
Le second, âgé de 29 ans, aurait été écroué à la suite d’un précédent jugement. Mais il ne se serait pas présenté devant le juge d’application des peines et était donc activement recherché.
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Le second, âgé de 29 ans, aurait été écroué à la suite d’un précédent jugement. Mais il ne se serait pas présenté devant le juge d’application des peines et était donc activement recherché.
La remise en cause du droit du sol revient au cœur de l’actualité, au moment où les regards se tournent – à nouveau – vers Mayotte. Un sujet qui a inspiré notre chroniqueur Pierre Boisguilbert.
Polémia
Vu la procédure suivante :
Par une requête enregistrée le 20 septembre 2024, M. B A, représenté par Me Bouba, doit être regardé comme demandant au tribunal :
1°) d’annuler l’arrêté du 12 septembre 2024 du préfet de l’Aisne, en tant qu’il l’a obligé à quitter le territoire français sans délai et lui a fait interdiction de retour sur le territoire français pendant une durée de quatre ans ;
Nous sommes dans une période étonnante. Jean-Marie Le Pen vient de mourir, et Donald Trump va être intronisé président des États-Unis. Normalement, ces deux événements ne devraient occasionner aucune division dans notre camp, encore moins après que les gauchistes ont cru bon de commémorer la mort du Menhir. Certes, quelques personnalités contestées n’ont pas été acceptées à la cérémonie religieuse, comme Dieudonné, Soral, Thomas Joly, Henry de Lesquen, Yvan Benedetti, Jérôme Bourbon et d’autres, mais nul n’en a fait un scandale d’État.
Mardi 7 janvier 2025, décédait celui qui aura de fait le plus marqué, bien au-delà de l’histoire de la droite nationale, l’histoire de la vie politique française au cours de ces 70 dernières années, Jean-Marie Le Pen.
Alors que la crise diplomatique entre la France et l’Algérie atteint un point critique, un sondage Ifop réalisé pour Sud Radio met en lumière l’exaspération des Français face à ces relations historiques devenues tumultueuses.
L’éditorial de François Marcilhac
La présence du comte et de la comtesse de Paris, ainsi que du dauphin de France, à la cérémonie de réouverture de Notre-Dame, le 7 décembre — le comte de Paris a également assisté à la messe du 8 décembre —, est un signe d’espoir pour la France.
Notre vie politique est en totale déshérence, émaillée par des combines d’arrière-boutique, de petits arrangements et de beaucoup de lâcheté. Et il semble que nous n’ayons rien à attendre des pseudos oppositions. Au mieux elles sont incapables d’une vision claire et factuelle du contexte, au pire elles se nourrissent d’un système qu’elles prétendent combattre sans jamais le remettre réellement en question. Or, la situation est catastrophique sur bien des plans et nous avons aux commandes des idéologues qui ne travaillent pas pour le bien-être du peuple mais pour des lobbys qui se gavent d’argent public. Éric Lombard, le Ministre de l’économie, est venu expliquer doctement qu’il fallait accepter une baisse de la rentabilité des entreprises pour sauver la planète à cause du réchauffement climatique et de rajouter que des investissements massifs non rentables seraient nécessaires, sinon, nous allions tuer l’économie : des fois, on se demande quel mouche les pique ?