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France et politique française - Page 3130

  • Ce régionalisme peu connu par Georges FELTIN-TRACOL

    Au cours des quarante dernières années, la République française fut souvent confrontée aux revendications, parfois violentes, de mouvements régionalistes, autonomistes, voire indépendantistes, en Corse, au Pays Basque, en Bretagne sans oublier des contrées d’Outre-mer. La Catalogne du Nord, l’Occitanie, le Pays Nissart, la Savoie, l’Alsace connurent, eux aussi à un degré moindre, des réclamations similaires. On ignore en revanche qu’il existe en Normandie un mouvement régionaliste.

    C’est l’histoire de ce régionalisme peu connu qu’étudie Franck Buleux. Son travail sort au moment où les régions basse- et haute-normandes s’unissent pour former une seule entité régionale : la Normandie. Cette unification constituait la raison d’être majeure du Mouvement Normand (MN). Fondé le 29 septembre 1969 à Lisieux par le député gaulliste Pierre Godefroy, l’universitaire Didier Patte et l’écrivain Jean Mabire, il se nomme avant 1971, Mouvement de la Jeunesse de Normandie (MJN) et rassemble, d’une part, les militants anti-communistes de la Fédération des étudiants rouennais (FER), et, d’autre part, les notables pro-gouvernementaux de l’URN (Union pour la région normande). « Le MJN se veut, non pas l’interlocuteur des masses, mais celui des élus. Il ne se fixe pas des objectifs électoraux, mais son rôle est de convaincre les élus normands de la nécessité, historique comme économique, d’unifier la Normandie  (p. 103). »

    La Normandie une et diverse

    Son dynamisme en fait vite le promoteur d’une identité normande enchâssée dans plusieurs cercles d’appartenance culturelle et politique spécifiques. « La Normandie, observe Franck Buleux, composée de fortes distinctions géographiques naturelles (notamment par la différence des sols) estimées au nombre de vingt-sept pays (le pays d’Ouche, le pays de Caux, le pays d’Auge, le pays de Bray, la Hague, le Val de Saire, le Cotentin, l’Avranchin, le Mortanais, le Passais, le Bessin, le Bocage, le Houlme, la campagne ou plaine de Caen, la campagne ou plaine d’Alençon, le Lieuvin, le Hiémois, le Thimerais, le Roumois, la Campagne du Neufbourg, la plaine de Saint-André, la Madrie, le Vexin, le Talou, l’Aliermont, le Petit Caux et le Perche) connaît aussi une distinction linguistique (p. 10). » S’ouvrant sur la Manche, la Normandie entre en résonance certaine avec le monde anglo-saxon (qu’il serait plus juste de dire « anglo-normand » !) et la Scandinavie. 

    Franck Buleux s’intéresse longuement à la revue d’inspiration nordiciste Viking de Jean Mabire. « Fondée en mars 1949 et diffusée à partir de cette même date, y compris en kiosques dans l’ensemble des départements normands et dans la Capitale, [elle] se qualifia comme “ la revue des Pays Normands ” ou les “ Cahiers de la jeunesse des pays normands ”. Elle va illustrer, tout au long de sa pagination et de son existence, cette identification de la terre normande à son passé scandinave. Cette revue […] produisit un ensemble de 27 numéros entre mars 1949 et le printemps 1958 (p. 44). »

    Contrairement à quelques groupuscules indépendantistes loufoques brièvement mentionnés, leMouvement Normand « rejettera, dès son origine, toute volonté séparatiste vis-à-vis de la France qui entraînerait l’indépendance normande (p. 117) ». Il préfère se définir régionaliste et français. Il réclame par conséquent une véritable et profonde décentralisation. En effet, « au-delà de la réunification, l’objectif concomitant du MN est la reconnaissance d’un réel “ pouvoir régional ”, ce qui le distingue d’autres mouvements de droite, souvent considérés comme proches. Ainsi, Didier Patte reprochera généralement à la droite, ainsi qu’à l’extrême droite nationale, d’être certes, toutes deux, favorables à la réunification, mais d’être beaucoup plus réticentes à la mise en place d’un pouvoir régional, avec la dévolution de certaines prérogatives au profit d’une assemblée normande (p. 116) ».

    Des actions plus culturelles que politiques

    N’hésitant pas, le cas échéant, à présenter des candidats aux élections, le Mouvement Normand investit en priorité la métapolitique et l’influence auprès des élus locaux. Sa défense acharnée des intérêts normands du Cotentin à la vallée de la Seine, du littoral de la Manche à la Suisse normande, contrarie régulièrement les initiatives strictement localistes et presque égoïstes des maires, des conseils généraux et des conseils régionaux.

    Afin de faire avancer ses idées qui ne se limitent pas à la seule unification normande puisqu’il aborde en permanence les questions économiques et d’aménagement du territoire, le Mouvement Normand dispose de deux périodiques : L’Unité Normande à tonalité politique et Culture Normande consacrée aux problèmes culturels. Franck Buleux n’évoque en revanche pas le médiat sur Internet, TVNormanChannel (TVNC), lancé en 2010. Son étude démontre finalement qu’en dépit du centralisme parisien multiséculaire et malgré l’unicité uniformisatrice propre à l’idéologie égalitariste républicaine, un régionalisme enraciné et conséquent aide au maintien du caractère pluraliste des nombreux terroirs qui façonnent cette « Europe en miniature », la France. 

    Georges Feltin-Tracol

    • Franck Buleux, L’unité normande. Réalité historique et incertitude politique, Paris, L’Harmattan, coll. « Connaissance des Régions », 2015, 261 p., 26,50 €.

    • D’abord mis en ligne sur Euro-Libertés, le 19 juillet 2016.

    http://www.europemaxima.com/

  • L'Islam est étranger à la civilisation française. Pourquoi ne pas l'admettre une fois pour toutes ?

    Par Gilbert CLARET

    Un commentaire, reçu sur Lafautearousseau vendredi 29, qui a retenu notre attention parmi ceux de ces derniers jours, nombreux et souvent excellents. Un regard raisonnable, clair, pondéré et néanmoins très ferme, sur le rapport de la société française à l'Islam. Il nous a paru important de le donner à lire au plus grand nombre de lecteurs de Lafautearousseau. Même si l'heure est plutôt à l'affrontement qui nous est tragiquement imposé, qu'à la réflexion sereine. Mais sans-doute faut-il considérer que l'une et l'autre ne s'excluent pas.  LFAR   

    L'Islam est étranger à la civilisation française. Pourquoi ne pas l'admettre une fois pour toutes ?

    Cette admission était implicite dans la rupture politique avec le concept d'Algérie française. L'Algérie aux algériens, la France aux français. De Gaule l'avait parfaitement compris et mise en pratique tel un homme d'Etat digne de ce nom..

    Ceci étant posé, la France, fidèle à sa tradition d'ouverture d'esprit universel, pouvait et pourrait encore parfaitement accepter qu'une petite minorité de musulmans vivent sur son sol, disons dans une proportion de 2% ou 3% de la population française, telle une curiosité intéressante permettant de débattre sur les mérites et particularités ou bizarreries de cette religion si peu conforme à nos religions judéo-chrétiennes, mœurs, mentalités et formes de pensée bimillénaires, sans prétendre nier les apports estimables  arabo-berbéro-ottomano musulmans dans les arts, les sciences, l'architecture et la littérature notamment.

    Jacques Chirac, après avoir nié contre toute évidence les racines chrétiennes de l'Europe, a eu l'audace d'ajouter contre la conviction intime des Français, que ses racines étaient autant musulmanes que chrétiennes. Jacques Chirac, parlant au nom de la France, parangon de la haine de soi au sommet de l'Etat ! Il est temps pour la France de recommencer à être elle-même et à s'aimer dans ses racines bimillénaires. Comme l'énonce un sage adage : « soyez vous-même, les autres sont déjà pris ».

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le jour où un iman sera assassiné…

    Le roi d’Arabie Saoudite et le recteur de la mosquée Al-Azhar lanceront des appels à la paix, au pardon et à la fraternité. 

    Si l’on en juge par les réactions actuelles à la suite de l’égorgement du père Hamel et de la tentative d’assassinat d’un fidèle catholique de 86 ans, on peut préjuger de ce qu’il adviendra le jour où un iman sera assassiné, non pas par un membre de l’État islamique qui l’aura considéré comme un mécréant, mais par un ultra-nationaliste déséquilibré.

    Chacun, politicien, responsable religieux, responsable associatif ou simple citoyen, fera sa petite déclaration ou son petit tweet de condamnation, ce qui sera tout à fait normal. Les déclarations en question se garderont bien de nommer le nationalisme mais se diront en guerre contre le terrorisme.

    Les journalistes iront interroger la mère du présumé innocent pour qu’elle puisse expliquer que c’était un brave gamin, et ses voisins pour qu’ils témoignent de sa radicalisation récente et du fait qu’au sein des mouvements nationalistes, on se méfiait de lui.

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  • Manuel Valls, Premier ministre du chaos

    Non content d’être à l’origine des sept plaies d’Égypte qui s’abattent sur notre pays, celui-ci persévère dans la trahison du peuple.

    Ce gouvernement est impayable. Non content d’être à l’origine des sept plaies d’Égypte qui s’abattent implacablement sur notre pays, celui-ci persévère diaboliquement dans la haute trahison du peuple français.

    Dans un entretien confié à un célèbre quotidien vespéral de référence, le Premier ministre réitère des propos qui lui auraient valu, en des époques plus reculées, un procès expéditif suivi d’une décapitation en place de Grève devant une foule surchauffée : « Cette guerre, qui ne concerne pas que la France, va être longue et nous allons connaître d’autres attentats. Mais nous allons la remporter. Car la France a une stratégie pour gagner cette guerre. Nous devons, d’abord, écraser cet ennemi à l’extérieur. »

     

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  • Libérer l'enseignement de la tutelle de l'Etat

    6a00d83451619c69e201bb09231980970d-200wi-1.jpgYves More, Docteur ès lettres, titulaire d'un DEA de sciences de l'Education, diplômé de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, et Godefroy de Villefollet, directeur d'un réseau d'enseignement supérieur privé, ont publié un ouvrage intitulé En finir avec l'Ecole républicaine. Plutôt que de prendre partis entre les théoriciens des méthodes pédagogiques modernes et les défenseurs de la sacro-sainte Ecole républicaine, avec son mythe de l'instituteur, cet hussard noir de la République, ils montrent que ces deux camps partagent la même idéologie. Toutes les réformes scolaires ont visé non à adapter l'institution aux besoins de la société, mais à mettre a la portée de tous les études les plus traditionnelles, jugées plus gratifiantes. C'est contre cette idéologie qu'ils s'élèvent :

    "Or, le double caractère étatique et monopolistique de l'enseignement public est l'un des vices rédhibitoires de notre système scolaire, nous l'avons vu. Nous vivons, depuis la création de l'Université napoléonienne (1808) et de l'enseignement primaire guizotin ultérieurement rénové par Ferry (1833), sous le régime de l'Etat enseignant et de l'Etat maître souverain exclusif de la collation des grades universitaires. Il s'agit là d'une aberration unique au monde, une de ces regrettables exceptions françaises dont nous nous rengorgeons. [...]

    Si bien qu'en France, il n'existe pas de secteur libre et concurrentiel d'enseignement, hors quelques rares établissements privés hors contrat. L'Etat décide des programmes d'enseignement, rémunère les maîtres, impose ses directives réglementaires et son contrôle administratif dans le "privé" sous contrat d'association comme dans le public. Et les collectivités prennent en charge les dépenses matérielles de fonctionnement des établissements relevant de l'un comme de l'autre. Et l'Etat seul confère les grades universitaires. Il n'existe aucune alternative à l'Etat enseignant dont on connaît le marasme. Or, il y a urgence à mettre fin à cet absolutisme scolaire si l'on veut mettre fin à une crise scolaire commencée il y a quarante-cinq ans (et dont les prodromes sont beaucoup plus anciens) et restaurer un système d'enseignement apte à répondre aux exigences du monde actuel et en accord avec les exigences de la coopération européenne. [...]

    Si absolu fût-il, Louis XIV lui-même n'intervenait aucunement (et ne songeait pas à le faire) dans la vie, l'enseignement des universités et collèges et la collation des grades. Et de nos jours, il en est de même à l'étranger. Un doctorat de l'université privée de Columbia (New-York) n'est pas accordé par un jury d'Etat et validé par un ministère ou une administration publique, mais uniquement par un jury de cette université ; et il a la même valeur nationale, voire internationale, qu'un doctorat conféré par l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA), publique quant à elle. Il n'existe pas de diplômes "privés" d'établissements privés ni de diplômes "publics" d'établissements publics, ni de do-iplômes exclusivement publics, préparables dans des établissements privés, mais décernés uniquement par des jurys d'Etat. Il existe des diplômes universitaires décernés aussi bien par des établissements privés que par des établissements publics, et sans que l'estampille de l'Etat soit nécessaire. L'Etat n'a pas à être propriétaire des diplômes. Les trop fameuses notions de "caractère national" et de "valeur nationale" des diplômes n'ont aucun sens. Nul ne s'en préoccupe à l'étranger ni ne s'en souciait en France avant Napoléon."

    Michel Janva

  • Nos ennemis les islamistes, par Guy Rouvrais

    Les membres du gouvernement, les éditorialistes et l’épiscopat français nous exhortent à ne pas tomber dans le « piège » que nous tend l’Etat islamique : la division, l’affrontement entre chrétiens et musulmans débouchant sur une guerre civile. Que faire alors ? Rester unis et se répandre en baisers Lamourette entre chrétiens et musulmans, gens de droite et de gauche, libéraux et socialistes, citoyens des villes et gens des champs. Alors déconcertés, si ce n’est épouvantés, par tous ces gars de France qui se tiennent la main pour faire une ronde autour de l’Hexagone, les terroristes reculeraient, n’oseraient plus trancher une seule gorge au sein d’un peuple si uni. « Damned ! Ils nous ont vaincus ! » lanceraient-ils en larmes et en arabe.

    Unis, les Français ne le furent jamais autant qu’au lendemain de l’attentat contre Charlie Hebdo qui vit des millions de personnes, de convictions et de conditions diverses, envahir le pavé parisien. Cela fut suivi de votes unanimes au Parlement. Dix mois plus tard, il y eut le 13 novembre et la suite sanglante que l’on connaît. C’est dire si les démonstrations d’unité non seulement n’impressionnent pas les tueurs islamistes mais au contraire les flattent dans leur pouvoir de mobiliser tant de foules avec peu d’hommes et de moyens.

    Mais, surtout, nos moralistes et stratèges d’occasion se trompent sur l’objectif de Daesh. Ce n’est pas la guerre, ce n’est pas de provoquer un affrontement entre chrétiens et musulmans. Le but, que les islamistes proclament depuis toujours, c’est l’instauration du califat partout dans le monde, donc en France, pour la victoire finale de l’islam promise par Mahomet. La guerre sainte n’est qu’un moyen. Si nous nous soumettons volontairement en acceptant la loi islamique ou, en tant que chrétiens, la condition de dhimmi, ils n’auront plus de raisons de nous faire la guerre. Nous pouvons donc y échapper, faire cesser les attentats et les égorgements, il suffit que nous acceptions de vivre à genoux sous le glaive au lieu de nous battre pour mourir debout sous la croix. L’alternative est bien celle-là !

    Nos évêques, eux, nous expliquent qu’en tant que chrétiens nous ne devons pas nous laisser envahir par la haine ou un esprit de vengeance. Certes, mais rappelons que les grands hommes de guerre, souvent chrétiens, combattent sans haine mais par amour de la patrie, la terre des pères. Comme on défend sa famille, son épouse, ses enfants, non par animosité pour ceux qui veulent les agresser mais par amour des siens. « Aimer nos ennemis » ? C’est dans l’Evangile mais cela ne résume pas toute la doctrine de l’Eglise, élaborée au fil des siècles, sur les guerres justes et injustes.

    Aimer nos ennemis, c’est d’abord reconnaître que nous, chrétiens, nous avons des ennemis et que leur hostilité n’est pas soluble dans une accolade fraternelle. C’est aussi les désigner comme tels. Or, avons-nous entendu un seul évêque – ou le pape – dire : « nos ennemis les islamistes » ? Pas les musulmans – car selon Vatican II ce sont nos amis – mais seulement les islamistes ? Même pas ! Comme si, déjà, énoncer la simple vérité était gros d’on ne sait quels belliqueux sentiments ! Comment vaincre nos ennemis si nous n’osons même pas dire que ce sont des ennemis ?

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 30 juillet 2016

    http://fr.novopress.info/

  • Une élue PS détourne 340.000 euros et est condamnée à 4.000 euros d’amende en toute discrétion

    L’information vient à peine d’être divulguée. Béatrice Négrier, élue PS au conseil régional, et maire de Plaissan dans l’Hérault a été condamnée fin mai à 4.000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Montpellier pour « détournement de fonds ».

    L’hebdomadaire l’Agglorieuse et le site d’actualité Lengadoc Info ont révélé mercredi cette information gardé jusque-là sous silence par les journalistes aux ordres des « grands » médias.

    Voici l’article de Lengadoc Info du 27 juillet :

    « C’est une condamnation qui n’a pas fait beaucoup de bruit dans la région et pourtant l’affaire est loin d’être anecdotique. Le 24 mai dernier, le maire de Plaissan (Hérault), Béatrice Negrier (PS), était appelé à la barre du tribunal correctionnel de Montpellier pour une affaire de détournement de fonds. La somme escroquée s’élève à 340 000 €. Une somme considérable que Béatrice Negrier a détourné au dépens du Mouvement Républicain et Citoyen, le parti fondé par Jean-Pierre Chevènement et dont Béatrice Négrier était membre, mais également d’une association pour enfants qu’elle présidait.

    Devant les juges, le maire de Plaissan, qui est également vice-présidente de la région Occitanie en charge de l’emploi, de la formation professionnelle et de l’apprentissage, a reconnu qu’elle avait « eu une année noire ».

    Les 340 000 € détournés ont, en effet, servi à renflouer son compte bancaire personnel. Dans cette affaire, le procureur de la République a requis une amende de 4 000 € et une peine de non éligibilité. Si le tribunal a confirmé l’amende de 4 000 € dans son jugement, il a également décidé que cette condamnation ne serait pas inscrite au casier judiciaire de Béatrice Negrier.

    Mais le plus inquiétant dans cette affaire, c’est qu’elle a été l’objet d’un silence total de la part de la presse locale. Alors que les condamnations en justice d’élus pour des délits financiers sont généralement largement commentées par la presse, dans ce cas là, on a comme l’impression que personne n’a souhaité en parler. A tel point que la personne qui a informé la rédaction de Lengadoc Info de cette affaire, avait auparavant contacté d’autres médias locaux, tous ont refusé de traiter l’affaire ou se sont abstenus de répondre ». Sans le scoop de Lengadoc Info, Midi Libre n’aurait jamais évoqué cette condamnation judiciaire.

    http://www.medias-presse.info/une-elue-ps-detourne-340-000-euros-et-est-condamnee-a-4-000-euros-damende-en-toute-discretion/58894

  • Proposer un dialogue viril à l'islam

    Fabrice Hadjadj est écrivain et philosophe, "Juif au nom arabe", converti au catholicisme à l'âge de 25 ans. Il revient sur l'égorgement du Père Hamel, et estime qu'il faut que l'Eglise et les catholiques proposent un langage clair, ferme, et même viril, tant à notre jeunesse déboussolée qu'aux musulmans.

     

    Marie Bethanie