
C’est ce qu’on appelle l’effet Streisand, phénomène médiatique qui se produit lorsqu’en voulant empêcher la divulgation d’une information, le résultat inverse survient, à savoir que le fait devient notoire.
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C’est ce qu’on appelle l’effet Streisand, phénomène médiatique qui se produit lorsqu’en voulant empêcher la divulgation d’une information, le résultat inverse survient, à savoir que le fait devient notoire.
ALLAH PEUT COMPTER SUR EUX
Les antifas avaient décidé que Sébastien Chenu n’avait pas le droit de venir à Vertou, près de Nantes. La municipalité avait interdit la contre-manif qu’ils voulaient organiser. Donc, ils ont vandalisé la salle qui devait accueillir l’événement (aucune protection…) et maintenu leur rassemblement, attaquant les forces de l’ordre. Quelques arrestations, sans doute sans lendemain. Retailleau au pied du mur. Au lieu de mettre des flics en civil dans les tribunes de football, qu’il dissolve ces nazillons, et mette en taule les chefs. Antifas : sale petite vermine fasciste. https://x.com/F_Desouche/status/1850184908037112147
C’est une tentative d’alignement parfaitement logique. D’abord parce qu’il n’y a pas de raison que les fonctionnaires disposent de conditions plus favorables dans l’absolu, mais surtout parce qu’économiquement cette absence de jour de carence est stupide.
Il suffit de regarder la différence d’absentéisme entre privé et public pour se rendre compte que l’absence de jour de carence y est évidemment pour quelque chose.
Ensuite, d’un point de vue assurantiel, c’est quoi le jour de carence ?
C’est la même idée que votre franchise pour votre contrat d’assurance maison ou voiture.
C’est au-dessus de leur force : les « progressistes » restent hermétiques aux colères françaises, quand elles pointent l’enfermement mental des dirigeants mondialistes. Cela fait sept ans qu’Emmanuel Macron, en chute dans les sondages (78% de mécontents) se montre incapable d’entendre les gens ordinaires. Ses certitudes universalistes lui suffisent. Or la dénonciation feutrée de cette pathologie politique est venue, hier, de Michel Barnier, dans Le Parisien-Dimanche : le premier ministre, en quête du peuple oublié, a annoncé vouloir consulter les cahiers de doléances, rédigés par les Français en 2019 après la révolte populaire des Gilets jaunes. Il faut donc comprendre que les avis des citoyens d’en bas avaient été enterrés par les décideurs d’en haut, une fois le calme revenu.
Dimanche soir à Nice, un automobiliste en a blessé un autre et a manqué faucher un policier lors d’un refus d’obtempérer. Vers 19h45, une patrouille de police secours repère, rue Arson, dans le quartier du port, un véhicule inscrit au fichier des voitures volées. Les agents décident alors de procéder à un contrôle.
Ce 28 octobre, Le Figaro titrait en première page : « Michel Barnier contraint de reporter le vote sur le budget ».
Le caractère catastrophique de cette situation semble échapper à la plupart de nos 577 députés, divisés en 11 partis, supposés représentants du peuple.
Michel Festivi
La question peut paraître provocatrice pour d’aucuns, mais l’est-elle vraiment ? Si le régime des Mollahs iraniens tombait, la déflagration qui en résulterait atteindrait toute la région et aurait des implications positives en France et en Europe. Certains pensent même que cela serait l’équivalent géopolitique de la chute du Mur de Berlin en 1989.
Battu aux dernières législatives mais encore élu local, l’ex député PCF Sébastien Jumel fait augmenter de 320 % l’indemnité de président d’agglomération