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France et politique française - Page 2948

  • La priorité : former un front patriotique contre le front mondialiste

    Prétendre appliquer un projet de reconstruction nationale sans Marine Le Pen et le FN est une imposture.

    « Il n’y aura plus de France sans identité, et il n’y aura pas d’identité sans souveraineté. » Par cette formule 1, Marine Le Pen intègre les deux versants essentiels et fondamentaux de toute politique nationale. Identité et souveraineté sont inextricables.

    Un pays est avant tout un peuple et une identité forgée au cours des siècles, une histoire, une âme. Notre pays n’est pas un « pays d’immigration », sous-entendu une zone sur laquelle tout étranger aurait le droit de s’installer. C’est un pays européen, et nos lois (laïcité comprise) et traditions dérivent du christianisme. L’islam ne peut être accueilli que dans un cadre d’exception – les harkis, par exemple.

    Tout n’est pas que matériel… Et une autre phrase de Marine Le Pen résonne au cœur de tant de Français qui se sentent dépossédés de leur essence même : « La France est un pays de culture gréco-latine et de civilisation chrétienne, et cela détermine notre mode de vie. » 2 Elle se bat pour rétablir la France libre, sa culture, son histoire et notre héritage commun. Elle qui définissait et dénonçait déjà, il y a plus de 10 ans, les deux totalitarismes du XXIe siècle : le mondialisme et l’islamisme.

    De plus en plus, on observe ce mondialisme qui avance avec l’islamisme à sa suite : directement en Libye et en Syrie, ou après chaque tuerie islamiste, les mondialistes matraquant sur leurs médias de masse que le plus grand danger est la montée des « extrémistes populistes » !

    Le mondialisme germe dans la culture de mépris et de haine de notre civilisation, qui a été répandue par le socialo-gauchisme après 1968 et par « l’antiracisme » après 1981, voulant fragmenter la nation pour produire des « communautés » victimisées, des « minorités » culpabilisantes, agressant des majorités « tyranniques » et contrôler psychologiquement ces groupes par les sentiments d’injustice et de culpabilité. L’État-nation est alors ciblé comme un élément opprimant l’individu-roi, rejoignant l’idéologie libérale.

    Après 1989, le libre-échangisme total a étendu l’attaque contre l’État-nation et contre toute volonté de respect d’équilibres économiques (public/privé, liberté/protection, production/consommation, importations/exportations) pour favoriser les intérêts des corporats et financiers globaux (avec, ici, leurs pions LRPS, Valls, Macron, Fillon, etc.). Ces autres mondialistes veulent des transhumains, sans identité ni racines, interchangeables, et voient les nations comme des barrières non tarifaires s’opposant à leur dogme de libre circulation. D’où leur volonté de les fragmenter pour ne plus avoir que des segments de marché directement adressables et partout similaires.

    L’immigration de masse, mise en place par les précédents pour leurs profits, pour renouveler et faire grossir leurs « marchés », a eu pour conséquence la propagation de l’islamisme. Ce fléau a été amplifié par la démographie, et par la finance infinie des pétromonarchies islamiques, qui a agi ici via l’électoralisme irresponsable et corrompu des « dirigeants » LRPS, par le vide spirituel et la déchéance culturelle.

    La priorité est donc de former un front patriotique qui comprend les différentes sensibilités, des nationaux libéraux aux gaullistes sociaux, pour enfin contrer le front mondialiste. Sans alliance, les discours sur l’identité ou sur le combat contre l’islamisme resteront vains. Et prétendre appliquer un projet de reconstruction nationale sans Marine Le Pen et le FN est une imposture qui a déjà duré beaucoup trop longtemps !

    Notes:

    1. Estivales MLP, 18 septembre 2016.
    2. Interview à Al Jazeera, 28 décembre 2012.
    http://www.bvoltaire.fr/stefanversac/priorite-former-front-patriotique-contre-front-mondialiste,305570
  • Ne croyez pas les fausses nouvelles colportées par la grosse presse

    6a00d83451619c69e201b8d2507f01970c-250wi.jpgSi ces fausses nouvelles avaient été publiées et relayées par la réinfosphère, tous les "désintox" et autres "décryptages" de la grosse presse s'en seraient donné à coeur joie. 

    Ainsi le site Buzzfeed a transmis à la presse un « rapport » d’un « ancien agent du renseignement britannique » contenant de « nombreuses informations compromettantes » sur Donald Trump… et sur la Russie, qui a les moyens de le faire chanter. Buzzfeed a quand même précisé ne pas avoir authentifié ce rapport, ce qui n'a pas empêché l'ensemble des médias d'en relayer les détails croustillants.

    Patatras, tout cela a été vigoureusement démenti par le Kremlin et par Donald Trump. Mais aussi par Wikileaks. Buzzfeed n'aurait fait que prendre au sérieux une histoire créée par un utilisateur du site 4chan. Comme le révèle 4chan lui-même, un de ses utilisateurs a inventé toute l’histoire et l’a envoyée à un consultant républicain en médias, Rick Wilson. Ce dernier, connu pour ses positions anti-Trump, l'a ensuite diffusée... 

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/01/ne-croyez-pas-les-fausses-nouvelles-colport%C3%A9es-par-la-grosse-presse.html

  • Journal du jeudi 12 janvier 2017 - International / Le retour du Maroc sur la scène africaine

  • Journée de la fierté parisienne : entretien avec Pierre Larti

    8777-p3-paris-fierte-248x350.jpgLes bénévoles de Paris Fierté organisent comme chaque année depuis 12 ans maintenant la journée de la fierté parisienne. Pierre Larti, un de leurs responsables, nous donne rendez-vous ce samedi à partir de 15 heures, journée qui se terminera par la traditionnelle marche aux flambeaux dans les rues de Paris.

    — Pouvez-vous présenter le programme de la journée ?

    — Cette nouvelle édition de la journée de la fierté parisienne prend un sens très particulier cette année. Nous avons décidé de l’articuler autour du mot d’ordre « Défendons Paris ! » Comme chacun sait, notre continent européen – à Paris, Nice ou Berlin – est attaqué avec férocité. Nous pensons qu’il est temps que les peuples européens prennent conscience de leur héritage, l’affirment et le défendent, d’où cet appel. Nous accueillerons donc le public sur une péniche repensée en bistrot-guinguette à la parisienne, au niveau du Pont des Arts (métro Saint-Germain-des-Prés ou Pont Neuf) entre 15 heures et 17 h 30. Nous invitons tous les lecteurs de Présent à nous rejoindre pour un moment convivial et familial, propice aux discussions, aux danses et aux dégustations de produits exclusivement franciliens. Il y en aura pour tous les goûts ! Salé, sucré, solide ou liquide, il nous appartient de redécouvrir notre patrimoine parisien.

    8777-20170113.jpgA 18 heures, nous donnons rendez-vous à tous les Parisiens, jeunes et moins jeunes, au Pont de la Tournelle (métro Pont Marie ou Maubert Mutualité) pour une grande manifestation en l’honneur de sainte Geneviève, patronne de Paris et modèle pour notre cité. Notre cortège, bruyant, festif, jeune et familial, arpente les rues de la Montagne Sainte-Geneviève pour finir devant l’église Saint-Etienne du Mont, où repose notre patronne. Nous étions près de 800 l’année dernière et nous sommes certains que nous serons encore plus nombreux cette année !

    — Vous placez votre journée sous le patronage de sainte Geneviève. En quoi son image est-elle d’actualité ?

    — Je voudrais vous raconter une histoire : c’est celle d’une grande ville paisible, où les habitants sont heureux, construisant des bâtiments grandioses, développant son économie et vivant selon une identité forte. Mais cette ville fait des envieux et des combattants de contrées lointaines – dont les chefs sont des barbares sans foi ni loi – se mettent en route pour prendre la ville et tuer ou soumettre son peuple. Cette histoire – toute ressemblance avec des événements actuels est purement fortuite –, c’est celle de Paris au temps de sainte Geneviève. Sainte Geneviève qui, devant les craintes et le découragement des Parisiens, a fait preuve d’une force morale et combative extraordinaire, motivant et rassemblant les habitants, ce qui a eu pour effet d’effrayer suffisamment Attila et les Huns pour ne pas attaquer Paris.

    C’est l’esprit de Geneviève que nous voulons perpétuer : celui de la force morale, de la droiture, du courage et de la prise en main de son destin.

    Propos recueillis par Louis Lorphelin

    Entretien paru dans Présent daté du 13 janvier 2017

  • Boris Le Lay : J’ai besoin de votre aide !

    11755637_444251825756468_1951378767649089694_n.jpgMise à jour : Grâce à de nombreux soutiens, j’ai pu remplir mon objectif en seulement deux heures. Je les remercie pour leur fidélité. Je suspends donc la donation en ligne que l’on trouvait en bas de l’article ci-dessous.

    Voici deux ans que je réalise des vidéos et nombreux sont ceux qui m’ont souvent fait remarquer que la qualité de l’image laissait à désirer. Ce dont j’étais conscient.

    Je n’ai pas remédié au problème car je travaillais sur un PC en Azerty (français) et mes options se limitaient à en acquérir un nouveau (anglais) ou investir dans une caméra. Dans les deux cas les frais m’ont poussé à continuer avec mon ordinateur portable originel.

    La situation vient de se clarifier : mon valeureux compagnon – un Easynote de Packard Bell – est tombé au champs d’honneur après trois années de service intensif. Je suis toujours étonné de voir, avec le peu de moyens dont je dispose, le nombre de gens que je parviens à toucher chaque semaine (des millions).

    Seulement voilà, mon PC a fini par cramer. Je travaille maintenant sur un ibook G4 Macintosh, non sans difficulté (clavier anglais, navigation laborieuse sur l’internet, etc.). Cette bécane fonctionne cependant suffisamment correctement pour me permettre de continuer à publier. Mais j’ai été “cloué au sol” pendant 48 heures cette semaine.

    Outre mes vidéos et mes activités d’information via site internet et réseaux sociaux, j’ai lancé un nouveau podcast  collaboratif qui progresse bien (les afficionados savent duquel je parle). Hélas, il est momentanément stoppé suite à cet ordinateur en rideau.

    Je n’ai jamais opté pour des dons récurrents car le principe me gène – caractère de mendicité assez déplaisant -, à la différence d’autres personnes. J’y ai eu recours dans le passé pour mes frais d’avocat, c’est-à-dire par réelle nécessité.

    Si vous désirez me soutenir et me permettre d’acheter le matériel dont j’ai besoin – un PC portable avec un disque dur SSD, un autre externe et quelques autres choses – vous pouvez me faire un don ci-dessous. J’estime le budget nécessaire à environ 1000 euros au total.

    Outre ma gratitude éternelle, vous permettrez à notre communauté de continuer à rendre les coups.

    http://borislelay.com/

  • Immigration : des écrivains sonnent le tocsin

    En 1973, le succès presque immédiat et bientôt international du Camp des saints de Jean Raspail éclipsa l’autre grand roman d’anticipation sur l’immigration paru quelques années plus tôt, L’Occident (éditions Robert Desroches, 1969), publié en anglais sous le titre The Walled City : redoutant d’être attaqués, les provinciaux fuient leur campagne et affluent vers la ville, mais les remparts de la cité ne les protégent pas car l’omniprésent et protéiforme ennemi est déjà à l’intérieur.

    Qualifié de « grand livre hallucinatoire » par le critique Robert Poulet, qui n’hésitait pas à comparer à Céline le libraire Marcel Clouzot (frère du célèbre cinéaste Henri-Georges),

    L’Occident devait marquer durablement l’imaginaire de la droite dure, inspirant par exemple ses célèbres « rats noirs » à Jack Marchal, le dessinateur du Groupe Union Droit qui faisait alors trembler les gauchistes.

    Depuis Clouzot et Raspail, la veine ne s’est jamais tarie, au contraire, à mesure que montaient les flux migratoires. Qu’on pense à La Toussaint blanche de Philippe Gautier (éd. Les 5 Léopards, 1993), à La Mosquée Notre-Dame de Paris 2048 de la romancière russe Elena Tchoudinova (éd. Tatamis 2009), la date de 2048 étant un clin d’œil au 1984 d’Orwell, aux Chiens enragés de Marc Charuel (Albin Michel 2014, http/::www.polemia.com:chiens-enrages-de-marc-charuel:) et à maints autres.

    Tout récemment : Le Grand Rembarquement d’Emmanuel Albach, qui se déroule en 2019, et L’Edit de Mantes de Modeste Lakrite (1), situé en 2027. Autrement dit demain.

    Par leurs prémisses, les deux romans se ressemblent. A partir des banlieues et de certains centres villes dont les auteurs connaissent visiblement la triste réalité quotidienne, avec leur population indigène déjà tombée en dhimmitude et la si prospère économie parallèle qui finance les réseaux djihadistes (2), la France est grignotée, puis largement occupée et violentée par ses immigrés.

    Autochtones impuissants et souvent terrorisés, pouvoirs publics dépassés et d’ailleurs noyautés par une kyrielle de politiciens issus de l’immigration et habiles au double jeu, armée malade de la « diversité » laïque et obligatoire, cette déliquescence totale au sommet se double d’une panique générale à la base. Inévitablement on pense à la terrible lettre prémonitoire adressée par Albert Camus à son ami Jean Grenier en 1957, année où l’écrivain reçut le prix Nobel de littérature : « A longue échéance, tous les continents (jaune, noir et bistre) basculeront sur la vieille Europe. Ils sont des centaines et des centaines de millions. Ils ont faim et ils n’ont pas peur de mourir. Nous, nous ne savons plus ni mourir, ni tuer. Il faudrait prêcher, mais l’Europe ne croit à rien. »

    Pourtant, des résistances s’organisent.

    L’Edit de Mantes

    Dans le livre de Lakrite, la Ligue des Vieux Habitants réveillée par Geneviève Nisat (un anagramme ?), ainsi prénommée sans doute en hommage à la sainte patronne de Paris qu’elle défendit contre les Huns, puis contre les Francs païens de Childéric, et sorte de pasionaria de Riposte laïque revue par la Manif pour tous, fait front et le commissaire Lelièvre (car le roman d’anticipation se double d’un roman policier) ne s’en laisse pas conter. Une partie du territoire sera sauvée, mais à quel prix ! L’Edit de Mantes, réédition de l’Edit de Nantes par lequel Henri IV avait garanti les droits des protestants, est un concordat avec les musulmans mais il conduit à la partition. Quelle humiliation pour la « fille aînée de l’Eglise » !

    Le Grand Rembarquement

    Le titre en témoigne, Le Grand Rembarquement se veut plus optimiste. Si les Shabeb, clones hexagonaux des Shebab ayant instauré par la terreur la Charia en Somalie, ont imposé leur loi au gouvernement, des citoyens se lèvent. Considérant qu’en ne les protégeant pas la République a violé l’antique Traité de Saint-Clair-sur-Epte, la Normandie s’insurge, bientôt suivie par d’autres provinces. Les cadres d’entreprise mettent à profit leurs capacités pour organiser l’opposition aux allogènes ; la notion de salut public renaît.

    Finalement convaincus d’évacuer la France, où la présidente Marie Lapotre a succédé au président Noël Servi, les Shabeb s’éloignent, avec l’assurance que femmes et enfants les rejoindront très vite. Ainsi « de nouveau, dans les campagnes, et en ville aussi, comme jadis, on peut laisser sa maison et sa voiture ouvertes sans risquer le vol ou le pillage. En outre, comme les insurrections locales ont été l’occasion d’arracher et de détruire tous les radars du réseau routier, l’ombre menaçante de la tracasserie étatique a aussi disparu, détendant sérieusement l’atmosphère. Pour tout dire, les Français se retrouvent libres, et savourent pleinement cette liberté retrouvée, bien décidés par ailleurs à ne plus jamais laisser l’Etat s’ériger en persécuteur permanent, ni en créature “bruxellisée” ».

    Trop beau pour être vrai, que ce retour au meilleur des mondes ? « Point n’est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer », disait, avant Pierre de Coubertin, Guillaume Ier d’Orange-Nassau, auquel cette devise ne réussit pas si mal puisqu’il se retrouva Stathouder de Hollande (avant, il est vrai, d’être assassiné). Quand, et surtout comment, va-t-on entreprendre la reconquête tant qu’il en est encore temps pour éviter les années vraiment les plus sombres de notre histoire ?

    Camille Galic 8/01/2017

    Modeste Lakrite, L’Edit de Mantes, Ed. Diffusia, novembre 2016, 496 pages.

    Emmanuel Albach, Le Grand Rembarquement, Ed. Dualpha, juillet 2016, 331 pages.

    Notes :
    (1) Cet étrange pseudonyme a été choisi en référence aux akrites, soldats-paysans grecs chargés par Byzance de protéger ses frontières anatoliennes des incursions de la cavalerie turque, comme les Habsbourg devaient ensuite mobiliser les Uskoks et autres Haïdouks slaves du sud contre l’envahisseur ottoman menaçant l’Autriche.

    (2) Sur L’islamo business, de Jean-Paul Gourévitch, lire http://www.polemia.com/un-peu-dislamologie-pour-2017/

    http://www.polemia.com/immigration-des-ecrivains-sonnent-le-tocsin/

  • IMPORTANT : LE BANQUET AMICAL POUR LE 70e ANNIVERSAIRE DU MSI AURA LIEU LE SAMEDI 25 FÉVRIER A 20 H A PARIS

    INFORMATION IMPORTANTE :

    3196187594.jpgLe banquet amical devant marquer le 70e anniversaire de la fondation du Mouvement social italien, initialement prévu pour le samedi 28 janvier à 20 h, est reporté au samedi 25 février (même lieu, même heure, même menu).

    Notre ami Massimo Magliaro, ancien adjoint du fondateur du MSI Gieorgio Almirante, ayant eu un accident le 2 janvier, il est retenu quelques semaines à Rome. Rassurez-vous, je me suis entretenu avec lui au téléphone et tout laisse à penser qu'il retrouvera vite sa forme de jeune homme. Cependant, nous avons estimé qu'il était plus prudent de reporter notre réunion du 28 janvier au 25 février.

    Déjà, de nombreux amis et camarades avaient retenu leur place. Ils seront tous individuellement informés d'ici la fin de la semaine de ce changement de date. Nous espérons que cela ne leur posera pas trop de problème pour venir le 25 février. Il est évident que ceux qui ne pourront pas être là seront remboursés.

    Nous vous remercions pour votre compréhension et espérons vous retrouver encore plus nombreux le samedi 25 février à Paris pour ce 70e anniversaire du MSI.

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    BULLETIN DE RÉSERVATION CLIQUEZ ICI

  • La République, vraiment "une et indivisible" ?

    Le député UDI Philippe Folliot et l'écrivain Irène Frain, dénoncent dans Le Figarovox le démantèlement de l'espace maritime français :

    6a00d83451619c69e201b8d250849a970c-250wi.jpgPar un vote qui aura lieu le 18 janvier à l'Assemblée nationale, la France s'apprête à céder de fait, et sans contrepartie, une part de notre territoire national, l'île de Tromelin et son considérable domaine maritime. En apparence, il s'agit d'un territoire minuscule perdu dans l'immensité de l'Océan Indien, à 450 km à l'Est de Madagascar et à 535 km au Nord de l'île de la Réunion, qui se borne à abriter trois agents des Terres Australes et Antarctiques Françaises. Il n'est seulement connu du grand public que par l'aventure humaine exceptionnelle qui s'y déroula du temps de la traite négrière. Mais dans les faits, il génère un potentiel économique exceptionnel, 280 000 km² de Zone Economique Exclusive. Presqu'autant que les 345 000 km² de la France hexagonale, Corse comprise. Un patrimoine considérable pour un Etat puisqu'en droit de la mer, une Zone Economique Exclusive est un espace maritime sur lequel un Etat exerce ses droits souverains en matière d'exploration et d'exploitation des ressources économiques, environnementales, biologiques.

    C'est ce patrimoine qu'un traité dit «de cogestion» signé de façon très discrète le 1er juin 2010 cédera à l'Île Maurice sans contrepartie aucune si l'Assemblée nationale le ratifie le 18 janvier prochain, approuvant ainsi sans réflexion l'aveuglement de nos diplomates et la lâcheté de certains politiques."

    Il faut noter que l'assemblée se prononcera sur un projet de loi élaboré par Alain Juppé, sous le gouvernement de François Fillon.

    Selon Marine Le Pen :

    "Ce projet de loi est anticonstitutionnel : Tromelin appartient depuis la loi du 21 février 2007 aux Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF). Or, celles-ci sont régies par l’article 72-3 de la Constitution. Faute de population à pouvoir consulter, seule une réforme de la Constitution peut donc permettre une cession. Depuis 1722, la France a toujours assuré sa souveraineté sur Tromelin. Si par le traité de Paris du 30 mai 1814, elle a cédé l’Île de France, devenue Maurice, et ses dépendances à la Grande-Bretagne, cette dernière ne l’a jamais revendiquée.

    Je demande solennellement au Président de la République et au Premier Ministre de retirer ce projet de ratification de l’ordre du jour de l’Assemblée Nationale. Les quelques semaines de vie qui restent à l’actuel gouvernement ne l’autorisent pas à brader une parcelle du territoire national. L’économie de la Mer nécessite d’être bien davantage mise en valeur, et non abandonnée.

    La ratification de ce traité peut légitimer les revendications d'autres pays sur les autres îles françaises... 

    En 2013, une mobilisation parlementaire avait fait échouer une première tentative de ratification.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Emmanuel, roi de la Jungle : les migrants votent pour Macron

    Minute-2804-Couv-251x350.jpgFRANCE (NOVOpress) : Pour l’hebdomadaire Minute, cela ne fait aucun doute : Emmanuel Macron est le candidat des migrants et le symbole de l’alliance libérale-libertaire entre Jacques Attali et Daniel Cohn-Bendit. Avec Macron, « la gauche immigrationniste a trouvé son messie », écrit Philippe Martin, dont nous publions ci-dessous l’article.

    En hébreu, Emmanuel signifie « dieu est avec nous ». Il est l’autre nom du messie. Pour les associations qui vivent de l’immigration et des migrants, Emmanuel Macron est l’inattendu, la divine surprise. Alors que tout semblait perdu pour la gauche en avril prochain, il est celui qui redonne l’espoir, celui qui multiplie les intentions de vote. « La chancelière Merkel et la société allemande dans son ensemble ont été à la hauteur de nos valeurs communes ; elles ont sauvé notre dignité collective en accueillant des réfugiés en détresse, en les logeant, en les formant », a proclamé le prophète la semaine dernière.

    Message reçu en un temps record. Dimanche dernier, Pierre Henry lui a apporté son soutien. Dans un tweet, il a salué « l’engagement en faveur des réfugiés » d’Emmanuel Macron et sa position en faveur « d’une Europe laïque ». L’influent patron de France Terre d’Asile n’est pas n’importe qui. Il est la quintessence de cette myriade d’associations et de groupuscules qui vivent de l’immigration, via les subventions publiques, et qui, de fait, permettent l’installation, précaire ou non, de l’immigration clandestine et son flux incessant.

    Diplômé de l’Ecole des Hautes Etudes en sciences sociales, licencié de philosophie, Pierre Henry est un ancien militant et élu socialiste. Membre du comité exécutif européen pour les réfugiés et exilés, il a siégé également à l’Office français de l’immigration et à l’Office des migrations internationales. En d’autres termes, Pierre Henry est un homme du système en place, une personnalité habituée à fréquenter les décideurs européens. Si le banquier Macron œuvrait dans le secteur de la libre circulation des capitaux, lui a toujours travaillé dans celui des libres migrations humaines. D’un côté, la fortune anonyme et vagabonde, de l’autre la foule anonyme des vagabonds et autres déshérités de cinquante ans de décolonisation.

    Ce rapprochement ne surprendra que les naïfs. L’ascension subite d’Emmanuel Macron, passé de l’anonymat au gouvernement, puis du gouvernement au statut de troisième homme de la présidentielle, relève de la seule décision de ceux qui nous gouvernent vraiment, que ce soit à Bruxelles ou à la Bourse. Alors que l’Allemagne de Merkel annonce vouloir mettre fin au salaire minimum pour mieux intégrer les réfugiés, il est désormais évident que le flux migratoire est indispensable à la finance internationale pour transformer l’Europe en un magma tiers-mondisé enfin exploitable au même titre que n’importe quel pays d’Afrique. Macron ne disait pas autre chose lorsqu’au plus fort de la vague migratoire de 2015, le 7 septembre, il s’enthousiasmait ainsi : « (l’arrivée des réfugiés) est une opportunité économique car ce sont des femmes et des hommes qui ont aussi des qualifications remarquables » ! Trois mois plus tard, c’était Cologne…

    En rejoignant Emmanuel Macron, Pierre Henry se retrouve en compagnie de deux symboles : Christine Lagarde, présidente du FMI, Daniel Cohn-Bendit, le septuagénaire soixante-huitard. La liberté du fric et celle du slip. On peut y ajouter Jacques Attali, le prophète du nomadisme, Claude Perdriel, fondateur du « Nouvel Observateur », Roland Castro, grand architecte mitterrandien. Dernière recrue en date, Carla Bruni ! Celle qui évoquait avec répulsion « le vieux sang pourri des Français » s’est découvert une passion pour l’homme de Rothschild.

    Cet aréopage souligne à merveille la ligne revendiquée haut et fort par Emmanuel Macron : le libéralisme de gauche. De gauche, pour faire bien, et puisqu’il y a une case de vide sur l’échiquier, libéral, car quand même, on est là pour les affaires. Un libéralisme qui hait les frontières et méprise les peuples. Un libéralisme qui, sous des formes diverses, dirige l’Europe depuis plus de trente ans. Un libéralisme qui est le vieux monde et dont Macron n’est qu’une vergeture.

    Dans ce contexte, qu’importe la primaire socialiste opposant les paléo-ringards aux néo-ringards, qu’importe le recul de Fillon dans les sondages, et celui de Marine Le Pen, qu’importe les querelles intestines du Front national, davantage que Mélenchon, Macron est l’homme de l’Internationale, la seule qui existe, celle de l’argent. Dans cette élection, il apparaît comme l’ennemi absolu de la France, de sa souveraineté, de son identité, comme l’ennemi mortel de la véritable Europe.

    Au moment où l’Amérique s’est donnée comme chef un Trump, où Poutine commande à la Russie, le choix par les Français d’un Macron ressemblerait fort à une épitaphe sur 2 000 ans d’histoire.

    Philippe Martin

    Article paru dans Minute n° 2804 du 11 janvier 2017

    http://fr.novopress.info/