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Avec l’actualité des élections américaines, me revient un fil de pensée que je souhaite partager ici.
Le 15 septembre dernier, un homme tentait une nouvelle fois d’assassiner Donald Trump, réitération d’une tentative presque achevée menée deux mois plus tôt, le 13 juillet 2024. Au-delà du battage médiatique, cette récente seconde tentative m’a rappelé des discussions et réflexions apparues lors de la première.
Selon l’INSEE, à la fin du 1er trimestre 2024, la dette publique s’établissait à 3 159,7 milliards €, soit 110,7 % du PIB, auxquels s’ajoute un déficit annuel de 180 milliards €, soit plus du tiers des dépenses de l’État. Un record absolu. Quand certains parlent d’augmenter des impôts déjà très élevés, d’autres – c’est le cas de Polémia et de son président Jean-Yves Le Gallou – parlent de chasser les dépenses nuisibles.
La réalité militante est souvent marquée par une certaine tristesse, alimentée par des échecs répétés au fil des décennies. Je n’ai jamais applaudi à ce que certains considèrent comme des sursauts d’espoir : les qualifications de Jean-Marie et Marine Le Pen pour le second tour d’une Présidentielle ou les succès du Rassemblement National lors d’élections dites intermédiaires. Ces faits n’ont guère changé la situation catastrophique de la France. Loin de représenter de véritables tournants, ils révèlent au contraire les limites de l’électoralisme face aux crises majeures qui frappent notre pays.
Fixant les grands objectifs pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050, la « loi de programmation énergie et climat » (LPEC) est une obligation légale, imposant tous les 5 ans une consultation nationale et un débat Parlementaire. Ses objectifs sont ensuite déclinés dans la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC), le Plan National d’Adaptation au Changement Climatique (PNACC) et la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE). Ces textes législatifs auraient dû être publiés fin 2023. Avec près de deux ans de retard, les nouvelles SNBC et PPE ont été présentées par le gouvernement le 4 novembre et sont ouvertes à la concertation durant 6 semaines.
Affiche annonçant la création du PFN en novembre 1974
Ce parti aurait aujourd'hui 50 ans (1)
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale fut membre du Bureau politique (de 1981 à 1984) du Parti des forces nouvelles
Créé en novembre 1974, le Parti des forces nouvelles prend la suite des Comités Faire front, eux-mêmes créés juste après la dissolution d’Ordre nouveau (ON) survenue en juin de l’année précédente. Le PFN ne surgit donc pas de nulle part…
Tout d’abord, replaçons-nous dans le contexte de l’époque… Après l’échec de la candidature de Jean-Louis Tixier-Vignancour à l’élection présidentielle de décembre 1965, la droite nationale entame ce que l’on peut appeler une "traversée du désert".
Pourquoi semble-t-il impossible d’expulser tous les OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français) et cela malgré la volonté clairement affichée du nouveau ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau ?
Bien sûr certaines institutions européennes posent problème sur ce point, notamment la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Homme) mais également une juridiction française contraignante et, surtout, des associations pro-migrants (subventionnées par l’État) qui leur prêtent aide et assistance totalement gratuite « pour eux mais pas pour tout le monde ! ».
Concernant la dette, nous avons passé en revue le quinquennat de N. Sarkozy, et avons fait récemment la même chose pour celui de F. Hollande.
Hollandea laissé une dette de quelque2 250 milliards d’euros, représentant 98% du PIB, à son successeur E. Macron, objet de l’article d’aujourd’hui !
Dans notre propos, nous parlerons de la DETTE et des déficits publics qui n’ont cessé de l’alimenter.
Nous parlerons aussi des PIB (Produit intérieur brut) successifs qui étaient censés participer au remboursement de la DETTE et du chômage de masse, qui pénalise la propension du pays à créer plus de richesse depuis des décennies.
Une professeure d’EPS du lycée Jean-Jaurès de Montreuil a été giflée par une élève ce mardi 5 novembre après une altercation autour de sa tenue, a appris BFMTV. Selon nos informations, cette élève portait une abaya, une tenue interdite dans les établissements scolaires publics depuis septembre 2023.
En fait ce sont les services de Bercy qui n’ont pas été capables d’évaluer convenablement les recettes.
Responsable mais pas coupable.
“J’étais le chef de cette administration. Et comme chef de cette administration j’endosse toute les responsabilités de mes services. Mais le politique n’a pas à se prononcer sur les prévisions”.
Allez mon Bruno, retourne vite en Suisse enseigner comment écrire des bouquins porno, parce que l’enseignement de l’économie doit rester sur l’économie en général. Vu ton effroyable bilan mon Bruno, il ne faut surtout pas enseigner… la science budgétaire.
Au bout de 7 années passées à Bercy à la tête du ministère de l’économie Bruno Le Maire n’a aucune excuse. Aucune. La seule qui soit admissible serait celle des ordres reçus de la plus haute autorité de l’Etat. Comprenez le Président de la République.
Après la victoire de Donald Trump, notre cher Premier Ministre Barnier met en garde contre le « chacun pour soi ». C’est vrai que jusque là, le chacun pour les autres a été redoutablement efficace. On mesure tous les jours les bénéfices de son action et de son idéologie des autres d’abord. Pourtant l’étude de l’état de la situation économique de la France, dont il est censé s’occuper, devrait lui donner des indications sur sa théorie. S’inquiéter des autres quand on est plus en mesure de subvenir à ses propres besoins est une stupidité, un suicide voulu, un non-sens. On l’a vu, mais certainement pas lui, avec notre agriculture et notre électricité en déroute, mais ça ne lui sert pas de leçon. La désindustrialisation avancée non plus et pourtant l’actualité avec la fermeture de deux sites de Michelin devrait l’alerter ?! Pensez-vous, certes il va verser sa petite larme, nous gratifier d’un discours emphatique, une logorrhée inutile qui marquera sa vacuité et son déclassement face à la réalité.