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France et politique française - Page 2952

  • Un ex-conseiller de Montebourg condamné pour pédophilie : la faute à la « fachosphère » !

    Source : OJIM – « Un ex-conseiller de Montebourg condamné pour pédophilie : la faute à la « fachosphère » ! »

    Condamné en décembre 2016 par la justice anglaise, Christophe Bejach, membre fondateur de Terra Nova et ex-conseiller d’Arnaud Montebourg, alors ministre du redressement productif, aura écopé d’un double sursis : celui de la prison, et celui des médias.

    En effet, il aura fallu atteindre le 3 janvier 2017 pour que le Daily Mail en parle, et le 5 janvier pour que la presse française daigne rapporter (timidement et tardivement) l’affaire… grâce à la pression des sites de réinformation et des réseaux sociaux. Pour dire un mot de la condamnation, l’homme d’affaires a écopé de 9 mois de prison avec sursis et de 117 2010 euros d’amende pour avoir fait, sur internet, des propositions indécentes à une mère de famille, qui était en fait un policier.

    Christophe Bejach voulait organiser des séances photos érotiques avec des fillettes de 8, 10 et 12 ans et avoir une relation sexuelle avec l’aînée. À cette occasion, il avait d’ailleurs acheté de la lingerie fine de petite taille… Par ailleurs, la police a retrouvé à son domicile une soixantaine d’images pédopornographiques, dont certaines classées en catégorie A (comportant des scènes de pénétration sur des enfants abusés sexuellement).

    En France, il aura fallu atteindre que le site Fdesouche fasse remonter l’affaire, ensuite relayée par un bon nombre de sites de réinformation, pour que le public en soit informé. Mis face à leur silence accablant, certains médias français se sont vus contrains d’évoquer la question, parfois assez timidement, sous la pression des réseaux sociaux.

    Pour prendre l’exemple du Parisien, le quotidien évoque dans son titre la condamnation d’un « homme d’affaires français », alors que même la presse anglo-saxonne mentionnait, dès le titre, sa qualité d’ancien conseiller d’un ministre. Partout ailleurs on le présente surtout comme l’un des fondateurs de Terra Nova, ce think thank socialiste, et comme un homme d’affaires, directeur général pour l’Europe du groupe d’investissement américain Monument Capital Group. Histoire de ne pas perturber la primaire socialiste ?

    En résumé, hormis quelques titres ayant traité le sujet sur le tard, il ne fallait pas compter sur les radios et les chaînes d’information en continu pour en toucher mot. Les affaires de pédophilie, c’est toujours plus intéressant lorsqu’elles concernent un curé ou un prolétaire du nord de la France…

    Soit dit en passant, le Huffington Post a fait pire que de garder le silence. Dans un article publié le 5 janvier au soir, le média en ligne a pointé du doigt… la « fachosphère », accusée d’« utiliser la condamnation d’un pédophile pour éclabousser Arnaud Montebourg ». Plus loin, on peut lire : « Sitôt rendue publique, cette affaire a attiré l’attention de la fachosphère, qui y a vu l’occasion d’éclabousser Arnaud Montebourg, voire l’ensemble de la gauche en soulignant son appartenance à Terra Nova, l’une des boîtes à idées du PS. » En somme, nommer un chat un chat, c’est donc faire preuve d’un intérêt à nuire aux félins ! On aura tout vu…

    http://fr.novopress.info/202642/un-ex-conseiller-de-montebourg-condamne-pour-pedophilie-la-faute-a-la-fachosphere/#more-202642

  • « Notre identité, c'est la république », dit Vincent Peillon. Certainement pas !

    On l'a déjà dit, et c'est très vrai, la Révolution, c'est comme Daech (ou l'inverse) : Daech fait commencer l'histoire du monde avec Mahomet, la république idéologique française, héritière de la Révolution, la fait commencer avec cette révolution, en 1789. Et nous ampute donc de 2.000 ans d'histoire ! De même Daech détruit, autant qu'il le peut, tous les trésors monumentaux et artistiques datant d'avant l'Islam (Al Qaïda avait fait la même chose), comme la révolution a détruit entre le quart et le tiers de notre patrimoine artistique. La parenté est nette entre Daech et la république idéologique : l'un et l'autre pensent être eux-mêmes l'identité du peuple, et que rien d'autre n'existe en dehors d'eux. Définition parfaite du Totalitarisme. Vincent Peillon - qui, de notre point de vue, a évidemment tort - ne fait que réciter la doxa de la république idéologique, en digne continuateur de ses prédécesseurs en idéologie. Quelqu'un a parfaitement expliqué tout ceci : il s'agit de Philippe Val, qui a travaillé à Charlie Hebdo, et qui a « commis » une très intéressante chronique sur France Inter, à l'époque où la droite envisageait de faire passer des test ADN aux soi-disant enfants d'immigrés, pour limiter les fraudes ; chronique qui remonte à 2007 et qu'il est fort utile de réécouter aujourd'hui.

    En trois minutes et vingt-quatre secondes (dont quatre d'un mémorable bafouillement...) Philippe Val nous dit en somme que les pays en royauté sont ceux qui conservent leurs traditions, leurs mœurs et leurs coutumes, fondées sur la transmission biologique du pouvoir (incarnée par la Famille Royale), car ils n'ont pas connu de rupture radicale avec leur passé ; alors qu'en France la république, après la coupure révolutionnaire, a décidé de « mettre un point final à la transmission génétique du pouvoir ».

    La conséquence immense de cette révolution est que les transmissions - qui se faisaient « naturellement » en France, avant la Révolution, sur une base biologique, donc charnelle, enracinée, comme c'est toujours le cas dans les pays en royauté - se font maintenant sur une base abstraite et idéologique : ce n'est plus la filiation qui crée le droit à un héritage, c'est une idée, une théorie désincarnée.

    En clair, les Français ne sont plus les maîtres de la France ; ils ne peuvent plus se transmettre de père en fils, « naturellement », leur Nation, leur Patrie. Celle-ci est à tout le monde, à la terre entière, à n'importe qui. La France est un hall de gare aux dimensions de l’univers ; vient qui veut ; elle est aux autres autant qu'à nous ! Nous sommes ainsi dépossédés de notre héritage, de notre bien le plus précieux, et tout simplement parce que nous sommes en république !

    « La république, et c'est sa force, et c'est son identité, affirme qu'en son sein l'élection et le rôle d'un individu dans la société ne seront plus jamais liés à une quelconque hérédité. Et ce qui est vrai pour les dirigeants, qui seront désormais élus selon leurs mérites par les suffrages de leurs égaux, est aussi vrai pour les citoyens dont le statut ne peut, en aucune façon, être lié à l'hérédité biologique. Voilà pourquoi l'instauration d'un test ADN pour décider du sort d'un individu est une violation de la Loi républicaine et un scandale constitutionnel... »

    « Terra Nova » est le nom qu'a pris le groupe de réflexion du Parti socialiste, pour qui le propos de Philippe Val est parole d'évangile. « Terra perennis » serait le nom que prendrait un groupe de réflexion royaliste, ou simplement de citoyens français qui veulent simplement rester ce que l'Histoire les a faits, et continuer à vivre selon leurs coutumes et leurs traditions sur la terre que l'Histoire a faite leur. Et qui, pour cela, opposeraient la juste pensée de Charles Maurras aux lubies d'un Philippe Val ou d'un Vincent Peillon : 

    « Ce pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie... » (L'Action française, 6 juillet 1912).    

    Pour écouter la chronique de Philippe VAL, cliquez sur le lien ci-dessous : 

    podcast
    http://lafautearousseau.hautetfort.com/
  • Salut à Boutang !

    Georges Feltin-Tracol

    929191737.jpgDisciple zélé et talentueux de Charles Maurras, le royaliste orléaniste intransigeant Pierre Boutang fut à la fois philosophe, romancier, journaliste, critique littéraire et redoutable pamphlétaire. Révoqué de l’Université pour avoir rallié le général Giraud en 1942, Boutang fonda un journal, La Nation française, dans lequel s’exprimaient l’« historien du dimanche » Philippe Ariès et le critique de cinéma Philippe d’Hugues, soutint la cause de l’Algérie française avant d’approuver l’action néo-capétienne de Charles De Gaulle en qui il espéra un moment une éventuelle restauration monarchique en faveur du comte de Paris. Ayant appris à lire dans les colonnes de L’Action française, Boutang partage l’antisémitisme d’État de son maître à penser, puis se fait le vibrant défenseur du sionisme et de l’État d’Israël peut-être parce qu’il « voit dans Israël un modèle théocratique moderne, la théocratie étant le contenu latent de son rêve (p. 58) ».

    Rémi Soulié ne développe pas le parcours intellectuel de son ami parfois sujet à de vives colères ainsi que d’« engueulade en hurlements majeurs (p. 100) ». « Quel caractère de cocon ! (p. 101) », poursuit-il plus loin, ajoutant que « Boutang, c’est Ivan le Terrible, Attila, Tamerlan et Gengis Khan en un seul homme (p. 109) ». Bref, « faute d’avoir trouvé un sage équilibre intérieur entre la paix et l’épée, Boutang ne (se) maîtrisait pas (p. 14) ». Ce tempérament difficile n’empêche pas que « Boutang s’enflamme comme un enfant. Il a des accès d’enthousiasme politique comme j’ai des quintes de toux. Comment fait-il pour rester aussi naïf après tant d’années de combats et de revers, alors qu’il est plus que prévenu contre la démocratie dite libérale et représentative ? (p. 99) ». Cette remarque surprend. En effet, « Maistre et Boutang partagent une même idée de la politique. […] Pour eux comme pour Donoso Cortés, Blanc de Saint-Bonnet et toute l’école de la pensée catholique traditionnelle, les principes de la politique ne se peuvent penser qu’à partir de l’Incarnation, du Dieu un et trine, bref, de la théologie (p. 17) ». Rémi Soulié assène même qu’« au fond, Boutang reste trop biblique (p. 99) ». « Coléreux et généreux, tendre et tyrannique, cet ogre fut un homme de passion [… qui] a construit une œuvre philosophique et polémique parfois hermétique mais qui porte à incandescence les facultés de l’esprit (p. 14). »

    Un temps proche des royalistes de gauche de la NAF (Nouvelle Action française) qui deviendra plus tard la NAR (Nouvelle Action royaliste) animée par Bertrand Renouvin et Gérard Leclerc, Pierre Boutang connaît à la perfection les mécanismes démocratiques. « Il travaillait sur la notion platonicienne de “ théâtrocratie ”. Il y voyait le concept idoine à l’intelligence des temps spectaculaires (p. 138). » Parfois suspicieux envers certains titres de Jünger – tels La Paix -, il reconnaît néanmoins volontiers que « l’anarque est celui qui échappe à toute arché. Sont bonnes toutes les archies (monarchies, anarchie…), et détestables toutes les craties (démocratie, ploutocratie…) (p. 101) ».

    Il n’est pas anodin si l’ouvrage s’ouvre sur une étude fouillée consacrée à « Pierre Boutang et Joseph de Maistre » au croisement de l’histoire des idées politiques, de la philosophie et de la métapolitique, terme déjà employé par l’auteur des Soirées de Saint-Pétersbourg. Cela peut surprendre chez quelqu’un qui se référait habituellement au philosophe italien Vico. Rémi Soulié insiste aussi sur « l’axe biographique, politique, métaphysique et théologique fondamental pour Boutang : la paternité et la filiation (p. 45) ». Sa pensée s’articule donc autour de ces deux notions qui fondent la nation dans son acception étymologique.

    Pour saluer Pierre Boutang est un essai lumineux sur une vie, une personnalité et une œuvre complexe qui devraient probablement faire l’objet d’une étude exhaustive. Les écrits de Boutang peuvent encore avoir aujourd’hui une résonance particulière. Le supposé « populisme chrétien » décrit par Patrick Buisson dans La cause du peuple y puiserait des idées susceptibles de le rendre effectif, cohérent et combatif. George Steiner le considérait d’ailleurs comme « la voix philosophique de l’aile autoritaire de la droite contemporaine en France (p. 16) ». Les jeunes catholiques non-conformistes du début du XXIe siècle auraient par conséquent tout intérêt à redécouvrir ce philosophe engagé après avoir médité le beau livre de Rémi Soulié.

    Source Europe maxima cliquez là

    • Rémi Soulié, Pour saluer Pierre Boutang, Éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2016, 141 p., 21 €.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Après le Mariage pour tous, la sébile pour tous ?

    La chronique de Philippe Randa

    Ceux qui pensaient que l’idée du revenu universel n’était que pure démagogie électorale ou fumisterie intellectuelle se trompaient et pas qu’un peu : ça y est, c’est à l’expérimentation en Europe !

    Oh ! pas en France où cette proposition – elle figure entre autres dans les programmes électoraux des socialistes Benoit Hamon et Marie-Noëlle Lieneman, de l’écologiste Yannick Jadot ou encore des candidats à la primaire de la droite Nathalie Kosciusko-Morizet ou Jean-Frédéric Poisson – est seulement à l’étude dans un rapport d’information du Sénat préconisant une expérimentation du « revenu de base »…

    Non, c’est en Finlande où 2000 chômeurs entre 25 à 58 ans, tirés au sort, vont percevoir 560 euros par mois à partir de ce 1er janvier 2017. Pour deux années et à la place de leur allocation chômage…

    Marjukka Turunen, responsable des affaires juridiques au sein de l’assurance sociale finlandaise (KELA) a confirmé que même « si vous trouvez un travail avec une paye de 4 000 euros par mois, vous continuez quand même à percevoir votre revenu universel de 560 euros tous les mois. »

    Le but est de voir si ces deux milliers de chômeurs seront plus motivés à retrouver du travail ou à créer des sociétés… Sachant que le salaire moyen en Finlande se situe autour de 2 200 euros mensuels, le « RU » apparaît toutefois bien insuffisant pour se la couler douce aux frais de la princesse.

    Attendons-nous donc sous peu à une demande de revalorisation – soit probablement dès une prochaine échéance électorale – par des politiciens prêts à toutes les générosités avec l’argent public pour raser gratis… ou se faire (ré)élire !

    Lire sur EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/01/07/apres-le-mariage-pour-tous-la-sebile-pour-tous-5895793.html

  • Rappel : Macron va devoir payer l'ISF, il avait sous-évalué son patrimoine

    Les vérifications faites autour de la situation fiscale d'Emmanuel Macron après son entrée au gouvernement, en août 2014, ont révélé que le ministre de l'Economie devait payer l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) pour les années 2013 et 2014 révèle Mediapart ce mardi. 
    Le rattrapage ne devrait pas dépasser les 10 000 euros. 
    Depuis «l'affaire Cahuzac», chaque membre du gouvernement fait l'objet d'une enquête sur sa situation fiscale. Au moment d'arriver à Bercy, Emmanuel Macron n'y a pas échappé. Le ministre estimait alors qu'il n'avait pas à payer l'ISF, dont le seuil est fixé à 1,3 million d'euros, mais aurait sous-évalué la maison de son épouse de 200 000 euros d'après les chiffres du Canard Enchaîné. Après un an et demi de discussion avec le fisc, Emmanuel Macron s'est donc résolu à payer l'ISF. 
    Il voulait supprimer l'ISF 
    Ces révélations arrivent alors que le locataire de Bercy a lancé son propre parti politique «En Marche» et que certains de ses proches le voient se lancer dans la course à l'Elysée en 2017. Du côté du cabinet d'Emmanuel Macron, on assure qu'il n'y a pas d'affaire et qu'il s'agit seulement d'une erreur d'estimation. 
    Alors qu'Emmanuel Macron enchaîne les initiaves sur des sujets qui bousculent la gauche et le gouvernement, le ministre s'en est justement pris à l'impôt de solidarité sur la fortune le 19 avril dans la revue spécialisée Risques : «Si on a une préférence pour le risque face à la rente, ce qui est mon cas, il faut préférer la taxation sur la succession aux impôts de type ISF.» Dès le lendemain, le Premier ministre l'avait recadré estimant que « supprimer l’impôt sur la fortune (...) serait une faute». Le tout accompagné d'un petit tacle : «Je demande à chaque ministre, puisqu’il reste encore un an, d’être pleinement attelé à sa fonction, à sa mission».

  • Pour la LDH, ramadan : bien ! Crèches : pas bien !

    Une manifestation festive, le ramadan ? Rien à voir avec la religion, le ramadan ?

     

    Pourquoi la Ligue des droits de l’homme ne trouve rien à redire à ce que la mairie de Paris, depuis 2001, se mette en quatre pour fêter des nuits du ramadan à 100.000 euros mais porte plainte pour cause de présence de crèches dans les mairies ? Parce qu’« une crèche de la Nativité, c’est extrêmement marqué religieusement » alors que le ramadan, lui, c’est… « une manifestation festive » ! Ainsi l’explique la présidente de la LDH à Midi libre en réponse aux reproches « d’une partie de la droite » de favoriser l’un au détriment de l’autre.

    Une manifestation festive, le ramadan ? Rien à voir avec la religion, le ramadan ? Cette retraitée de l’enseignement qu’est la présidente de la LDH montre pour le moins une ignorance crasse ou une hypocrisie sans nom, quand on sait que le ramadan est l’un des cinq piliers de l’islam ! Autrefois, les mauvaises langues auraient accusé madame la présidente d’avoir fait ses études chez les Jésuites…

    Mais le cheval de bataille de la LDH, on l’a compris, c’est la religion catholique. Et cette bonne dame Dumont de se féliciter d’attaquer « pratiquement systématiquement » les mairies qui ont exposé des crèches ou rendu des arrêtés contre le burkini. Ainsi, selon sa grille de lecture, crèches et interdiction du burkini – vêtement religieux par excellence ! – représentent toutes deux des atteintes à la laïcité !

    Nous en sommes là. À subir en même temps – au nom de la laïcité – les interdictions de signes chrétiens et les autorisations de signes musulmans.

    Ce qui revient à dire qu’au nom de cette laïcité complètement détournée, l’État français s’entend à implanter la religion musulmane en extirpant petit à petit notre passé chrétien millénaire. En outre, quelle aubaine pour les défenseurs de l’islam : la loi, lit-on dans Le Monde, de toutes façons, ne prévoit rien « concernant le fait, pour une administration publique, d’organiser une fête à destination d’une communauté »

    Non, ce qui l’embête, cette brave dame, c’est que les tribunaux administratifs, à propos de la légalité ou pas des crèches dans les mairies ou sur le port du burkini, « ont à chaque fois une interprétation extrêmement différente ». C’est vrai, ça, sauf qu’à part part semer la zizanie et la confusion partout, voire à rendre tout le monde marteau, on ne comprend pas pourquoi, justement, chacun est autorisé à rendre des verdicts opposés…

    Encore une année à la tête de la LDH et mâme Dumont pourra aller planter ses salades. Une année encore « compliquée » et « malsaine » – c’est ainsi qu’elle voyait son mandat. À cause de quoi, vous demandez-vous ? Mais « en raison de la forte montée de l’extrême droite », pardi ! disait-elle après les attentats de janvier…

    Mais ce qui fait le plus enrager cette ligueuse de fond (depuis 35 ans à la LDH) ? C’est « quand on en rajoute sur les racines chrétiennes de la France ». Qu’on en rajoute ? Mais alors, madame la retraitée de l’enseignement l’avoue : nos racines sont chrétiennes ! Oh ?

    http://www.bvoltaire.fr/carolineartus/pour-la-ldh-ramadan-bien-creches-pas-bien,304935

  • Marche pour la vie : des cars au départ d'Angers et Saumur

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    Michel Janva

  • L'augmentation des actes christianophobes en France est de 36,9 %

    Selon le décompte effectué par Daniel Hamiche sur son Observatoire.

    "le mois de décembre fut particulièrement “lourd” car 26 lieux ont été touchés : le nombre le plus important de toute cette année 2016, juste après janvier et ses 24 lieux touchés. En nombre d’actes christianophobes différents, décembre vient en troisième position avec 34 actes, plus d’un par jour… – il y en eut 35 en mai et 131 en avril (mais ce chiffre énorme tient essentiellement à l’attaque par des pirates de quelque 106 sites internet chrétiens). En nombre de départements touchés, décembre en a compté 20, un peu moins que mai qui fut un mois “record” avec 22 départements touchés.

    Cette dernière synthèse pour l’année 2016, nous permet de tirer un bilan provisoire des actes de christianophobie en France sur les douze moins écoulés. J’ai enregistré 374 actes différents (contre 273 en 2015, soit une augmentation de 36,9 % !)."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html