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L’Élysée augmente son budget 2025 de plusieurs millions d’euros. L’Élysée justifie cette hausse (+2,5 % soit trois millions d’euros) par l’inflation sur les dépenses de personnel (+3,1 %) et de fonctionnement (+1,6 %). Sept nouveaux postes seront créés à la Maison Élysée.
A droite, ils ont la trahison gravée dans leur ADN.
– En 1995, ils ont renié les Assises de la droite sur l’immigration, tenues à Villepinte en 1990
– En 2007, Sarkozy s’est fait élire par les électeurs du FN, pour ensuite aspirer des ministres de gauche, tout en clamant qu’il avait terrassé le FN
– A peine élu, il a confisqué au peuple son “non” au référendum sur la Constitution européenne
– Et aujourd’hui, c’est Wauquiez qui trahit la droite en offrant sur un plateau la présidence de la commission des affaires économiques de l’Assemblée à une élue LFI.
Depuis Raymond Barre, tous les premiers Ministres ont expliqué, directement ou indirectement aux Français, qu’il allait falloir se serrer la ceinture. Pour quel résultat ? Si le serrage de ceinture avait une quelconque efficacité, depuis 40 ans, cela se saurait. Barnier, avec son budget en trompe l’œil, ne déroge pas à la règle et nous ramène le mythe de la ceinture de plus en plus serrée pour les Français. Derrière l’image de l’ustensile vestimentaire, il y a bien la destruction graduelle des services publics hérités du gaullisme : l’école, l’hôpital, la police, la justice, la sécurité sociale et l’armée. Et les Barnier boys de pérorer avec une moue entendue, sur la faute de ces Français qui se soignent trop, qui chôment trop et qui gaspillent trop : l’éternelle rengaine. L’argent versé à l’Ukraine, l’achat de vaccins inutiles, les aides aux développement versées à des multiples pays, les éoliennes dans la pétole, les retraites payées en Algérie à des gens morts depuis longtemps, les départements ou quartiers, comme le 93, vivant sous perfusion d’allocations, les clandestins logés en hôtel trois étoiles, les niches fiscales, l’évasion fiscale, le train de vie de l’État, tout cela, pour plus de 150 milliards, n’est pas un problème. Le vrai problème c’est l’incurie de ces Français qui majoritairement travaillent pour moins de 2000 euros.
La Macronie ne cesse de nous surprendre par son culot. Voilà que Tiphaine Auzière, la fille de Brigitte Macron, avocate de son état, devient chroniqueuse dans l’émission TPMP de Cyril Hanouna.
Une course-poursuite a eu lieu dans des rues très fréquentées de Montluçon (Allier), ce jeudi 10 octobre dans la matinée (…)
Dix minutes durant, il a été pris en chasse à travers la ville par deux véhicules de police. Percutée à deux reprises, l’une des voitures a dû cesser la poursuite. La seconde est en revanche parvenue à bloquer l’automobiliste à hauteur d’un parking, rue de Pasquis. Tentant une dernière manœuvre pour s’échapper, ce dernier est alors passé par-dessus un trottoir mais est entré en collision avec une voiture en marche.
L’Histoire étant riche en retournements, on apprend que l’espoir des Iraniens, s’ils parviennent demain à se débarrasser du régime des mollahs, se nommerait… Reza Pahlavi, fils du chah Mohammad Reza Pahlavi, petit-fils de Reza Chah Pavlavi.
Autant de noms que les moins de vingt ans ne peuvent certes pas connaître mais qui ont nourri l’imaginaire de la petite enfance des plus de soixante ans avec les unes de Jours de France, les tenues impériales, les robes brodées d’or et les diadèmes de la chahbanou Farah Diba. Un couple installé sur le trône de Perse par la CIA via le coup d’État de 1953.
Vers une baisse de la prise en charge chez le médecin par la Sécu
Le gouvernement a décidé de relever de 10 points le ticket modérateur. Cette mesure devrait permettre à l’Assurance-maladie d’économiser 1 milliard d’euros, en reportant la charge sur les assurés sociaux.
Le gouvernement qui présentait jeudi le projet de loi de financement de la Sécurité Sociale pour 2025, a décidé plusieurs mesures pour maîtriser la progression des dépenses de santé. Il prévoit notamment de relever le ticket modérateur – c’est-à-dire la part non remboursée par l’Assurance maladie – chez le médecin et la sage-femme.
Le problème qui se profile est insoluble ou presque. Nous avons mangé la grenouille.
Par exemple le paiement des retraites des fonctionnaires (je n’ai rien contre les retraités de la fonction publique) représente 3 % de PIB de déficit chaque année et rien n’a été provisionné d’où les manœuvres répétées des différents gouvernements pour mettre la main sur les autres caisses de retraites qui elles sont “équilibrées”.
Alors que le budget vient à peine d’être présenté, ce qui était pressenti arrive. Que des hausses d’impôts et presque aucune baisse de dépense.
Et même comme ça rien ne dit que Michel Barnier pourra faire voter son budget.
Il ne fallait pas attendre de miracle du budget 2025. Aux manettes depuis cinq semaines et confronté au désastre des comptes publics, Michel Barnier a fait du « colmatage », pour reprendre le mot de Valérie Pécresse. Mais, de ce projet de loi de finances enfanté dans la douleur - et loin de sa version définitive, une fois remouliné au Parlement -, on retiendra avant tout que la France renoue avec la maladie de l’impôt. Et dans les grandes largeurs : là où le gouvernement assure combler un trou de 40 milliards aux deux tiers par des économies et à un tiers par de la fiscalité, le Haut Conseil aux finances publiques, refaisant les comptes, constate l’inverse. Cette purge fiscale marque une rupture inquiétante avec les dernières années.