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France et politique française - Page 3129

  • Islamisme : décider vite et vrai !

    Il faut traiter radicalement les difficultés engendrées par notre immigration-invasion incontrôlée, en amont, à la source.
    Le duo fatal de gouvernement Valls-Cazeneuve, constitué de politicards menteurs, incompétents, arrogants et bouffis d’idéologies contredites tous les jours par la réalité, nous serine que nous sommes en guerre, sans préciser contre qui, ni qu’elle commence mal puisque la France a déjà perdu, dans les attentats, plus de 260 personnes en quelques mois. Ce sont des menteurs professionnels !

    Sont-ils incompétents ? Ils font ricaner le monde entier en essayant de traiter le terrorisme en aval : déradicaliser quelques volontaires, contrôler des sacs sur les plages, exposer les militaires de l’opération Sentinelle comme des cibles faciles… et surtout exhorter les Français à s’habituer au terrorisme barbare d’une minorité dans la minorité ! Voilà la honte !

    Arrogants ? Ils affirment qu’ils ont tout fait pour mettre un terme à cette suite infernale d’attentats et qu’ils veulent inaugurer de nouveaux rapports entre la France et l’islam. Cette prétention fait sourire devant les souvenirs que quinze cents ans de piraterie, de razzia, de « chicaya » et de « taqiya » ont laissés aux peuples.

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  • Anonymisation des terroristes : du f(l)outage de gueule – par André Bercoff

    André Bercoff s’insurge contre l’anonymisation des terroristes. Pour le journaliste, la lâcheté de ne pas voir ne permettra pas de vaincre l’islamisme radical qui sévit en France.

    Dans certains médias, le floutage de gueule a déjà commencé. Demain, après-demain, d’autres décapitations se commettront dans tel ou tel lieu, d’autres camions faucheront des dizaines d’hommes, de femmes et d’enfants dans une ville d’ici ou d’ailleurs, d’autres soldats fanatisés viendront pratiquer une épuration identitaire dans une boîte de nuit, un restaurant ou un café. Eh bien, il sera opposé à ces criminels l’arme absolue de l’anonymat institutionnalisé.

    (…)

    A ce stade de schizophrénie active, on ne sait plus que penser. Comment ces gens ignorent qu’Internet et les réseaux n’arrêteront jamais de diffuser les photos, les noms et les éléments à disposition, dès qu’ils seront postés par une ou plusieurs sources?

    Pour André Bercoff, il serait plus que temps d’arrêter le naufrage, car il y a encore pire que la terreur imposée par les uns : la médiocrité proposée par les autres.

    http://fr.novopress.info/

  • Alors que le Pouvoir finance la construction de mosquées, il fait évacuer par ses CRS l'Eglise Ste Rita

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    Malgré la présence de nombreux paroissiens, parmi lesquels des élus locaux, et profitant de la période estivale, Cazeneuve, en bon petit larbin des spéculateurs de l'immobilier qu'il est, n'a pas hésité à envoyer ses flics évacuer violemment l'église Sainte Rita ce matin.

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    Les flics casqués et armés enfoncent les portes de l'église pendant la messe du matin. 

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    Les fidèles prient pendant que les flics enfoncent les portes.

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    Le prêtre évacué sans ménagement en pleine messe.

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    11 h 00 : les meubles de l'église sont jetés sur le trottoir par les domestiques d'Hidalgo.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’importation à valeur négative

    Bernard Plouvier

    Toute l’économie de transformation des matières premières nécessaires à la vie humaine repose sur la « valeur ajoutée » par le travail humain. L’on n’a pas attendu le clown alcoolique Karl Marx pour le savoir.

    La cuisson de la viande est un exemple de valeur ajoutée qui remonte fort loin dans la préhistoire, comme la fabrication des armes ou le tannage puis l’assemblage des peaux pour s’en vêtir, de façon à lutter contre le froid. Il appartenait à l’économie globale et à la société mondialiste, au début du XXIe siècle de notre ère, de démontrer le contraire !

    Depuis le mois de juin 2016, l’on connaît les caractéristiques de la vague migratoire de l’An funeste 2015, où l’Europe occidentale, danubienne et scandinave fut littéralement envahie d’Africains (noirs et maghrébins), de Moyens- et de Proches-Orientaux, en immense majorité musulmans.

    Ils se sont fait passer pour des demandeurs d’asile politique et quelques-uns le furent réellement. Un nombre absolument inconnu d’entre eux sont des clandestins du Djihâd, en sommeil jusqu’à ce qu’ils reçoivent l’ordre de passer à l’activité meurtrière pour la plus grande gloire d’un dénommé allah. Cela, tout le monde le sait, depuis plus d’un an.

    L’on peut déplorer que les fous furieux qui dirigent les USA depuis 2001 aient mis à feu et à sang le Maghreb et le Sahel, l’Irak, le Yémen, l’Afghanistan, la Syrie (en attendant mieux), parfois avec la complicité de dirigeants indignes des Nations britannique, française, italienne etc., ce qui n’implique nulle responsabilité de ces Nations, desquelles personne n’a songé à demander l’avis.

    Nous n’avons, Européens de souche, à développer nulle repentance à propos des guerres qui ont ravagé les pays du Dâr al-Islam, étant donné qu’aucun des chefs « démocrates » n’a eu recours à la seule forme de démocratie qui soit : la pratique du referendum avant de se lancer dans des opérations de guerre. Après tout, c’est l’argent des Nations qui est dépensé dans ces interventions ; il est donc logique et légitime de prendre l’avis des peuples souverains.

    Sans responsabilité directe de leur part, les Européens se sont vus envahir, depuis janvier 2015, par des hordes de réfugiés-immigrés. Le pape a hurlé sur tous les tons, comme la Chancelière teutonne et luthérienne d’Allemagne, la nécessité d’accueillir ces millions d’envahisseurs qui amenaient avec eux leur avidité de biens de consommation, leur racisme anti-Blancs, leurs mœurs médiévales (notamment un mépris total de la femme), enfin leur religion de haine et d’intolérance absolue : l’islam conquérant, meurtrier par son Djihâd.

    Au plan politico-sociologique, les collaborateurs des maîtres de l’économie globale justifiaient cette immigration-invasion par l’apport de « travailleurs » qu’elle réalisait. On a surtout vu un apport de violeurs, de pillards, de vandales et d’assassins. L’on sait maintenant que l’on a surtout importé des Nuls !

    En Suède, où l’on a accueilli 163 000 « réfugiés politiques » en 2015, il s’avère que 494 seulement ont trouvé un emploi en 15 mois ! Et il s’agit de statistiques officielles issues d’une coalition gouvernementale de sociaux-démocrates et de verdâtres.

    L’Agence fédérale allemande pour l’emploi de mémé Merkel vient de rendre son verdict en juin 2016, à propos des 1,1 million de réfugiés-immigrés-envahisseurs de 2015 : un tiers sont des analphabètes (deux tiers si l’on compte les femmes). Sur 297 000 dossiers d’hommes en âge de travailler, 74% d’entre eux n’ont ni qualification ni même la moindre expérience professionnelle !

    En résumé, l’on a importé et l’on continue d’importer des Non-Valeurs, des consommateurs improductifs, soit des parasites. Et le pape François, qui ressemble bien davantage à un homme lige de la globalo-mondialisation qu’au chef de l’Église catholique, nous exhorte à continuer dans cette voie ; idem pour mémé Merkel ou nos glorieux « chefs ».

    À chacun d’en tirer ses conclusions.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Face à l’islamisme, une névrose collective, par Vincent Revel

    Nous savons tous que le problème de l’islamisme est fortement lié à notre politique migratoire irresponsable. Pourtant, aucun des deux partis soi-disant républicains, le PS et LR, n’ose aborder la question en toute liberté. Face aux actes de barbarie, l’aveuglement perdure et les tabous se renforcent.

    L’assassinat du père Hamel dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray n’est que le prolongement logique de ce qui s’est passé les semaines et les mois précédents. Il faut comprendre que les djihadistes, de plus en plus nombreux sur notre territoire, ne renonceront pas à nous faire plier les genoux à terre. Nos politiques parlent de guerre mais ils oublient de nommer correctement l’ennemi de ce fait la menace qui pèse de plus en plus sur nos épaules n’est pas prête de s’atténuer.

    Nos dirigeants, nourris aux mamelles de la nouvelle religion des droits de l’hommisme, sont incapables d’avoir un discours clair aboutissant à des actes forts.Faisant la promotion d’une société multiculturelle, favorisant un déracinement radical, notre élite néo-libérale se trouve incapable d’agir efficacement. La pensée antiraciste leur interdit toutes paroles patriotes et actes courageux.

    Née de la rencontre du libéralisme et du communisme, deux idéologies basées sur la mort des nations et des frontières, cette pensée antiraciste trouve auprès de l’Eglise actuelle un allié de poids. Empêtré dans son Amour de l’Autre, dans sa charité universaliste, le christianisme ne cesse désormais, comme les nouveaux censeurs laïcs, de culpabiliser les Européens d’être des enfants héritiers d’une longue et belle tradition.

    Notre conscience est devenue avec le temps un enjeu de tous les instants. Transformée en mauvaise conscience, elle est à présent un outil pour déconstruire ce que nos élites économiques, politiques, médiatiques et religieuses aiment le moins au monde : les patries charnelles. Tout est mis en ordre pour la tirer vers le bas, pour atteindre notre âme et la détruire. Rien ne doit nous permettre de retrouver les rivages du courage et de la fierté. La démission et le renoncement se retrouvent à tous les niveaux d’éducation et d’information. La haine de soi, la haine de notre mémoire transpirent de tous les côtés.

    Avec l’arrivée en masse du monothéisme islamique sur notre continent, cette mauvaise conscience est prête à se soumettre à sa prochaine dhimmitude.L’Européen, malgré son statut de victime, ne peut que prétendre à baisser les yeux, apprendre à vivre avec la peur, à se renier et à accepter ce qu’aucun peuple digne ne pourrait tolérer. Pensant se défendre avec des peluches, des fleurs et des bougies, il écoute avec espoir des responsables encore plus déconnectés que lui de la réalité.

    L’archevêque de Rouen, Monseigneur Lebrun, est l’exemple même de la folie destructrice qui règne dans l’esprit de nos responsables. Nous sommes plusieurs à répéter avec bon sens qu’avec le fanatisme islamique, nous ne pouvons qu’engager une lutte totale pour espérer le vaincre. Ce n’est pas en poussant ses ouailles à « prier et aimer » que nous mettrons hors service des gens capables d’égorger un vieillard de 86 ans. Le temps de la main tendue est révolu si nous voulons espérer vraiment gagner ce combat pour notre liberté.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/

  • Brest : une élue d'extrême gauche s'amuse de l'assassinat du prêtre normand et le qualifie de pédophile

    BREIZATAO – POLITIKEREZH (28/07/2016) L’élue d’extrême-gauche brestoise Julie Le Goïc, connue pour son engagement en faveur de l’imam salafiste de Brest (voir ici) et son soutien aux filières de migrants clandestins, vient probablement de commettre la provocation de trop : une apologie d’acte de terrorisme en bonne et due forme.

    Sur son compte Twitter, Julie Le Goïc s’amuse publiquement de l’exécution barbare du Père Hamel à Rouen, suggérant qu’il était pédophile et que sa récompense pour avoir été égorgé par deux djihadistes serait “70 enfants de choeur”. Une analogie à la promesse faite aux musulmans engagés dans le djihad de recevoir “72 vierges” au paradis s’ils meurent au combat.

    Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de choeur au Paradis ?

    Les connaisseurs de la vie politique brestoise se rappellent que cette anarcho-gauchiste, élue en 2014 sur la socialiste de François Cuillandre avant de s’en dissocier, avait introduit des clandestins musulmans dans la salle du conseil municipal de Brest récemment. Une scène ubuesque – et filmée – qui s’était terminée par de la casse de matériel et des menaces à l’encontre des élus (voir ici et ici).

    BREIZ ATAO a régulièrement dénoncé dans ses colonnes le soutien actif de Le Goïc aux salafistes de Brest au nom de “l’antiracisme” ainsi que son aide aux filières d’immigration clandestine de la mafia albanaise musulmane opérant dans la ville. L’impunité dont elle bénéficie – comme l’avait à nouveau démontré l’émeute qu’elle avait orchestrée lors du conseil municipal – signalant la complicité active de la gauche socialiste avec cet élément radical.

    Pour exiger la démission de cette élément pro-islamiste, protestez auprès de la Mairie de Brest :

    Tél: 02 98 00 80 80

    Fax : 02 98 00 81 08

    Email : contact@mairie-brest.fr

    http://breizatao.com/2016/07/28/brest-lelue-dextreme-gauche-julie-le-goic-soutien-de-limam-salafiste-samuse-de-legorgement-du-pretre-de-rouen-et-le-qualifie-de-pedophile/

     

  • Hollande à 7% : les 7 raisons d'un désastre

    Sa cote confiance n'a cessé de se réduire et sa popularité est particulièrement basse, mais François Hollande est encore là. Le roi est non seulement nu, mais il n'a plus de royaume. II n'y a plus que 7% de Français à souhaiter que François Hollande se représente. La gauche est affaiblie comme jamais à un an d'une présidentielle qui risque d'être la décapitation du prince. Retour sur un désaveu cinglant.

    1- L’élection de François Hollande en 2012 : un choix par défaut

    La première raison est cruelle. François Hollande n'a pas été élu sur la volonté de donner une nouvelle impulsion au pays pour l'ancrer, à nouveau, à gauche. L'élection présidentielle de 2012 s'est faite tout simplement par défaut, sur fond de rejet de Nicolas Sarkozy. Le tort de François Hollande a été de croire qu'il a été choisi pour ce qu'il est. À la différence des élections de 2007,de 1995 ou même de 1981,voire de 2002, 2012 est la première élection présidentielle à se comprendre exclusivement par le rejet du sortant, sans véritable autre considération. Les Français se sont simplement payés un zapping démocratique dans les urnes. La lassitude envers Sarkozy était telle que le vote Hollande apparaissait comme le seul choix réaliste.

    2- La perte de l'électorat populaire

    Cela fait plus de 15 ans que l'on constate que la gauche socialiste ne cesse de perdre son électoral populaire. Elle a beau conserver les grandes villes et les centres urbains, elle continue à perdre le petit peuple, qui reste majoritaire dans le pays et dans les suffrages. Quant à l'électorat d'origine étrangère, il ne constitue pas un véritable électorat de substitution. On l'a bien vu s'abstenir lors des municipales de 2014. Pourtant, au PS, certains font comme si de rien n'était.

    3- Socialisme : un terme vide de sens

    Pourquoi s'appeler socialiste alors que l'on est clairement sur les pentes du social-libéralisme, voire du libéralisme tout court ? La gauche de gouvernement s'est convertie à l'économie de marché. Mais elle épouse aussi la société de marché, comme on Ta vu avec le mariage pour tous. Valls, Macron ou El Khomri sont ouvertement pour le travail le dimanche ou la réforme du marché du travail. On peut se demander si la gauche, dans la lutte des classes, n'a pas préféré être du côté du gagnant. Tout simplement. Plus rien à voir avec le socialisme originel de Jaurès, de Blum, voire de Mitterrand. Dans un anglais châtié , Valls avait même déclaré : « my government is pro business ». Un slogan que n'aurait pas renié Tony Blair, l'homme du New Labour.

    4- Une absence de ligne claire

    Si on devait résumer le hollandisme, c'est une campagne présidentielle creuse, molle et démagogique suivie et trahie par des réformes qui n'étaient pas annoncées. L'homme qui se voulait l'ennemi du monde de la finance en 2012 a accepté une loi Macron, qui libéralise davantage l'économie. Le grand patronat est ostensiblement dragué. De même, la loi El Khomri, adoptée de manière autoritaire à coup de 49-3 ne figurait pas dans le « package » de 2012. À la différence de bien des gouvernants européens, François Hollande n'a nullement préparé l'opinion publique à des réformes qui ne figuraient d'ailleurs pas dans un programme électoral de pure circonstance. Il en paye cruellement le prix.

    5- Le mirage sociétal

    L'ouverture du mariage aux personnes de même sexe devait être une mesure-phare. C'est le seul domaine où Hollande n'a pas cédé. Quitte à s'affaiblir durablement. En brusquant les manifestants de 2013, il a frayé la voie aux vagues bleues de 2014 et de 2015. Le sociétal, c'est ce qui reste en politique quand on a tout essayé... Cependant, c'est un pur mirage qui donne l'illusion politique d'agir. En Europe, le sociétal n'a pas empêché certains gouvernements de gauche d'être balayés. Ainsi, en Espagne, Zapatero a pu être battu et le PSOE est aujourd'hui talonné par la gauche radicale de Podemos. Dans le meilleur des cas, les « victoires » sociétales n'apportent aucun gain politique. Dans le pire des cas, elles accélèrent la défaite de l'équipe au pouvoir. Les supposés bénéficiaires ne sont guère reconnaissants et votent comme tout le monde. Ainsi, aux régionales de décembre 2015, on s'est aperçu que des homosexuels fraîchement mariés votaient FN.

    6- Politique étrangère : une absence de crédibilité

    François Hollande paye aussi son manque de crédibilité en matière de politique internationale. Valls fustige Bachar el-Assad, qu'il qualifie de « boucher », mais la France n'a jamais été aussi proche des monarchies pétrolières du Golfe qui n'ont, justement, rien de démocratiques... En août 2013, Hollande était même prêt à bombarder la Syrie avant de subir le cinglant désaveu d'Obama. Deux ans plus tard, la France est obligée de remiser sa demande de départ du PrésK dent syrien en se concentrant sur Daesh. La France n'arrive plus à avoir d'initiative en politique étrangère et semble à la traîne. Dernière illustration ; dans la crise du Brexit, Hollande voulait aller plus vite dans la séparation avec le Royaume-Uni, mais il a été freiné pas Merkel.

    7-Des événements sans lendemain

    Hollande aurait pu avoir de la chance avec les attentats de 2015. Charlie hebdo ou le Bataclan ont donné, sur un très court instant, l'illusion que François Hollande pouvait apparaître comme le chef de guerre incontesté. Certes, il a proclamé l'état d'urgence et bombardé Daesh. Mais les postures n'ont rien changé. La révision constitutionnelle qui devait faciliter la déchéance de nationalité des terroristes a coulé à cause d'une divergence avec un Sénat majoritairement à droite. Quant à l'état d'urgence, proclamé le 14 novembre 2015 et reconduit plusieurs fois, il a été tourné en ridicule par les manifestations et les casseurs de 2016... Et par l'horrible drame de Nice, le 14 juillet. François Hollande venait de déclarer à la télévision qu'on allait lever l'état d'urgence. Quel visionnaire !

    François Hoffman monde&vie  22 juillet 2016