ni sur sa nature ni sur ses causes profondes.

    La France fragmentée

    S’agissant de l’origine des manifestants, les médias les rattachent à une France périphérique qui serait oubliée des pouvoirs publics. Cette analyse, au demeurant exacte est cependant largement incomplète car elle n’appréhende pas et de loin la totalité de la situation dans laquelle se trouve les Français d’aujourd’hui. Notre pays est en réalité fragmenté en trois entités : celle des métropoles, celle des banlieues et celle de la périphérie.

    Les minorités dominantes : l’oligarchie et les immigrés

    La France des métropoles est celle de l’oligarchie et de ses affidés. Il s’agit des membres du Système et des bobos qui partagent son idéologie politiquement correcte. Ceux-là ne sont pas pénalisés par le libre-échangisme ni par l’immigration et tous communient dans le projet mondialiste cher au cartel de Davos. Tournés vers l’étranger, axés sur le sauvetage de la planète, ils ne se préoccupent plus vraiment de la France si ce n’est pour l’adapter à la mondialisation et au changement climatique.

    À l’autre bout de l’échelle sociale, dans les banlieues, on trouve les immigrés ou les personnes originaires de l’immigration. Ils ne sont pas affectés non plus par la mondialisation puisqu’elle leur a permis de venir en France où ils vivent beaucoup mieux que dans leur pays d’origine. Et cela d’autant plus qu’ils sont soutenus par l’oligarchie qui leur donne la priorité sur les Français de souche aussi bien à travers son discours sur le vivre ensemble que par les aides financières massives qu’elle leur apporte. Désireuses de vivre chez nous comme elles vivent chez elles, ces populations n’éprouvent que peu d’intérêt pour la France.

    La majorité marginalisée : les Français des classes moyennes et populaires

    Enfin, dans la périphérie des métropoles, dans les villes moyennes et dans les zones rurales vivent les Français des classes moyennes et populaires. Ils sont oubliés du Système, ignorés de l’oligarchie, et, bien que majoritaires, marginalisés dans leur propre pays. Eux subissent de plein fouet les effets destructeurs de la mondialisation aussi bien à travers l’immigration avec laquelle ils sont en contact qu’en raison du libre-échangisme sauvage qui provoque un chômage massif dont ils sont les premières victimes. Pis, ce sont eux qui assurent par leur nombre l’essentiel des rentrées fiscales et sociales alors que beaucoup d’entre eux n’ont pas accès aux aides publiques, celles-ci étant pratiquement toutes attribuées sous condition de ressources. Ajoutons qu’ils sont, quant à eux, très attachés à la France et qu’ils constituent la réalité du peuple français.

    Les gilets jaunes : le peuple français en colère

    On comprend dès lors pourquoi la France est oubliée : les seuls qui s’y intéressent encore, les Français des classes moyennes et populaires, sont étouffés et occultés. Avec les gilets jaunes, clairement issus de cette France périphérique, ce sont donc les Français qui se réveillent. C’est le peuple français en colère qui reproche à la classe dirigeante de l’ignorer et de le pénaliser au profit des minorités que sont les immigrés et, dans un autre registre, les membres de l’oligarchie.

    L’oligarchie impose le choix idéologique du mondialisme

    S’agissant par ailleurs des causes de la révolte, il y a là encore un manque flagrant de discernement. On nous explique en effet que le problème viendrait d’une insuffisance de pouvoir d’achat résultant d’une mauvaise gestion de l’économie. Ce n’est malheureusement pas la réalité. Si la situation ne cesse de se dégrader, ce n’est pas en raison des erreurs de gestion de nos dirigeants mais à cause de leurs choix idéologiques, des choix qui les conduisent contre toute raison à soumettre notre économie au mondialisme et notre société à l’immigration. C’est pourquoi les Français ne connaissent pas un simple problème de pouvoir d’achat mais un processus majeur d’appauvrissement. Le libre-échangisme sauvage que nous subissons depuis des décennies par la faute de nos dirigeants a en effet provoqué un transfert continu de richesse de la France vers les pays émergents. La concurrence sauvage et déloyale imposée à nos entreprises a engendré avec la désindustrialisation et le chômage de masse un appauvrissement général du pays. Un appauvrissement encore accentué par la charge financière considérable de l’immigration.

    Le Système organise l’appauvrissement du pays

    Pour traiter ce processus sans renoncer au mondialisme, la classe politique a d’abord cherché à le compenser par le recours à l’emprunt. Mais la dette se creusant, la Commission de Bruxelles se faisant plus pressante, cette politique de court terme n’était plus réellement possible.

    Dès lors, deux solutions se présentaient à nos dirigeants. Renoncer au mondialisme, stopper l’immigration, établir des écluses douanières aux frontières de l’Europe et réindustrialiser notre pays pour créer à nouveau de la richesse sur notre sol tout en allégeant le poids de l’immigration. Mais pour nos gouvernants totalement inféodés à la pensée unique, une telle option est évidemment idéologiquement impensable. Aussi ne leur reste-t-il que la seconde option qui consiste à accepter l’appauvrissement du pays et même à l’organiser. C’est ce choix purement idéologique que les dirigeants du Système ont fait au mépris des Français et c’est ce choix que Monsieur Macron et ses soutiens ont entrepris de mettre en œuvre. Dès lors tout s’enchaîne car, pour organiser l’appauvrissement, il faut en effet augmenter les prélèvements et diminuer les prestations ainsi que les services publics et donc réduire le niveau de vie des Français

    Les gilets jaunes : en finir avec le mondialisme

    Face à cette situation absurde qui voit le pouvoir œuvrer contre le peuple, il était logique que ce dernier se réveille et manifeste sa colère. Tel est le sens du mouvement des gilets jaunes : ils sont le peuple français victime du mondialisme économique et migratoire voulu par la classe politique. Aussi la réponse à leur colère réside-t-elle dans le rétablissement des frontières afin de stopper l’immigration et de mettre un terme à la concurrence sauvage qui appauvrissent notre pays. Bref, pour répondre aux gilets jaunes, il faut sortir de la pensée unique.

    https://lignedroite.club/les-gilets-jaunes-devraient-exiger-la-fin-du-mondialisme-economique-et-migratoire/

  • À force qu’on le prenne pour un imbécile, le peuple finit par devenir intelligent !

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    Et il nous le montre…

    Le mouvement des gilets jaunes – c’est l’un de ses aspects intéressants, et non des moindres – a fait soudain resurgir toute la force de la sagesse populaire, telle qu’on peut la goûter dans les contes ou les fables, comme celles de La Fontaine, et que nos technocrates des ministères, nos énarques, journalistes et autres intellectuels engagés de la télévision ou notre petit monde de la culture et du cinéma écrasent de leur mépris depuis des décennies.

    Car soudain, la caste médiatique qui monopolisait le savoir s’est retrouvée contrainte de donner un peu la parole directement au peuple, et même si les experts en tous genres, les journalistes et les spécialistes de l’entre-soi viennent toujours sur les plateaux débiter leurs rengaines et leurs fadaises savantes, il faut bien tendre aussi les micros à ceux qui font l’événement qu’on commente, et ces manifestants en gilets jaunes des ronds-points, ces « fumeurs de clopes qui roulent au diesel », nous font entendre une voix depuis longtemps oubliée : la voix du peuple.

    Vox populi, vox Dei – voix du peuple, voix de dieu -, disaient les latins, et c’est vrai que l’on entend, depuis trois semaines, sur les écrans, de nouveaux discours, des déclarations simples et percutantes, frappées au coin du bons sens, et comme on voudrait en entendre beaucoup plus souvent, une vérité qui démonte en quelques mots le ronron médiatique et le murmure autorisé entretenu depuis trente ans et plus. Et, certes, ministres et députés de La République en marche se succèdent à longueur de journée sur les plateaux pour nous continuer ce ronron, et qu’on ne l’oublie pas, montrant ainsi encore plus le contraste ou le contrepoint musical qu’il représente. Mais jaillissent ensuite avec d’autant plus de force, sur cette sorte de basse continue télévisuelle, le chant réjouissant, la mélodie radieuse du bon sens populaire, de sa vérité et de son intelligence indéfectible, solide comme un roc, rocailleuse et colossale comme un Jean Lassalle, ténor pyrénéen bien connu.

    Ainsi, en ce lundi matin précédant le discours présidentiel, j’entendais un manifestant des ronds-points donner son avis sur le discours de 20 heures d’Emmanuel Macron et, avant-même qu’il ne l’ait prononcé, cet homme affirmait qu’une fois de plus, le Président parlerait pour ne rien dire et annoncerait la distribution de petites miettes.

    Comment nier qu’il disait là, avec une ironie toute spontanée, l’une de ces simples et belles vérités qu’il ne faut pas dire ? Cette vérité que notre pseudo-élite, cette petite caste confite dans son bien-être mondialiste et ses privilèges, a depuis longtemps occultée, une vérité qui ressemble un peu à celle que les aristocrates de 1789, eux aussi confits dans leur petit monde et leurs privilèges, ne voulaient ni voir ni entendre. Mais, soudain, tous ces gens qu’ils prenaient pour des gueux se sont révélés capables de renverser un roi et de fonder une république. Et combien de talents qui seraient restés étouffés ont surgi de ce bouleversement !

    Oui, à force d’être méprisé et qu’on le prenne pour un imbécile, le peuple finit, étrangement, par devenir intelligent, au point de chasser ses gouvernants et de se gouverner lui-même !

    Jean-Pierre Pélaez

    http://www.bvoltaire.fr/a-force-quon-le-prenne-pour-un-imbecile-le-peuple-finit-par-devenir-intelligent/

  • Les « lépreux » donnent la leçon à Macron, la Pologne affiche la croissance la plus rapide de son PIB dans l’UE

    shutterstock_704626399-702x459.jpgSelon Radio Pologne , la ministre des Entreprises et de la Technologie, Jadwiga Emilewicz, s’est exprimée hier après que l’Office central des statistiques (GUS) ait révélé une croissance de 5,1% de l’économie polonaise pour le troisième trimestre de l’année.

    Le ministre a expliqué que le pays avait « des fondamentaux de croissance stables, avec une consommation intérieure dynamique et des investissements encourageants ».

    L’Office central de la statistique a révisé son estimation du PIB polonais à la mi-novembre de 5,2% à 5,3%. Le bureau a également signalé que l’économie polonaise avait progressé de 4,9% au dernier trimestre de 2017.

    Radio Pologne a indiqué que les « données macroéconomiques » montrent « que la Pologne a l’économie dont la croissance est la plus rapide dans les unions européennes », selon le ministre du gouvernement.

    Source : Voice of Europe

    https://lecrieuropeen.com/2018/12/04/les-lepreux-donnent-la-lecon-a-macron-la-pologne-affiche-la-croissance-la-plus-rapide-de-son-pib-dans-lue/

  • L'immigration, Macron et SOS Racisme

    6a00d8341c715453ef022ad3808687200c-320wi.jpgEmmanuel Macron, ce 10 décembre, dans sa courte allocution de 13 minutes, aura abordé de nombreux sujets, formulé de nombreuses propositions. Changeant légèrement de ton et d'allure, il s'est exprimé dans le style des exposés que l'on appréciait dans ma jeunesse, il y a plus d'un demi-siècle, à l'Institut d'Études politiques rue Saint-Guillaume. À l'époque, cependant, on devait s'en tenir à 10 minutes et construire en deux parties et deux sous-parties.

    Cette prestation comportait donc des longueurs. Elles enrobaient des propos parfois ambigus. On peut se demander s'ils ont été appréciés, dans leur subtilité, par les honnêtes gens qui saucissonnent sur les ronds-points à la veille de l'hiver.

    Comme souvent, venant des bons élèves de la technocratie, on y trouvait du bon et du nouveau. Le bon ne se révélait pas très nouveau, le nouveau ne semble pas très bon non plus. Olivier Dussopt, lui-même, secrétaire d'État auprès du ministre de l'Action et des Comptes public, évalue que les mesures annoncées coûteront à l'État entre 8 et 10 milliards d'euros. "Nous sommes en train de le préciser, de voir aussi comment nous allons le financer", a-t-il déclaré sur BFM TV. Si ce qu'il appelle "financement" ne se fonde pas sur une réduction sans doute supérieure de la dépense publique de l'État central, on entre dans un scénario économiquement catastrophique. On peut le redouter.

    Son propos sur l'immigration ouvre un autre débat.

    La jeune-vieille organisation de provenance trotskiste SOS Racisme mesure, dans ce registre, comme chacun devrait le savoir le degré de conformisme politiquement correct. Son président, heureusement dégagé de ses ennuis judiciaires, peut assumer le rôle du grand prêtre. Il pense que les propos présidentiels "n'augurent rien de bon".

    Voilà au moins qui pourrait constituer, pour certains des plus farouches opposants, un motif de satisfaction.

    "Je veux aussi que nous mettions d'accord la nation avec elle-même sur ce qu'est son identité profonde. Que nous abordions la question de l'immigration" a déclaré le chef de l'État, sans plus de précisions.

    Cette allusion d'Emmanuel Macron à l'immigration lors de son allocution pour répondre au mouvement des "gilets jaunes" depuis le 17 novembre prouve, malgré son ambiguïté, au moins que, – dans son esprit, et selon certaines informations dont il dispose, – cette préoccupation existe bel et bien chez les protestataires de base.

    Elle intervient le jour même, ce 10 décembre, où la signature, au nom de la France, du pacte mondial sur les migrations de l’ONU formellement approuvé à Marrakech, provoque de nombreuses protestations de l'opposition, et semble, si l'on en croit les sondages, rejeté par 80 % des Français.

    Inutile de dire que les États-Unis s'y sont opposé, qu'il n'aura aucun effet en Chine ou en Russie, et que l'Europe l'aborde en ordre dispersé, alors même qu'elle paraît comme le seul espace vraiment concerné. Parmi les pays qui s'en sont retirés après l'avoir accepté le 13 juillet, on compte d'ores et déjà l’Autriche, l’Australie, le Chili, la Tchéquie, la République dominicaine, la Hongrie, la Lettonie, la Pologne et la Slovaquie.

    Le président de SOS Racisme, Dominique Sopo ne pouvait pas esquiver son soutien à cette démarche onusienne destinée de façon explicite à faciliter les déplacements transnationaux de la main-d’œuvre. Il a donc publié un communiqué titré "Les immigrés comme boucs émissaires ?"

    Il dit s'étonner que le président de la république ait évoqué l'immigration dans un discours où, toujours selon Sopo, "les questions posées étaient notamment celles de la répartition des richesses et des attentes de la jeunesse lycéenne".

    "Les propos avaient beau être le plus elliptiques possibles, remarque-t-il, chacun comprendra qu'ils n'augurent rien de bon. Que les choses soient claires : toute tentative consistant à jeter les immigrés en pâture des frustrations sociales sera combattue sans relâche par SOS Racisme", menace le redoutable Sopo, se disant "plus que perplexe" sur les termes employés.

    À suivre par conséquent.

    JG Malliarakis

    https://www.insolent.fr/

  • Gilets jaunes : Les hommes et les idées de demain seront sans-doute à rechercher hors du Système

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    Voici que la crise des Gilets jaunes, soudaine et pourtant venue de très loin, peu à peu gonflée jusqu'à l'éclatement par une extraordinaire accumulation d'infidélités à l'être de la France, à sa souveraineté, aux conditions de sa puissance, de laxisme, d'abus, de mépris, d'injustices et d'excessives ponctions sur le fruit du travail des Français, sur leur patrimoine, petit ou grand, voici donc que cette crise plonge les observateurs les plus avisés de la vie politique française et même ses acteurs les plus désintéressés et les plus clairvoyants dans un océan de perplexité. 

    On chercherait en vain, à cette heure, dans la presse et les médias, l'article, la réflexion, qui entreverrait une solution concrète à cette crise, ni, globalement, les remèdes à apporter aux problèmes de fond qu'elle pose. Car par-delà leurs soucis terre-à-terre, c'est un autre système économique, politique, et social, que postulent plus ou moins consciemment le mouvement de fond des gilets jaunes et le sentiment des quelque 70 ou 80% de Français qui les approuvent.  Un modèle plus « conservateur » que révolutionnaire, plus traditionnel que « progressiste » - au sens revendiqué d'Emmanuel Macron. 

    L'épuisement du Système dont Macron est apparu tour à tour comme l’adversaire et comme le continuateur ultime, semble désormais complet, sans rémission. Et, secondairement, l'autorité du président de la République apparaît ruinée. Radicalement. Le charisme a fait long feu. Le temps du Kairos est clos. Le quinquennat, dit-on parfois, est terminé. Mais de quelque côté qu'on tourne son regard, on ne voit pas à ce jour qui ou quoi pourrait émerger de cette crise. 

    1933274278.jpgOn a dit aussi, il nous semble à juste titre, que les événements auxquels nous assistons s'apparentent davantage à mai 1958 qu'à mai 1968, c'est à dire que nous assistons, certes à une contestation globale du Système dans toutes ses dimensions, mais aussi à la fin d'un régime politique qui s'effondre sur lui-même, sans homme de rechange crédible et sans recours évident comme ce fut le cas en 1958, qui rappela De Gaulle (photo, en mai 58), de même que, incapable face au désastre, le parlement de Vichy en 1940 s'en était remis à Pétain. La France d'aujourd'hui ne dispose pas de tels recours. 

    128679143.jpgLa mondialisation a détruit les enracinements traditionnels, tué les métiers, anéanti notre agriculture, dépeuplé la France profonde, vidé les villes petites et moyennes de leurs habitants et de leurs commerces ; l'envahissement migratoire a créé une inquiétude identitaire sans précédent et un sentiment profond d'insupportable désappropriation ; des inégalités d'ampleur sans égale dans notre histoire ont creusé un fossé infranchissable entre l'ensemble des Français et quelques très riches sans légitimité parce que déconnectés d'un quelconque souci du bien commun ;  la financiarisation sans frein de la société moderne a dévalorisé le travail et réduit le citoyen à la condition de consommateur réifié, sans qualité et au bout du compte sans argent ; sans compter les fantaisies sociétales qui ont fini d'atomiser le corps social et choqué le bon-sens de nombre de Français :  mariage homo, négation des sexes, des peuples, des races, féminisme totalitaire, négation de l'autorité des parents sur leurs propres enfants etc. Tout ce qui vient d'être dit, à des titres divers, a séparé les Français quelconques de la minorité des « modernes ». D'où la révolte des premiers. 

    Qu'elle soit objet de tentatives de récupération - notamment des mélenchoniens - ou que vienne s'y greffer la violence extrême des casseurs de l'ultragauche et le surgissement des racailles de banlieue qui sont de simples pillards - choque naturellement une large majorité de Français, qui ont toujours fini par rejeter la chienlit. De sorte que si cette dernière devait s'installer, s'aggraver encore, le besoin d'un retour à l'ordre, comme toujours, ne manquerait pas de monter des profondeurs du peuple français. 

    Remise en cause et remise en ordre, là encore comme toujours, doivent aller de pair. Encore faut-il que la remise en cause soit cohérente et structurée. Et que la remise en ordre trouve à s'incarner dans des principes, des institutions et, finalement, dans des hommes, dont un prééminent, un chef digne de ce nom, qui conduisent la France à se retrouver elle-même. Il ne nous semble pas qu'elle les trouvera au sein des partis, décrédibilisés et méprisés comme jamais, ni dans les appareils syndicaux par manque absolu de représentativité, donc faiblesse extrême, ni, bien-sûr, parmi les hommes de communication et de médias, en qui toute confiance a disparu. Les hommes et les idées de demainseront sans-doute à rechercher hors du Système.   

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots (108 à ce jour) en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/12/06/gilets-jaunes-les-hommes-et-les-idees-de-demain-seront-sans-doute-a-recherc.html

  • Gilets jaunes: la moitié des radars hors service depuis le début du mouvement

    Emmanuel Macron n’a pas évoqué le raz-le-bol des automobilistes dans son allocution.

    Depuis que la vitesse sur certaines routes secondaires a été rapportée à 80km/h. La colère de ces automobilistes se manifeste de manière spectaculaire depuis le début du mouvement des gilets jaunes. La moitié des radars sont hors d’usage depuis les premiers blocages du 17 novembre.

  • Un Pacte mondial pour l'invasion de l'Europe

    En pleine crise des gilets jaunes, Emmanuel Macron s'apprête à adhérer au nom de la France au « pacte mondial » de l'ONU ouvrant grand la voie à de nouvelles migrations. Les 10 et 11 décembre, à Marrakech, Emmanuel Macron entérinera au nom de la France - sans que les Français aient été consultés - le « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières » des Nations-Unies, qui accélérera considérablement le remplacement des peuples européens.

    De nombreux chefs d'État, conscients du danger que ce texte représente pour leurs pays, se sont dissociés de cette initiative onusienne. Outre les États-Unis, la Hongrie, la Pologne, la République tchèque, la Croatie, la Bulgarie, l'Autriche, la Suisse, la Belgique, l’Australie et Israël sont sortis de ce piège. En revanche, le couple Merkel-Macron persiste à appuyer le profile président "français" et la chancelière "allemande" restant les deux principaux promoteurs de la mondialisation en Europe.

    Le gouvernement hongrois considère que « ce pacte incitera des millions de personnes à prendre la route ». Loin de le nier, les défenseurs du texte font valoir, comme le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres, qu'il constitue « un pas sans précédent pour accroître la coopération internationale » et que « les migrants [à ne pas confondre avec les réfugiés, ndlr] sont un moteur extraordinaire de croissance. »

    Le texte lui-même vise à mettre en place une « approche globale pour optimiser les avantages de la migration » dont les Français font les frais tous les jours… L'exposé de ses « ambitions et principes directeurs » affirme d'entrée de jeu : « Par le présent Pacte mondial, nous nous engageons objectivement à améliorer la coopération en matière de migration internationale. Les migrations ont toujours fait partie de l'expérience humaine depuis les débuts de l'Histoire, et nous reconnaissons qu'à l'heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d'innovation et de développement durable et qu'une meilleure gouvernance peut permettre d'optimiser ces effets positifs. »

    Les migrations, « partie intégrante de la mondialisation »

    Cette belle collection de poncifs de contre-vérités a le mérite d'indiquer clairement la finalité du texte. Il s’agit de favoriser l'immigration de masse en la présentant sous un aspect édénique. Au chapitre de la « vision commune », on apprend que « les migrations font partie intégrante de la mondialisation, reliant entre elles les sociétés d'une même région et d'une région à l'autre et faisant de nous tous des pays d'origine, de transit et de destination. » Il s'agit donc bien d'effacer les frontières et les appartenances nationales.

    Une large place est également accordée au « développement durable » auquel les migrants; contribuent « aux niveaux local, national, régional et mondial » tout en enrichissant nos sociétés « grâce à leurs capacités humaines, économiques et sociales ». Le texte insiste aussi sur la nécessité d'informer les nouveaux arrivants sur leurs « droits, obligations et possibilités », tout en délivrant aux citoyens des pays d'accueil « des informations objectives, claires et fondées sur des données factuelles au sujet des avantages et des difficultés que présentent les migrations, en vue de démonter les discours trompeurs qui donnent une image négative des migrants » Les États sont ainsi invités à assurer la propagande de l'immigration, et à censurer, ce qui pourrait l'entraver, notamment « en cessant d'allouer des fonds publics ou d'apporter un soutien matériel aux médias qui propagent systématiquement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les migrants, dans le plein respect de la liberté de la presse »… Ça va sans dire.

    Cerise sur le loukoum, le Pacte prévoit de « promouvoir le respect mutuel des cultures, des traditions et des coutumes entre les communautés d'accueil et les migrants grâce à l’échange et à la mise en œuvre de pratiques optimales en matière de politiques, programmes et activités d'intégration, y compris en ce qui concerne les moyens de promouvoir l'acceptation de la diversité et de faciliter la cohésion sociale et l'inclusion. » Il ne s agit donc pas de favoriser l’assimilation, mais d'ouvrir les intelligences des populations indigènes, un peu trop engoncées dans leurs coutumes et traditions nationales, aux beautés du multiculturalisme.

    Nous en avons eu une illustration récente, avec l’acquittement, le 21 novembre, d'un immigré bangladais auteur d'un viol sur une adolescente de 15 ans, par ailleurs condamné à deux ans de prison avec sursis pour une agression sexuelle commise sur une autre jeune fille. Son avocate avait fait valoir à l'audience qu'il n'avait pas les « codes culturels » qui lui auraient permis de mesurer la gravité de son acte. Au Bangladesh, les violeurs encourent pourtant la prison à perpétuité. Cet immigré sera tout de même inscrit au fichier des délinquants sexuels voilà qui rassurera sans doute les jeunes Françaises. On n'a guère entendu Marlène Schiappa, ni les militantes féministes, s’exprimer sur cette affaire. Cette décision de justice rappelle l'affaire du réseau de migrants indo-pakistanais qui, en Grande-Bretagne, a pu impunément réduire pendant des années des centaines de jeunes anglaises à l'état d'esclaves sexuelles, sans être empêchés dé nuire par des autorités terrorisées à l'idée d'être accusées de racisme. Faut-il y voir l'un des « avantages de la migration »?

    Alain Hasso monde&vie 6 décembre 2018

  • Le Brésil va renoncer au pacte sur les migrants de Marrakech

    Le Brésil va renoncer au pacte sur les migrants de Marrakech

    Lors de la cérémonie de Marrakech, le Brésil était représenté par son actuel ministre des Affaires étrangères, Aloysio Nunes, favorable à l’accord.

    Mais le futur chef de la diplomatie brésilienne a annoncé que le Brésil se retirera du Pacte mondial pour les migrations, une fois que le président élu Jair Bolsonaro prendra ses fonctions le 1er janvier. Ernesto Araujo, le futur ministre brésilien des Affaires étrangères, a annoncé :

    « Le gouvernement Bolsonaro se dissociera du Pacte mondial pour les migrations qui vient d’être lancé à Marrakech, un instrument qui est inadéquat pour affronter le problème ».

    « L’immigration est bienvenue, mais elle ne doit pas être indiscriminée », « elle doit être au service des intérêts nationaux et de la cohésion de chaque société ». « L’immigration ne doit pas être traitée comme un sujet global, mais en accord avec la réalité et la souveraineté de chaque pays ». 

    Ernesto Araújo
     
    @ernestofaraujo

    2/O Governo Bolsonaro se desassociará do Pacto Global de Migração que está sendo lançado em Marraqueche, um instrumento inadequado para lidar com o problema. A imigração não deve ser tratada como questão global, mas sim de acordo com a realidade e a soberania de cada país. 

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    En Amérique latine, le Chili et la République dominicaine ont effectué la même démarche de retrait.

    Emmanuel Macron peut donc encore y renoncer et annoncer le retrait de la France de ce pacte.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-bresil-va-renoncer-au-pacte-sur-les-migrants-de-marrakech/

  • 2019 en France selon les Rothschild - hypotheses