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France et politique française - Page 2982

  • Le PS instaure le droit de vote des étrangers aux Primaires citoyennes !

    C’est un vieux rêve du Parti socialiste qui se concrétise : accorder aux étrangers le droit de vote. Si le PS n’est pas parvenu à l’imposer pour les scrutins nationaux, faute de majorité des deux tiers au Parlement, son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, l’a instauré sans rencontrer d’opposition pour les Primaires citoyennes, le nom donné à la primaire de la gauche socialiste qui aura lieu les 22 et 29 janvier prochain.

    Tous les étrangers pourront désigner le candidat du PS à l’élection présidentielle, à la seule condition… qu’ils soient de gauche ! Le règlement des Primaires citoyennes prévoit en effet que peuvent voter les étrangers, qu’ils soient ou non issus des pays de l’Union européenne, dès lors qu’ils sont « adhérents aux partis ou organisations de jeunesse des partis organisateurs »,c’est-à-dire membres du Parti socialiste ou de ses satellites.

    Le Grand Remplacement de l’électorat disparu du Parti socialiste, c’est maintenant !

    http://fr.novopress.info/

  • Les femmes deviennent indésirables dans les lieux publics... islamisés

    Ces terrasses de café et ces rues ont un point commun : les femmes semblent effacées. Nous ne sommes pas au Moyen-Orient mais en France à Sevran. Dans un bar, il n'y a que des hommes peu accueillants. Le patron n'a pas envie de discuter et d'autres hommes sont choqués de voir ces femmes. "Dans ce café, il n’y a pas de mixité", assure sèchement un homme. 

    Pas d'amalgame : ils sont tous modérés.


    Société : quand les femmes sont indésirables dans les lieux publics

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les leçons des primaires de la droite

    par Thomas Ferrier

    Ex: http://thomasferrier.hautetfort.com

    La fin de l’ère Sarkozy.
    Nicolas Sarkozy, ex-chiraquien devenu balladurien en 1995, ce que Chirac ne lui a jamais pardonné, avait su se rendre indispensable à droite. Devenu président en 2007 en asséchant les voix du FN d’un Jean-Marie Le Pen sur le déclin, après avoir suscité un réel espoir de changement, il doucha tous ses partisans par des politiques contradictoires et par un style que beaucoup finirent par considérer comme inadapté à sa fonction. Il remplaça le discours identitaire et sécuritaire sur lequel il avait su convaincre pour ouvrir à gauche, recrutant des ministres parmi le parti adverse, et pour céder aux sirènes du mondialisme dont il n’avait jamais été en réalité opposé. Tout comme Giscard en 1981, il capitalisa contre lui la coalition des déçus et des mécontents, même si son bilan politique en définitive n’était pas mauvais. Sarkozy « l’américain » fut le seul capable de négocier habilement avec Vladimir Poutine. Jamais il n’aurait remis en cause la vente des Mistral à la Russie, une faute que fit François Hollande à peine élu.
    Empêtré dans des affaires judiciaires où ses proches tombaient un après l’autre, soumis au diktat idéologique de gauche de sa nouvelle épouse, dont il eut le tort d’écouter les conseils peu judicieux, et dont le livre de Patrick Buisson a montré qu’elle témoignait d’un réel mépris pour les citoyens « de souche », l’électorat de droite de Nicolas Sarkozy, qui était pourtant sensible à sa force de caractère, dans le cadre d’une campagne des primaires où il tint un discours plébéien à des électeurs bourgeois, commettant ainsi une erreur stratégique décisive, a eu le sentiment qu’il ne pouvait pas gagner au second tour des primaires face à Alain Juppé.
    Alors que les derniers sondages témoignaient d’une progression significative de  François Fillon, un phénomène de vote utile s’est enclenché en sa défaveur. Le duel attendu Juppé/Sarkozy pouvant amener à l’élection du « meilleur d’entre nous » (surnom donné à Alain Juppé par Jacques Chirac), les électeurs de droite n’ont pas pris le risque. Ils ont donc voté massivement pour François Fillon, Sarkozy perdant du même coup un bon tiers de ses électeurs, les petits candidats étant quant à eux littéralement laminés.
    La « menace Juppé » étant forte, Sarkozy tomba à 20,7% des voix alors qu’une semaine avant encore il était crédité de 29%. Bruno Le Maire s’effondra à 2,4%. La ligne bobo-gaucho de Kosciusko-Morizet, très implantée à Paris, résista avec 2,6% des voix. Poisson ne fit qu’1,4% des voix, alors qu’il avait su capitaliser sur son nom la droite catholique qui venait de le découvrir dans les media. Et Copé réalisa le score dérisoire de 0,3% des voix.
    Il n’est pas exact que Sarkozy fut victime d’un rejet de sa personne à droite, malgré ses erreurs de campagne, s’adressant à un électorat populaire qui resta chez lui. Il fut victime de l’idée qu’il ne pouvait pas gagner, une idée en soi irrationnelle mais qui fit son œuvre. En réalité, le candidat chouchou des media était très surestimé. Plus il parlait, plus il baissait. Les 15% d’électeurs de gauche venus voter à la primaire de droite ne firent que limiter la casse. Avec un peu plus de jugement de la part des électeurs, Fillon et Sarkozy éliminaient Juppé dès le premier tour.
    A l’issue d’un discours digne, Nicolas Sarkozy a pour la seconde fois quitté la politique. Il est peu vraisemblable qu’il y revienne parce que l’humiliation est forte. Mais tout comme Giscard avant lui, il ne disparaîtra pas. Il a en tout cas démontré une fois de plus qu’il était impossible à un ancien président battu de le redevenir. Son départ a certainement anticipé celui de François Hollande, qui a finalement renoncé cette semaine à être candidat à sa propre succession. Une ère s’achève.
    La bulle crevée de Juppé.
    Alain Juppé a été artificiellement encensé par les media. Ce technocrate méprisant, prématurément vieilli, au discours inconsistant sur un « vivre ensemble » imaginaire et une « identité heureuse » digne de la « France apaisée » d’une Marine Le Pen en campagne à contre temps, n’a jamais représenté le peuple de droite. L’idole est donc naturellement tombée de son piédestal. Cela démontre une fois de plus le caractère inopérant des sondages de popularité. On s’imaginait à lire la presse Alain Juppé élu dès le premier tour avec 51% des voix. Il n’obtint en réalité que 28,6% des voix et ce encore grâce au concours de la gauche.
    Au second tour évidemment, Alain Juppé reçut le soutien de tous ceux qui insupportent l’électeur de droite. Il capitalisa sur son nom les vieux couteaux du centrisme et des loges. Bien sûr, « NKM » lui apporta son soutien et de manière plus surprenante Copé. Raffarin se mit en avant pour défendre son poulain. La gauche médiatique commença à diaboliser l’ultra-libéral Fillon, inquiétant les minorités communautarisées, ethniques ou sexuelles. Dans cette primaire de la droite et du centre, Juppé était devenu le candidat du PS. Seul Macron avait intérêt à la chute de Juppé, alors que Bayrou de manière très discrète laissait entendre qu’il se présenterait en 2017 si Juppé n’était pas choisi comme candidat.
    La punition du second tour fut sévère. Il faut dire que le soutien apporté par Nicolas Sarkozy à son ancien premier ministre François Fillon fut décisif autant que surprenant. Valérie Pécresse, fort peu inspirée, se rangea dans le camp de Juppé. Elle s’en est mordu les doigts. Comme un oiseau de mauvais augure, elle annonça le temps sombre de la défaite en rase campagne. Juppé obtint donc 33,5% contre 66,5% pour François Fillon (1/3 vs 2/3). Toute la droite affairiste n’y put rien. Elle était battue. Le centre fut déserté. Sa légère progression s’explique uniquement par un léger report de voix (NKM) et parce que certains électeurs sarkozystes ont refusé de se mobiliser pour Fillon.
    Exit Sarkozy. Exit Juppé. François Fillon est devenu le candidat de la droite et du centre.
    Ce que la victoire de Fillon veut dire.
    Le programme de Fillon n’a aucune importance. Nous sommes en France et il est un homme politique. Il ne le respectera donc pas. Son ultra-libéralisme sera rapidement nuancé puis affaibli par ses nouveaux alliés. Il a bien sûr procédé à l’ouverture à ses anciens adversaires, créant un comité de campagne où on retrouve des sarkozystes et des juppéistes, dont l’arrogante NKM visiblement insubmersible. Cette idée de remettre en selle, pour mieux les surveiller et les neutraliser, ceux que l’on vient de battre, se retrouve dans la stratégie de Trump. Mieux vaut les avoir à côté de soi que contre soi.
    Il a désormais un boulevard en se plaçant sur un positionnement bien ancré à droite, mais ni radicalisé comme Sarkozy en donnait l’impression, ni ramolli selon la ligne Juppé. Il a été identifié par la droite classique comme un candidat à son image donc son score de premier tour de 44,1% puis de second tour de 66,5% est finalement assez naturel.
    Sa victoire est-elle une bonne nouvelle pour ses adversaires ? Macron a déjà lancé un appel aux électeurs de Juppé pour qu’ils viennent le soutenir. Montebourg souhaite que la droite aille voter aux primaires de gauche en sa faveur. L’éviction d’Hollande, probablement remplacé dans ce rôle par Manuel Valls, rend cette hypothèse difficile. Seul le « Hollande Bashing » pouvait amener des électeurs de droite à voter à une primaire de gauche.
    C’est surtout Marine Le Pen qui est la grande perdante pour le moment de la victoire de François Fillon aux primaires. Sa mauvaise campagne, décalée à gauche sous l’influence de l’ex-chevènementiste Florian Philippot, éloignée des thèmes identitaires et de la « manif pour tous », la rend très fragile face à Fillon. Celui-ci n’a pas hésité à tenir un discours aux accents identitaires prononcés et à envoyer un message aux milieux catholiques que Marine Le Pen dédaigne depuis des mois. Les sondages d’après primaires montrent un net tassement et une progression très significative de Fillon. Le siphonage « Sarkozy » de 2007 pourrait se reproduire.
    Marine Le Pen peut se ressaisir si elle arrête d’aller parler à des électeurs qui ne voteront jamais pour elles, comme dans les DOM et les banlieues, et qui même risquent par les appels qu’elle leur lance de faire fuir certains électeurs naturels du FN, qui attendent autre chose. Elle le peut si elle cesse son étatisme forcené, à grands coups de démagogies socialisantes et de dépenses publiques. Elle le peut si elle comprend que le thème européen est en réalité porteur et que prôner l’unité de ceux qui ont un destin commun, les Européens, est salutaire. Norbert Hofer (FPÖ) l’a compris. Il dit défendre l’Union Européenne et vouloir conserver l’euro. Il souhaite que l’UE affirme les valeurs européennes que défend le hongrois Orban et qu’elle se dote de vraies frontières pour se protéger contre l’immigration. Il sera probablement le prochain président autrichien ce soir.
    Sinon, si elle reste sur sa ligne de gauche, si elle abandonne le seul thème identitaire qui explique le succès de son parti, la « problématique migratoire » au sens large, alors il est possible qu’elle ne passe même pas le premier tour des présidentielles.
    Ainsi François Fillon a toutes les chances d’être le prochain président de la république. Mais il sera attendu au tournant. Le peuple n’a plus aucune patience. Les premières semaines à l’Elysée seront décisives. S’il procède comme Sarkozy, en tenant un discours de gauche au pouvoir alors qu’il aura été élu sur un discours de droite, il sera balayé par le vent de l’histoire.
    Le contexte international avec le succès de Trump aux USA et son amitié avec Poutine peuvent le préserver de dérives nocives. Mais il sera confronté à une situation périlleuse, la France sortant de cinq ans de Hollande à genoux. Le pays n’a jamais été aussi fracturé. Le nouveau président devra faire preuve d’une audace exceptionnelle et d’une dureté maîtrisée. Il devra tenter d’annuler les mesures prises par la gauche, et notamment le « mariage pour tous ». Il devra envoyer un signal très ferme à l’endroit des migrants qui seraient tentés de venir s’installer chez nous. Je doute qu’il en soit capable.
    Il décevra nécessairement. Mais une Marine Le Pen élue décevrait également terriblement puisqu’elle serait élue sur un contre-sens, élue par une vague identitaire avec un programme social-démocrate. Ses électeurs lui prêtent un programme caché (crypto-programme) remigrationniste. Il n’est qu’une vue de l’esprit. En diabolisant le nouveau FN, Philippot ayant été traité de « fasciste » devant Sciences Po, les media maintiennent cette illusion d’une MLP radicalement identitaire. Le masque tomberait dès qu’elle ferait le premier pas à l’Elysée.
    En 2017, la France aura un nouveau président, et elle est quasi assurée d’échapper à une nouvelle présidente. Il ne sera pas à la hauteur des enjeux. Mais un tel contexte libérera peut-être des forces cachées qui annonceront une nouvelle aube européenne sur la ruine d’un monde ancien.

    Thomas FERRIER (Le Parti des Européens)

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • POURQUOI IL FAUT ELIMINER LA VERMINE DE MAI 68’…

    Pieter Kerstens

    Parce que la chienlit qui, en Mai 1968 dévastait nos rues et cassait par plaisir a aujourd’hui infiltré tous les rouages de nos institutions. Plus grave : elle a aussi engendré des rejetons bobos, ayant le prêt-à-penser franc-maçon et un comportement pastèque (vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur).

    Pour les rares dirigeants clairvoyants qui résistent encore en Europe, la situation actuelle dans les domaines sociaux, culturels, financiers, industriels ou politiques est catastrophique, mais pas encore désespérée. Le délabrement et la décomposition de l’Europe ne sont pas les conséquences directes de Mai 68, mais l’accélération d’une fin de civilisation entamée depuis de longues décennies.

    Une intelligentsia judéo-bolchevique qui fêtera le Cinquantenaire de la Révolution étudiante.

    Lors des diverses commémorations des révoltes étudiantes de 68 (25e ou 40e anniversaire), on a systématiquement entendu le pédophile Cohn-Bendit, mais les médias ne se sont pas suffisamment intéressés aux manipulateurs et aux responsables des organisations qui ont joué un rôle primordial durant cette période. La plupart d’entre eux ont accédé à des postes clés de notre Société, notamment Lionel Jospin-trotskyste patenté- devenu premier ministre en France.

    Et jetons un regard sur les groupements gauchistes et leurs dirigeants :

    *Ligue Communiste (ex-JCR) : P. Franck, A. Krivine, B. Ben Saïd, H.Weber, P. Abramovici, S. Rabehl, J. Stein, S. Niemetz, A.Bethel.

    *Lutte Ouvrière (Ex-Voix Ouvrière) : M. Schroeot, O.Kaldy, L. Stean, V.Goria, C.Jung.

    *Alliance Marxiste Révolutionnaire (Ex-GMR) : N. Baby, M. Najmann, B. Schalsha, L. Weisberg, S. Mandel, D. Rothenstein, L. Rosenblatt.

    *Alliance des Jeunes pour le Socialisme (ex-FER) : P. Boussel (alias Lambert), Ch. Stobnicer (alias Berg), G. Bloch, G. Rousselot. Ce mouvement possédait un Service d’ordre dirigé par un transfuge d’Occident, Rémy. Nous les retrouverons face à nous au Palais des Sports, le 9 mars 1971, lors d’un meeting d’Ordre nouveau.

    *Parti Communiste Révolutionnaire : M. Mestri.

    *La Voie : Blumenthal et Spitzer.

    Comme on peut s’en rendre compte, les responsables de tous les mouvements gauchistes des années 1965-1972 appartiennent en grande majorité au « Peuple sûr de lui et dominateur ».

    Le marxisme est toujours puissant et sera présent pour le centenaire de la guerre 1914-1918.

    Enfant mongolien d’un Socialisme qui, en 1968, se voulait « à visage humain », le marxisme a entamé une mutation, à tel point que 48 ans plus tard, la « société citoyenne » a remplacé la lutte des classes. En décryptant la phraséologie et le vocabulaire utilisés par les médias, on se retrouve plongé dans la dialectique la plus stalinienne, où la novlangue a remplacé la langue de bois. La terreur rouge a émasculé des dizaines de millions d’élèves et d’étudiants ; son emprise s’étend à la Culture et à la Communication, à l’Economie et aux Finances, à la Justice, la Police et la Gendarmerie…

    Alors tous ceux qui ont participé aux « Manif pour Tous » ou aux défilés pour la Vie et la Famille, devraient quand même se poser certaines questions.

    QUI a voté pour les députés qui se pavanent à l’Assemblée ?

    QUI a désigné les responsables des partis au Pouvoir ?

    QUI soutient les partis de Droite cosmopolite et ceux de la Gauche caviar ?

    QUI se taisait quand ses enfants lui expliquaient que la drogue était vendue aux portes des Collèges et des Lycées par des maghrébins clandestins ?

    QUI ricanait quand il apprenait que dans le même établissement certains adultes pervers profitaient de leur fonction pour assouvir leur pédérastie ?

    Le constat : en quelques décennies, le Socialolaxisme a pourri l’esprit de la majorité de nos compatriotes, leur retirant même le courage de penser !

    Et ne parlons pas de la volonté d’agir, face au fléau de l’immigration/invasion, de la hausse permanente des crimes et délits, ni de la colonisation de nos quartiers, de nos rues, de nos commerces et de nos piscines par le « vivr’ensemble », le « padamalgam » et le monopole du Hallal !

    Œil pour œil, dent pour dent !

    Le sabotage insidieux de toutes nos institutions n’a été possible que grâce à la complicité abjecte de ce que d’aucuns dénomment la Droite. Afin de préserver certains acquis et privilèges financiers et économiques, les prétendus « libéraux » ont laissé gangréner nos Règles et nos Valeurs ancestrales par les théories « avant-gardistes » et humanistes.

    La Foi est devenue une notion ringarde.

    La Conviction et l’Idéal, seraient des valeurs démodées.

    La Famille est présentée comme une entrave à la liberté sexuelle des pédérastes et des lesbiennes.

    Les enfants, avenir de la Nation, et fruits d’un Amour réciproque, sont considérés comme une entrave au sacro-saint niveau de vie.

    Le Travail et la Conscience professionnelle, sont maintenant des sujets hors de propos.

    Par confort intellectuel et facilité économique, le peuple s’est embourgeoisé et au lieu d’opposer une légitime résistance à la décadence générale, il a préféré la carte de crédit et les loisirs tarifés, collé à l’écran de sa TV ou de son PC, zombie moderne relié à son I-Phone comme un grabataire en phase terminale ne survit que grâce au goutte-à-goutte.

    L’hédonisme règne en maître et l’Europe glisse vers l’abîme aussi sûrement que le soleil se lève à l’Est.

    La fin de l’Empire Romain s’est effectuée sur plusieurs siècles, mais s’est brusquement accélérée quand les métèques ont acquis le droit de cité. En accordant le droit de vote aux barbares établis en Europe, nous acceptons le génocide de la race blanche.

    Le métissage n’est pas un enrichissement : l’état d’Israël l’a bien compris !

    Comment Faire Face à l’héritage de Mai 68 :

    • En clamant à haute et intelligible voix votre refus du Nouvel Ordre Mondial, de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et de l’Euro, monnaie d’escrocs, au service d’un lobby : la Banque Centrale Européenne (BCE).
    • En écrivant aux médias qu’ils ne détiennent pas la Vérité Absolue, que l’information n’est pas leur monopole et que vous avez un avis différent.
    • En exigeant des maires, des députés et sénateurs qu’ils appliquent le principe de Préférence Nationale dans tous les domaines et qu’ils cessent de gaspiller nos impôts au profit de parasites sociaux.
    • En déposant plainte, avec constitution de partie civile pour chaque agression dont vous êtes la victime.
    • En contactant les syndicats, les centrales d’achats et les supermarchés pour réclamer l’arrêt des importations de produits étrangers, que nous sommes capables de produire nous-mêmes et mieux : c’est votre emploi qui est en jeu et plus tard celui de vos enfants !
    • En infligeant un vote sanction à la mafia socialaud-libéro-écolo-capitaliste ; d’abord pour les présidentielles d’avril et mai 2017 et ensuite pour les législatives du mois de juin.

    C’est maintenant qu’il faut éradiquer la pègre rouge !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Médias contre réinfosphère : les politiques pris entre deux feux

    Source : Boulevard Voltaire – « Médias contre réinfosphère : les politiques pris entre deux feux « 

    Il faut s’attendre à d’autres accidents industriels. « Ali » Juppé pourrait être le premier d’une longue série !

    Avant, la politique, c’était facile !

    Pour réussir, la recette était simple : des clins d’œil aux minorités (ethniques, religieuses, sexuelles, idéologiques) et de bons éléments de langage pour les médias. « Soyez politiquement correct – ou, à défaut, lissez vos propos – et tout vous réussira. » Telle était la règle.

    Alain Juppé a connu ce parcours exemplaire. Attaché à l’identité nationale comme président du Club 89, il a viré sa cuti à la fin des années 1980. Depuis, sa rectitude politiquement correcte a été admirable. Il en a été récompensé en étant promu par les médias comme le futur président de la République. Mais « Ali » Juppé a fait trébucher Alain Juppé. Les liens du maire de Bordeaux avec l’imam UOIF Tareq Oubrou ont été remarquablement décrits sur l’Observatoire de l’islamisation. Ce qui a valu au maire de Bordeaux le surnom d’« Ali » Juppé. Un sobriquet qui a fait le tour du Web. Bye bye, Juppé : médiasphère 0 ; réinfosphère 1.

    Juppé est la première victime de la réinfosphère ; ce ne sera pas la dernière ! Les hommes politiques vont devoir apprendre à se garder sur leur droite.

    À peine porté sur le pavois par les adversaires d’« Ali » Juppé, Fillon découvre à son tour les charmes de l’information alternative. Son porte-parole, Jérôme Chartier, va chez Elkabbach pleurnicher à propos des attaques dont il se dit victime de la part de la « fachosphère ». La raison ? L’invitation, aux Entretiens de Royaumont qu’il préside, de… l’imam UOIF Tareq Oubrou. Une présence évidemment rapportée sur la réinfosphère.
    Fillon n’est pas davantage ménagé : son inauguration – à côté d’une fillette de 8 ans voilée – de la grande mosquée d’Argenteuil a beaucoup circulé sur le Net. Tout comme sa rencontre avec l’imam radical de la mosquée – désormais fermée – de Stains. Voilà un candidat qui va aussi devoir apprendre à se garder du politiquement correct !

    La leçon vaut aussi pour le FN officiel. Se rapprocher de la gauche sociétale – la gauche Macron – plaît dans les médias. Soutenir la philosophie de backroom de la campagne gouvernementale sur le VIH comme l’a fait Philippot a sans doute séduit Europe 1 mais a produit un buzz négatif sur les réseaux. Et la mise en cause de Marion Maréchal-Le Pen par le même Philippot a valu à la députée du Vaucluse un puissant soutien sur la Toile.

    Allons plus loin : « Moi, je crois que oui [l’islam est compatible avec la République]. Un islam tel que nous l’avons connu, laïcisé par les Lumières comme les autres religions. » Cette affirmation de Marine Le Pen n’a pas seulement surpris les historiens, elle a aussi semé le trouble sur la Toile. Sur Twitter, Pierre S. (François Desouche) écrit : « Quand MLP dit que l’islam est compatible avec la République, elle fait une erreur stratégique et ment. » Car si le parti, c’est « Tais toi ou prends la porte », le réseau, c’est la liberté de parole.

    Bref, les hommes politiques devraient changer de logiciels. S’émanciper de la doxa médiatique. Et prendre en compte l’opinion des réseaux. Sinon, il faut s’attendre à d’autres accidents industriels. « Ali » Juppé pourrait être le premier d’une longue série !

    Jean-Yves Le Gallou

    http://fr.novopress.info/202287/medias-contre-reinfosphere-les-politiques-pris-entre-deux-feux/

  • Péages autoroutiers : la scandaleuse arnaque des Valls, Macron et Royal !

    La Cour des comptes a publié récemment « un rapport au vitriol pour dénoncer l’extraordinaire profitabilité de ces monopoles privés »

    En juillet dernier, à la veille de l’attentat de Nice, le tribunal administratif ordonnait à Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, de rendre publics les avenants au contrat signé le 9 avril 2015 avec les sociétés autoroutières. On se souvient, en effet, que le poète Villepin leur avait offert, en 2006, sur un plateau le pactole des concessions contre « l’engagement » du maintien des tarifs et l’entretien et le développement du réseau.

    Le respect des engagements étant au niveau des promesses politiques, la bronca commença à monter… Coups de menton de Manuel Valls, promesses de Ségolène Royal (ministre des Transports), on nous assura que non non non, l’usager ne serait pas plumé. D’où ce nouveau contrat du printemps 2015, arraché au terme « d’âpres négociations », comme dit la formule. Mais quant à savoir ce qu’il contenait… Mystère. Dans le principe, « en échange de la prolongation des concessions, le gel du tarif des péages en 2015 et une relance de l’investissement dans l’amélioration des axes autoroutiers ». Mais dans la réalité ? Mystère. Raison pour laquelle Raymond Avrillier, un ancien élu écologiste de la ville de Grenoble, avait saisi le tribunal. Comme la loi le permet, cet homme « réclamait depuis plus d’un an au ministre de l’Économie Emmanuel Macron l’accès à ces documents ». En vain.

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  • Reynald Secher censuré

    Reynald Secher et sa maison d'Édition ont été censurés et exclus du festival de la BD "BD Boum" de Blois sous prétexte que leur ligne éditoriale ne répond pas à l'éthique et aux valeurs du festival. Scandale quand on sait que les Éditions Reynald Secher ont pour seul objectif la transmission de l'Histoire via le support pédagogique qu'est la bande dessinée, au travers de laquelle il met en avant la chronologie, la cartographie, les évènements et les grands hommes. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « Euthanasier la République pour sauver la France ? » de Jean-Noël Audibert

    « Ce livre n’est pas un pamphlet, ni un énième ouvrage de déclinologue. Son ambition ? Montrer qu’il existe encore une porte de sortie avant l’effondrement apocalyptique d’un système à bout de souffle. »

    Euthanasier-588x322.jpgAinsi débute la quatrième de couverture de l’ouvrage de Jean-Noël Audibert, dont le titre à lui seul a un caractère suffisamment intrigant pour accrocher le lecteur.

    Ayant le privilège de compter l’auteur parmi mes relations amicales, je savais pouvoir trouver dans ses réflexions un large dénominateur commun avec mes propres idées, et mes attentes ont été largement comblées.

    La démarche de Jean-Noël Audibert force le respect : c’est un homme cultivé, doté d’une vaste expérience professionnelle et en qualité de militant et d’élu local. Il va à l’encontre de la pensée dominante, mais n’a pas ses entrées dans les cénacles médiatiques où l’on a des chances d’accéder au statut de « repoussoir officiel », à l’instar des Finkielkraut, Rioufol ou bien sûr Zemmour.

    C’est donc fort de ses convictions et de sa ténacité que l’auteur a décidé de mettre ses idées sur le papier et de trouver un éditeur pour les diffuser. Rien que pour cela, il mérite d’être soutenu, car son attitude s’inscrit pleinement dans la posture de résistance et de dissidence que prônent Polémia et tous les vecteurs de la réinfosphère.

    J’ai bien conscience que mon plaidoyer pourrait passer pour un « Prière d’insérer », par souci de favoritisme à l’égard d’un auteur avec qui j’entretiens une connivence idéologique. Pour lever toute ambiguïté, l’honnêteté m’oblige à dire que, si j’ai adhéré pour l’essentiel à Euthanasier la République…, j’ai été plus en retrait par rapport à certaines analyses. Mais, en définitive, la balance penche très nettement en faveur des louanges et non des critiques.

    Le diagnostic de l’auteur sur l’essoufflement du Système et son accélération dans les dix dernières années est relaté avec un remarquable esprit de synthèse tout en étant richement documenté. On retrouvera tout ce qu’il faut tenir en mémoire pour comprendre les enjeux de l’avenir de notre pays. Sont ainsi décortiqués, entre autres, le rôle de la « superclasse mondiale » ; l’inversion des valeurs au nom de l’idéologie des droits de l’homme et des prétendues « valeurs de la République » ; la démocratie confisquée ; l’annihilation de la liberté d’expression ; les réformes « sociétales » imposées contre la majorité du peuple ; le gouvernement des juges et l’inféodation de l’opinion à la bien-pensance de la classe politico-médiatique ; la dévalorisation du patriotisme au profit des instances supranationales et la soumission à l’hégémonie américaine.

    Secteur par secteur (famille, éducation, nation, justice, sécurité, immigration, etc.), le travail de sape des « déconstructeurs » est dénoncé. Mais l’ouvrage de Jean-Noël Audibert refuse toute approche complotiste : l’enchaînement des faits, des réformes, des mesures, des politiques publiques suffit à lui donner raison.

    Parmi tous les sujets abordés, deux chapitres particulièrement denses sont consacrés :

    • à l’analyse du cosmopolitisme (chap. II). L’auteur y constate, comme avant lui Pierre Milloz dans un autre excellent ouvrage : le cosmopolitisme, voilà l’ennemi !
    • à la Ve République et à l’islam (chap. IV). Sur ce sujet également, la conclusion est, le lecteur s’en doutera, que contrairement à ce qu’on ne cesse de nous marteler, l’islam est incompatible avec la République – la vraie !

    Après le constat, les préconisations. C’est là un exercice délicat, auquel bien des auteurs se sont confrontés, avec plus ou moins de bonheur. Les politiciens petits ou grands se croient obligés d’essayer de convaincre les électeurs qu’ils ont trouvé la pierre philosophale qui leur permettra, une fois au pouvoir, de transformer le plomb transmis par ceux qui les ont précédés en or du fait même de leur nouvelle « gouvernance ». Mais leurs pensums sont rarement crédibles et il y a belle lurette que les é(lecteurs) ne croient plus aux programmes. De même, sont rarement édifiants les livres – livres de comptes ? – qui prétendent redéployer les ressources et les dépenses budgétaires d’un coup de baguette magique, par le miracle du «y a qu’à / faut qu’on ».

    Les auteurs qui se bornent à fixer des orientations programmatiques fondées sur ce qui est à leurs yeux le « politiquement souhaitable » sont généralement plus à l’aise, surtout quand le terme « politiquement » revêt sa dimension noble, celle du politique, opposé à celle de la politique politicienne. C’est bien dans cette optique que se situe Jean-Noël Audibert : ses axes de réformes pour sauver la France sont des marqueurs idéologiques à l’usage de gouvernants d’un autre type. Il se situe ainsi dans la filiation d’un François Billot de Lochner (Echapper à la mort de la France, 2015) ou, dans le genre de la « fiction politique », de Bruno Mégret (Le Temps du phénix, 2016). Sa proposition d’amorce d’une nouvelle Constitution paraîtra à certains un peu caricaturale, mais, là aussi, il faut en extraire l’idée sous-jacente d’un nécessaire retour aux fondamentaux, perdus de vue depuis des décennies.

    A cet égard, c’est sur la question de l’explication et de l’historicité du déclin de la France que, pour ma part, j’ai ressenti une sorte « d’état de manque » par rapport à l’analyse de J. N. Audibert. Sa réflexion repose sur l’idée que, depuis la Révolution française, c’est la République, de la Ire à la Ve, qui portait en germe le déclin intellectuel et moral qu’a connu le pays depuis plus de deux siècles, avec des hauts et des bas, certes, mais de façon continue et culminant depuis les années 1960.

    Cette thèse est nourrie par une documentation chronologique très circonstanciée, mais elle me semble affaiblie par le fait qu’elle repose en partie sur un amalgame sémantique entre la République entendue comme forme de gouvernement, et la notion de res publica qui, dans la Rome antique, a été une réaction contre les excès de pouvoir des rois étrusques.

    A coup sûr, les « valeurs de la République » de M. Hollande et de M. Valls n’ont guère de rapport avec celles de la Rome antique, et ce sont bien les régimes « républicains » de la période révolutionnaire à nos jours qui ont entrepris d’utiliser ce concept pour façonner la mentalité collective. Les faits sont têtus et ne sont pas contestables.

    L’auteur est un catholique assumé et une place importante est accordée dans son diagnostic, à juste raison, à la question de la place de la religion chrétienne, et à la contestation dont cette place a fait l’objet au nom de la laïcité, voire d’un athéisme revendiqué par certains penseurs ou gouvernants « républicains ». Depuis les philosophes des Lumières inspirant les révolutionnaires de la Terreur dans leur aspiration à forger un « homme nouveau », débarrassé des superstitions religieuses, jusqu’à nos gouvernants « laïcistes » actuels (les Peillon, Vallaud-Belkacem, Taubira et tous les autres formés au sein des loges maçonniques), la magistrature d’influence des réseaux antichrétiens est une évidence, bien au-delà de la période d’acmé qu’a connue la France autour de la loi de séparation de 1905.

    Au demeurant, Jean-Noël Audibert ne passe pas sous silence tout ce qui a fait la grandeur des gouvernements républicains, fussent-ils francs-maçons, en matière d’éducation, de promotion des valeurs patriotiques, de liberté d’expression, sans parler de domaines plus controversés comme la colonisation ou la répression des insurrections de 1848 et de la Commune.

    Mais il aurait pu insister sur le fait que les « valeurs de la République » dont on nous assourdit chaque jour un peu sont en fait des « anti-valeurs », et que cette inversion des valeurs est l’un des fondements mêmes du cosmopolitisme en marche, au-delà même de la question de la république comme forme du gouvernement de l’Etat.

    L’auteur ne se fait d’ailleurs pas l’avocat d’un retour à un régime monarchique, pas plus qu’il ne demande de rendre à la France son statut de « fille aînée de l’Eglise ». Son propos est très clair : il s’agit de rétablir la démocratie, de redonner la parole au peuple, notamment par un recours plus large au référendum, ou la création d’un nouveau parti rassembleur « Demos ». Il n’y a là que des orientations avec lesquelles nous éprouvons de l’empathie. Et en définitive, cette réappropriation de la démocratie par le peuple ne serait-elle pas le moyen de revenir aux sources de la res publica ?

    Précisons que le lecteur éprouvera un certain malaise en prenant connaissance du dernier chapitre, que l’on ne déflorera pas pour ménager l’effet de surprise, mais qui traduit une vision de l’avenir pour le moins pessimiste, et même apocalyptique. L’on ne sait quel message l’auteur a entendu faire passer dans ce court récit final : pense-t-il en son for intérieur que « tout est f… ! » ou veut-il nous amener à réagir ? Mais dans ce dernier cas, il serait déjà bien tard… Sans faire preuve d’un optimisme béat, une conclusion un peu plus roborative au regard du contenu du livre n’aurait pas été hors de propos.

    Bernard Mazin  6/12/2016

    Jean-Noël Audibert, Euthanasier la République pour sauver la France , Editions DMM Dominique Martin Morin, B.P.263, 86000 Poitiers ou contact@editionsdmm.com – octobre 2016, 257 p.

    http://www.polemia.com/euthanasier-la-republique-pour-sauver-la-france-de-jean-noel-audibert/