France et politique française - Page 230
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Benjmain Morel pour son livre "Le Parlement, temple de la République"
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L’antiraciste Pélicot offrait sa femme à des Noirs et des Arabes : les féministes gauchistes désemparées
Pour commencer cet article, comment ne pas dire que toute femme, mais aussi tout être humain, ne peut que se sentir solidaire de Gisèle Pélicot, droguée à son insu pendant dix ans et détruite physiquement par les médicaments qu’un époux pervers lui faisait prendre à son insu. Par contre, l’instrumentalisation de cette affaire, dont n’est aucunement responsable la victime, est révoltante et doit être dénoncée, y compris en utilisant l’humour contre les féministes dégénérées qui interdisent à nos compatriotes de se révolter contre la mort de Philippine, et opposent les deux affaires.
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V.RUSSIE - BARNIER ANNONCE SON BUDGET, ON VOUS PREND POUR DES KONS 2 LE RETOUR DE LA VENGEANCE !
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Retour sur la motion de censure de mardi dernier, 8 octobre
Maurice Bernard
Le texte a été déposé par les représentants à l’Assemblée des quatre principales formations du (défunt ?) Nouveau Front populaire (NFP), soit Boris Vallaud (PS), Mathilde Panot (LFI), Cyrielle Chatelain (EELV), André Chassaigne (PC), et 188 des 193 députés que totalisent leurs quatre groupes.
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Souveraineté : des élus refusent de brader le Doliprane
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Quand les fact-checkers de Libération accusent CNews… à tort !
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Barnier, en liquidateur arrogant
Non seulement, il nous plume et il ne s’en cache pas, mais en plus il donne dans la provocation. Ce Barnier le rend bien à Macron en matière de mépris affiché des Français et d’arrogance, n’ayant pas la moindre décence quand il annonce au peuple qu’il va falloir se serrer la ceinture. Il en profite au passage pour expliquer que les Français doivent prendre leurs « responsabilités » et rembourser leurs dettes, exonérant au passage l’incurie de ses amis, Macron et Le-Maire, qui non seulement sont les artisans de le déroute, mais qui en plus l’ont caché aux contribuables, du moins, en ont caché l’ampleur. Pour Barnier donc, les responsables font ce qu’ils veulent, y compris des âneries et le peuple devient responsable à leur place. Curieuse manière de se dégager de toute forme de responsabilité, selon la bonne vieille formule du « responsable mais pas coupable », poussée jusque dans ses retranchements et qui donne « ni coupable, ni responsable ».
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Pour Emmanuel Macron, ça commence à sentir le goudron et les plumes…
Maurice Bernard
Hier matin, vendredi 10 octobre, à l’Heure des pros, le journaliste Gauthier Le Bret révèle, à propos du dérapage budgétaire (180 milliards de déficit cette année, au lieu des 128 milliards initialement annoncés) que le littérateur Bruno Le Maire, accessoirement ancien ministre des Finances, « contacté par le service public », a répondu au journaliste, par un texto : « La vérité finira par éclater. Je ne peux pas parler maintenant mais la vérité finira par éclater »…
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Pierre Manent : « La France a déjà une partie musulmane. Si cette part continue de croître indéfiniment, il n’y aura de paix pour personne. Pardonnez-moi de le dire ainsi, mais la laïcité n’y fera rien »
Profondément marqué par le 7-Octobre, le philosophe voit avec horreur un antisémitisme politique s’installer en France. Pour lui, protéger nos libertés et définir une règle du jeu commune avec les musulmans exige avant tout une réaffirmation de la communauté politique nationale qui s’est effacée devant les droits des individus.
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Les atermoiements d’Emmanuel Macron en attestent. Donc, pour vous la menace la plus urgente, c’est moins la banalisation d’un certain antisémitisme musulman que la relégitimation de l’antisémitisme de gauche ?
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Sur CNews, Jules Torrès étrille Emmanuel Macron
Ce matin, sur CNews, le journaliste du Figaro, dans son édito politique, a étrillé de belle manière le « Mozart de la finance » aux 900 milliards de dette supplémentaires en sept ans. À lire ci-dessous et à écouter sur le site de la chaîne d’information en continu. Cliquez ici.
« Après l’ère de l’hyperprésident Nicolas Sarkozy, après la présidence normale de François Hollande, Emmanuel Macron rêvait d’un style jupitérien. Avec cette référence, il aspirait à se hisser au-dessus des fracas politiciens, tel un dieu souverain imposant une verticalité du pouvoir, un président stratège, visionnaire, intouchable, qui plane autour des fracas quotidiens, des pressions quotidiennes…