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Le Mozart de la Finance qui a mis la France en faillite réussira-t-il à gruger, encore une fois, une fraction importante de la population ? C’est hélas probable. Car nos chers compatriotes ont la mémoire courte. Du canal de Panama à France Télécom, en passant par Eurotunnel et le Crédit Lyonnais, il n’a jamais fait bon d’investir dans les affaires de l’État-escroc.
En oubliant les rois faux monnayeurs, la Ripoublique dès ses débuts a été le paradis des aigrefins insolvables et impunis
ArcelorMittal, premier sidérurgiste mondial et ancien fleuron national passé en mains indiennes depuis 2006, annonçait courant février vouloir délocaliser ses fonctions « supports » en Inde et en Pologne. Mais comment le groupe indien peut-il perdre de l’argent en Europe, alors même qu’il y produit ses aciers de meilleure qualité ? La faute notamment aux normes européennes taxant l’acier européen car polluant mais autorisant, dans le même temps, l’importation massive et non taxée d’acier chinois. Serait-il moins polluant ? Il ne fait en tout cas travailler aucun Français, bien au contraire !
Un adoubement de poids. Grand historien de la Shoah, Serge Klarsfeld avait jeté un pavé dans la mare, au mois de juin dernier, lorsqu’il avait attribué un brevet de respectabilité au parti de Marine Le Pen, jadis accusé de pétainisme. « Si j’ai le choix entre LFI et le RN, je voterai sans hésitation pour le RN », avait-il déclaré, sur LCI, au journaliste Darius Rochebin. Celui qui est parfois qualifié de « chasseur de nazis » avait salué la « mue » du RN et fustigé, en revanche, « les relents antisémites et antisionistes de l’extrême gauche sous l’emprise de La France insoumise ».
« Anatomie d’un fait divers qui a déchiré le pays ». Sorti ce 19 mars, Une nuit en France (éditions Grasset), le livre-enquête qui revient sur le drame de Crépol, suscite déjà la polémique. Avec cet ouvrage, les trois auteurs, dont Jean-Michel Decugis, le journaliste qui avait en 2019 affirmé que Xavier Dupont de Ligonnès avait été arrêté en Écosse, tentent de faire de la mort de Thomas un simple « fait divers » monté en épingle par l’extrême droite.
Cette violente agression a eu lieu peu après 17 heures, dans la rue de Douai, située dans le quartier Moulins. Selon les premiers éléments, un homme a poignardé cette jeune femme qui rentrait dans son immeuble, sans raison apparente. La victime aurait reçu quatre coups de couteau, d’après la même source. (…)
Pour en finir avec le recyclage ou le pantouflage de cette classe politique qui vit en circuit fermé et se goberge de prébendes publiques, il devient impératif de penser autrement nos institutions et la façon de faire de la politique. Bien entendu les Larcher, Malhuret et consorts ne seront pas pour une réduction de leurs avantages. Encore moins une éviction de la scène qu’ils occupent depuis 40 ans, sans avoir rien fait d’autre que de creuser un nid douillet qui ressemble à une forteresse imprenable, de laquelle ils tancent et vilipendent tous ceux qui auraient l’outrecuidance de trouver leurs actions nuisibles et désastreuses. Eux qui critiquent une situation dont ils sont responsables, sans jamais se sentir concernés, vous diront qu’il est indispensable qu’ils restent au contact des affaires, parce que ce sont des spécialistes. Quand on fait le bilan des toutes ces années de gestion, on mesure toute l’incompétence accumulée. Plus de 3200 milliards de dettes sans jamais s’être opposé à un seul budget calamiteux coupable de la gabegie actuelle, une ruine des services publics qui s’accélère avec l’obsession devenue mystique d’aider l’Ukraine, alors que la victoire n’est plus envisageable et que de récentes vidéos montrent que des femmes sont à présent envoyées au front et y meurent !
Il y a deux États profonds : la maison mère, située aux États-Unis et sa succursale en Europe, qui s’appelle Union européenne. La nouvelle administration républicaine entreprend de réduire le pouvoir de l’État profond nord-américain. Alors l’oligarchie néo-conservatrice entend ériger sa succursale européenne en bastion anti-Trump et en bantoustan woke. L’activisme belliqueux d’Emmanuel Macron et de certains dirigeants européens, purs produits de l’État profond, s’inscrit dans cette grossière et puérile manœuvre transatlantique. Mais les minets européens ne brassent que du vent.